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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

dimanche 8 février 2015

Jacques-André Haury s'interroge sur Cery

SUISSE Par Federico Camponovo 01.02.2015


PsychiatrieLe député vert’libéral va développer mardi une interpellation sur les pratiques de l’hôpital psychiatrique en matière de médicaments.


Le bâtiment de psycho-gériatrie du site de Cery
Le bâtiment de psycho-gériatrie 
du site de CeryImage: FLORIAN CELLA - A
Une possible surmédicalisation des patients âgés au sein du Service universitaire de psychiatrie de l’âge avancé (SUPAA), sur le site de Cery, inquiète Jacques-André Haury. Dans une interpellation déposée le 27 janvier et qu’il développera mardi devant le Grand Conseil, le médecin et député vert’libéral se réfère à un article publié récemment.
Jacques-André Haury rappelle qu’à la suite de l’inspection du SUPAA par la Coordination interservices de visites en établissements sanitaires et sociaux (CIVESS), ordonnée fin 2013 par le conseiller d’Etat en charge de la Santé, Pierre-Yves Maillard, ce dernier a également demandé qu’une étude soit menée sur les prescriptions médicamenteuses pratiquées dans le service en question, et cela en comparaison avec d’autres établissements.


Cæn, Cherbourg : les urgences hospitalières bas-normandes en ébullition

08.02.2015

Environ 120 personnes se sont rassemblées jeudi dans le hall de CHU de Caen pour dénoncer "l'engorgement" des urgences et demander des lits pour des patients parfois bloqués selon les syndicats plus de 24 heures sur des brancards. A Cherbourg (Manche), les services d'urgences, qui annoncent une grève à partir de jeudi minuit, connaissent une situation similaire, selon Eric Labourdette du FAFPH. Une déclaration de danger grave et imminent a été faite le 19 janvier, selon le syndicat.

Psychiatre, une profession à revaloriser

QUEBEC 3 février 2015 | Charles-Albert Morin Montréal






Nous avons tous, estime l'auteur, un préjugé défavorable à l’égard des médicaments qui soignent les maladies mentales, estime l'auteur.
Photo: Julia Pivovarova HemeraNous avons tous, estime l'auteur, un préjugé défavorable à l’égard des médicaments qui soignent les maladies mentales, estime l'auteur.

Il y a sept ans, j’ai appris que j’avais une maladie mentale. Curieux de nature, j’ai voulu comprendre ce qui m’arrivait et ce qui ne tournait pas rond dans la façon dont on soignait la maladie dans notre société. J’ai maintenant la certitude que le débat sur la médicalisation de la maladie mentale a besoin d’avancer.
Il se trouve en son coeur une contradiction importante. D’un côté, nombre de commentateurs et de spécialistes (journalistes, sociologues, philosophes) affirment que la quantité de médicaments prescrits est alarmante, qu’on trouve toute sorte de nouvelles maladies de manière précipitée et qu’en plus, l’industrie pharmaceutique se remplit grassement les poches. De l’autre côté, en cette Semaine de prévention du suicide, on nous dit que les personnes qui sont en détresse doivent aller chercher l’aide dont elles ont besoin le plus rapidement possible. De quelle aide parle-t-on alors ? Médicament ou pas médicament ? Embêtant.
Actuellement, le problème réside dans le fait que le discours sur la surmédicalisation est séduisant et fondé. Après tout, c’est vrai que les pharmaceutiques font beaucoup d’argent avec les médicaments qu’elles nous vendent ! Mais il y a plus. Le fait qu’une simple pilule puisse nous guérir d’une époque moderne hyperactive qui va à cent mille à l’heure nous répugne. Le « traitement par les pilules » heurte quelque chose de fondamentalement ancré en nous : notre capacité à nous soigner sans solution facile, sans passe-droit. Cela occasionne un effet pervers : les personnes malades ne se soignent pas en raison des préjugés qu’elles ont. Un chiffre en dit long : seulement 30 % des gens faisant une dépression vont chercher l’aide dont ils ont besoin.


Le préjudice d'anxiété d'anciens mineurs reconnu aux prud'hommes

Le Monde.fr avec AFP | 


Des mineurs remontent à la surface les derniers blocs de charbon du puits de La Houve, en avril 2004.


Le préjudice d'anxiété de dix anciens mineurs de fer lorrains exposés au risque de développer de graves maladies professionnelles a été reconnu, vendredi 6 février, par la justice prud'homale à Longwy (Meurthe-et-Moselle) – une première en France.

Le conseil des prud'hommes a condamné le liquidateur de la société Lormines, l'ancien exploitant des mines de fer aujourd'hui fermées, à verser 4 500 euros de dommages et intérêts à chacun des dix demandeurs.

« UN MOMENT HISTORIQUE »

« C'est un moment historique, c'est la première fois que des mineurs font condamner les anciens exploitants, je devrais dire exploiteurs, pour les avoir exposés à des produits cancérogènes », s'est félicité François Dosso, responsable de la CFDT Mineurs, la voix nouée par l'émotion. « C'est une grande victoire pour la corporation minière, mais aussi pour l'ensemble des salariés qui sont exposés à des produits cancérogènes par la faute de l'employeur ».

La bataille juridique est toutefois loin d'être terminée : à Forbach (Moselle), les prud'hommes étudient des demandes similaires de 850 anciens mineurs des houillères de Lorraine, opposés à leur ancien employeur Charbonnages de France. Un premier jugement sur une partie de ces dossiers est attendu à partir de mai.

Bébés échangés : la maternité et l'assureur condamnés

Le Monde.fr avec AFP | 


Manon Serrano et sa mère, le 2 décemnbre 2014. Les familles avaient réclamé début décembre – lors d'une audience civile à huis clos – plus de 12 millions d'euros de dommages, une somme astronomique peu habituelle dans les tribunaux français.


Les deux familles privées de leur enfant biologique voici vingt ans, à la suite d'une inversion par mégarde de bébés dans la couveuse d'une maternité de Cannes (Alpes-Maritimes), ont obtenu mardi 10 février 1,88 million d'euros en réparation du préjudice subi. 
Le tribunal a condamné solidairement la Clinique Internationale de Cannes (Clinica Jourdan) et la Société hospitalière d'assurances mutuelles (SHAM) « en réparation des préjudices consécutifs au manquement à cette obligation de résultat », selon une source proche du dossier. Les familles ont en revanche été déboutées de leurs demandes formées contre les médecins.

Les familles avaient réclamé début décembre – lors d'une audience civile à huis clos – plus de 12 millions d'euros de dommages, une somme astronomique peu habituelle dans les tribunaux français. Le juge a finalement ordonné l'« exécution provisoire partielle de ces condamnations » à hauteur de 100 000 euros par enfant échangé, 100 000 euros par parent et 25 000 euros pour les frères et soeur.




La Cour suprême canadienne autorise l'aide médicale à la mort

Le Monde.fr avec AFP | 

La Cour suprême du Canada a autorisé, vendredi 6 février, l'aide médicale à mourir pour les personnes adultes, qui consentent clairement à mettre fin à leur vie et sont affectées de problèmes de santé graves et irrémédiables leur causant des souffrances persistantes et intolérables.

La haute cour a jugé que l'interdiction de l'aide médicale à mourirdans le code pénal violait la charte canadienne des droits et libertés. Elle a cependant suspendu sa décision pour une période d'un an, afin de permettre aux législateurs de réviser la loi.

DÉCISION À L'UNANIMITÉ

L'affaire avait été portée devant la Cour suprême par les familles de deux femmes de Colombie-Britannique atteintes de maladies dégénératives incurables – qui sont aujourd'hui mortes –, avec le soutien de l'association des libertés civiles de cette province de l'ouest canadien.



Le premier auto-test de fertilité pour les hommes débarque en France

ANNE-CLAIRE GENTHIALON

C’est une petite révolution. Alors que les femmes bénéficient d’une batterie de languettes pour détecter elles-mêmes une grossesse ou leur période d’ovulation, voilà que les hommes peuvent désormais mesurer eux-mêmes leur fertilité. Lancé cette semaine dans les pharmacies de France par la société AAZ, SpermCheck Fertility est le tout premier «test de fertilité pour hommes», réalisable chez eux, «en toute intimité», et qui leur donne un résultat sur leur capacité à procréer en «sept minutes» chrono.

Applications de santé (3/3) : et si on devenait sérieux !

Par  le 03/02/15


Kiera Butler pour MotherJones rapportait récemment l’histoire de Julie Hudak, une Américaine qui a téléchargé une application permettant de diagnostiquer les mélanomes. Son mari et sa belle-soeur en étant morts, la jeune mère était particulièrement inquiète des grains de beautés et autres taches sur la peau de ses trois enfants. L’application est assez simple. Il suffit de prendre en photo les grains de beauté et elle vous indique en retour leur dangerosité. Même si elle avait montré récemment ses enfants à un dermatologue, la jeune femme a paniqué quand l’application a fait une alerte rouge sur l’un des grains de beauté…
La journaliste rapporte des études plutôt inquiétantes sur le sujet. Des chercheurs du centre médical de l’université de Pittsburgh ont testé 4 applications de diagnostic du cancer de la peau et trois d’entre elles ont raté 1/3 des mélanomes qui lui étaient soumis. Le laboratoire pharmaceutique Pfizer a rappelé une de ses applications de rhumatologie quand elle a constaté que les mesures qu’elle proposait étaient inadaptées…

A qui profite la confusion ?

Pour Kiera Butler, le discours marketing des développeurs d’application est trop souvent volontairement confus. Certes, comme nous l’avons expliqué, l’essentiel des applications proposées sur les magasins d’applications de nos smartphones ne relève pas de la santé, mais alors pourquoi entretenir une telle confusion ? D’un côté, les entreprises technologiques soutiennent qu’homologuer ou labéliser ces applications étoufferait l’innovation… De l’autre, des médecins estiment que renforcer les règles découragerait au moins les développeurs les moins sérieux.

Applications de santé (2/3) : bienvenue dans la jungle !

Par  le 27/01/15 


On trouverait plus de 100 000 applications de santé, de bien-être ou de sport dans les stores d’Apple et Google, rapporte la sociologue australienne Deborah Lupton (blog@DALupton). Selon Nielsen, 1/3 des Américains utiliserait l’une d’entre elles sur son smartphone. Le problème est que nombre d’applications de “santé” ne sont rien d’autre que des “applications de loisirs”. L’essentiel n’est homologué par personne. Elles sont seulement classées dans la catégorie santé par les magasins d’applications et rappellent au mieux quelque part dans leurs CGU qu’elles ne sont destinées qu’à “un objectif de loisirs” (for entertainment purposes only). Si on met de côté les questions de respect de vie privée qu’elles posent (et elles sont importantes, même si ce n’est pas l’objet de ce dossier), leur caractère “médical” et la fiabilité de ce qu’elles mesurent posent énormément de questions.
myhealthapps
Image : MyHealthApps, un site de recommandation d’applications de santé britannique développé par Patient View.

Est-ce vraiment de santé dont on parle ?

“La question de la fiabilité des données n’a pas le même niveau de “criticité” selon les usages qui sont faits des capteurs”, rappelle Olivier Desbiey de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. L’usage par un assureur des données d’un podomètre ou d’un bracelet d’activité pour donner une indication du niveau d’activité d’un assuré n’est pas de même nature que l’usage d’un capteur ou d’une application pour des questions médicales, dans le cadre d’un diagnostic ou du traitement d’une pathologie. Il existe au niveau européen, une législation sur les dispositifs médicaux qui vise expressément à s’assurer de la fiabilité de ces capteurs et applications pour certifier leur intérêt. La balance Withings par exemple dispose d’un marquage CE médical, alors que l’application, elle, n’en dispose pas.

Pédopsychiatrie LE CYBER BULLYING (1/9)

28.11.2014


La violence entre jeunes n’est pas un phénomène nouveau mais les technologies modernes (Internet, tablettes, smartphones,etc.) ont aboli les limites spatiales et temporelles et ont ainsi permis le développement d’agressions sans limites. Le médecin a un rôle à jouer auprès des victimes – et des agresseurs – et une place dans la prévention au sein des familles (1).

Le « school bullying » ou harcèlement en milieu scolaire est reconnu depuis quelques années. Caractérisé par des phénomènes d’agressions, il est pratiqué en individuel ou en groupe, sous des formes variées : violences physiques, humiliation, intimidation, racket, exclusion, injures à thème sexiste ou raciste. Ce sont des violences répétées et durables dont la finalité est de blesser physiquement ou moralement.


Liens entre suicide et chômage: «Il vaut mieux être chômeur à Roubaix qu’ailleurs»

PAR ÉLODIE RABÉ 10/02/2015

Une étude récente a mis en lumière le lien qui existe entre le taux de chômage et les tentatives de suicide. À Roubaix, où le chômage touche 37 % de la population, on comptabilise 230 tentatives de suicide pour 100 000 hommes. Un taux élevé bien qu’en dessous de celui du Nord - Pas-de-Calais (284 pour 100 000). Mais c’est pourtant au centre hospitalier de Roubaix qu’une structure inédite a vu le jour en 2010. Cinq ans après, quelles sont les conséquences de la mise en place de cette cellule d’écoute des suicidants? Réponses avec la psychiatre Isabelle Milhavet.


Isabelle Milhavet, une des psychiatres de la cellule Sisyphe, dans la salle d’entretiens de l’hôpital Provo.

D’où est venu le projet de mettre en place cette cellule de réécoute des suicidants Sisyphe en 2010 à l’hôpital Victor-Provo ?

« En faisant une évaluation auprès des gens qui étaient admis aux Urgences pour une tentative de suicide (TS), on s’est rendu compte qu’un tiers d’entre eux était déjà suivi par un centre médico psychologique (CMP) et un autre tiers nécessitait une hospitalisation. Mais pour le dernier tiers, il n’y avait aucun suivi. On leur remettait un carton pour qu’ils se rendent en CMP mais seulement 20 % d’entre eux consultaient vraiment. Et on sait que lorsqu’on a fait une TS, on a plus de risques de mourir d’un suicide. L’objectif était donc de savoir ce que devenaient les 80 % restant. »

Schizophrénie : causes, symptômes et traitements

Par 11 février 2015

La schizophrénie est un trouble mental grave, chronique et très complexe. Selon un rapport publié récemment par la Fondation Fondamentale et l'Institut Montaigne, la France est en retard en matière de prévention des maladies psychiatriques, dont la schizophrénie.

• Pr Marion Leboyer, professeur de Psychiatrie à l’Université Paris-Est Créteil, responsable du Pôle de psychiatrie des Hôpitaux universitaires Henri Mondor et d’une équipe Inserm «Psychiatrie génétique » et directrice de la Fondation FondaMental
• Pr Raja Labbane, psychiatre, professeur de Psychiatrie à la Faculté de médecine de Tunis, présidente de la société tunisienne de psychiatrie.

Baisse de la prévalence de la démence chez les personnes âgées vivant en milieu rural

 10/02/2015


Chez les personnes âgées de plus de 65 ans vivant en milieu rural et agricole, laprévalence de la démence aurait significativement diminué, selon les derniers résultats d’une étude épidémiologique, intitulée AMI. « L’ampleur est inédite : sur 20 ans, on enregistre une baisse de la démence de 38 % en milieu rural », explique le directeur de l’étude, le Pr Dartigues, neurologue et spécialiste en santé publique à l’Université de Bordeaux Segalen.
Lancée en 2007, l’étude AMI – dirigée par le groupe de protection sociale complémentaire AGRICA, en partenariat avec la Mutualité sociale agricole (MSA) et l’Institut de Santé publique, d’épidémiologie et de développement (ISPED) – est un programme de recherche multidisciplinaire sur le vieillissement et la dépendance en milieu rural et agricole, portant sur environ 1 000 personnes de plus de 65 ans vivant en Gironde.
En 2009, les résultats préliminaires de l’étude AMI révélaient que les retraités agricoles étaient plus fréquemment touchés par les maladies neuro dégénératives, mais qu’ils étaient globalement plus heureux que les citadins. En 2012, les résultats montraient que les personnes âgées vivant en milieu rural étaient souvent plus fragiles et plus fréquemment touchés par des affections de longue durée, mais qu’ils étaient pourtant très peu nombreux à résider dans des institutions spécialisées.

Rapport sur la santé en France Une des meilleures espérances de vie d’Europe

0.02.2015


La Drees vient de publier l’édition 2015 de son rapport « Etat de santé de la population en France ». Si l’espérance de vie française est toujours l’une des plus élevées d’Europe, il subsiste de multiples facteurs d’inégalité de santé. Ceux- ci sont étroitement liés à la position sociale et au niveau d’études, ainsi qu’à des disparités territoriales.

Le rapport de la Drees sur l’état de santé des Français qui vient de paraître, s’ouvre sur un constat rassurant. L’espérance de vie continue en effet d’augmenter. Celle des femmes à la naissance (85,4 ans) et à 65 ans, ainsi que celle des hommes à 65 ans est en effet l’une des plus élevées en Europe (à la naissance elle est de 79,2 ans).

Le combat de deux tchèques devant la Cour européenne pour défendre l’accouchement à domicile

10.02.2015


Deux femmes Tchèques, Sarka Dubska et Alexandra Krejzova ont saisi la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) pour promouvoir l’accouchement à domicile. Elles demandent à la Cour de Strasbourg de se pronocner sur une loi tchèque qui interdit aux sages-femmes d'assister aux accouchements à domicile. La Cour a tranché une première fois en décembre: les droits des deux mères n'ont pas été violés. "Ce verdict nous a apporté une déception et une surprise", a dit Mme Dubska. Les deux plaignantes placent maintenant leurs espoirs dans la Grande Chambre de la CEDH. "Malheureusement, le paternalisme et la volonté de limiter les choix des patients sont encore très présents dans le système tchèque des soins médicaux", constate Zuzana Candigliota, juriste à la Ligue tchèque des droits de l'Homme. "Les médecins de renom ont également des intérêts financiers: ils obtiennent des sommes importantes de l'assurance maladie et risquent de perdre de l'argent s'il y a une alternative", dit-elle.

Equateur : les féministes s’approprient le terme de «putain»

AFP


Juron très fréquent en Amérique latine, l’expression de «putain» s’est invitée dans une campagne controversée, lancée par des féministes en Equateur où les violences contre le sexe faible restent encore un fléau.
«Si être une putain, c’est être libre et maître de mon corps, alors je suis une putain... Et alors ?». L’inscription figure en grosses lettres sur des panneaux géants installés à Quito, où vivent quelque 2,5 millions d’habitants.
Le slogan «Plus Jamais ça», à côté d’une croix rose et la silhouette d’un visage féminin, complète le message diffusé dans la capitale du pays andin.
«L’idée est simplement de dire : il ne faut pas cataloguer une femme comme putain en raison de sa façon de s’habiller», explique à l’AFP Carla Cevallos, conseillère municipale de Quito, à l’initiative de cette campagne.

Les cancers en France : bilan globalement positif selon l’INCa

03.02.2015


Le bilan 2014 des cancers en France vient d’être publié par l’INCa. Il est globalement positif puisqu’on constate un taux d’incidence qui baisse ou tend à se stabiliser depuis 2005. Chez les hommes, cette baisse est de 1,3% par an depuis 2005 et est liée à une diminution d’incidence du cancer de la prostate. Chez les femmes, on assiste à un ralentissement de la progression d’incidence. Elle n’est plus que de +0,2% par an après 2005, au lieu de +1,6% entre 1980 et 2005. En cause : la baisse de l’incidence du cancer du sein. Malgré cette baisse, note le rapport, on assiste à une hausse du nombre de nouveaux cas de cancers, en raison de l’augmentation et du vieillissement de la population (355 000 nouveaux cas par an). Quant aux décès par cancers, ils sont de 148 000 chaque année (85 000 chez l’homme et 63 000 chez la femme).

samedi 7 février 2015

Psychiatrie à Saintes : il s’était échappé lors d’une sortie thérapeutique à Bordeaux

06/02/2015

Les syndicats CGT et Unsa demandent à ce que les trois infirmières ne soient pas sanctionnées. Une mobilisation a lieu ce vendredi