Samedi 2 décembre 2023 - Maison de la Chimie, Paris
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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
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par Frédérique Roussel publié le 23 août 2023
Marielle Macé, directrice de recherches au CNRS, enseigne la littérature à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Elle s’empare du sujet de la respiration pour parler de nos asphyxies et de notre besoin d’air.
«Ce livre vient de loin», c’est la première phrase de Respire (1). Vous y pensiez depuis longtemps ?
J’ai comme tout le monde une expérience de la respiration depuis toujours. Mais il y a des intensités dans cette expérience qui tiennent à une histoire personnelle, à une histoire sociale, à des lieux traversés, à des métiers et des pathologies qui me sont familières. C’est un livre qui aura supposé un long trajet, à la fois un trajet de vie et un trajet de pensée.
La pandémie a-t-elle été un déclencheur ?
Absolument. Pour le coup, c’est devenu une expérience partagée, celle de la peur à la fois de l’air qu’on prend et de l’air qu’on lâche vers les autres. On s’est tous mis à penser à notre respiration qui devenait un peu moins naturelle qu’à l’ordinaire. Elle a fait sentir au-dedans la toxicité du monde dont on devrait être convaincu depuis longtemps. Elle a coïncidé avec la conscience d’une sorte de racisme atmosphérique avec le meurtre de George Floyd pratiquement au même moment, ce qui a aussi donné d’emblée une signification politique à l’asphyxie. Il y avait toutes sortes d’impulsions dans l’actualité mondiale pour comprendre que la respiration était un point vif dans notre expérience contemporaine.
Vendredi 25 août 2023
Provenant du podcast
Le "vrai" métier des philosophes
Pour Barbara Cassin, la question de la langue est celle même de l’humanité. Elle s’étonne toujours qu’Aristote considère comme une "plante" celui qui refuse le principe de non-contradiction, ou celui pour qui dire "bonjour" peut aussi signifier "allez au diable". Tout son travail de philologue, de traductrice et de philosophe repose sur le refus de la "violence", selon ses termes, de la position d’Aristote.
Publié
Une étude de la DREES révèle que près de la moitié des infirmières jette l'éponge après dix ans de carrière à l'hôpital, en raison des faibles salaires, des conditions d'exercice et des volumes de travail.
Près d'une infirmière sur deux a quitté l'hôpital ou changé de métier au bout de dix ans de carrière, c'est la conclusion d'une étude de la DREES(direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques, le service statistique du ministère de la Santé) parue jeudi 24 août que franceinfo a pu consulter.
Selon la DREES, sur une période d’observation de 30 ans, entre 1989 et 2019, seules "54 % des infirmières hospitalières le sont toujours après dix années de carrière". À noter que "cette part est plus faible pour celles qui ont commencé à exercer à la fin des années 2000 (50 %) que pour leurs aînées entrées dans la profession au début des années 1990 (60 %)".
Selon l'étude de la DREES, les infirmiers et infirmières "tenaient" plus longtemps à l'hôpital dans les années 1990, les abandons s'accélèrent donc depuis les années 2000. Une partie de ces soignants partent exercer en libéral, en Ehpad, certains restent à l'hôpital mais s'occupent d'administratif par exemple, et les autres changent complètement de métier. Beaucoup d'infirmières jettent l'éponge, en raison des faibles salaires, des volumes de travail et des conditions d'exercice de la profession.
Publié le 23/08/2023
Dans certains services du bâtiment principal de l'hôpital de Brive, les patients doivent composer avec des températures qui dépassent les 30° depuis le début de la semaine. © Stéphanie Para
Au centre hospitalier de Brive, en Corrèze, la colère monte dans les étages du bâtiment central en même temps que le mercure grimpe dans les services. Ce mercredi 23 août, alors que la Corrèze est toujours placée en alerte orange canicule et que le pire est annoncé pour jeudi, le syndicat FO, majoritaire au sein de l'établissement, tire une "nouvelle fois" la sonnette d'alarme sur des conditions jugées "intenables" pour les patients et pour les soignants.
Publié le
La nouvelle maquette de formation du diplôme d’études spécialisées de médecine générale a été publiée au Journal Officiel du 9 août 2023. La santé mentale fait partie des thématiques prioritaires pour le stage libre introduit dans la phase d’approfondissement, souligne un communiqué du ministère de la Santé.
La médecine générale était la seule spécialité médicale à n’avoir que trois années de formation en troisième cycle de médecine, sans phase de consolidation, ni d’accès au statut de docteur junior. Cet allongement de la formation vise à rénover et compléter la formation des futurs médecins généralistes, à accompagner les jeunes professionnels dans leur futur exercice et faciliter leur installation dès la fin du cursus de formation.
Par Pierre Ropert Publié le
Le syndrome de Stockholm a 50 ans. Imaginé en août 1973, après une prise d'otages ayant duré six jours en Suède, ce diagnostic, construit par un psychiatre à propos d'une otage jamais rencontrée, aurait surtout eu pour effet de disqualifier son discours critique à l'encontre de la police.
Par Abel Mestre Publié le 24 aout 2023
Dans des établissements souvent surpeuplés et inadaptés, les fortes chaleurs sont particulièrement difficiles à supporter, pour les détenus comme pour les surveillants.
Ce sont des endroits où la température ressentie est invivable. En prison, les effets de la canicule tardive que connaît une partie de la France sont démultipliés. Dans une situation de surpopulation carcérale endémique, l’ambiance étouffante ne fait qu’empirer le quotidien des détenus et des surveillants. Il faut ajouter à cela l’obsolescence de certains bâtiments : même si un plan de construction de 18 000 nouvelles places de prison est en cours ainsi qu’un plan de rénovation, beaucoup d’établissements sont vétustes, et n’ont pas été pensés pour de fortes chaleurs. Les cours de promenade sont minérales, pratiquement sans ombre ; dans les cellules, les fenêtres sont obstruées par des caillebotis et il est quasi impossible de faire des courants d’air. Dans les coursives, l’atmosphère est tout aussi irrespirable.
Publié le 22 août 2023
Vue aérienne de l'incendie de forêt menaçant la région de Yellowknife le 17 août.
PHOTO : FEUX DE FORÊT T.N.-O.
Un centre d'aide aux personnes en détresse de Calgary indique qu'il reçoit un nombre beaucoup plus élevé d'appels à mesure que les personnes fuyant des incendies de forêt aux Territoires du Nord-Ouest arrivent dans la ville.
Le directeur des services cliniques du Distress Centre Calgary, David Kirby, explique que de nombreuses personnes évacuées s'inquiètent de leur avenir.
Jessica Pacunayen a récemment fait ses valises et quitté son domicile alors que les feux de forêt font rage dans les Territoires du Nord-Ouest.
Cette habitante de Yellowknife raconte que la semaine dernière a été pour elle une véritable avalanche de stress. Entre le fait de ne pas savoir s'il fallait évacuer les lieux, celui de partir rapidement et de faire 18 heures de route jusqu'à Calgary et celui de se retrouver dans un endroit auquel elle n'est pas habituée pour une durée non déterminée, Jessica dit qu'elle assimile encore tout ce qu'elle a traversé.
C'est beaucoup. C'est accablant et, selon notre réaction au stress, cela peut parfois nous paralyser.
23 août 2023
Dépression, TDAH, traumatisme, psychothérapie : des termes qui semblent aujourd'hui familiers, car la santé mentale est de moins en moins taboue en France et la prévention progresse rapidement. Mais la route est encore longue...
Stress, dépression, TDAH, phobie, bipolarité, dyslexie, démence, autisme, trauma, anorexie, Alzheimer… Aujourd’hui, on connait presque tous ces termes.
On en entend régulièrement parler et de nombreuses personnes médiatisées n’hésitent pas à annoncer qu’elles ont souffert de « pensées suicidaires » et qu’elles ont dû être hospitalisées pour s’en sortir. Il s’agit là de prévention dite « primaire » en santé mentale, selon le pédopsychiatre, épidémiologiste et professeur en santé publique Bruno Falissard. « Les troubles “psy” sont bien moins stigmatisés depuis une trentaine d’années. » « L’arrivée des réseaux sociaux a largement contribué à une plus grande diffusion de l’information concernant la santé mentale », ajoute Caroline Delannoy, neuropsychologue et psychologue clinicienne à Paris.
En effet, la prévention en santé mentale se développe depuis le début du XXIe siècle en France, avec du retard, certes, par rapport à d’autres pays, comme le Canada. Mais les premiers résultats sont bien là « et se voient déjà, même si encore peu d’études scientifiques les ont évalués, tant du recul et de grands groupes de participants sont nécessaires pour ce genre d’analyses », commente Bruno Falissard.
PUBLIÉ LE 22/08/2023
Christine Paillard, documentaliste et lexicographe en sciences infirmières, propose d'analyser un concept et son application dans le champ infirmier, à partir de son Dictionnaire des concepts en soins infirmiers, utile pour les Analyses de pratiques professionnelles et pour le Mémoire de fin d’études et l’exercice de la profession soignante.
La politesse peut revêtir de multiples formes : condescendante, bienveillante, intelligente, stratégique, invisible, pudique, respectueuse, soupçonneuse, instrumentalisée, laconique, mécanique, lâche, surannée… Christine Paillard nous rappelle que la politesse repose sur un entendement entre les individus dans un contexte soignant/soigné. Le soignant adopte alors un positionnement stratégique sans réduire son intervention à un protocole élémentaire mais en reconnaissance de la singularité du public et de sa culture pour faciliter une approche sociale soignante.
Être poli suppose que l’on dispose de certaines qualités morales et qu’on les exerce. La politesse excède la simple civilité parce qu’elle est bien plus qu’un accommodement prescrit par la vie sociale
La politesse peut être un ensemble de règles sociales favorisant les interactions des uns et des autres. Elle intervient dans des réseaux, des cercles, des classes qui intègrent des codes spécifiques visant à se distinguer en mettant à profit des pratiques linguistiques référentielles. La politesse relève du champ sociologique et s'intéresse à la transmission de la pensée, de la culture, de l’éducation. Pour Pierre Bourdieu 1,les stratégies linguistiques des différents agents dépendent étroitement de leur position dans la structure de la distribution du capital linguistique dont on sait que, par l’intermédiaire de la structure des chances d’accès au système scolaire, elle dépend de la structure des rapports de classe
.
Le mot "politesse" vient du latin "politus", lui-même issu du verbe "polire" signifiant, au sens propre, l’action de polir et, au sens figuré, celle d’orner avec élégance.
Attendue ou surprenante, volontaire ou subie, la politesse est aussi un acte individuel qui permet de construire une relation bienséante d'une manière brève ou durable, politique, sociale, familiale... Elle n’attend rien ou exige tout. La politesse interroge la sensibilité de l’autre, elle peut être condescendante, bienveillante, intelligente, stratégique, invisible. Pudique, elle délimite les rapports avec une juste distance qui préserve son intimité, son identité. Respectueuse de soi, des autres, la politesse est plus ou moins bien vécue, selon les âges, les cultures, les opinions. La politesse peut être soupçonneuse, instrumentalisée, laconique, mécanique. L’unique réflexe viable de remercier annule la louange en induisant qu’elle est pure politesse
2. Elle est à double tranchant, hypocrite, fausse, incendiaire.Ca le dérange pas de me sourire alors qu’il ne perd jamais une occasion de me descendre ? Non, cela ne le dérange pas, ça s'appelle la politesse. Ah non, pas d’accord...
3 Forcée, contrainte, absurde, maladroite, théâtrale ou différée.Nous nous saluons avec une politesse outrée d’où suinte un passif que chacun taira afin de ne rien compromettre
4. Lâche, surannée, la politesse peut être encore une vertu courageuse face à une injure. Bien le prendre est poli ou lâche, mal le prendre est impoli ou brave
5.
De nature universelle (le Bonjour” et au revoir
par exemple), la politesse est un indicateur marquant dès l’enfance. Obligée, exagérée, ordonnée, l’éducation façonne des règles du savoir-vivre
, elle renforce les mécanismes de défense masquant des tensions sous-jacentes entre ce qui semble juste ou injuste. Le mot politesse
vient du latin politus, lui-même issu du verbe polire signifiant, au sens propre, l’action de polir et, au sens figuré, celle d’orner avec élégance. Après un passage par l’italien pulitezza (désignant l’élégance et le soin), politus finit par donner le français politesse
, attesté dès le XVIe siècle, mais dont le sens actuel date du XVIIe siècle 6.
En 1892, le philosophe Henri Bergson 7 distingue trois formes de politesse. La politesse des manières
n’est qu’une simple application des codes et des règles et n’a pas grand-chose à voir avec la civilisation : Les gens les plus civils ne sont pas toujours les plus civilisés.
La politesse de l’esprit
est un talent : celui de savoir valoriser ses interlocuteurs et leur accorder l’exacte qualité d’attention qu’ils attendent de vous. Mais la seule qui mérite la qualité de vertu, c’est la politesse du cœur
qu’il décrit comme la charité s’exerçant dans la région des amours-propres
.
par Yoanna Herrera publié le 22 août 2023
Comme un air de déjà-vu. Rassemblements et autres festivals, gestes barrières oubliés et tests PCR non remboursés ont favorisé cet été les infections au coronavirus, désormais devenu endémique depuis décembre 2022. Malgré cette recrudescence, le scénario pandémique de l’année 2020 reste encore loin. «La circulation est faible, les impacts sur les hospitalisations sont faibles, la posture des autorités sanitaires est une posture de vigilance», avait rassuré la Direction générale de la Santé lors d’un point presse il y a deux semaines. La présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (Covars), Brigitte Autran, revient pour Libération sur la situation sanitaire en France.
Alors que Covid-19 connaît un regain dans plusieurs pays, l’Organisation mondiale de la santé et les Etats-Unis ont annoncé vendredi surveiller attentivement un nouveau variant : BA 2.86. Est-il présent en France ? Quelles sont les caractéristiques ?
Le sous-variant BA 2.86 appartient à la dynastie omicron. Il a été détecté au Danemark, en Israël et aux Etats-Unis, mais il n’est pas encore présent en France. Il fait l’objet d’une plus grande vigilance notamment parce qu’il présente un plus grand nombre de mutations que les autres sous-variants de cette famille. Ces mutations le rendent susceptible d’évoluer de façon plus importante et par conséquent, de se répandre plus facilement.
Mardi 22 août 2023
Marina Mogilko, une youtubeuse américaine, a partagé sur un réseau social le récit, très court, de son accouchement, et la fin va vous étonner. Elle vit dans la Sillicon Valley et attend son deuxième bébé. Elle est proche du terme quand elle sent des contractions.
Elle attend quelques heures, histoire d’être absolument sûre, et quand elle comprend que, oui, le travail a bel et bien commencé, la voilà qui, avec son mari, saute dans une voiture pour gagner la maternité où il est prévu qu’elle accouche.
[...]
Deux semaines plus tard, elle reçoit la note de la maternité… Alors, à votre avis ? Ça coûte combien d’accoucher dans une maternité américaine lambda, sans complication ni pour elle ni pour le bébé, et donc sans d’autres soins particuliers ou onéreux que ceux, très basiques, qui entourent un accouchement naturel par voie basse ?
Dites un prix ? 4000, 6000,7000… dollars ?
Eh bien on est loin du compte ! Elle doit s’acquitter d’une facture, normale, au sens de standard, de 36 000 dollars. Oui. 36 000 dollars. Pour un accouchement. Ce que font les femmes depuis la nuit des temps, partout, dans le monde entier. 36 000 dollars, c’est 36 000 cafés à Lisbonne, 36 000 repas complets en Inde, 36 000 heures de parking à Los Angeles.
Par Xavier Ess 05 déc. 2022
A l’heure où Bruxelles célèbre l’Art Brut avec la quadruple expo Photo Brut (voir le super article de Pascal Goffaux), on découvre un outsider fulgurant : Francis Goidts, un gamin de dix ans qui, dans les années 1960, dessine furieusement sur un coin de table de la cuisine familiale. Sous le titre Fictions d’Artistes – Dessins d’Enfant de Francis Goidts, les dessins du jeune namurois, rehaussés de courtes fictions, sort aux Editions La Muette.
PORTUGAL
La loi met fin à la prolongation automatique du traitement hospitalier.
La nouvelle loi sur la santé mentale – qui met fin à la prolongation automatique de l’hospitalisation des personnes « irréputables » (personnes jugées non responsables de leurs actes) et autorise les traitements involontaires – est entrée en vigueur ce dimanche et devrait voir la libération de 46 personnes, à condition les tribunaux sont d’accord.
La loi a été promulguée le 10 juillet par le président Marcelo, qui a néanmoins souligné qu’elle « manquait de densification de certains concepts et figures juridiques », écrit Lusa.
La nouvelle législation vise à changer le paradigme de l’approche des personnes ayant besoin de soins de santé mentale et définit que, après avoir purgé la peine pour un crime pour lequel ils ont été condamnés, l’inapte à plaider doit être libéré.
Dans le domaine de la santé, selon le gouvernement, « l’hospitalisation obligatoire cède la place à un traitement involontaire de préférence sur un ambulatoire et qu’exceptionnellement par hospitalisation ».
L'unité Secteur 3 du GHU Paris Psychiatrie Neurosciences accueille des patients en phase aiguë ou en voie de stabilisation. Pour la moitié d'entre eux sous contrainte. Elle nous a ouvert ses portes pendant 24 heures. Découvrez l'intégralité de notre reportage.
par Virginie Ballet publié le 21 août 2023
A l’occasion des 50 ans de Libération, rencontre avec des contemporaines nées, elles aussi, en 1973.
Elle en parle comme d’une «absence». Un «grand vide» en elle. Qui sans doute parfois dévore, hante, entrave. Mais dans cette ruelle sans âme du XVIe arrondissement de Paris, où elle esquisse avec une grâce solaire quelques pas pour la séance photo, port altier et allure décidée, c’est autre chose qui saisit. Le souffle de vie, puissant, qui semble l’animer, chassant comme il le peut la douleur, les fantômes, la tentation de sombrer. Coûte que coûte, avancer. «Globalement, je vais bien, même si ça dépend des moments. Ça m’est peu arrivé, mais là je me fais aider», expose Eglantine Eméyé. En février, Samy, son fils cadet, autiste, polyhandicapé et atteint d’épilepsie, est mort, à seulement 17 ans, à la suite d’un accident vasculaire. Des troubles de son «drôle de petit bonhomme un peu flagada» et de leurs difficultés, communs à tant de familles, l’animatrice télé et comédienne avait fait sa bataille, à travers l’association «Un pas vers la vie» qu’elle a fondée en 2008.
LUNDI 28 AOÛT À 20H À L'ARLEQUIN
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Par Erik Dagonnier avec Caroline Adam
21 août 2023 à
BELGIQUE
Soupçon d'erreur médicale, médecin injoignable, facture contestée, personnel soignant critiqué... Dans un hôpital, le patient se plaint régulièrement, à tort ou à raison. Et il a des droits. Notamment, celui d'avoir recours à un médiateur médical. Son rôle: régler les conflits entre patients et personnel soignant en toute indépendance, même si sa fonction est financée par l'hôpital.
Ce service est souvent méconnu du grand public. Dans plusieurs services de l'hôpital de la Citadelle, chaque chambre affiche désormais le numéro du médiateur médical.