- ORGANISME. L'Association pour la santé mentale (section Québec) déménageait récemment à Charlesbourg. Cet organisme à but non lucratif, fondé en 1963, organise conférences et ateliers pour faire la promotion et la prévention de la santé mentale. Rencontre dans les nouveaux locaux avec la directrice, Monique Boniewski.
Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
mercredi 3 septembre 2014
«Se préoccuper de sa santé mentale, c'est comme se préoccuper de bien manger» – Monique Boniewski
Viviane Asselin Publié le 21 août 2014
Bégaiement : les nouvelles voies de la recherche
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO |
A quoi reconnaît-on le cerveau d'une personne bègue ? La recherche sur le bégaiement s'est accélérée ces quinze dernières années. Grâce à l’imagerie par résonance magnétique (IRM), il a été montré que le cerveau des bègues présente des différences anatomiques et fonctionnelles par rapport à celui de non-bègues, avec notamment des anomalies structurelles frontales gauches.« Alors que la parole fluente (aisée) implique aussi l'hémisphère gauche, les personnes qui bégaient mobilisent leur cerveau droit, et c'est la connexion entre ces différentes aires du cerveau qu'il faut explorer », a estimé le professeur Martin Sommer, neurologue à Göttingen (Allemagne), et lui-même bègue, lors du 6e colloque de l'Association Parole Bégaiement (APB, Begaiement.org), vendredi 4 avril à Paris. Un excès de production de dopamine, un des principaux neurotransmetteurs, a aussi été relevé chez les enfants qui bégaient, ce qui persisterait à l'âge adulte.
La dépendance à l’héroïne est à l’origine de plus de la moitié des décès liés aux drogues
30/08/2013
Une étude publiée dans la revue « The Lancet » évalue pour la première fois la prévalence de la dépendance aux quatre grandes catégories de drogues illicites dans le monde : amphétamines, cannabis, cocaïne et opiacés (héroïne). L’équipe de chercheurs australiens et américains s’est appuyée sur les données de l’étude GBD (Global Burden of Diseases, Injuries, and Risk Factors Study ou étude sur la charge mondiale des maladies, blessures et facteurs de risque 2010).
L’étude révèle que si le cannabis est de loin la drogue la plus répandue dans le monde, la dépendance aux amphétamines et à l’héroïne est plus fréquente. On estime que 13 millions de personnes sont dépendantes au cannabis, 15 millions le sont à l’héroïne et 17 millions aux amphétamines. La dépendance aux drogues touche plus les hommes (près de deux tiers de personnes dépendantes) de 20 à 29 ans.
Stress post-traumatique : le « k-hole », traitement minute pour oublier ?
Publié le 06/05/2014
La kétamine est un antagoniste du récepteur au glutamate NMDA. Ses propriétés psychotropes hallucinogènes dissociatives sont connues depuis longtemps et détournées à visée récréative par les toxicomanes. La modification de la perception du monde et l’amnésie des sensations ressenties sous son emprise sont appelées par les usagers « k-hole ». En pratique clinique quotidienne, elle est utilisée comme produit d’anesthésie.
Un manque thérapeutique dans le SSPT
Depuis quelques années, son intérêt thérapeutique est étudié, avec des résultats prometteurs, dans le traitement de la dépression résistante, à des posologies inférieures à celles utilisées en anesthésie. Parallèlement, les traitements médicamenteux "classiques" utilisés dans le syndrome de stress post-traumatique, ne permettent la plupart du temps qu’un soulagement partiel des symptômes.
Plusieurs études observationnelles ont été menées pour déterminer l’effet de la kétamine sur les symptômes d’anxiété parmi des patients ayant subi un accident, mais leurs résultats restent mitigés.
mardi 2 septembre 2014
De STOP DSM à POST DSM
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Espace analytique HOMMAGE À JEAN OURY
Avec la participation de Serge Bédère, Gisèle Chaboudez, Stefan Chedri, Laurent Delhommeau, Christophe du Fontbaré, Samuel Lievain, Ginette Michaud, Pierre Poisson, Alain Vanier, etc. Sont conviés tous ceux qui ont suivi, accompagné ou prolongé le travail de l’équipe de La Borde et le mouvement qu’il a généré.
Membre d’honneur d’Espace analytique, Jean Oury est mort le 15 Mai 2014. Son enseignement a influencé nombre d’entre nous. Nous lui rendrons hommage.
Le Samedi 27 Septembre 2014 (10h-17h)
Entrée libre
au 12, rue de Bourgogne, 75007 Paris
Tél. 01 47 05 23 09
Véronique Poulain : "Mes parents sont sourds-muets et moi j’ai été bavarde dès l’âge de 1 an !"
C’est l’un des livres les plus singuliers de cette rentrée littéraire. Dans Les Mots qu’on ne me dit pas (Stock), Véronique Poulain raconte son enfance – tout sauf dramatique – parmi les sourds-muets qui l’ont élevée : son père, sa mère et son oncle. Attention, interdit de la plaindre ! Rencontre.
MyBOOX : Quand avez-vous décidé de raconter votre enfance parmi les sourds-muets dans un livre ? Et avez-vous été soutenue par vos proches dans cette démarche ?
Véronique Poulain : D’une façon générale, oui tout le monde m’a soutenue. Au départ, je suis une grande lectrice ! J’ai commencé très tôt grâce à des professeurs fabuleux qui m’ont notamment fait découvrir les Rougon-Macquart en 6e. Ça a été mon truc pendant des années, je passais mon temps à lire Zola. Je lisais, je lisais sans arrêt avec des velléités d’écrire de plus en plus fortes, mais quand vous avez Zola, Céline et Dostoïevski comme références vous vous dites "Non, non, je ne vais pas le faire".
Parfois, j’écrivais des nouvelles pour des amis mais ça s’arrêtait là. Quand je revenais de week-ends entre copains, il m’arrivait de raconter le séjour vu par les différents protagonistes et je leur distribuais la nouvelle mais c’était toujours dans l’idée de donner, de partager… Et puis un jour, suite à une rupture, j’ai écrit dix pages de colère dans lesquelles j’exprimais pêle-mêle tout ce que je ressentais à l’égard de la personne concernée mais où j’évoquais aussi mes parents, mon enfance… A l’époque je travaillais avec Guy Bedos. Je lui ai montré mon texte et il m’a tout de suite dit "C’est un livre !". Il m’a expliqué qu’il faudrait soutenir cette verve sur 150 pages et que ce serait difficile mais que c’était un très bon début. A partir de là, je me suis sentie autorisée à me lancer.
Pourquoi l’enfance des humains est-elle si longue ?
Le Monde Blogs Pierre Barthélémy 31 août 2014
Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer le phénomène. Parmi ces pistes, on trouve par exemple des raisons biologiques – les mères ne pourraient pas, après le sevrage, fournir les calories nécessaires à leurs enfants si ceux-ci grandissaient vite – ou culturelles – les techniques complexes indispensables à la survie des humains nécessitent de si longs apprentissages que cela a ralenti le développement pré-adulte et en a étendu la durée. Un troisième scénario a la faveur de nombreux biologistes, celui du cerveau coûteux et du compromis énergétique : la structuration de notre énorme cerveau (le plus gros du monde des mammifères si on rapporte sa masse à celle d'un individu) pendant l'enfance nécessite une telle quantité d'énergie que l'organisme serait obligé d'arbitrer, de faire des choix dans la distribution du carburant qu'est le glucose, de privilégier la matière grise au détriment de la croissance corporelle.
Dans la classe des mammifères, les primates grandissent en général moins vite que les autres animaux. Et chez les primates, Homo sapiens est le roi des lambins, passant un temps considérable dans l'enfance et l'adolescence. Ainsi que le résume une étude américaine parue le 25 août dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l'humain grandit à "un rythme qui ressemble plus à celui des reptiles qu'à celui des mammifères". Même si le constat n'est pas neuf, dit cet article, on ignore toujours la cause de cette enfance au ralenti.
Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer le phénomène. Parmi ces pistes, on trouve par exemple des raisons biologiques – les mères ne pourraient pas, après le sevrage, fournir les calories nécessaires à leurs enfants si ceux-ci grandissaient vite – ou culturelles – les techniques complexes indispensables à la survie des humains nécessitent de si longs apprentissages que cela a ralenti le développement pré-adulte et en a étendu la durée. Un troisième scénario a la faveur de nombreux biologistes, celui du cerveau coûteux et du compromis énergétique : la structuration de notre énorme cerveau (le plus gros du monde des mammifères si on rapporte sa masse à celle d'un individu) pendant l'enfance nécessite une telle quantité d'énergie que l'organisme serait obligé d'arbitrer, de faire des choix dans la distribution du carburant qu'est le glucose, de privilégier la matière grise au détriment de la croissance corporelle.
Officiel : Merkel à la recherche de psychologues
Le Monde Blogs Frédéric Lemaitre 28 août 2014
C'est le quotidien Bild qui, en début de semaine, a levé le lièvre. La rigueur budgétaire à l'honneur en Allemagne n'empêche pas la chancellerie de continuer à recruter. Et pas n'importe qui : des experts comportementalistes.
Le département politique de la chancellerie a en effet passé une petite annonce pour recruter trois spécialistes, en psychologie, en anthropologie et en économie comportementale. L'idée est de créer au sein du département politique un groupe-projet baptisé "gouverner efficacement". "De nouvelles approches politiques seront pensées et testées dans un groupe interdisciplinaire", précise l'annonce.
Renseignement pris, Angela Merkel s'inspire à son tour du best-seller américain Nudge, publié en 2008 par l'économiste Richard Thaler et le juriste Cass Sunstein et paru en français avec le sous-titre "la méthode douce pour inspirer la bonne décision".
De quoi s'agit-il ? L'homo sapiens n'étant pas toujours rationnel, il s'agit de trouver des méthodes pour qu'il prenne les meilleures décisions possibles. Les adeptes de cette théorie donnent plusieurs exemples. Le plus célèbre est celui du don d'organes. Pour le favoriser, un gouvernement a deux possibilités : inciter les gens à déclarer par avance qu'ils sont prêts à donner un de leurs organes, ou au contraire considérer que chaque citoyen est prêt à donner un rein s'il n'a pas explicitement exprimé l'intention inverse. La deuxième est évidemment plus efficace.
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Classement des hôpitaux : des psychiatres nous écrivent
Par JÉRÔME VINCENT ET FRANÇOIS MALYE 31/08/2014
Cette année, le classement des hôpitaux et des cliniques du "Point" intègre la psychiatrie. Une innovation qui suscite beaucoup de réactions...
C'EST DE L'ART, NÉANDERTAL ?
2 SEPTEMBRE 2014
Hier, la revue PNAS a publié un article d’une équipe de préhistoriens affirmant avoir découvert la première trace d’une «pensée abstraite et d’expression par l’usage de formes géométriques».
Cette équipe internationale, à laquelle participe notamment Francesco d’Errico (laboratoire Pacea, Université de Bordeaux, CNRS) a déniché la trace (photo ci-contre) d’entailles gravées au fond d’une grotte de Gibraltar, nommée Gorham et déjà connue pour ses traces de Néandertaliens, qui l’ont utilisé comme habitation, et d’hommes anatomiquement modernes, dit aussi Cro-Magnon, notre espèce.
Enfant malade : où s'arrête la liberté de choix pour les parents ?
MARIE PIQUEMAL
DÉCRYPTAGE
L'histoire du garçon britannique malade, que les parents avaient retiré de l'hôpital, pourrait-elle se produire en France ?
Finalement, mardi soir, les autorités britanniques ont retiré le mandat d’arrêt européen visant ces parents anglais, accusés d’avoir retiré de l’hôpital leur enfant sans l’accord des médecins.
Ashya, un enfant de cinq ans, était soigné dans un hôpital en Angleterre pour une tumeur au cerveau. Jusqu’à ce que ses parents décident de le faire sortir et de quitter le pays ; le père explique, dans une vidéo diffusée sur Internet samedi, qu’il souhaite faire suivre à son enfant un traitement alternatif de radiothérapie que le service public de santé britannique n’est pas en mesure de proposer. Les médecins anglais alertent aussitôt les autorités, jugeant que la vie de l’enfant, alimenté par une sonde gastrique, est en péril.
Le business en or de l'ADN
LE MONDE |
Chloé Hecketsweiler
Chloé Hecketsweiler
In the future, your DNA will be your data. » « A l'avenir, votre ADN sera vos données. » Depuis deux ans, ce slogan de la banque HSBC accompagne les passagers dans les aéroports de monde entier. Au-dessous du slogan, la photo d'un index dont l'empreinte digitale a été remplacée par un code-barres en deux dimensions (ou QR code) qui peut être scanné au moyen d'un smartphone. Un scénario futuriste ? Au contraire ! Après quelques jours passés à San Diego, l'une des capitales américaines des sciences de la vie, cette publicité paraît presque désuète au voyageur. Car ici, l'ADN est une donnée comme les autres : on la décrypte, on l'analyse, on la partage, et, bien sûr, on la vend.
Et si on reparlait de la contraception pour hommes ?
Hélène Ferrarini 23.05.2014
Le fait de ne pas
avoir d'enfants ne concerne pas que les femmes. Certains hommes en sont
conscients et pallient les manques de la médecine actuelle pour répondre à
leurs préoccupations.
Unnouveau modèle contraceptif se dessinerait-il en France? C'est la question que
se pose un récent rapport de l'Ined et de l'Inserm. Depuis les controverses sur
les pilules de 3e et 4e génération, une femme sur cinq a changé de
contraception: moins de pilule, plus de stérilet. Plus de méthodes
contraceptives où l'homme a un rôle à jouer aussi, comme le préservatif (+3,2%)
et le retrait (+3,4%).
Autre
signe d'une réorganisation de la contraception en France, dont ne parle pas
l'enquête Inserm-Ined : un regain d'intérêt pour les autres méthodes de
contraception masculine. Ce phénomène –qui reste marginal mais n'est pas dénué
de force symbolique– se concrétise par une hausse des consultations chez les
rares spécialistes de contraception masculine et la renaissance de l'Ardecom.
L'Association
pour la recherche et le développement de la contraception masculine, active de
1979 à 1986, reliait alors des groupes d'hommes qui souhaitaient prendre en
main leur contraception. Or des groupes de ce type se sont récemment remontés à
Paris, Lyon, Toulouse, explique Pierre Colin, le président de l'association.
Une renaissance qui, selon lui, ne serait pas sans lien avec «la remise en
question des pilules féminines».
Alors
que l'on a tendance à voir dans la contraception masculine, et notamment la
«pilule pour homme», un serpent de mer que l'on nous annonce souvent mais qui
n'arrive jamais, des hommes n'ont pas attendu pour mettre au point des méthodes
de contraception.
L'option hormonale, thermique...
Dans
le contexte des années 1970, propice aux essais en tout genre, des groupes
d'hommes se forment pour évoquer sexualité, rapport au corps, fécondité, et de
fil en aiguille ils en viennent à expérimenter des contraceptions masculines
nouvelles. Cyril Desjeux, auteur d'une thèse sur les pratiques, les
représentations et les attentes contraceptives des hommes, recense à la fin des
années 1970 et aux débuts des années 1980 des groupes d'hommes en liaison avec
l'Ardecom à travers toute la France. Le sociologue écrit:
«Le début des années 1980 est une période très
dynamique: on voit rapidement se mettre en place des groupes d'expérimentation
de contraception masculine (hormonale ou thermique)... Les médecins et les
volontaires qui prennent part aux essais ont le sentiment d'écrire une page de
l'histoire en mettant au point le premier contraceptif masculin. Entre 1979 et
1983, la contraception masculine se trouve alors en pleine ébullition et un
sentiment d'excitation est encore palpable dans le discours des enquêtés. On
voit clairement se dessiner le début de la courbe en "S" qui annonce
la possibilité pour une méthode de devenir une innovation.»
La
principale méthode développée fut hormonale. Elle consistait en la prise de
cachets quotidiens de progestatif associée à l'application cutanée d'un gel à
base de testostérone. Mise au point par le Dr Soufir, cette méthode a
aujourd'hui évolué en une injection hebdomadaire de testostérone.
lundi 1 septembre 2014
Hyperactivité, le syndrome qui agite les experts
Le Monde.fr | Par Pascale Santi
Agée de 10 ans, Sandra (le prénom a été changé) a des difficultés d’apprentissage et d’attention à l’école. Ce 1er juillet, elle vient consulter le psychiatre Eric Acquaviva, à l’hôpital Robert-Debré (Paris). La fillette paraît intimidée, répond doucement aux questions.
Depuis le CP, elle est suivie par une psychomotricienne, une orthophoniste, et a une assistante de vie scolaire (elle a dû redoubler le cours préparatoire et va entrer en CM1), mais aucun diagnostic n’a à ce jour été posé. Inquiète, sa mère voudrait savoir. Petit à petit, le docteur Acquaviva remonte le fil. « On va mettre des mots sur les difficultés et essayer d’être plus précis », avance-t-il prudemment. Sandra est souvent stressée, par « l’école, les notes, les copines ».
De plus en plus de parents consultent pour des troubles de l’attention et de l’hyperactivité. Ce sont souvent les problèmes scolaires et de comportement à l’école qui sont les déclencheurs. Certains, comme peut-être Sandra, seront diagnostiqués « TDAH », pour « trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité ».
TERME GALVAUDÉ
Décrit sous la forme de cas d’instabilité motrice dès le XIXe siècle, le TDAH est apparu en 1994, dans la quatrième révision duManuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV). Sa définition avait été élargie. Mais ce terme est très souvent galvaudé. Que recouvre-t-il réellement ? En termes de diagnostic, de prise en charge ? Les avis sont partagés.
Ce trouble, qui n’est pas une maladie, se caractérise par une kyrielle de symptômes : un déficit de l’attention (l’incapacité de terminer une tâche, la distractibilité…), avec ou non une hyperactivité motrice et/ou une agitation incessante, l’impossibilité de tenir en place, et/ou une impulsivité caractérisée par le besoin d’agir, la difficulté à attendre, la tendance à interrompre les activités d’autrui.
Un salarié sur deux « mal informé » des dispositifs de santé
Le Monde.fr avec AFP |
La moitié des salariés français estime être mal renseignée sur les dispositifs de santé existants au sein des entreprise, affirme un sondage publié lundi 1er septembre. Selon l'observatoire entreprise et santé réalisé par Viavoice et Harmonie Mutuelle, les salariés dans leur majorité estiment que peu, voire aucune action n'est menée afin de contribuer à leur bonne santé.
Complémentaire santé souscrite par l'entreprise, comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), médecine du travail ou encore équipements de protection individuels contre le bruit, les produits dangereux… seuls 49 % des salariés interrogés s'estiment « bien informés » de ces dispositifs.
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