Assistants sexuels : le conseil général de l’Essonne demande la poursuite du débat
Dans un communiqué commun, l’Association des paralysés de France (APF) et le Conseil général de l’Essonne demande aux autorités « de ne pas fermer le débat sur l’assistance sexuelle pour les personnes en position de handicap ».
Malgré l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), le Conseil général de l’Essonne et l’APF« continueront ensemble à rechercher des solutions à expérimenter pour proposer une réponse réellement adaptée aux souhaits des personnes en situation de handicap, au-delà du seul cadre médico-social ou sanitaire préconisé » par l’avis.
D’ores et déjà, le schéma départemental en faveur des personnes handicapées de l’Essonne qui devrait être adopté le 25 mars prochain, prévoit une fiche-action intitulée « Promouvoir les réflexions et les actions en faveur de la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap », notamment sur le statut de l’assistant sexuel.