blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 2 mars 2018

Une infirmière d'Ehpad est condamnée en première instance pour défaut de soins et brutalité

Le tribunal de grande instance (TGI) de Belfort (Territoire de Belfort) a condamné une infirmière, le 21 février, à six mois de prison ferme pour violences sur personnes vulnérables, avec interdiction définitive d'exercer une fonction médicale ou paramédicale. Les faits qui lui sont reprochés, défaut de soins et brutalité, se seraient déroulés à l'Ehpad Saint-Joseph de Giromagny, au sein duquel elle a travaillé de 2011 à 2015. La prévenue n'était pas présente à l'audience et n'était pas représentée par un avocat. Aussitôt après la décision du tribunal, elle s'est rapprochée d'un conseil, Me Loïc Duchanoy, qui a interjeté appel. La décision n'est donc pas définitive.

Neuf résidents auraient été victimes d'actes de maltraitance. L'infirmière travaillait la nuit "et était seule en poste", indique Me Jérôme Roy, avocat d'une des parties civiles. "Un certain nombre de ses collègues, aides-soignantes ou infirmières de jour, ont signalé des problèmes à la direction", ajoute-t-il. Les professionnels de l'Ehpad ont notamment remonté un refus de donner des médicaments — certains ont d'ailleurs été retrouvés dans le casier de la prévenue après son départ —, la coupure des sonnettes la nuit ou encore la délivrance de médicaments sans avis médical.

«Il faut autoriser le suicide assisté et l’euthanasie»

— 




Le Manifeste pour une loi autorisant l’aide active à mourir en France revient sur l’impuissance du corps médical et les promesses électorales non tenues.

Nous avons presque tous été témoins, directs ou indirects, de situations de fin de vie accompagnées de conditions trop souvent insupportables, voire de souffrances qui n’ont pas été suffisamment soulagées, malgré les moyens dont dispose le corps médical. Nous avons tous ressenti ce jour-là des sentiments d’impuissance, de colère et d’incompréhension devant les limites des médecins, lesquels, dans le meilleur des cas, ne pouvaient proposer que ce qu’autorise la loi actuelle, soit une sédation profonde et continue et l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation, jusqu’à ce que la mort survienne.

La maison rouge : BLACK DOLLS LA COLLECTION DEBORAH NEFF & CEIJA STOJKA (1933-2013) UNE ARTISTE ROM DANS LE SIÈCLE


la maison rouge

BLACK DOLLS 

LA COLLECTION DEBORAH NEFF 
du 23 février au 20 mai 2018

Résultat de recherche d'images pour "black dolls la maison rouge"Résultat de recherche d'images pour "black dolls la maison rouge"

Résultat de recherche d'images pour "black dolls la maison rouge"

Résultat de recherche d'images pour "black dolls la maison rouge"

présentation

« Black Dolls » montre pour la première fois hors des États-Unis la collection Deborah Neff, un ensemble exceptionnel de près de 200 poupées noires créées par des Afro-Américain.e.s anonymes dans les années 1840-1940. Cette collection non seulement révèle des poupées en tissu, bois ou cuir dont la beauté et la diversité sont extraordinaires, mais elle raconte aussi une histoire culturelle, politique et intime inédite des hommes et des femmes noires américaines, de la maternité et de l’enfance.


CEIJA STOJKA (1933-2013)
UNE ARTISTE ROM DANS LE SIÈCLE
du 23 février au 20 mai 2018

Résultat de recherche d'images pour "CEIJA STOJKA (1933-2013) UNE ARTISTE ROM DANS LE SIÈCLE la maison rouge"Résultat de recherche d'images pour "CEIJA STOJKA (1933-2013) UNE ARTISTE ROM DANS LE SIÈCLE la maison rouge"

Résultat de recherche d'images pour "CEIJA STOJKA (1933-2013) UNE ARTISTE ROM DANS LE SIÈCLE la maison rouge"Résultat de recherche d'images pour "CEIJA STOJKA (1933-2013) UNE ARTISTE ROM DANS LE SIÈCLE la maison rouge"

présentation
Ceija Stojka est née en Autriche en 1933, cinquième d'une fratrie de six enfants dans une famille de marchands de chevaux rom d'Europe Centrale, issue des Lovara. Déportée à l'âge de dix ans, parce que Rom, avec sa mère Sidonie et d'autres membres de sa famille, elle survit à trois camps de concentration, Auschwitz-Birkenau, Ravensbrück et Bergen-Belsen.

C'est seulement quarante ans plus tard, en 1988, à l’âge de cinquante-cinq ans, qu'elle ressent le besoin et la nécessité d'en parler ; elle se lance dans un fantastique travail de mémoire et, bien que considérée comme analphabète, écrit plusieurs ouvrages poignants, dans un style poétique et très personnel, qui font d'elle la première femme rom rescapée des camps de la mort à témoigner de son expérience concentrationnaire contre l'oubli et le déni, contre le racisme ambiant.