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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

dimanche 2 décembre 2018

A voir en avant-première, le premier épisode de “HP”, la nouvelle série d’OCS Max


  • Isabelle Poitte   
  •  
    01/12/2018.



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    A partir du 6 décembre, “HP” racontera les déboire d’un hôpital psychiatrique. Une “dramédie” toujours juste, dont le premier épisode est à voir ici en avant-première. 

    Sheila, brillante interne, a choisi de se spécialiser en psychiatrie. Dans le quotidien agité d’un service en sous-effectif, la jeune femme doit vite lâcher la théorie. Entretien avec Beyoncé, alias Chantal, persuadée d’être la star américaine ; rencontre avec le « King », patient et souverain des lieux depuis des lustres ; chasse au tigre… La psychiatrie n’est qu’une question de « feeling », comme aime à le répéter Jimmy, co-interne porté sur les pilules multicolores.


    Manon Pignot et Yann Potin : «Françoise Dolto a pu écouter les enfants, y compris dans leur silence, grâce à son expérience de la guerre et du deuil»

    Par Cécile Daumas, Recueilli par — 

    Dessin Cat O'Neil    

    Dans leur livre, les historiens retracent l’enfance de la psychanalyste française. Une jeunesse inscrite dans la Première Guerre, qui favorisera son émancipation et sa vocation, mais qui sera aussi marquée par la mort de son oncle. Une blessure qui deviendra ferment de son approche analytique.

    Exposition : Sigmund Freud sur le divan

    Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme, à Paris, éclaire le parcours de l’inventeur de la psychanalyse à travers 200 œuvres et objets.
    Par Harry Bellet Publié le 30 novembre 2018

    Temps de
    Lecture 5 min.
       « Une leçon clinique à la Salpêtrière » (1887), d’André Brouillet.


    « Une leçon clinique à la Salpêtrière » (1887), d’André Brouillet. PARIS, UNIVERSITÉ RENÉ-DESCARTES, MUSÉE D’HISTOIRE DE LA MÉDECINE

    Sigmund Freud sur le ­divan de Jean Clair, c’est ce que propose en 200 œuvres et objets divers le Musée d’art et d’histoire du judaïsme. Pari osé, pari encombré, mais pari gagné : avec Philippe Comar, professeur de dessin à l’Ecole nationale ­supérieure des beaux-arts, et Laura Bossi, neurologue et historienne des sciences, Jean Clair a réuni un ensemble qui, pour être profus, n’en est pas moins une passionnante plongée dans une des révolutions intellectuelles du XXe siècle.

    samedi 1 décembre 2018

    Avenir de la pédopsychiatrie : une « catastrophe annoncée » ?


    Interview de Geneviève Avenard, Defenseur des enfants, adjointe du défenseur des droits




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    Chapitres

    Accompagnement sexuel des personnes handicapées : « J’aime la vie, le contact avec les corps »

    Christine P. a suivi une formation d’accompagnante sexuelle en 2016.
    Par Solène Cordier Publié le 30 novembre 2018

    Temps de
    Lecture 1 min.   Mieux vaut éviter de demander à Christine P. la liste de ses activités associatives. Aide aux migrants, alphabétisation, présidente de son association de locataires… la tourbillonnante Parisienne, grand-mère de trois petits-enfants, le reconnaît : « J’ai toujours eu une vie associative riche, une vie amicale riche. » Mais le handicap lui était globalement étranger avant qu’elle découvre un jour, au hasard d’une librairie, l’ouvrage Je veux faire l’amour, de Marcel Nuss (2012, éditions Autrement). Ce dernier milite depuis des années pour l’accompagnement sexuel des personnes handicapées, un combat qui l’a conduit en 2013 à la création d’une association, l’APPAS, qui forme des accompagnants et les met en relation avec un public demandeur.

    Handicap : la pratique de la sexualité demeure taboue

    APF France handicap souhaite favoriser l’accompagnement sexuel.
    Par Solène Cordier Publié le 1er décembre 2018

    Temps deLecture 5 min.   Le 5 juillet à Paris.
    Le 5 juillet à Paris. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
    C’est une mère qui appelle à l’aide, après avoir été confrontée à de multiples reprises au sexe en érection de son adolescent autiste lors de la douche. Un directeur d’établissement pour adultes handicapés, dans une région frontalière, qui emmène discrètement ses pensionnaires chez une prostituée. Une aide-soignante travaillant dans une structure médico-sociale qui se plaint d’être confrontée quotidiennement à des sollicitations d’ordre sexuel, dépassant le cadre de ses attributions.

    De l'infirmité à l'égalité des chances : la fabrique du mot "handicapé"

    Par Catherine de Coppet    30/11/2018 

    Alors que vient de se terminer la Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées, retour sur l'histoire du terme "handicapé", qui s'est répandu dans la langue française au cours du XXe siècle, mais qui n'a été utilisé comme substantif que tardivement.
    Manifestation pour l'accessibilité des transports publics aux personnes en situation de handicap, à Paris, le 26 septembre 2018.
    Manifestation pour l'accessibilité des transports publics aux personnes en situation de handicap, à Paris, le 26 septembre 2018.Crédits : Philippe Lopez - AFP
    Alors que vient de se terminer la 21e édition de la Semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées, les chiffres parlent d'eux-même : le taux de chômage des personnes en situation de handicap reste deux fois plus élevé que la moyenne nationale. La question de l'accessibilité de l'emploi, mais aussi du logement et des transports, fait régulièrement la une. Et renvoie à la difficulté de la société à garantir le droit des personnes, quelles que soient leurs capacités. Derrière le terme "handicapé", une histoire qui permet de donner quelques éléments de compréhension de ce phénomène.

    L'enfant silencieuse

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    Sourde de naissance, Libby, 4 ans, vit dans le silence complet. Un beau jour, elle croise la route de Joanne, une éducatrice spécialisée qui lui apprend la langue des signes. L’occasion pour la petite fille d’enfin goûter aux joies de la communication…


    Quand j'étais mort

    LES PIEDS SUR TERRE par Sonia Kronlund
    30/11/2018 
    27 MIN

    Ils ont été déclarés morts – ou presque – et ont dû prouver qu’ils étaient bien vivants : ils racontent.
     Crédits :
    Ils ont vu leur avis de décès dans le journal, des courriers adressés à leurs héritiers, ils ont même parfois vu leur cercueil. Trois histoires de fantômes, bien vivants.
    Raymond a frôlé la mort quatre fois. Il attrape d’abord une leucémie. Il est alors sauvé in-extremis grâce à un protocole d’essai. Les deuxième et troisième fois, c’était à cause d’un AVC. La quatrième fois est plus particulière : en ouvrant le journal, il tombe sur son avis de décès. 
    Un ami m’a dit : « mince, je reviens de ton enterrement ».
    Lire la suite et écouter le podcast ... 

    vendredi 30 novembre 2018

    On a testé pour vous le premier cabinet de télémédecine de Normandie

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    Mercredi 28 novembre 2018 à 22:35Par Marc BertrandFrance Bleu CotentinFrance Bleu Normandie (Calvados - Orne) et France Bleu
    C'est une première dans la région. Un cabinet de médecine générale par téléconsultation ouvre début décembre à Saint-Georges-de-Rouelley, un désert médical du Sud-Manche où près d'un patient sur cinq n'a plus de médecin traitant.
    La patiente et son médecin dans le cabinet de téléconsultation de Saint-Georges-de-Rouelley.
    La patiente et son médecin dans le cabinet de téléconsultation de Saint-Georges-de-Rouelley. © Radio France - Marc Bertrand
    "C'est comme un vrai médecin, d'ailleurs c'est un vrai médecin", tente de se convaincre un infirmier. La table de consultation, avec son papier jetable à dérouler avant de s'asseoir est là, rassurante, comme chez le "vrai" médecin. Mais pas de bureau en acajou, ni de médecin en blouse. A la maison de santé de Saint-Georges-de-Rouelley, il n'y a qu'un écran fixé au mur, surmonté d'une caméra.

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    Ces enfants de prêtres que l’Eglise ne veut pas voir




    Par Faustine Vincent   Publié le 29 novembre 2018

    Ils cherchent leurs origines et se heurtent au mutisme de l’institution catholique sur ce sujet tabou. Mais grâce à Internet, un réseau mondial d’entraide s’est mis en place depuis 2014.
    L’Irlandais Vincent Doyle, fondateur de l’association Coping International, enfant, dans les bras de son père.
    L’Irlandais Vincent Doyle, fondateur de l’association Coping International, enfant, dans les bras de son père. COLLECTION PERSONNELLE
    Sa mère a gardé le secret jusqu’à sa mort. Malgré les disputes et les questions, jamais elle n’a révélé à sa fille l’identité de son père. Susan ne l’a découverte qu’il y a cinq mois, après un test ADN. Cette Australienne de 56 ans constate alors qu’elle est liée génétiquement à une autre famille, dont le nom lui est inconnu. Elle en parle à sa tante, qui sursaute en entendant ce patronyme si familier. « Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! », s’écrie la vieille dame. Elle se souvient bien de celui qui portait ce nom, il avait conseillé la famille quand elle était plus jeune. Elle hésite, puis lui annonce : « C’était un prêtre catholique. » Incrédule, Susan vérifie l’arbre généalogique. « C’était bien lui », soupire-t-elle.
    Cette petite femme à l’abord chaleureux, qui travaille auprès de handicapés, est encore sous le choc lorsque nous la rencontrons, un mercredi d’octobre, dans une ville du nord-ouest de l’Irlande. Elle a fait le voyage depuis l’Australie pour retrouver ses racines et voir les terres de sa « nouvelle famille » côté paternel, lui aussi australien, mais dont les grands-parents étaient irlandais.

    Il pourrait y avoir des bactéries dans notre cerveau

    Publié le 




    Des travaux de recherche préliminaires suggèrent que des microbes intestinaux pourraient également résider dans notre cerveau.

    Dans nos maisons, sur notre peau et jusque dans nos intestins… Les bactéries sont partout. “Cependant on a longtemps pensé que le cerveau d’un être humain en bonne santé constituait un refuge sûr, loin du monde bactérien”, rappelle le siteIFLScience.
    Mais voilà qu’une étude potentiellement révolutionnaire vient bouleverser ces croyances. Présentés à la conférence annuelle de la société des neurosciences qui s’est déroulée du 3 au 7 novembre à San Diego, ces travaux préliminaires laissent penser qu’il existe “une relation intime inattendue entre les microbes et cerveau”, explique Science.
    La recherche conduite par Rosalinda Roberts, neuroanatomiste à l’université d’Alabama à Birmingham (UAB), ne portait initialement pas sur ce sujet. Dans son laboratoire, l’analyse de tranches de tissu cérébral préservées quelques heures après la mort devait permettre d’y repérer des différences entre des personnes atteintes de schizophrénie et celles en bonne santé.