Publié le 09/04/2013
Les médicaments antidépresseurs constituent l’approche classique contre la dépression, malgré leurs limitations (effets secondaires, refus de leur prise par certains patients, rechutes après leur arrêt). Les traitements psychologiques pourraient donc offrir une alternative viable, notamment dans les pays non occidentaux où l’utilisation d’antidépresseurs s’avère encore plus fréquente, en raison de la disponibilité limitée des psychothérapies. Cela justifie l’intérêt de traitements psychologiques, simples mais efficaces.
Compte tenu de son efficacité et son protocole relativement simple, l’activation comportementale (behavioural activation) [1] représente une telle piste. Il s’agit d’une thérapie contre la dépression, axée sur la « planification d’activités à encourager » chez les patients (alors qu’ils les évitent) et sur « l’analyse de la fonction des processus cognitifs » (par exemple, la rumination) sous-tendant des processus d’évitement. |
18/04/2013
Le constat ne tombe pas sous le sens. Une activité professionnelle exigeante sur le plan physique exposerait à un risque cardio-vasculaire plus élevé, selon deux études présentées au congrès de l’EuroPrevent 2013. Si une activité physique régulière est recommandée pour la santé, les effets ne s’avèrent pas identiques selon qu’elle est pratiquée un cadre professionnel ou de loisir.