327 jours de délais pour un rendez-vous chez un ophtalmo dans la Loire, moins d'une semaine chez un rardiologue à Paris. Selon une étude publiée samedi sur le site Mutuelle.com, les ophtalmologistes restent les spécialistes les moins disponibles, avec un délai d'attente moyen de 109 jours sur toute la France, et les plus accessibles sont les radiologues (6 jours). L'enquête, menée auprès de 7.700 médecins par ce site de comparaison de complémentaires santé, confirme que l'obtention d'un rendez-vous varie sensiblement en fonction des six disciplines étudiées (ophtalmologistes, cardiologues, radiologues, chirurgiens-dentistes, gastro-entérologues et ORL). Les disparités sont par ailleurs très marquées d'un département à l'autre, et c'est souvent à Paris qu'on attend le moins. Les délais pour un ophtalmo atteignant des sommets dans le Puy-de-Dôme (277 jours), la Haute-Loire (266), la Saône-et-Loire (263)... et tombant à moins d'un mois dans certains arrondissements parisiens (11 jours dans le VIIIe, 13 jours dans le IIe), en Corse du Sud (12 jours) ou dans les Alpes-Maritimes (17 jours).
Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
lundi 12 octobre 2015
dimanche 11 octobre 2015
Une pétition pour soutenir la psychiatrie régionale et les emplois
SUISSE 10.10.2015
Nouvelle action pour les services psychiatriques du Jura bernois – Bienne – Seeland (SPJBB). Ils lancent samedi officiellement une pétition. Nommée « Pour le maintien d’une psychiatrie de qualité et de proximité », elle revendique la décision du canton de Berne d’autonomiser les sites de psychiatrie dans la région. Des mesures d’assainissement sont en effet exigées à hauteur de 9,4 millions de francs. Soixante postes de travail pourraient être supprimés d’ici à 2017. Ceci représente une réduction de 20% du personnel.
Autisme France signe une convention-cadre avec Ségolène Neuville et Najat Vallaud-Belkacem
Le 1er octobre, Ségolène Neuville, secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et Danièle Langloys, présidente d'Autisme France ont signé uneconvention-cadre de coopération. Cet accord était attendu par l'association de longue date. Il avait même été évoqué sans aboutir par Marie-Arlette Carlotti alors déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l'exclusion au sein du Gouvernement de Jean-Marc Ayrault de 2012 à 2014, signale à Hospimedia, Danièle Langloys. L'accord signé permet de formaliser des collaborations existantes. "C'est une étape importante qui marque la reconnaissance officielle de l'action des réseaux associatifs", ajoute-t-elle. Petite précision de l'article 1, "aucun dispositif financier n'est associé à cette convention".
Psychiatrie : déficit en paramédicaux
ALGERIE 10 Octobre 2015
Un déficit en agents paramédicaux est constaté au niveau des hôpitaux psychiatriques influant négativement sur la prise en charge des malades, ont déploré les médecins participant à une rencontre tenue samedi à l’Institut national du rein relevant du centre hospitalo-universitaire (CHU) Franz Fanon de Blida. Les intervenants issus des wilayas de Constantine, Tizi-Ouzou, Oran, Annaba, Alger et Blida, ont estimé lors de cette rencontre, organisée sous le signe "le traitement psychiatrique, des portes ouvertes et d’autres fermées", que le manque de paramédicaux "entrave la prise en charge idoine des malades, en dépit de l’ouverture, ces derniers années, de nombreux nouveaux établissements de santé".
samedi 10 octobre 2015
La consolation : Y a-t-il un remède à la maladie ? Les Nouveaux chemins de la connaissance
La littérature et la philosophie peuvent-ils nous consoler face à la maladie ?
Et après tout, sommes-nous obligés de nous consoler ? Ne peut-on pas refuser cette "société de consolation" ?
Aujourd'hui, Claire Marin soulève ces questions.
Claire Marin MC © RADIO FRANCE
Lire la suite et écouter l'émission ...
Sénèque disait : "J'ai décidé de livrer bataille à ton chagrin et je contiendrai les larmes de tes yeux épuisés de fatigue"
Pourquoi aujourd'hui, la raison est-elle devenue incapable de nous consoler, reléguant la consolation à la religion ou à la psychologie ?
L'excellent Michaël Fœssel répond à ces questions aujourd'hui.
Michael Foëssel, philosophe SL © RADIO FRANCE
Plusieurs foyers de grève au sein de l'hôpital de Blois
10/10/2015
Dans les Ehpad et au sein du service psychiatrique de l’hôpital de Blois, du personnel est en grève illimitée, pour dénoncer leurs conditions de travail.
Dans les Ehpad du centre hospitalier de Blois et dans le service de psychiatrie, des infirmiers et des aides-soignants sont en grève.
Il y a une certaine amertume dans les propos des infirmiers et aides-soignants exerçant de nuit dans le service psychiatrique de l'hôpital de Blois. « Pour travailler dans de bonnes conditions, nous avons besoin d'être six la nuit pour gérer 75 lits, soit deux par unité. Or, depuis le début de l'année, nous sommes plus souvent cinq ; ça veut dire qu'un infirmier ou un aide-soignant se retrouve seul dans une unité. Ça pose un vrai problème en terme de sécurité pour le personnel et les patients », déplorent les grévistes, assignés au bon fonctionnement de la structure. Plusieurs fois, ils ont appelé les forces de l'ordre ou les agents de la sécurité pour les aider à gérer certaines situations délicates. « Ça fait un an qu'on interpelle notre hiérarchie. Faut-il attendre que le pire survienne ? » Ils estiment ne plus pouvoir assurer la continuité des soins. « Le fait de devoir aller vite est source d'erreur. Moi-même, un jour, je me suis trompée dans l'attribution d'un médicament, heureusement c'était sans conséquence, mais cela aurait pu être grave, confie une infirmière. Nous ne sommes pas des veilleurs. Nous sommes des soignants à part entière. »
La loi « santé » menace-t-elle Esquirol ?
10/10/15
L’hôpital Esquirol va-t-il être absorbé par le CHU de Limoges ? Ce scénario, vieille crainte de l’établissement psychiatrique, pourrait devenir réalité avec la loi « santé » votée au sénat, le 6 octobre, et qui doit repasser devant l’Assemblée nationale en novembre. C’est en tout cas ce que craignent non seulement les syndicats, mais aussi les médecins.
vendredi 9 octobre 2015
Calais : le centre post-cure psychiatrique Les Oyats ouvrira dans un an
DOMINIQUE SALOMEZ 08/10/2015
La clinique psychiatrique du Virval, l’hôpital de Calais et le réseau Clinipsy ont déplié le tapis rouge ce jeudi midi. Les trois acteurs majeurs du pôle de santé du Virval ont posé, très officiellement, la première pierre du centre de post-cure psychiatrique du Littoral, Les Oyats. L’ouverture est attendue dans un an.
L’art psychédélique sous contrôle médical
PHILIPPE GODIN
« Lâchez tout ! » pour ne pas rater la stupéfiante exposition qui se tient au Musée Singer-Polignac. Quand la psychiatrie expérimentait les hallucinogènes sur ses patients et les artistes.
Le musée Singer-Polignac est innstallé dans l’enceinte de l’hôpital Sainte-Anne depuis 1967. Il a pour vocation de proposer des expositions thématiques réunissant des œuvres de la Collection Sainte-Anne, mais aussi des pièces d’artistes contemporains et des œuvres de collections particulières. Ainsi l’exposition actuelle présente, entre autres, des encres magnifiques de Jean-Jacques Lebel, des peintures d’Henri Michaux et sur le seuil de son entrée : un surprenant dessin du célèbre neurologue Jean-Martin Charcot… réalisé sous l’influence du haschich !
Jean-Martin Charcot, Dessin sous l’influence du haschich, 1853
C’est l’artiste Jean-Jacques Lebel, habitué des télescopages culturels détonants qui a suggéré d’intégrer à l’exposition l’encre de Charcot. Cette composition du plus grand «aliéniste» du 19ème siècle mélange allègrement ornementations graphiques exaltées, fantaisies érotiques accouplant satyres et autres figurines mythologiques dévoyées. On pourrait très bien se croire en présence d’une œuvre d’art psychopathologique sortie de la tête d’un patient psychotique !
Pourtant, le choix de placer ce dessin à l’entrée même des deux salles de l’exposition n’a rien de fortuit. Il est parfaitement justifié (au-delà du trait d’humour qu’il peut susciter), par le propos de l’exposition. Il s’agit de rendre compte de recherches qui eurent lieu à Sainte-Anne au début des années 60 autour d’un psychotrope, la psilocybine, connu pour ses effets hallucinatoires. Il s’agissait d’explorer les modifications des états psychiques induites par le stupéfiant, similaires à celles rencontrées dans les psychoses.
La colère gronde à l'Institut psychiatrique Camille Miret
09/10/2015
Face au plan d'économies annoncé sur l'hôpital de l'Institut Camille Miret, les salariés ont manifesté leur colère, hier après-midi, à Leyme. Ils étaient 350 environ à occuper la cour d'honneur, avant de gagner les bureaux de la direction.
C'est un plan social déguisé, lâchaient les syndicats, hier après-midi, devant les quelque 350 personnels de l'Institut Camille Miret, à Leyme. Réunis dans la cour d'honneur, ils entendaient dénoncer le plan d'actions 2015-2018 du centre hospitalier psychiatrique, qui prévoit plusieurs mesures d'économie. Ils étaient une trentaine aussi à Cahors devant le Centre de santé mentale.
Les élus au secours de la psychiatrie
9 octobre 2015
La quasi-totalité des parlementaires de Haute-Savoie ont signé une lettre écrite par Bernard Accoyer, destinée à la directrice de l’Agence régionale de santé (ARS), Véronique Wallon. « Quel est donc le sujet capable de rassembler leurs paraphes dans une missive commune », se demanderont les mauvaises langues, plus habituées à leurs divergences de vues qu’à un élan collectif ? Un sujet sanitaire grave : les soins qui concernent la santé mentale.
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La quasi-totalité des parlementaires de Haute-Savoie ont signé une lettre écrite par Bernard Accoyer, destinée à la directrice de l’Agence régionale de santé (ARS), Véronique Wallon. « Quel est donc le sujet capable de rassembler leurs paraphes dans une missive commune », se demanderont les mauvaises langues, plus habituées à leurs divergences de vues qu’à un élan collectif ? Un sujet sanitaire grave : les soins qui concernent la santé mentale.
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Un dépressif sur quatre reste 3 ans sans travailler
LE SOIR.BE BELGIQUE Frédéric Soumois
Une étude des mutualités libres montre qu’un dépressif sur quatre coûte 67.000 euros sur 5 ans. Elles plaident pour un remboursement de toutes les psychothérapies par la Sécu.
Selon une étude publiée aujourd’hui par les Mutualités libres, 27 % des adultes souffrant de dépression sont en incapacité de travail pendant 3 ans ; 17 % décrochent même pendant 5 années consécutives ! 25 % de ces patients séjournent au moins une fois à l’hôpital pour soins psychiatriques et ont des dépenses moyennes en soins de santé de 14.500 euros par an.
Un audit interne de la HAS écarte tout dysfonctionnement lors de l’évaluation de Seroplex et Cymbalta
Henri de saint Roman
| 08.10.2015
« L’audit des évaluations de Seroplex (Lundbeck) et Cymbalta (Lilly) par la commission de la transparence à compter du 1er janvier 2005, date de création de la HAS et du rattachement de la commission à cette institution, ne révèle pas de dysfonctionnement procédural par rapport aux règles en vigueur au moment où ces évaluations ont été conduites ». Le rapport que vient de rendre le Pr Philippe Thibault, conseiller déontologique de la Haute Autorité de santé (HAS), se veut formel.
Noisy-le-Sec et Montreuil : des unités psychiatriques pour ados et bébés
Elia Dahan | 08 Oct. 2015
« Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune. » A l’entrée de l’unité « Ados 93 » de Montreuil, des proverbes, des dessins et des jeux de mots décorent tous les murs.
Cet établissement, qui prend en charge, depuis 14 ans, des adolescents de 12 à 18 ans souffrant de troubles psychologiques, a vu sa capacité d’accueil passer de 6 à 9 lits cette année.
Jeudi, l’établissement de Ville-Evrard a inauguré cette nouvelle unité d’hospitalisation à temps plein pour les adolescents, ainsi qu’une unité de pédopsychiatrie périnatale. Avec 3 lits de plus, l’unité, dédiée aux jeunes, pourra accueillir 70 adolescents, c’est 19 de plus qu’en 2014.
L'hypnose / textes inédits, 1886-1893 De Sigmund Freud
Un siècle plus tard, les textes passionnants qu'il a consacrés à cette pratique sont ici réunis et, pour certains, traduits et publiés pour la première fois. Comptes-rendus, articles, correspondances... ces écrits précoces apportent un éclairage inédit à la genèse de la psychanalyse.
Santé : les inégalités s'aggravent
Par Eric Favereau —
C'est le constat du professeur Spira, qui organise ce mercredi à l'Académie le colloque «Santé, pauvreté, précarité».
Le professeur Alfred Spira a été un de ceux qui, ces trente dernières années, ont porté le plus les questions de santé publique. Pointant, de manière insistante, la question des inégalités et de la précarité. Ce mercredi matin, à l’Académie de médecine à Paris, il organise un colloque sur «Santé, pauvreté, précarité» avec le Secours populaire, dont il est devenu le conseiller médical.
Les données globales sont brutales: l’écart d’espérance de vie à 35 ans entre un cadre et un ouvrier est de 6,3 ans pour les hommes et de 3 ans pour les femmes. Avec ce constat: plus l’espérance de vie est courte, plus les années d’incapacité sont nombreuses.
jeudi 8 octobre 2015
« The Visit » : épouvantable visite chez les grands-parents
LE MONDE | | Par Jean-François Rauger
L’avis du « Monde » – à voir
Après l’échec commercial et critique d’After Earth (2013), M. Night Shyamalan s’est visiblement attelé à un projet dont la modestie apparaît autant comme un choix d’économie de production que comme la volonté d’aborder un type de représentation renvoyant à une forme familière.
Le film de famille amateur hante, en effet, The Visit, comme un modèle dont il faudrait dévoiler la nature profondément perverse et sombre. De quoi sont faites les familles ? Les admirateurs de l’auteur de Sixième sens (1999) y retrouveront sans doute un goût pour le coup de théâtre, le « twist », qui inverse in fine les situations, qui plonge dans la terreur un spectateur découvrant qu’il a été dupe des apparences tout autant que conditionné par ses propres réflexes.
Si « Le Généraliste » était paru en octobre 1920 Les médecins considérés comme ouvriers de santé
07.10.2015
« Au cours de recherches aux Archives nationales, nous avons mis la main sur un document de l’époque révolutionnaire qui est, pourrait-on dire, des plus suggestifs.
La Convention, dans le but d’exonérer les médecins d’origine étrangère des lois et règlements qui leur étaient applicables, recourut à un artifice : elle les considéra comme “ ouvriers de santé ”. Quelle bonne formule à reprendre, en un temps où Messieurs les travailleurs manuels, conscients et surtout organisés, accablent de leur pitié dédaigneuse les prolétaires intellectuels et, particulièrement, ceux qui exercent des professions libérales ! Ouvriers de santé, vous l’entendez bien, nous n’aspirons à rien d’autre. Ce sont les grands ancêtres de la plus grande Révolution qui l’ont proclamé. »
Désengorger les urgences : est-ce possible ?
7 octobre 2015 | Delphine Bauer
Alors que les urgences sont saturées depuis plus de quinze ans, de nouvelles méthodes de gestion sont appliquées à certains services. Si certains parlent de « management », d'autres préfèrent celui de « réorganisation », terme moins connoté. L’objectif de ces changements structurels est le même : une meilleure prise en charge du patient.
Loi de santé : le Sénat adopte une version plus "light"
07.10.15
Les sénateurs ont adopté mardi 6 octobre, dans l'après-midi, le projet de loi de santé amputé de quelques-unes de ses mesures emblématiques, imprimant leur marque sur un texte dont ils ont toutefois validé un grand nombre de dispositions techniques en se rangeant à l'avis du gouvernement.
Les infirmiers sont aussi victimes du burn-out
07/10/2015
Hier à Blois se tenait la journée régionale des infirmiers Hier à Hier à Blois se tenait la journée régionale des infirmiers libéraux sur le thème du burn-out qui les menace.
La chose – fatigue envahissante et invalidante – a précédé le mot, apparu à la fin des années soixante. Ceux qui penseraient que les cordonniers sont les plus mal chaussés ne doivent pas se méprendre : cette affection a d'abord été repérée dans les professions d'entraide et de soins, physiquement et humainement confrontées à des situations de détresse. Les infirmiers ont donc bien raison de s'interroger sur le thème pour mieux s'en préserver.
Plusieurs intervenants, docteurs en divers domaines, l'ont disséqué devant 120 professionnels de la région Centre - Val de Loire réunis à Cap'Ciné.
Michel Nadot, auteur du Mythe infirmier et de l'Activité infirmière, bat en brèche les idées reçues. « Les soins infirmiers ne sont pas d'origine religieuse. A l'Antiquité, au Moyen Age et au-delà, on trouve des laïques, qui sont payés pour cela. Quant à l'origine du mot infirmier, il remonte à la Mésopotamie avec le terme " enfermier ", qui a trait à l'enfer. Car la maladie est une punition de Dieu. »
Bientôt une clinique psychiatrique à Thionville
LUXEMBOURG 08/10/2015
Un rapport remis à l’agence régionale de santé met en évidence « les incohérences » de l’organisation des soins psychiatriques dans le nord mosellan. Une structure privée d’environ 90 lits devrait voir le jour à Thionville.
Comme elle l’a fait l’an dernier en Meurthe-et-Moselle, l’agence régionale de santé (ARS) s’apprête à revoir l’organisation des soins psychiatriques dans le département de la Moselle. En janvier dernier, le directeur général de l’ARS, Claude d’Harcourt, avait nommé un comité des sages pour réaliser un diagnostic et faire des propositions.
Les élus au secours de la psychiatrie
Par Colette LANIER | Publié le 08/10/2015
La quasi-totalité des parlementaires de Haute-Savoie ont signé une lettre écrite par Bernard Accoyer, destinée à la directrice de l’Agence régionale de santé (ARS), Véronique Wallon. « Quel est donc le sujet capable de rassembler leurs paraphes dans une missive commune », se demanderont les mauvaises langues, plus habituées à leurs divergences de vues qu’à un élan collectif ? Un sujet sanitaire grave : les soins qui concernent la santé mentale.
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La quasi-totalité des parlementaires de Haute-Savoie ont signé une lettre écrite par Bernard Accoyer, destinée à la directrice de l’Agence régionale de santé (ARS), Véronique Wallon. « Quel est donc le sujet capable de rassembler leurs paraphes dans une missive commune », se demanderont les mauvaises langues, plus habituées à leurs divergences de vues qu’à un élan collectif ? Un sujet sanitaire grave : les soins qui concernent la santé mentale.
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