Paris, le samedi 24 août 2019 – Régulièrement, l’Assurance maladie ou la Fédération hospitalière de France (FHF) (voire les deux) lancent à grand renfort de publicité un plan destiné à réduire les actes et traitements inutiles. S’il s’agit notamment de traquer les examens redondants, ces programmes visent également en filigrane à combattre une tendance à la surmédicalisation. Pourtant, parallèlement à l’affichage de ces objectifs, la même Assurance maladie délivre des primes aux médecins pour qu’ils augmentent certains de leurs dépistages (dont pour quelques-uns la pertinence pourrait être discutée) et la FHF s’interroge sur la façon de faire progresser l’activité des établissements.
C'est une enquête subjective, où il s'agit de remettre en question le travail. Car entre les formes de travail que l'on dit "ubérisées" - souvent sous-payées et privées de tout sens social, ou ce qu'on appelle les “bullshit jobs”, les jobs sans finalité, ni utilité clairement compréhensible, la valeur du travail est remise en question.
Quand l'usine a fermé, ça a été une libération.
Corine, ancienne ouvrière, licenciée de l'usine après 30 ans payés au SMIC, raconte son rapport au travail. Benjamin, lui, explique comment il a réussi à passer plusieurs mois à vivre sans argent.
La dentiste a soignée mes caries et, en échange, je me suis occupée de sa mère. Benjamin.