Bayonne
Santé : un important retard à combler en Pays basque en psychiatrie hospitalière
Publié le 26/10/2012
Par véronique fourcade
Par véronique fourcade
D'importants moyens ont été octroyés à l'hôpital de Bayonne pour restructurer les bâtiments et renforcer les équipes du centre Bellevue
Pierre Girardet, chef de pôle et Fabienne Lechien, cadre de pôle dans la salle d'ergothérapie. (Photo Jean-Daniel Chopin)
«Un changement profond de nos pratiques et de notre conception du soin en psychiatrie » tel est l'axe de travail défendu par le docteur Pierre Girardet, chef de pôle en psychiatrie adulte au centre hospitalier de la Côte basque. Lorsqu'il fut question de réformer « Bellevue » (1), ce praticien a soulevé la question suivante : est-ce que je souhaiterai que mon fils ou ma fille soit hospitalisé dans ce service ?
La réponse, contenue dans la question, implique que le CHCB rattrape le retard historique de l'établissement (voir par ailleurs).
Des nouveaux moyens permettent de nouvelles orientations. On n'hospitalisera plus seulement en fonction de secteurs géographiques mais en fonction des pathologies. Ainsi au premier semestre 2013 verront le jour une « unité contenante intersectorielle » de 11 lits, une unité de transition de 24 lits et une unité d'addictologie et de sevrages complexes de 16 lits.
Pierre Girardet, chef de pôle et Fabienne Lechien, cadre de pôle dans la salle d'ergothérapie. (Photo Jean-Daniel Chopin)
«Un changement profond de nos pratiques et de notre conception du soin en psychiatrie » tel est l'axe de travail défendu par le docteur Pierre Girardet, chef de pôle en psychiatrie adulte au centre hospitalier de la Côte basque. Lorsqu'il fut question de réformer « Bellevue » (1), ce praticien a soulevé la question suivante : est-ce que je souhaiterai que mon fils ou ma fille soit hospitalisé dans ce service ?
La réponse, contenue dans la question, implique que le CHCB rattrape le retard historique de l'établissement (voir par ailleurs).
Des nouveaux moyens permettent de nouvelles orientations. On n'hospitalisera plus seulement en fonction de secteurs géographiques mais en fonction des pathologies. Ainsi au premier semestre 2013 verront le jour une « unité contenante intersectorielle » de 11 lits, une unité de transition de 24 lits et une unité d'addictologie et de sevrages complexes de 16 lits.