Objectif de deux enquêtes sanitaires publiées mardi : « mieux prévenir et soigner les conséquences négatives de tels événements ».
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Trois ans après les attentats du 13 novembre 2015 qui ont causé la mort de 130 personnes à Paris et à Saint-Denis et fait plus de 400 blessés, deux études menées par Santé publique France (SPF) et l’université Paris-XIII révèlent pour la première fois l’ampleur des impacts psychologiques et des « troubles de santé post-traumatiques » causés par ces événements. Objectif de ces enquêtes publiées mardi 13 novembre : « Mieux prévenir et soigner les conséquences négatives de tels événements » et « aider les institutions amenées à intervenir après un attentat à améliorer la prise en charge et la préparation de leur personnel ».