blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 26 octobre 2021

Combien y a-t-il de pauvres en France ?

LE 26/10/2021

À retrouver dans l'émission

LE POURQUOI DU COMMENT : ÉCONOMIE & SOCIAL

par Florence Jany-Catrice

Tenir un point de vue sur la pauvreté et sur son évolution commence souvent par fournir des chiffres. On dira, selon les dernières statistiques disponibles qu’il y a 9,3 millions de personnes pauvres en France.

Une vieille dame tenant son porte-monnaie ouvert sur ses genoux
Une vieille dame tenant son porte-monnaie ouvert sur ses genoux Crédits :  Andrew Bret Wallis - Getty

Comment la statistique publique s’y prend-elle pour comptabiliser le nombre de personnes pauvres ? L’Insee part d’une notion de "niveau de vie" d’un ménage qui tient compte non seulement du revenu de ce ménage, mais aussi de sa composition. Le niveau de vie médian est en France de 1440 euros mensuels en 2018 pour une personne seule (malheureusement dernière date où les données définitives sont disponibles). Cela signifie que la moitié des Français avait un niveau de vie inférieur à 1440 euros par mois. 

L’Insee retient ensuite, par convention, comme partout dans l’Union européenne, 60% de ce niveau de vie médian - on est alors à 1063 euros -, et il dénombre les personnes ayant un niveau de vie sous ce seuil de 1063 euros. Les 9,3 millions auxquels on aboutit représentent 14,8% de l’ensemble de la population. Selon l’Insee d’ailleurs, ce taux de pauvreté monétaire est à son niveau le plus élevé depuis 20 ans en France.

D’autres mesures sont utilisées

L’une d’elles est ce qu’on appelle la pauvreté institutionnelle. Elle consiste à compter le nombre de bénéficiaires des minima sociaux (RSA, minimum vieillesse, AAH, ASS etc). La Direction de la recherche et des statistiques en santé et en social, la Drees, dénombre 4,2 millions d’allocataires de minima sociaux à comparer, donc, aux 9,3 millions de personnes pauvres… Compter les pauvres par ces données "administratives" fournit donc à la fois une image partielle de l’état de la société, mais aussi un reflet des moyens de lutte contre la pauvreté mis en œuvre par l’action publique. 

Lire la suite et écouter le podcast ...


L’hypersensibilité, une notion en vogue ?

LE 27/10/2021

À retrouver dans l'émission

LA QUESTION DU JOUR

par Guillaume Erner

HSP, trois lettres pour « highly sensitive persons », qui désignent autrement dit celles et ceux que l’on qualifie désormais d’hypersensibles. L'hypersensibilité fait l'objet de nombreux articles et livres depuis quelques temps. Que recouvre précisément cette notion ?

/
/ Crédits :  Alessandro De Leo / EyeEm - Getty

« Êtes-vous hypersensible ? », « Faire de son hypersensibilité un atout », « L’émotion augmentée, la force insoupçonnée des hypersensibles », « Vivre avec l’hypersensibilité »… Articles et livres consacrés à l’hypersensibilité font florès. Depuis 2019, l’hypersensibilité a même sa journée nationale, le 13 janvier de chaque année.

Mais quelle réalité recouvre cette notion ? L’hypersensibilité est-elle caractérisée, scientifiquement documentée ? 

Guillaume Erner reçoit Antoine Pelissolo, psychiatre, chef de service au CHU Henri-Mondor de Créteil, notamment co-auteur avec Célie Massini du livre Les émotions du dérèglement climatique, ed. Flammarion.

Lire la suite ...


Psychiaclic.fr

 Aide diagnostique et thérapeutique en psychiatrie destinée à l’accompagnement de la prise de décision des médecins généralistes pendant la consultation.

Lire la suite ...


Note du blogueur : Pour le fun, amusez-vous à taper l'occurence "psychanalyse" dans la fenêtre de recherche de la plateforme ... réponse "Aucun résultat". 


Exposition «L’énigme autodidacte», apprendre au dépourvu

par Clémentine Mercier  publié le 28 octobre 

Pâtissier, facteur, plombier, SDF… Dans une exposition passionnante, le musée d’Art moderne et contemporain de Saint-Etienne tisse des liens inattendus entre 44 artistes qui ont en commun d’avoir appris tout seuls.

Imaginez 1 000 mètres carrés avec des artistes qui font saliver : Yves Klein, Gianni Motti, Maurizio Cattelan, Christian Boltanski, Sophie Calle… acoquinés soudain avec d’autres, tout aussi stimulants, mais que l’on a plus l’habitude de voir dans des expositions d’art brut : Jeanne Tripier, Judith Scott, Emma Kunz, Henry Darger ou Marcel Bascoulard. Mais que font-ils tous ensemble dans ce grand bateau qu’est le musée d’Art moderne et Contemporain de Saint-Etienne ? Ce sont des autodidactes, nous apprend la belle exposition «l’Enigme autodidacte», qui s’intéresse à l’inclusivité dans l’art d’après-guerre. Comment se met-on à faire de l’art quand on n’y a pas été formé ?

lundi 25 octobre 2021

Numéro national de prévention du suicide : «Est-ce que vous avez des idées noires ?»

par Marlène Thomas et photos Claude Pauquet  publié le 23 octobre 2021

Mis en service le 1er octobre, le 3114, joignable jour et nuit, se distingue des lignes d’écoute par sa logique d’orientation et d’intervention. «Libération» a suivi deux répondantes de l’unité Poitou-Charentes.

Il est midi. Casque audio vissé sur le crâne, Lisa (1) brise le calme qui règne depuis le début de la matinée autour des deux bureaux.«Bonjour Nathalie (1), c’est Lisa, du 3114. Comment vous allez aujourd’hui ?» Affublée d’une blouse blanche, la psychologue de 24 ans est l’une des répondantes du numéro national de prévention du suicide, mis en service le 1er octobre. Soigneusement pesés, ses mots dessinent la situation d’isolement de cette octogénaire : des douleurs physiques causant des maux psychiques et une dépendance affective dans son couple. Une dizaine de minutes plus tard, Lisa questionne celle qu’elle a déjà eue à plusieurs reprises au téléphone : «Est-ce que vous avez des idées noires, Nathalie ?» Silence.

Contraception féminine : l’Assemblée entérine la gratuité jusqu’à 25 ans

par LIBERATION et AFP  publié le 23 octobre 2021

Les députés ont voté à l’unanimité l’extension du remboursement de la contraception pour les femmes âgées de 18 à 25 ans, dès le 1er janvier prochain. Les mineurs sont déjà concernées par ce dispositif.

La cinquième vague a-t-elle déjà commencé ?

Paris, le mardi 12 octobre 2021 – Tous les indicateurs semblent au vert et beaucoup de nos concitoyens pensent l’épidémie derrière eux. Pourtant certains signes commencent à alerter spécialistes et politiques.

Rebond d’incidence dans certains départements et mauvais signaux des eaux usées

La semaine passée, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, avait averti à l’occasion d’une conférence de presse donnée à l’issue du conseil de défense : "Dans près d'une trentaine de départements, l'épidémie ne recule plus, voire repart très légèrement à la hausse". La situation interpelle particulièrement le gouvernement dans plusieurs départements de la région Pays de la Loire et dans l’Aude. Par exemple, en Mayenne le taux d’incidence est remonté au-dessus des 50 cas pour 100 000 habitants en passant à 56 cas…et les cas augmentent en particulier chez les plus de 65 ans, population la plus susceptible d’être hospitalisée.


« Le changement climatique peut engendrer un stress pré-traumatique, par anticipation de la catastrophe »

Propos recueillis par   Publié le 23 octobre 2021

Canicules, inondations, tsunamis mais aussi pollution… Le psychiatre Antoine Pelissolo étudie l’impact du dérèglement de l’environnement sur la santé mentale et constate une forte progression de l’éco-anxiété chez ses patients.

Des manifestants de la « Marche du siècle pour le climat » à Lyon, en mars 2019.

Le professeur Antoine Pelissolo est chef de service de psychiatrie des hôpitaux Henri-Mondor et Albert-Chenevier (AP-HP, Créteil). Son dernier ouvrage, Les Emotions du dérèglement climatique(Flammarion, 220 pages, 19 euros), coécrit avec l’interne en psychiatrie Célie Massini, explore les effets directs et indirects du réchauffement climatique sur la santé mentale, et propose des solutions pour y faire face. Entretien avec un psychiatre inquiet mais optimiste.

Radiographie de la génération Z




LE 10/10/2021

À retrouver dans l'émission

SOFT POWER

par Frédéric Martel

Cette semaine, Soft Power s’intéresse à la génération Z. En compagnie de Frédéric Dabi (IFOP), d'Arnaud Cabanis (TikTok), de Nicolas Gastineau (Philosophie Magazine), d'Hugo Travers et de Stacy Algrain, l'émission fait le point sur ses préoccupations, sa culture...et son caractère composite.

Réputés “connectés”, “multiculturels”, désireux de “changer le monde” : quelle réalité, plus complexe qu'en apparence, derrière le terme de génération Z ?
Réputés “connectés”, “multiculturels”, désireux de “changer le monde” : quelle réalité, plus complexe qu'en apparence, derrière le terme de génération Z ? Crédits :  Getty

OK Boomer” contre jeunes “Zoomers”, Millennials pris entre le feu de leurs aînés et celui de la génération Z, qui les suit immédiatement : le débat public est envahi de ces nouveaux mots, venus le plus souvent des Etats-Unis, qui semblent repeindre les relations sociales en bras-de-fer entre les générations. Parmi-elles, celle qui fait l’objet de toutes les convoitises, que les études marketing comme la classe politique cherchent à cerner et à atteindre, c’est l’étoile montante de la pyramide des âges : la génération Z, celle des bébés nés entre 1997 et 2010, qui accèdent depuis 6 ans à la majorité civique. Mais qui veut la résumer en un seul slogan, fut-il “génération Covid” ou “digital natives”,risque d’omettre la variété d’expériences et la nature composite que ne peut pas manquer de porter une si large population. 

Lire la suite et écouter le podcast ...


2 NOVEMBRE JOURNEE MONDIALE POUR LE DROIT DE MOURIR DANS LA DIGNITE

 

 

Chers adhérents,

 

Comme chaque année, l’ADMD célébrera, le 2 novembre, la Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité.

 

Je vous donne donc rendez-vous pour la 14e édition de cette Journée mondiale :

 

Place de la République, à Paris (au pied de la statue)

Mardi 2 novembre 2021, à 17 heures

 

Ce rassemblement s’achèvera vers 17h45.


Lire la suite ...



Evreux : Alexandra Richard condamnée en appel à 10 ans de prison

Publié le 24/10/2021 

Jugée en appel devant la cour d'assises d'Evreux pour le meurtre de son conjoint violent, cette mère de famille de la région de Dieppe a été condamnée le 23 octobre 2021 à la même peine qu'en première instance aux assises de Seine-Maritime en 2020.

Evreux le samedi 23 octobre 2021 : les proches d'Alexandra Richard la regardent partir du tribunal où elle vient d'être condamnée à 10 ans de prison

Evreux le samedi 23 octobre 2021 : les proches d'Alexandra Richard la regardent partir du tribunal où elle vient d'être condamnée à 10 ans de prison • © Maïla Mendy / France Télévisions (image extraite d'une vidéo)

Une peine de dix ans de réclusion criminelle a été prononcée samedi soir (23 octobre 2021)  en appel aux assises de l'Eure à l'encontre d'Alexandra Richard, 43 ans, condamnée pour "meurtre sur conjoint" pour avoir tué son compagnon violent en 2016.

Cette mère de trois enfants avait été condamnée à la même peine en première instance en novembre 2020 à la cour d'assises de Seine-Maritime.

A Evreux, les jurés de la cour d'assises d'appel n'ont donc pas donc retenu la légitime défense. A l'énoncée du verdict, quelques pleurs dans les rangs de la famille d'Alexandra Richard ont été entendus dans la salle d'audience.  En montant dans le fourgon de la pénitentiaire, Alexandra Richard a lancé à ses enfants "bisous je vous aime".

Lire la suite ...


QR Code, la grande histoire du petit carré racontée par son inventeur




par Elise Viniacourt  publié le 23 octobre 2021

Longtemps perçue comme superficielle, la technologie est devenue indispensable depuis le début de la crise sanitaire. Avec son créateur, le Japonais Masahiro Hara, «Libération» raconte l’ascension de cette invention longtemps délaissée.

L’activité physique, c’est bon aussi pour notre cerveau

Publié le 20 octobre 2021

CHRONIQUE

Si bouger est bénéfique pour la santé, ça l’est également pour notre agilité intellectuelle : nos capacités cognitives et notre créativité en sont boostées.

Un participant de l’Ultra Trail du Mont-Blanc, près de Chamonix (Haute-Savoie), en septembre 2018.

Dix mille pas et plus. « A chaque fois, au bout de quinze ou vingt minutes de course, j’ai l’impression d’y voir plus clair dans ma tête », raconte cette collègue qui fait du jogging trois fois par semaine. Au fil de sa séance surviennent, par exemple, de nouvelles idées de sujets, l’attaque d’un article (son début) qui tardait à venir. Elle désamorce aussi des inquiétudes, en « trouvant dans [sa] tête qui court la bonne formule pour parler à quelqu’un, organiser quelque chose ». 

Fondue de course à pied – sport auquel elle a consacré un essai, Petit Eloge du running (éditions François Bourin, 2018) –, la jeune écrivaine Cécile Coulon a, elle, longuement décrit sur les ondes de France Culture comment sa pratique l’aide à construire l’histoire, les personnages, le suspense de ses livres. Au fil des foulées et de la concentration qu’elles imposent, « tout ce qui est inutile quitte la pensée », assure-t-elle. Et de résumer : « Intellectuellement, on s’affine en courant. »

Ce constat que tête et jambes vont de pair ne date pas d’hier. « Au moment où mes jambes commencent à bouger, mes pensées commencent à couler, comme si j’avais donné de l’air au ruisseau à l’extrémité inférieure et qu’en conséquence de nouvelles fontaines s’y déversaient à l’extrémité supérieure »,théorisait le philosophe Henry David Thoreau, au milieu du XIXe siècle. Son contemporain Friedrich Nietzsche, grand marcheur, est même allé jusqu’à prétendre que « seules les pensées qu’on a en marchant valent quelque chose ».

Amélioration des performances cognitives

Qu’en dit la science ? S’agissant de la pratique régulière d’une activité physique (AP), ses multiples bénéfices pour le cerveau ont été bien documentés. Il est notamment démontré que bouger améliore les performances cognitives et protège des maladies neurodégénératives. Les données sont plus nuancées s’agissant des effets « aigus » d’une séance sportive. « Quasiment toutes les études retrouvent une augmentation des performances cognitives, plus ou moins marquée selon le type d’activité physique, l’âge des participants, les fonctions testées, résume Olivier Dupuy, enseignant-chercheur au laboratoire MOVE (mobilité, vieillissement et exercice), à l’université de Poitiers. Les bénéfices sont présents dès les quinze premières minutes de la séance et persistent jusqu’à une heure, voire deux, après la fin de celle-ci. » Ces effets aigus sur les performances cognitives sont plus nets sur les fonctions dites « exécutives » : la mémoire de travail, la flexibilité, l’inhibition et la planification. Ces fonctions correspondent surtout au cortex préfrontal.

Les bienfaits d’une séance sur l’humeur et le niveau de stress – liés à la libération de neurotransmetteurs et d’endorphines – peuvent aussi contribuer au boost des performances cognitives, souligne Olivier Dupuy.

Quid de l’effet d’une marche, d’un jogging ou d’un tour de vélo sur la créativité ? Si les témoignages sont légion, les études scientifiques sur le sujet sont plus rares, et pas toujours faciles à interpréter, ce paramètre étant plus subjectif que les fonctions cognitives. Dans un article de 2014 humoristiquement titré « Donnez des jambes à vos idées », deux scientifiques américains de l’université de Stanford détaillent les résultats positifs de quatre expériences.

Dans différentes conditions de marche – sur tapis roulant, en extérieur… –, les volontaires ont été soumis à des tests pour évaluer leur pensée convergente (capacité à trouver une réponse à un problème donné par un raisonnement logique) et divergente (processus permettant de trouver plusieurs réponses en produisant des idées créatives). « La marche favorise la libre circulation des idées et constitue une solution simple et robuste pour atteindre les objectifs d’augmentation de la créativité et de l’activité physique », concluent les chercheurs. Il y a cent soixante-dix ans, Henry David Thoreau avait déjà compris beaucoup de choses.


Dans le Rhône, «angoisses» et «confidences» à domicile

par Maïté Darnault, envoyée spéciale à Millery (Rhône) et photos Bruno Amsellem publié le 21 octobre 2021 

L’auxiliaire de vie Sylviane Tourre se rend chez une dizaine de personnes âgées chaque semaine. Au-delà des soins et du ménage, c’est sa présence qui importe.

Après avoir délaissé un BEP de sténodactylo, elle a «multiplié les boulots». «Serveuse, téléprospectrice, factrice – on disait préposée –, vendeuse, ouvrière…» égrène Sylviane Tourre, 58 ans. Puis elle est devenue conductrice-accompagnatrice de personnes handicapées durant onze ans. Celle qui aime «le contact» a voulu pousser son expérience pour «être au plus près», en obtenant ses diplômes d’aide médico-psychologique et d’auxiliaire de vie sociale. Silhouette menue, coupe courte, yeux marron soulignés d’un trait d’eye-liner pailleté et lunettes à fine monture, Sylviane Tourre est plus qu’une technicienne du soin auprès de la dizaine de personnes âgées chez qui elle se rend chaque semaine.

VIDÉO. À Rennes, un centre d’excellence pour soigner les dépressions résistantes

Enjeu de santé majeur, la dépression touche près d’un Français sur dix. Une pathologie qui, dans un cas sur trois, résiste aux traitements classiques. D’où la création à l’hôpital Guillaume Régnier de Rennes, d’un centre d’expertise utilisant les thérapies les plus pointues. Présentation par le professeur Dominique Drapier.


Comment évolue la santé mentale des Français pendant l’épidémie de COVID-19 – Résultats de la vague 28 de l’enquête CoviPrev


 




Publié le 21 Octobre 2021 

Points clés de la vague 28 (28 septembre - 5 octobre 2021)

  • 80 % des Français déclarent avoir une perception positive de leur vie en général. Niveau bas, - 5 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance stable.
  • 16 % des Français montrent des signes d’un état dépressif. Niveau élevé, + 6 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance en hausse, + 3 points par rapport à la vague 26 (15-21 juillet).
  • Lire la suite et consulter les enquêtes ...

Montpellier, musée d'Art brut : Armand Avril, la modestie des matériaux, le foisonnement des motifs

1170x150pixels 4032021 2


Du haut de ses 95 ans, l'artiste et collectionneur Armand Avril contemple la vie avec humour, créant avec simplicité des tableaux-assemblages à partir d'objets modestes, récupérés ici ou là… Le Musée d'Art brut, singulier et autres lui consacre une exposition temporaire jusqu'à fin décembre 2021.

Journée de sensibilisation à Fès contre la stigmatisation des personnes atteintes de troubles mentaux

MapFes

23 octobre 2021

MAROC

Une journée de sensibilisation à la lutte contre la stigmatisation des personnes atteintes de troubles mentaux, a été organisée vendredi à Fès, à l’initiative de l’hôpital psychiatrique Ibn Al Hassan, relevant du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Hassan II.

Cette manifestation, qui s’inscrit dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la santé mentale, tend à promouvoir les droits des personnes atteintes de troubles mentaux, à lutter contre les préjugés associés à ces patients et les accompagner dans leur rétablissement, tout en favorisant leur intégration dans la société.

Lire la suite ...