Connaissez-vous l’Ablixa ? Ce nouveau médicament, à peine lancé, à grand renfort de spots publicitaires, fait merveille dans les cas de dépression profonde. C’est ce que le sémillant docteur Banks prescrit à Emily Taylor, qui vient de précipiter sa voiture volontairement dans le mur de son parking. Emily est suicidaire. Déjà, quand son mari, un trader à qui tout réussissait, a été arrêté pour délit d’initié, et qu’elle a dû changer de vie, de train de vie, surtout, la jolie brune avait consulté une psy, qui se souvient très bien de son cas. Cette fois, c’est le retour de ce mari pourtant aimé, au bout de quatre ans de détention, qui a ravivé la dépression. Emily a du mal à se réhabituer, elle a perdu l’enfant qu’elle attendait, n’a plus envie de faire l’amour, et s’en veut…
Le docteur Banks la suit, tente plusieurs traitements et, finalement, opte pour l’Ablixa, nouvelle pilule en vogue, prônée par une publicité très envahissante - et par le labo qui la fabrique, aux méthodes très… persuasives face au corps médical. Les premiers résultats sont plus qu’encourageants. Jusqu’au jour où, dans une crise de somnambulisme, un « effet secondaire » rare mais répertorié, Emily commet l’irréparable. Et ne s’en souvient pas… Qui est coupable ? La patiente, ou son médecin ?
Le docteur Banks la suit, tente plusieurs traitements et, finalement, opte pour l’Ablixa, nouvelle pilule en vogue, prônée par une publicité très envahissante - et par le labo qui la fabrique, aux méthodes très… persuasives face au corps médical. Les premiers résultats sont plus qu’encourageants. Jusqu’au jour où, dans une crise de somnambulisme, un « effet secondaire » rare mais répertorié, Emily commet l’irréparable. Et ne s’en souvient pas… Qui est coupable ? La patiente, ou son médecin ?