Céline Lafontaine
Date de parution 10/04/2014
Sang, tissus, cellules, ovules : le corps humain, mis
sur le marché en pièces détachées, est devenu la source d’une nouvelle
plus-value au sein de ce que l’on appelle désormais la bioéconomie. Sous
l'impulsion de l'avancée des biotechnologies, la généralisation des techniques
de conservation in vitro a en effet favorisé le développement d'un marché
mondial des éléments du corps humain.