blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 11 mars 2019

Jacques Borie - Le psychotique et le psychanalyste

Résultat de recherche d'images pour "Jacques Borie - Le psychotique et le psychanalyste"

Voir la vidéo ...

Bohars. Des ateliers thérapeutiques pour soigner la maladie mentale

04-03-2019

L’équipe des infirmiers de l’hôpital de jour de gérontopsychiatrie Trielen suit au total 70 patients âgés de plus de 70 ans.
OUEST-FRANCE

Le 17 mars, l’association Avel Vor mettra en lumière le savoir-faire déployé par les patients de l’hôpital psychiatrique lors de leurs activités à médiation thérapeutique. Le Forum des loisirs créatifs se déroulera à la salle Roz-Valan à Bohars (Finistère), de 10 h à 18 h.

Participer à un concours de soupes, se lancer dans l’écriture à l’occasion du Printemps des poètes, préparer un forum de loisirs créatifs… À l’hôpital de jour de gérontopsychiatrie Trielen, toutes les occasions sont bonnes pour mettre en projet des patients de plus de 70 ans qui présentent une souffrance psychique.


16e édition des Journées de la Schizophrénie

EchoSciences

 
MARS212019
DE 18:00 À 19:00

CONFÉRENCE ouverte à tous

Amour et compassion : Quels liens avec le rétablissement dans la Schizophrénie ?

La SFR Santé et Société de l'Université Grenoble Alpes s'associe pour la première année aux Journées de la Schizophrénie, un évènement ouvert à tous.
Cette 16e édition « Tout débute par une connexion » a pour but de mettre en valeur l’importance des liens et de la relation dans le traitement de la schizophrénie. La maladie psychique perturbe les connexions entre les personnes qui en souffrent et le reste de la société : leur proches, leurs voisins, leurs amis et leurs soignants. Qu’ils soient numériques ou humains de nombreux moyens existent pour débuter une connexion.

Aider en connaissance de cause les familles de malades psychiques

Publié le 


dimanche 10 mars 2019

VIVA LA VULVA

52 min
Disponible du 06/03/2019 au 12/03/2019
Prochaine diffusion le dimanche 17 mars à 05:15

Résultat de recherche d'images pour "viva la vulva"Résultat de recherche d'images pour "viva la vulva"

Ce documentaire informé et malicieux interroge la condition des femmes sous l’angle de l’image et de la perception de leur corps, et revient sur les nouveaux tabous et diktats esthétiques relatifs à leurs organes génitaux à l’ère de la révolution sexuelle et du féminisme d'aujourd'hui.





Pour la journée des droits des femmes, les rues de Paris recouvertes de clitoris

Par Julia Castaing — 
Images de la campagne d'affichage organisée par @gangduclito.
Images de la campagne d'affichage organisée par @gangduclito.

De nombreux comptes Instagram font de la pédagogie avec plus ou moins d'humour pour lutter contre l'analphabétisme sexuel. Deux féministes ont notamment lancé la campagne d'affichage «It's not a bretzel».

Sexe : vieux comme Eros

Par Eric Favereau et Catherine Mallaval — 
Image issue de la campagne de l’association Grey Pride de Francis Carrier.
Image issue de la campagne de l’association Grey Pride de Francis Carrier. Photo Cédric Matet et Raphael Lucas


On peut être senior et épanoui au lit : c’est ce que clame une campagne qui circule sur les réseaux sociaux. Derrière ce kamasutra du troisième âge, Francis Carrier, créateur de la Grey Pride, une association qui met en lumière les vieux LGBT et tous les autres.

samedi 9 mars 2019

Quand on aime, on a toujours cent ans

Les Jours


Épisode n° 14
Texte Sébastien Calvet
Photo Geneviève Thibault
3 mars 2019

Résultat de recherche d'images pour "Quand on aime, on a toujours cent ans"

La photographe Geneviève Thibault pose son regard sur le quotidien d’Irène et Léo, jeunes mariés à l’aube de leurs cent ans.

C'est un objet non identifié que Les Jours vous proposent de découvrir. Nous nous sommes associés à l’association Freelens dans le cadre du prix Nouvelles écritures, fondé en 2012. Son objectif est de présenter au public le plus large possible de petites œuvres multimédias réalisées par de jeunes auteurs et autrices. Qu’il s’agisse de documentaires, reportages, photojournalisme ou photographie contemporaine, les participants ont une carte à jouer en utilisant ces outils où l’image est magnifiée par l’histoire, le son, les ambiances. Les projets sont des formats courts – trois à douze minutes – où le photographe a toute latitude pour émouvoir, interpeller, questionner le spectateur.


Les féminicides conjugaux, ce fléau qui ne faiblit pas

Selon le décompte effectué sur Facebook par les bénévoles de la page « Féminicides par compagnons ou ex », trente femmes ont été tuées depuis le début de l’année, soit une victime tous les deux jours.
Par Solène Cordier Publié le 9 mars 2019
Mémorial en souvenir des femmes victimes de violences domestiques en 2017 à Nantes.
Mémorial en souvenir des femmes victimes de violences domestiques en 2017 à Nantes. DAMIEN MEYER / AFP
A L’Ile-Rousse et à Ajaccio, deux marches blanches sont organisées, samedi 9 et dimanche 10 mars, à la mémoire de Julie Douib. Agée de 35 ans, cette mère de deux enfants a été abattue à son domicile de L’Ile-Rousse (Haute-Corse), le 3 mars, par son ex-conjoint.
« Nous la citons, nous ne l’oublierons pas… Nous pensons à ses deux enfants, à sa famille, à ses ami(e)s et proches, et à toutes ces existences dévastées par le terrorisme patriarcal conjugal et familial, par ces féminicides perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et complice », peut-on lire en guise d’éloge funèbre sur la page Facebook Féminicides par compagnons ou ex.

« On est sidérées devant ces chiffres »

Une poignée de bénévoles épluche chaque jour les journaux régionaux et nationaux pour répertorier les meurtres conjugaux, et les relayer sur cette page. L’objectif : « Rendre un hommage individuel » à ces femmes, mais aussi « montrer que ce ne sont pas des cas isolés mais des victimes d’un véritable fléau social ». Chaque fois, un court texte donne quelques informations avant de renvoyer vers un article de presse.

Aux États-Unis, le mouvement Time’s up s’attaque au sexisme et violences sexuelles dans le monde de la santé

Amandine Le Blanc
| 08.03.2019



Time's up

Lancé en janvier 2018 suite à l’affaire Weinstein, le collectif Time’s Uplutte aux États-Unis contre les discriminations et violences sexistesdans l’industrie du divertissement, des technologies et de la publicité. Il a décidé aujourd’hui de s’occuper du domaine de la santé en lançant la semaine dernière Time’s Up Healthcare. Une cinquantaine de femmes, la plupart professionnelles de santé de diverses spécialités et étudiantes ont lancé l’association et plusieurs institutions ont déjà apporté leur soutien à l’initiative, à l’image des facultés de médecine de Yale, Brown, Drexel, l’Université du Wisconsin ou The Mayo Clinic. La National Medical Association ou l’American College of Physicians font également partie de la liste des partenaires.

Beaucoup de charlatans jettent le discrédit sur le métier de psy"

Virginie Skrzyniarz    publié le 

Jacques Borgy, secrétaire général du syndicat national des psychologues, réagit à la vague de témoignages dénonçant les abus de psys auprès de patients.

Sur Twitter, un hashtag #moiVSpsy est récemment apparu pour dénoncer les violences subies chez les psys. Secrétaire général du syndicat national des psychologues (SNP), Jacques Borgy revient sur l'urgence de réglementer la déontologie de la profession pour protéger les patients d'éventuelles pratiques irrégulières. Voire illégales. Entretien. 
L'Express : Le 19 février dernier, Twitter a vu apparaître des témoignages de maltraitances endurées lors de consultations d'ordre psychologique, avec le hashtag #moiVSpsy. Cela vous étonne-t-il ? 
Jacques Borgy : Pas vraiment. A en juger par les "il m'a demandé ma carte vitale" récurrents, les posts concernent essentiellement les psychiatres. Or, ils sont tellement débordés qu'ils peuvent rarement accorder plus de trente minutes à leurs patients. Cela génère forcément des frustrations. Les internautes regrettent que la réponse médicamenteuse prenne toute la place. Ils aimeraient pouvoir parler davantage de leurs problèmes. Dans la pratique, certains finissent par aller voir un psychiatre pour se faire prescrire un traitement et un psychologue pour être écoutés. 
Selon vous, il n'y aurait donc pas de maltraitance dans la profession... 
Ce n'est hélas pas aussi simple que ça ! Il existe parfois des formes de maltraitance, mais la faute en revient presque toujours au manque de moyens humains. Dans les unités d'urgence psychiatrique, les gens arrivent parfois dans un état d'agitation extrême. Le personnel soignant n'a pas d'autre choix que de leur administrer des médicaments, voire de les attacher, pour les calmer. Il suffirait pourtant souvent qu'un psychologue prenne le temps de leur parler, et de les écouter, pour que la pression retombe. 
Les effectifs de psychologues seraient-ils donc insuffisants ? 
On fait surtout porter trop de responsabilités aux psychiatres. L'actualité le prouve régulièrement : des spécialistes sont parfois condamnés à des peines de prison avec sursis après le meurtre commis par l'un de leurs patients schizophrènes. L'heure n'est plus au médecin tout-puissant. Les patients eux-mêmes consultent internet avant leur docteur et sont de mieux en mieux informés sur leur pathologie. Il est donc impératif d'augmenter le nombre de psychologues dans les institutions. La profession a tout à gagner d'un travail collégial. 

Maisons-Alfort : les aides-soignantes de l’Ehpad donnent l’alerte

  Corentin Lesueur   09 mars 2019




Maisons-Alfort, vendredi. Les aides-soignantes de la maison de retraite dénoncent 
la "mise en danger" des 66 résidents. LP/C.L.

Les salariées du Temps des Roses dénoncent la dégradation de leurs conditions de travail après la réorganisation décidée par la direction.

Au Temps des Roses, à Maisons-Alfort, le visiteur est accueilli par les visages des membres du personnel, exposées dans des cadres aux quatre coins de l’entrée. « On met les salariées à l’honneur, explique Camille Leclercq, la directrice de l’Ehpad. Ça montre le respect qu’on a pour elles et leur métier. »

Manque d'écoute, agressions sexuelles… La prise en charge médicale des femmes objet d'une nouvelle campagne associative

Amandine Le Blanc
| 08.03.2019
L’association Osez le féminisme profite de la journée internationale des droits des femmes pour lancer sa campagne nationale : "A notre santée, pour une santé féministe des filles et des femmes". L’objectif est de dénoncer et de lutter contre les discriminations sexistes que subissent les femmes dans leur prise en charge médicale. Douleurs minimisées, patientes pas prises au sérieux, agressions sexuelles, les femmes pâtissent de « différences de prise en charge » entre patients des deux sexes qui sont « préjudiciables à leur santé », affirment les militantes de cette association. Elles évoquent un risque accru de « sous-diagnostic pour certaines maladies », et la méconnaissance de certains « symptômes spécifiques » aux femmes.

Les assistantes maternelles manifestent à Dax ce samedi contre la réforme de l'assurance chômage

Résultat de recherche d'images pour "france bleu logo"

Par Valérie Mosnier   Vendredi 8 mars 2019

Nouveau samedi de mobilisation dans les Landes pour les assistantes maternelles. Elles manifestent ce samedi matin, à 10 heures à Dax, pour dénoncer la réforme de l'assurance chômage.
Les assistantes maternelles avaient déjà manifesté le 2 février dernier à Dax
Les assistantes maternelles avaient déjà manifesté le 2 février dernier à Dax © Maxppp - VALENTINE CHAPUIS
 
Dax, France
Nouveau samedi de mobilisation dans les Landes pour les assistantes maternelles. Elles manifestent ce samedi matin, à 10 heures à Dax, devant la permanence du député LREM Lionel Causse, pour dénoncer la réforme de l'assurance chômage. Elles se rendront ensuite sur le marché de Dax pour tracter auprès des usagers. Un mouvement national à l'appel de la CGT. 

"Dans deux heures, je te défonce"

LES PIEDS SUR TERRE par Sonia Kronlund
08/03/2019
27 MIN

Morgane a été battue par son compagnon pendant plusieurs années. Elle raconte son parcours, de la terreur à la fuite.
Morgane Seliman
Morgane Seliman Crédits : Charly Triballeau AFP
Morgane a quitté son conjoint pour se mettre en couple avec Yassine. Au début, il lui plaît, il a le sens de l’humour, il est attentionné.   
Il fait tous les soirs cent kilomètres pour venir en bas de chez moi, et forcément ça, ça plait. Ça a été le coup de foudre.
Mais lentement, Yassine isole Morgane. Ils s’installent à la campagne et elle perd le contact avec ses amies. Petit à petit, de manière presque imperceptible, Yassine lui impose ses propres règles. 
Par exemple, pour qu’il vienne me chercher en voiture à mon travail, il fallait que j’aie été gentille la veille.

Au moment de la première claque, c’est déjà trop tard !

Le cannabis médicinal est-il bénéfique pour les patients plus âgés ?

Univadis

Mary Corcoran  6 mars 2019

Des résultats préliminaires suggèrent que le cannabis médicinal pourrait non seulement aider à améliorer la douleur chronique, le sommeil, la neuropathie et l’anxiété chez les personnes plus âgées, mais également contribuer à réduire l’usage d’opioïdes chez les personnes qui en utilisent. 


Quand infirmiers et aides-soignants font aussi bien que les experts !

07.03.19

Le contact quotidien avec les patients permet aux infirmier(e)s et aides-soignant(e)s une appréciation subjective de leur état de santé. Sa validité vient d’être montrée chez des patients dont l’état de conscience est altéré, dans une démarche associant soignants et experts.
Quand infirmiers et aides-soignants font aussi bien que les experts !
L’outil d’évaluation demande à être soumis à d’autres travaux pour confirmer sa validité, mais les auteurs pensent que la démarche d’intelligence collective associant les « paramédicaux » peut être étendu à d’autres pathologies.
L’évaluation de l’état de conscience de patients atteints de lésions cérébrales graves est cruciale pour établir leur pronostic et, en conséquence, informer leurs proches. Dans un certain nombre de cas, elle hésite entre état végétatif et état de conscience minimal, ce dernier étant de meilleur pronostic.

Féminicides : des meurtres dans toute la France et majoritairement à domicile

Par Virginie Ballet — 
Féminicides : des meurtres dans toute la France et majoritairement à domicile
Féminicides : des meurtres dans toute la France et majoritairement à domicile Julien Guillot


Depuis plus de deux ans, «Libération» recense les féminicides survenus en France. L'analyse de ces données révèle notamment que ces meurtres conjugaux sont très majoritairement commis au domicile de la victime, au moment d'une séparation.

Management, carrière, sexisme : dix directrices de CHU témoignent pour la Journée des droits des femmes

Anne Bayle-Iniguez
| 08.03.2019

seixisme
Crédit Photo : DR

À l'occasion de la Journée des droits des femmes, les directrices générales des CHU prennent la parole pour évoquer le management hospitalier au féminin. Alors que le corps des directeurs d'hôpital se féminise de façon progressive (39 % en 2014), seul dix des 32 CHU et CHR de l'Hexagone sont pilotés par des femmes. Une onzième prendra la tête du CHU de Dijon en avril. Tous postes confondus, c'est mieux, avec 45 % de femmes qui travaillent dans ces établissements.