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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 14 novembre 2023

Préserver son équilibre mental après 60 ans : Les clés d’une santé psychique durable

 

Par Cindy  Mis à jour le 07 novembre 2023

Le passage à la retraite, les changements de situation familiale, la fragilité physique ou encore la perte d’autonomie sont autant de facteurs qui peuvent impacter la santé mentale des seniors.

Pourtant, il est possible de maintenir une bonne santé mentale après 60 ans en adoptant des stratégies adaptées, qui permettent de renforcer la résilience et de préserver l’équilibre psychique.

Nous vous proposons un tour d’horizon des meilleures pratiques pour garder le cap et s’épanouir pleinement dans cette nouvelle étape de la vie.

1. Cultiver et renforcer le réseau social

L’importance d’un réseau social solide et soutenant ne saurait être sous-estimée dans le maintien de la santé mentale des seniors.

Entretenir les relations existantes

Il est essentiel pour les personnes âgées de maintenir le lien avec leurs amis et leur famille. Les visites régulières, les appels téléphoniques et l’utilisation des réseaux sociaux sont autant de moyens de garder le contact et de partager des moments privilégiés avec les êtres chers.

Développer de nouvelles amitiés

La retraite offre l’opportunité de nouer de nouvelles relations. Les seniors peuvent ainsi s’inscrire à des clubs, des associations ou des ateliers qui partagent leurs centres d’intérêt pour élargir leur cercle social et vivre de nouvelles expériences enrichissantes.

conserver un bon équilibre mental à la retraite avec le sport

2. Faire de l’activité physique une priorité

Les bienfaits de l’exercice sur la santé mentale sont nombreux et variés, notamment chez les personnes âgées.

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"TikTok aggrave les problèmes de santé mentale existants" chez les jeunes utilisateurs, alerte Amnesty International dans une étude

Publié 

Dans une étude publiée par Amnesty International, le réseau social TikTok est pointé du doigt pour ses effets néphastes sur la santé mentale de certains jeunes utilisateurs.

(Illustration) (MONIKA SKOLIMOWSKA / DPA)

Le réseau social TikTok est un "espace toxique et addictif pour les enfants", qui "aggrave des problèmes de santé mentale existants", alerte Katia Roux, chargée de plaidoyer "Libertés" pour Amnesty International France, et spécialisée en technologies et droits humains.

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TRIBUNE Osons une «interruption volontaire de vie»

par Stéphane Velut, chef du service de neurochirurgie du CHU de Tours  publié le 12 novembre 2023

Le neurochirurgien Stéphane Velut plaide pour que le projet de loi, qui sera présenté au Conseil des ministres avant la fin de l’année, soit le plus «ouvert» possible et n’établisse pas de critères d’«éligibilité» trop stricts.

Les choses s’accélèrent. Emmanuel Macron réunit mardi les ministres concernés par le projet de loi sur la fin de vie, qui devrait être présenté en décembre au Conseil des ministres. Comme prévu depuis le vote massif en faveur de l’ouverture d’une «aide active à mourir» en avril par la Convention citoyenne, un avant-projet de loi a été remis au Président, qui a promis une «loi de liberté et de respect». La ministre déléguée à l’Organisation territoriale et aux professions de santé, Agnès Firmin Le Bodo, dévoilait en octobre les volets du projet de loi : développer les soins palliatifs, renforcer le droit des patients et l’accompagnement du deuil, étendre l’aide à mourir aux majeurs condamnés à court ou moyen terme. Le gouvernement, qui veut arbitrer sur les critères fixés pour le recours au suicide assisté devra faire face à un débat vif entre les partisans d’une loi «ouverte», comme le neurochirurgien Stéphane Velut, et les opposants, comme le journaliste Pierre Jova qui s’appuie sur l’expérience belge pour montrer les dérives possibles.

Emmanuel Macron a assuré mercredi que le «droit de mourir dans la dignité» ferait l’objet d’une «loi de liberté et de respect». Mais nous pressentons qu’une fois de plus, ils avanceront à petits pas. Une fois de plus, ils se priveront du sens exact du mot euthanasie – en grec ancien le bien mourir – parce que devenu synonyme de tuer. Une fois de plus ils confondront le mot suicide que les psychiatres connaissent si bien – un acte déraisonné aux motifs insaisissables – avec la volonté d’interrompre sa vie parce que proprement invivable, ce qui n’est pas la même chose. Une fois de plus, ils tenteront de dissoudre la question dans les soins palliatifs alors qu’elle se situe au-delà : précisément quand plus rien ne soulage. Une fois de plus, ils feront de l’aide à mourir un soin, médical de surcroît et à tort, alors qu’il n’en est plus un, mais bel et bien un acte (que j’appelle «de bonté») que l’on peut refuser, comme l’IVG d’ailleurs, au nom de la clause de conscience. Une fois de plus, ils distingueront l’«aide active» à mourir de l’«aide au suicide», deux actes dont la seule différence ne réside in fine que dans le niveau de scrupule de celui qui le fait, un acte qu’on devrait nommer plus sincèrement une «Interruption volontaire de la vie».

C’est le peuple qui dicte

Bref, une fois de plus, ils tenteront de ménager les susceptibilités de chacun (médecins de soins palliatifs qui, comme tous les spécialistes dont je suis, tolèrent difficilement d’être dépassés, partis politiques, courants spirituels et religieux plus ou moins dogmatiques, comités d’éthique, sociétés savantes et autres groupes de pression). Et ce au détriment de ce que les Français, soit à travers les sondages, soit par la voix de la Convention citoyenne sur la fin de vie (une vilaine expression que l’on applique aussi à des objets), souhaitent massivement. Pétris à la fois de sagesse et de la peur d’agoniser, ils veulent disposer de leur destin quand de destin il n’y a plus, sinon insupportable.

Vous qui lisez ces quelques lignes, ne vous méprenez pas. Vous pourrez, comme moi, avoir toujours espéré en finir paisiblement le jour où chaque instant ne serait plus que souffrance et désarroi, loin des petits bonheurs que la vie sait aussi dispenser, épuisé et privé de tout rapport au monde comme le fut le cinéaste Jean-Luc Godard, et en dernière instance vous accrocher tout de même à la vie. Et parce qu’en matière de situations terribles la vie a de l’imagination, vous pourrez tout autant, comme Wilfried Martens, ancien Premier ministre belge et démocrate chrétien, être opposé à une législation de l’aide à mourir et finalement la demander. Il n’y a pas de question à propos de laquelle il ne faille considérer sa propre opinion plus fragile. Parce que, toujours, la réalité nous gifle, humains que nous sommes. Que vous soyez pour ou contre la liberté de disposer de sa propre vie et y être éventuellement aidé a donc peu d’importance, dans une démocratie c’est le peuple qui dicte. Or le peuple, sur cette question sans réponse, ce trou de la pensée, attend qu’une nouvelle loi fasse mieux que Claeys-Leonetti en 2016.

N’est pas Simone Veil qui voudrait

J’attendrai pour ma part que cette loi soit ouverte, une loi qui autorise sans systématiser, et ne décide en rien de l’éligibilité à une mort douce. Une loi qui n’écarte pas les enfants, les bébés, qui eux n’ont pas la parole et n’écrivent pas de directives anticipées ; une loi qui n’oublie pas qu’ils «naissent et demeurent libres et égaux en droit». En somme une loi parfaite comme l’est celle sur l’IVG. Parfaite car Simone Veil, avec le courage politique et l’humanité qui la caractérisaient, avait conçu un texte donnant à toutes les femmes sans exception le droit de disposer de leur corps sans justification ni restriction (si ce n’est, évidemment, un certain délai). Datant bientôt d’un demi-siècle, ce fut l’expression légale à l’échelle de chacune de ce qu’on nomme à l’échelle de tout un peuple : l’autodétermination. Hélas, n’est pas Simone Veil qui voudrait. Ce d’autant qu’il se trouve qu’en cinquante ans les choses ont bien changé.

Désormais, il n’est plus question d’accorder aux Français la vertu de respecter les lois tacites, ce qui fait une civilisation. Tout doit être cadré. Plus question d’accorder aux Français la vertu de respecter le sacré au sens où Régis Debray l’entend : qui encourage au sacrifice et interdit le sacrilège. Alors on craint qu’il y en ait d’assez fous pour fournir une substance létale à une adolescente désespérée par un chagrin d’amour. Or non, il n’y en aurait pas (et s’il y en avait un, la loi ne l’en dissuaderait pas). Pas plus qu’il y en aurait pour jouer à la pétanque dans l’allée d’un cimetière. Tout est affaire de confiance, tout réside dans ce mot. Une société qui n’a plus confiance en elle-même est une société qui va mal. Peut-être devrait-elle craindre sa propre fin… de vie.

Stéphane Velut est l’auteur de la Mort hors la loi (Tracts Gallimard, 2021).


Fin de vie Pierre Jova : «L’humanisme ne peut pas résider dans l’administration de la mort»

par Adrien Naselli    publié le 12 novembre 2023 

Dans une enquête menée en Belgique et en Suisse, le journaliste souligne les souffrances des personnes confrontées au «droit à mourir» qui pourrait bientôt être légalisé en France.

Les choses s’accélèrent. Emmanuel Macron réunit mardi les ministres concernés par le projet de loi sur la fin de vie, qui devrait être présenté en décembre au Conseil des ministres. Comme prévu depuis le vote massif en faveur de l’ouverture d’une «aide active à mourir» en avril par la Convention citoyenne, un avant-projet de loi a été remis au Président, qui a promis une «loi de liberté et de respect». La ministre déléguée à l’Organisation territoriale et aux professions de santé, Agnès Firmin Le Bodo, dévoilait en octobre les volets du projet de loi : développer les soins palliatifs, renforcer le droit des patients et l’accompagnement du deuil, étendre l’aide à mourir aux majeurs condamnés à court ou moyen terme. Le gouvernement, qui veut arbitrer sur les critères fixés pour le recours au suicide assisté devra faire face à un débat vif entre les partisans d’une loi «ouverte», comme le neurochirurgien Stéphane Velut, et les opposants, comme le journaliste Pierre Jova qui s’appuie sur l’expérience belge pour montrer les dérives possibles.

Regarder des vidéos de nature pourrait suffire à améliorer la santé mentale

Publié le 

(ETX Daily Up) - Les scientifiques sont unanimes : la nature joue un rôle non négligeable sur le bien-être. Mais tout le monde n'a pas la chance de vivre près d'une forêt ou de la mer, ce qui induit que le lieu de résidence peut influer sur la santé mentale. Heureusement, cela n'est pas irrémédiable. Une nouvelle étude révèle qu'une immersion virtuelle dans la nature pourrait suffire à réduire le stress et à se relaxer, notamment chez les adolescents.


«Je ne me doutais pas qu’une seule nuit allait changer ma vie»: un jeune schizophrène témoigne de sa première psychose

   11 novembre 2023 

QUEBEC

Image principale de l'article Un jeune schizophrène raconte sa psychose

Courtoisie

«J’ai entendu des voix d’anges qui me disaient de ne résister en rien, comme si j’allais accéder à une dimension supérieure»: une nuit de 2018, les premiers symptômes psychotiques de Gabriel Morin sonnaient le début d’une bataille contre la schizophrénie qui allait changer sa vie. Il documente aujourd’hui son parcours sur TikTok pour aider les gens aux prises avec des enjeux de santé mentale et leurs proches.  

L'année de ses 18 ans, Gabriel Morin vit une période difficile. Il vient de quitter l’école. À la maison, les conflits ponctués de cris plombent l’ambiance et lui compriment la poitrine. Épuisé, il se tourne vers la spiritualité et s'initie la méditation.  

«À force de méditer, j’ai eu ce que les personnes spirituelles appellent un éveil. Je me sentais super bien, c’est indescriptible comme sensation de bien-être», raconte-t-il. 

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BIENVENUE SUR LE SITE DU GROUPE D'ENTRAIDE MUTUELLE LE PHARE - PAIMPOL

 

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Au Liberia, la jeunesse ravagée par la drogue

Par  (Monrovia, envoyée spéciale)   Publié le 13 novembre 2023

Les enfants d’Asie du Sud sont les plus concernés par le manque d’eau, selon l’Unicef

Le Monde avec AFP   Publié le 13 novembre 2023

Une étude du Fonds des Nations unies pour l’enfance publiée lundi avance que « 347 millions d’enfants sont exposés à une pénurie d’eau importante ou extrêmement importante » dans huit pays d’Asie du Sud.

Un enfant sur une rive asséchée du Yamuna, à New Delhi, en Inde, le 2 mai 2022.

En Asie du Sud, plus d’enfants que partout ailleurs dans le monde sont confrontés à une importante pénurie d’eau, aggravée par les effets du changement climatique, révèle une étude du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) publiée lundi 13 novembre. « En Asie du Sud, 347 millions d’enfants de moins de 18 ans sont exposés à une pénurie d’eau importante ou extrêmement importante, soit le nombre le plus élevé parmi toutes les régions du monde », détaille cette étude. Cette région comprenant huit pays – l’Afghanistan, le Bangladesh, le Bhoutan, l’Inde, le Népal, les Maldives, le Pakistan et le Sri Lanka – abrite plus d’un quart des enfants du monde.

Achraf Manar, « jour et nuit » contre l’injustice sociale

Par    Publié le 03 novembre 2023

« La Relève ». Chaque mois, « Le Monde Campus » rencontre un jeune qui bouscule les normes. A 25 ans, le fondateur du mouvement Destins liés milite contre les inégalités qui touchent notamment les jeunes issus de quartiers populaires, qu’il encourage à devenir acteurs du changement.

Achraf Manar, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), le 24 octobre 2023. 

Sur sa table de chevet : Pour une écologie pirate, de Fatima Ouassak (La Découverte, 198 pages), et Le talent est une fiction, de Samah Karaki (JC Lattès, 306 pages). La meilleure série de tous les temps ? Peaky Blinders,une plongée dans les bas-fonds de l’Angleterre des années 1920. Ses inspirations ? Christiane Taubira, Nelson Mandela et Martin Luther King. Achraf Manar l’avoue : « Je bosse là-dessus jour et nuit. » Ce « moteur », cette « flamme », comme il l’appelle, c’est la lutte contre les inégalités sociales.

A 25 ans, le jeune homme vient de fonder, avec huit autres jeunes, le mouvement Destins liés, dont il est le président. L’association, qui se veut intergénérationnelle, porte une exigence de justice sociale pour les jeunes des quartiers populaires, qu’ils soient immigrés ou non. Achraf ne fait pas de différence : « Tous ont souffert de la situation de leurs parents, atteints dans leur dignité, que ce soit par les discriminations ou par des boulots dévalorisés. » Il y ajoute les jeunes du monde rural dont le vécu est proche. Manque d’emplois, d’exemples, de réseaux, de codes, d’informations… Tous ont en commun de « se sentir au ban », explique-t-il.

Un nouvel espace d'art pour les femmes ouvre à Lausanne

De

    Publié le 12 novembre 2023


Un nouvel espace d'art pour les femmes ouvre ses portes à Lausanne. Après trois ans d'activités culturelles itinérantes en Suisse et à l'étranger ayant pour ambition de mettre en lumière le travail d'artistes femmes, la jeune association Espace Artistes Femmes - qui réunit déjà plus de 80 artistes membres - a décidé de se poser dans la capitale vaudoise. Une inauguration est prévue vendredi prochain avec une première exposition de sept artistes.

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États-Unis, ce pays qui marie ses enfants

Samedi 11 novembre 2023

Provenant du podcast

Le Reportage de la Rédaction

Sara Tasneem, mariée à 15 ans, chez elle en Californie. Janvier 2023 ©Radio France - Valérie Cantié

Aux États-Unis, en moins de vingt ans, 300 000 enfants ont été mariés, essentiellement des filles mariées à des adultes. Ces unions sont tout à fait légales dans 40 des 50 États du pays. Et dans certains de ces États, il n'y a même aucun âge minimum pour se marier. C'est le cas en Californie.



Au cœur d’une thérapie psychédélique

Publié le 12 novembre

Illustration d'une femme et des images qui lui viennent en tête dans le cadre d'une thérapie psychédélique.

Illégales depuis plus de 50 ans, les drogues psychédéliques font leur retour en psychiatrie depuis quelques années. Elles aident notamment les patients en fin de vie à faire face plus sereinement à l’inévitable.

« C’est triste, n’est-ce pas ? » confie Florence Moureaux, allongée sur son divan. « Il faut accepter la tristesse », lui répond avec empathie le Dr Houman Farzin, à son chevet. Cette scène est typique de la psychothérapie. Mais à une différence près : Florence est en train de vivre un voyage psychédélique intense, sous l’influence de la psilocybine, l’ingrédient actif des champignons dits « magiques ».

On connaît depuis longtemps l’effet puissant qu’ont sur l’esprit les drogues psychédéliques. Les champignons du genre Psilocybe, couramment appelés champignons magiques, sont utilisés depuis des millénaires dans des rituels de guérison autochtones. Le LSD, ou diéthylamide de l’acide lysergique, a d’autre part été synthétisé en 1938 par le chimiste suisse Albert Hoffman, qui a accidentellement découvert son effet psychoactif en 1943.


lundi 13 novembre 2023

Voici 7 habitudes à prendre pour réduire le risque de dépression !

 par Alexane Flament,    le 07/11/2023 

D’après les observations de chercheurs britanniques et chinois, adopter de bonnes habitudes permettrait de réduire les risques de dépression. Alimentation, activité physique, liens sociaux, on vous dit les 7 changements à apporter à votre mode de vie pour prendre soin de votre santé mentale !

Près d’un adulte sur 20 est touché par la dépression dans le monde. Une maladie mentale qui se manifeste par une certaine apathie ainsi que des troubles de l’humeur, de l’appétit et du sommeil. “La dépression est l’une des principales causes d’handicap dans le monde et contribue grandement à la charge mondiale de morbidité”, souligne l’OMS. 

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Marre de perdre vos cheveux ? Cette vidéo de l’Inserm va vous surprendre !

Par INSERM (Salle de presse)    Le 03 Oct 2018 

CANAL DÉTOX

Marre de perdre vos cheveux ? Pourtant la solution à la calvitie existe








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La « malbouffe » une cause de dépression, vraiment ?

 Par INSERM (Salle de presse)   Le 08 Nov 2023

CANAL DÉTOX

aliments ultra-transformés

Aliments ultra-transformés © Photo de No Revisions sur Unsplash

La « malbouffe » augmenterait le risque de dépression. Mais au-delà des raccourcis médiatiques, que montrent précisément ces travaux scientifiques et quelles sont les implications en matière de santé publique ? Plus généralement, que sait-on aujourd’hui des associations entre alimentation et santé mentale ? Canal Détox revient sur ce sujet aussi complexe que passionnant.

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Quelle attitude adopter face à un patient qui consulte pour une fatigue chronique ?

Stéphanie Lavaud   10 novembre 2023

Il importe avant tout d’appliquer la règle du ni « stress » ni « psy », qui peut faire penser que le patient invente ses symptômes ou que vous n’y croyez pas et éviter à tout prix les « vous n’avez rien », « c’est dans la tête », « arrêter d’y penser et tout ira bien », totalement contre-productifs, indique la spécialiste de médecine interne. Mais, au contraire, déculpabiliser en expliquant que « la production de symptômes est non modifiable par la conscience (mécanisme involontaire) mais peut disparaitre lorsque les facteurs d’entretien sont éliminés ».

"La production de symptômes est non modifiable par la conscience (mécanisme involontaire) mais peut disparaitre lorsque les facteurs d’entretien sont éliminés"

Que préconiser aux patients ?

La prise en charge du patient passe par donner des conseils généraux d’hygiène de vie (voir encadré) et encourager le patient à briser les cercles vicieux de pérennisation. Cela suppose de proscrire le repos prolongé, de lui dire d’arrêter les recherches sur Internet, de lutter contre le nomadisme médical, et de l’inciter à se ré-adapter à l’effort avec activité physique très progressive mais régulière, si possible supervisée et en groupe. En cas de réticence/peur du patient, l’oratrice préconise la kinésithérapie motrice, de passer par un centre de réadaptation ou de pratiquer de l’activité physique adaptée (APA).

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Suppression de l’AME : 3 500 médecins menacent de désobéir si l’aide médicale d’Etat disparaît

Le Monde avec AFP   Publié le 11 novembre 2023

Ces professionnels de santé s’engagent à « continuer de soigner gratuitement » les malades sans papiers si le dispositif devait disparaître, comme le souhaite une partie de la classe politique.

Au centre hospitalier de Béthune Beuvry, à Beuvry (Pas-de-Calais), en octobre 2020. 

« Moi, médecin, déclare que je continuerai à soigner gratuitement les patients sans papiers selon leurs besoins, conformément au Serment d’Hippocrate que j’ai prononcé. » Voici la « déclaration de désobéissance » signée par 3 500 médecins salariés et libéraux, opposés à la suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) aux sans-papiers, dans un appel transmis samedi 11 novembre à l’Agence France-Presse (AFP). Ces professionnels de santé s’engagent à « désobéir » et à « continuer de soigner gratuitement » ces malades si le dispositif devait disparaître, comme le souhaite une partie de la classe politique.