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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 14 février 2013


Une adolescente de 13 ans se suicide dans l'Essonne

Par , publié le 
Avant de passer à l'acte, elle avait laissé une lettre dans laquelle elle aurait indiqué avoir subi des brimades de la part de ses camarades de collège. Une enquête décès a été confiée à la gendarmerie. 

24h en prison : surveiller, punir, et après ? - vendredi 15 février 2013

France Culture ouvre le dossier des prisons et lui consacre 24 heures d'antenne le 15 février à partir de 6h du matin.
 
France Culture remercie l’artiste Mohamed Bourouissa et la galerie kamel mennour pour cette photographie tirée de la série « Temps mort (2008-2009) ».
  • Cette proposition s'inscrit dans un contexte d'actualité - la "conférence de consensus"  sur la prévention de la récidive, initiée par la Garde des Sceaux, Madame Christiane Taubira, les 14 et 15 février prochains.
  • Mais plus largement, du scandale de la situation sanitaire des Baumettes aux interrogations sur le sens de la peine, des expérimentations sur la prison sans murs aux inquiétudes sur la radicalisation religieuse de certains détenus, France Culture explore les prisons dans toutes leurs dimensions, y compris internationales.
  • Au programme de ces 24h : des magazines dont certains exceptionnellement enregistrés dans la prison de Fleury-Mérogis, des débats et des reportages de la rédaction : Florence Sturm dans une prison de femmes à Rennes, Laure de Vulpian sur le travail pénal et la vie en prison et Frédéric Says sur les nouvelles prisons et la religion en prison.

  • En partenariat avec

  • LE PROGRAMME DES 24H PRISON



    mercredi 13 février 2013

    Psychothérapie à haut risque

    M le magazine du Monde | 

    Ah, le commandant Lanester, son chat Walesa, sa psy Jacinthe, sa fiancée Léo, son second Bazin... On s'y est attaché en 2007, dans le premier polar de la Lyonnaise Françoise Guérin, A la vue, à la mort. On le retrouve aujourd'hui avec ses mêmes doutes et lubies dans Cherche jeunes filles à croquer, où cet indécrottable Parisien se retrouve à enquêter à Chamonix sur la disparition de jeunes filles en proie à de profonds troubles alimentaires. Un seul point commun : une clinique où elles suivaient un traitement psychothérapique. Avec subtilité, Françoise Guérin a construit un roman sur la manipulation psychologique, qui démarre par une citation de Jacques Lacan et se termine dans le cabinet d'une psychanalyste. Autant dire que, en dépit de l'anorexie et de la boulimie des héroïnes, en lisant ce livre malin et taquin, on ne reste pas sur sa faim.

    Couverture de "Cherche jeunes filles à croquer". Editions du masque

    Des garçons nés dans les roses

    Par LORRAINE MILLOT
    Différence. Ils s’imaginent en fille, s’habillent avec des tee-shirts à fleurs, ce sont les «pink boys». Trois quarts de ces enfants deviendront gay. Aux Etats-Unis, le phénomène est de mieux en mieux reconnu.
    Sharon Pruitt
    A 6 ans, John (1) refuse de se laisser couper les cheveux et porte une robe pour aller à l’église tous les dimanches. «On a commencé à comprendre qu’il était différent lorsqu’il a eu 3 ans, raconte sa mère. Il s’était mis à vouloir absolument une baguette magique. Lorsqu’il l’a obtenue, il était très déçu en découvrant que ce n’était pas une "vraie". Il nous a finalement expliqué qu’il la voulait pour se transformer en fille.» Après des mois de grand désarroi, sa mère a compris : John est un «pink boy», un «garçon rose» ou «enfant en non-conformité de genre», comme on appelle aux Etats-Unis les petits garçons qui s’imaginent en filles. L’inverse existe aussi, sous le nom bien connu de «garçon manqué» mais nos sociétés l’acceptent généralement mieux et font moins de drames lorsqu’une fillette s’habille en garçon.

    L’armée face au défi de l’état de stress post-traumatique

    Grâce au premier séminaire sur les traumatismes psychiques qui s’est tenu ce lundi à l’hôpital d’instruction des armées (HIA) du Val-de-Grâce, la « Grande muette »a commencé à lever le voile sur un tabou : l’état de stresspost-traumatique.
    REVUE SANTÉ MENTALE

    FAUT-IL AVOIR PEUR DES FILMS D'HORREUR?
    Auteur(s) : Virginie Jardel, infirmière
    Nbre de pages : 4
    Un groupe cinéma propose chaque semaine aux patients d’un Centre d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP) de visionner un film choisi par l’un d’entre eux. Mais faut-il sélectionner des films violents ? Question éthique pour l’équipe soignante.

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    Bientraitance : un comité pour les personnes âgées et handicapées


    La ministre des personnes âgées Michèle Delaunay et celle des personnes handicapées Marie-Arlette Carlotti ont mis en place un nouveau Comité national pour la bientraitance et les droits. Le CNBD aura pour mission de promouvoir les bonnes pratiques et de mieux expliciter les droits des personnes âgées et handicapées. Prévention du suicide à domicile mais aussi des accidents qui touchent les personnes âgées désorientées, ce comité devra notamment se pencher sur l’usage de dispositifs de géo-localisation pour protéger ces personnes fragiles sans entraver leur liberté de mouvement.

    Expérimentation du tiers payant intégral pour les étudiants



    AFP) - L' a voté vendredi une expérimentation pour trois ans du tiers payant intégral pour les étudiants dans trois villes universitaires, proposée par le  via un amendement au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2013.
    L'expérimentation, qui concernera aussi le tiers payant pour les patients des équipes de soins de proximité, entend lutter contre le renoncement aux soins en supprimant l'aspect  lié à l'avance des frais et en améliorant le parcours de soins des patients, fait valoir le gouvernement.

    Alors que le sujet fait régulièrement polémique, le service statistique de ministère du travail et de l'emploi (la Dares) publie mardi 12 février une étude très instructive sur les arrêts-maladie et leur fréquence. Le principal enseignement de cette étude est que contrairement aux idées reçues, les fonctionnaires ne sont pas plus souvent arrêtés que les salariés du privé en CDI depuis plus d'un an.

    Le lifelogging, aide à la santé

    Le lifelogging, c’est-à-dire le fait d’enregistrer et d’archiver toutes les informations de sa vie, comme le propose le Quantified Self, peut-il influencer notre comportement et nous donner de nouveaux réflexes de santé ? C’est la question que s’est posé le Journal américain de médecine préventive, relayé par le New Scientist.
    Un bon nombre d’articles du dossier reposent sur la SenseCam de Microsoft. Il s’agit d’un appareil photo porté autour du cou, qui prend des clichés automatiquement tout au long de la journée. A noter que ce produit risque d’être aujourd’hui difficile à trouver. Il était commercialisé sous licence Microsoft par Vicon Revue qui a annoncé l’arrêt de sa distribution fin 2012.

    OpenViBE

    Piloter un ordinateur par la pensée ? Encore inimaginable il y a une dizaine d’années, réaliser une telle prouesse est désormais possible. Financé par l’Agence Nationale de la Recherche, OpenViBE est le premier projet français multipartenaires sur les interfaces cerveau-ordinateur. Porté par l’Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (INRIA) et l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm), OpenViBE a abouti à la mise au point d’un logiciel gratuit aux applications prometteuses.
    Une interface cerveau-ordinateur ou ICO (en anglais Brain-Computer Interface ouBCI) permet à son utilisateur d'envoyer des commandes à un ordinateur ou à une machine uniquement par la pensée. En 2005, alors que la recherche dans le domaine était pratiquement inexistante en France, les chercheurs ont initié un projet baptisé OpenViBE pour mener une recherche innovante sur les interfaces cerveau-ordinateur. En alliant leurs connaissances sur le fonctionnement du cerveau, leur expertise technique et informatique, les chercheurs ont réussi, moins de quatre ans après son lancement, à mettre au point un logiciel ergonomique et simple d'accès.

    Couverture de la contraception aux États-Unis : les « employeurs religieux » exemptés

    Intel pourrait permettre à Hawking de s’exprimer bien plus rapidement

    «Bien à vous», vraiment?

    17 janvier 2007

    Avez-vous bien remarqué à quel point la formule «Bien à vous» a envahi nos fins de messages et autres courriels pluriquotidiens ? Comme si l'époque tout entière s'adonnait à ce vice impuni : pécher par antiphrase. Comme si, plus que jamais, il fallait faire mentir ces quelques mots qui rituellement précèdent pour le meilleur et pour le pire nos encombrants paraphes.
    Oubliées pourtant les assurances de considération plus ou moins distinguée qui masquent le souverain mépris que nous éprouvons pour le destinataire de notre missive, enfoncées les «salutations» qui n'ont de respectueuses que le nom, distancés les secs et brefs«cordialement» de moins en moins cordiaux qui ont parsemé le bas de nos pages. Quant aux sentiments si peu éprouvés, mais si fort brandis, ils ne trouvent plus grâce qu'aux yeux des septuagénaires déjà depuis longtemps sur le banc de touche. Pour ne rien dire des«Votre dévoué» qui moisissent au fond des études de notaires de province, abandonnés de tous ou presque.
    Séparation
    Nicole Malinconi

    Ce livre est la réflexion de l’auteur et sa perception à la fin d’une psychanalyse. Tout au long de l’ouvrage, elle revient sur ce qu’est la psychanalyse et le travail qu’elle y a effectué. L’écriture noueuse mais parfaitement maîtrisée donne l’impression de suivre les pérégrinations de sa pensée. La première personne permet une identification sur des sujets qui touchent tout un chacun. Ainsi l’évocation de la mère, du sexe et la recherche de l’identité personnelle ramène le lecteur à son parcours qu’il soit ou non aussi sinueux.


    Quand la prison se substitue à la psychiatrie

    le 14/02/2013

    Un homme atteint de schizophrénie a été condamné à 8 ans d’emprisonnement pour une tentative de vol avec violence.


    C’est une affaire un peu particulière que devait juger le tribunal ce mercredi. Si les faits, comme le remarqueront la procureur Edwige Roux-Morizot ainsi que M e Étienne Colin à la défense, sont simples, le contexte, en revanche, pose question. En effet, le 26 janvier 2012, le prévenu, âgé de 42 ans, s’est présenté au domicile d’une femme de 92 ans, rue Nicolas-Bornier à Dijon, en se faisant passer pour un agent EDF. Une fois que la victime lui a ouvert sa porte, il l’aurait brutalement bousculée pour entrer dans la maison dans le but, selon lui, de boire et de chercher de l’argent et des cigarettes.

    La vielle dame souffre de plusieurs fractures, de contusions et, bien entendu, restera traumatisée par la violence de l’agression. Elle ne reviendra plus chez elle, dans sa maison de famille où elle a vécu avec feu son époux et où ont grandi ses enfants, pour terminer sa vie dans une maison de retraite.
    Un voleur sans scrupule, une victime âgée, rien de très original et, pourtant, on apprend que l’homme est un malade mental, un psychotique atteint de schizophrénie et de troubles du comportement. Pour l’expert psychiatre, aucun doute, l’homme est dangereux s’il ne prend pas son traitement. Pour autant, son discernement n’aurait pas été aboli lors du passage à l’acte, mais seulement altéré. Concrètement, il est pénalement responsable.

    De lourds antécédents

    Un malade mental donc, doublé d’un récidiviste. La lecture du casier de ce prévenu un peu particulier est très édifiante : 16 mentions, essentiellement des vols, et, surtout, une lourde peine en 1998 : 20 ans de réclusion pour un vol avec violence ayant entraîné la mort. La victime était une femme âgée. Un dossier qui ressemble fort à celui qui occupait le tribunal dijonnais mercredi après-midi.
    Après 10 ans passés derrière les barreaux, El Hosni El Ouazzani est ressorti, en libération conditionnelle. Libération finalement révoquée après des faits de dégradation, de vol, et deux séjours en hôpital psychiatrique.

    Que répond la société ?

    « Où est sa place ? » s’interroge la procureur. « La cour d’assises l’a jugé responsable de ses actes, les psychiatres ont décidé que sa place n’était pas en milieu psychiatrique fermé. On a laissé à la société civile et sa famille le soin de s’occuper de lui. »
    La seule solution qui conviendrait serait-elle la prison ? C’est bien ce que l’on entend des réquisitions du ministère public qui demande 10 à 11 d’emprisonnement si la récidive légale est retenue.
    « Que faire ? Où le placer ? Qui doit le prendre en charge et s’assurer qu’il suit bien des soins ? » s’interroge à son tour M e Colin. Et ces questions demeurent d’autant plus inquiétantes que les derniers mots prononcés par M. El Ouazzani seront d’une parfaite lucidité : « En prison, ça risque de s’aggraver… »
    Et à sa sortie, que fera la société pour cet homme qui semble n’avoir sa place nulle part ailleurs qu’en prison 
    ?

    mardi 12 février 2013

    Isabella Rossellini, éthologue modèle

    LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 


    | ISABELLA ROSSELLINI/PREMIÈRE HEURE

    Elle est une maman hamster (Mesocricetus auratus) qui dévore sans état d'âme deux de ses bébés pour se requinquer, "récupérer un peu de protéines et vitamines perdues à l'accouchement". Elle est une femelle coucou (Cuculus canorus) qui pond ses oeufs dans le nid d'une autre espèce pour ne pas se fatiguer à les élever. Et bien d'autres bestioles encore qui mettent les pieds dans le plat du sacro-saint instinct maternel. Elle est avant tout une femme célèbre, actrice et mannequin, métamorphosée en scénariste, réalisatrice et interprète de courts-métrages "scientifico-comiques" sur les comportements animaux.
    Après avoir exploré les moeurs sexuelles et les techniques de séduction des insectes, poissons et autres bêtes qui volent ou qui nagent dans les séries documentaires "Green Porno" (2008) et "Seduce Me" (2011), Isabella Rossellini s'attaque au thème mythique de la maternité avec "Mammas", dix épisodes de trois minutes (diffusés sur Arte jusqu'au 17 février). Le contrat, faire découvrir en divertissant, à moins que ce ne soit le contraire, est une fois encore parfaitement rempli.

    lundi 11 février 2013

    Le lent naufrage de la Protection judiciaire de la jeunesse

    LE MONDE | 

    A l'établissement de placement éducatif de Rosny-sous-Bois qui s'en sort pas si mal au milieu de la déshérence des services franciliens de la Protection judiciaire de la jeunesse.
    A l'établissement de placement éducatif de Rosny-sous-Bois qui s'en sort pas si mal au milieu de la déshérence des services franciliens de la Protection judiciaire de la jeunesse. | Cyril Bitton/french-politics pour Le Monde

    François Hollande a répété que la justice des mineurs était une priorité et a promis, le 18 janvier, une loi dans l'année, "pour clarifier et simplifier" les textes. Cela risque de ne pas suffire. La Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), chargée des mineurs délinquants – l'éducation surveillée de jadis –, fait lentement naufrage, dans une discrétion absolue. Le niveau de désorganisation, après des réformes menées à la hussarde, est tel que les cadres se demandent s'ils ne font finalement pas plus de mal que de bien aux jeunes qu'ils accueillent.
    "On nous demande surtout qu'il n'y ait pas de remous", explique un directeur de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) qui, comme ses collègues, tient par-dessus tout à l'anonymat, parce qu'"il y a mille représailles possibles""Dans les rapports que je fais à la centrale,assure une responsable, je dois répondre que tout va bien – l'essentiel, c'est d'être de bons élèves." Dès qu'un compte rendu est un peu alarmiste, "on me répond que c'est exagéré, que les choses se sont améliorées".

    Le Sénat examinera la création des maisons de naissance le 28 février

    Le Monde.fr avec AFP | 

    Gérées par des sages-femmes de façon autonome, les maisons de naissance sont en liaison étroite avec les maternités afin de concilier sécurité et approche physiologique de la naissance.
    Gérées par des sages-femmes de façon autonome, les maisons de naissance sont en liaison étroite avec les maternités afin de concilier sécurité et approche physiologique de la naissance. | AFP/DIDIER PALLAGES

    Le Sénat examinera le 28 février une proposition de loi visant à autoriser les maisons de naissance, qui permettent aux femmes d'accoucher sans être hospitalisées. "Ces maisons proposent aux femmes une alternative à l'hospitalisation classique. Les sages-femmes y réalisent un accompagnement global", explique Muguette Dini, sénatrice (UDI) du Rhône, à l'origine du texte.

    Urgences : les situations « explosives et intenables » se multiplient, dénonce l’AMUF

    L’Association des médecinsurgentistes de France (AMUF) tire la sonnette d’alarme sur la situation des services d’urgences, dont beaucoup se retrouvent « comme jamais sous tension ».
    « Les équipes sont épuisées, des tensions, voire des heurts sont constatés entre services d’un même centre hospitalier, expose l’association. Les raisons complexes et multifactorielles ne sont plus seulement dues à un manque de moyens. »
    Au CHU de Grenoble, les urgentistes menacent de démission collective. À Roubaix, c’est chose faite. « Confrontée au silence assourdissant de l’agence régionale de santé (ARS) comme de la direction du centre hospitalier face aux problèmes structurels de son service », la chef des urgences a quitté son poste. La conjoncture est tout aussi critique àStrasbourg, où les urgences du Nouvel Hôpital Civil sont « saturées », dénonce l’AMUF.

    Des milliers d’emplois supprimés

    Pessimiste, le syndicat prédit « la suppression de milliers d’emplois supplémentaires », consécutive à la progression « insuffisante » des budgets hospitaliers.
    « Comment faire plus et mieux avec des moyens toujours et encore plus réduits et des équipes de soignants proches de la rupture ? », interroge l’association ?
    Face à des situations « explosives et intenables tant pour les usagers du service public que pour soignants et médecins », l’AMUF attend des réponses concrètes de Marisol Touraine.
    La ministre de la Santé avait affirmé sur « France Inter » que pour désengorger les urgences, la réponse ne devait pas « uniquement résider dans le fait d’apporter davantage de personnels ».
    › A. B.-I
     11/02/2013

    Radio-Canada.ca
    Mise à jour le jeudi 7 février 2013

    Problèmes de maladie mentale : le Conseil du patronat préoccupé

    Le nombre de travailleurs touchés par une forme ou l'autre de maladie mentale est devenu tellement important que le Conseil du patronat du Québec a cru bon d'organiser un colloque sur les orientations que les employeurs doivent prendre pour éviter que la situation s'aggrave.