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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 2 mars 2019

"Nouvelles formes du désir d'enfant"

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Une étude révèle que les idées suicidaires chez les enfants de trois à six ans doivent être prises au sérieux

Univadis

15 févr. 2019

Les enfants âgés de trois à six ans ayant des idées suicidaires (IS) ont une meilleure compréhension de ce que signifie mourir, par rapport à la majorité de leurs pairs, selon une nouvelle étude.


Art Brut Japonais n°2 à La halle saint Pierre

HALLE SAINT PIERRE

Jusqu'au 10 mars 


Takeru AOKI, Aki Yashiro, 1997-2004. ©Satoshi Takaishi

A l’occasion du Tandem PARIS-TOKYO*, la Halle Saint Pierre présente la seconde édition de l’exposition Art Brut Japonais, huit ans après le grand succès du premier volet.

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vendredi 1 mars 2019

Participez au Prix Equipes Soignantes en Psychiatrie 2019

"Partageons nos projets de soins innovants dans la prise en charge des personnes souffrant de psychose !"



Qui peut participer ?


Ce prix est ouvert à  toutes les équipes soignantes des structures intra ou extra hospitalières relevant d'un établissement public ou privé en psychiatrie. Il est également ouvert aux équipes soignantes  exerçant en milieu libéral, associatif ou en structure médico-sociale. Le projet récompensé est un projet d'équipe soignante, il doit par conséquent mettre en évidence l'implication de membres de l'équipe soignante parmi  lesquels un (e) ou plusieurs  infirmier(e)s. 
Le porteur du projet doit être un(e) infirmier(e) ( cadre ou pas).

L’Académie française se résout à la féminisation des noms de métiers

L’institution fondée au XVIIe siècle par Richelieu a tranché un sujet longtemps tabou, estimant qu’il n’existait « aucun obstacle de principe » à la féminisation des métiers.
Par Raphaëlle Rérolle Publié le 28 février 2019
Le président François Hollande écoute le discours de l’écrivain Dany Laferrière, le 28 mai 2015 à Paris, à l’Académie française.
Le président François Hollande écoute le discours de l’écrivain Dany Laferrière, le 28 mai 2015 à Paris, à l’Académie française. THOMAS SAMSON / AFP
Enfin ! Jeudi 28 février, l’Académie française s’est prononcée en faveur d’une ouverture à la féminisation des noms de métiers, de fonctions, de titres et de grades. Approuvé à une très large majorité (seules deux voix se sont élevées contre), le rapport émanait d’une commission d’étude composée de Gabriel de Broglie, Michael Edwards, Danièle Sallenave et Dominique Bona. Quoique très prudent et fort diplomatique, il n’en représente pas moins une sorte de révolution sous la Coupole. C’est la toute première fois que l’institution, créée en 1634, va aussi loin dans la reconnaissance du féminin des mots.
Pas question de légiférer, rappelle le rapport, l’Académie se contente d’être la gardienne du « bon usage ». Il ne s’agit pas d’avaliser toutes les nouveautés, ni de les freiner d’ailleurs, mais « d’étudier quelles évolutions pratiques il serait souhaitable de recommander » en dégageant, parmi les usages, « ceux qui attestent une formation correcte et sont durablement établis ».

A Saint-Jean-de-Dieu et ailleurs, le monde de la psychiatrie appelle à la mobilisation

01.03.19

Un nouveau mouvement social est actuellement en cours au sein du centre hospitalier Saint-Jean-de-Dieu, établissement psychiatrique lyonnais. Ce même établissement qui déjà, en 2015, dénonçait par la voix de ses représentants syndicaux la souffrance au travail, puis en juillet 2017 signalait aux médias un bras de fer entre les salariés et la direction. Aujourd'hui encore, comme nous l'indique Linda Benmouma, représentante syndicale CFTC de l'établissement, la direction de notre établissement continue la mise en œuvre de sa politique d'austérité : après l'externalisation des ASH, voilà qu'elle nous annonce, le 14 février dernier, un projet de réadaptation de nos deux unité d'hospitalisation de courte durée (UHCD) prétextant des variations d'effectifs médicaux qui ne permettraient pas le maintien du fonctionnement de la mission UHCD sur les deux unités Pussin et Alphée. Diminuer notre capacité de lits en UHCD sous couverts d'économie et satisfaire aveuglement aux injections dictées par les tutelles et politiques ne va pas dans le sens d'une réponse à notre mission première de service publicEt de poursuivre, en continuant à mener cette politique d'austérité, la direction générale de notre établissement se rend coupable auprès de la population de faillir à ses obligations en matière d'accueil d'urgence et met en péril notre obligation de permanence des soins.


SUR INSTAGRAM, CET INFIRMIER ILLUSTRE AVEC DOUCEUR SON QUOTIDIEN EN SOINS PALLIATIFS

JOHANNA

Dans la vie, Xavier est un homme de 34 ans exerçant la profession d’infirmier en soins palliatifs à Metz. Sur les réseaux sociaux, il se fait appeler “l’homme étoilé” et raconte avec beaucoup de douceur, de talent, d’amour et d’humour, le quotidien de 
sa profession à travers des petites BD. 

Pour la plupart des personnes, les soins palliatifs sont souvent sujet à tabou, mais pas pour Xavier. Lui, son métier, c’est d’accompagner au mieux possible les personnes qui arrivent à la fin de leur vie, tant par des soins que par du soutien émotionnel, et il le fait avec douceur, amour et bienveillance.


Petites maternités : la coordination des usagers dézingue les médecins pro-fermeture au « savoir omniscient »

Anne Bayle-Iniguez
| 01.03.2019
« Les hélicoptères, ces anges de la santé qui décollent par tous les temps, se posent n'importe où et ne coûtent presque rien », quelle bonne idée de les promouvoir en lieu et place des maternités de proximité ! C'est sur ce ton caustique que les usagers de la coordination de défense des hôpitaux et maternité de proximité ont décidé de répondre aux médecins spécialistes ayant réclamé dans une tribune la fermeture des petites structures jugées « dangereuses »

De l’anxiété à la démence, un cercle vicieux

Publié le 20/02/2019




Dans un contexte où l’augmentation de l’espérance de vie entraîne mécaniquement l’accroissement de l’incidence des maladies neurodégénératives, et en l’absence concomitante d’un traitement significativement efficace, toute connaissance nouvelle sur un facteur de risque des démences séniles constitue une avancée utile, puisque la réduction de ce facteur pourrait alors représenter une perspective de prévention.

Fins de mois difficiles, impayés, vente de patrimoine... Des familles asphyxiées face au « coût faramineux » des Ehpad

Pour une personne âgée sur deux, la facture s’élève à au moins 1 850 euros par mois. Parfois, les liens familiaux n’y résistent pas.
Par Béatrice Jérôme Publié le 27 février 2019
Parfois, les liens familiaux n’y résistent pas. « Nous formions jusqu’à ce jour la famille modèle, très soudée, très solidaire, raconte Thierry Dormeau, 50 ans, contrôleur de gestion en Seine-et-Marne. Il aura suffi de trois mois pour que ce bonheur soit détruit. » Pauline, sa mère, souffre d’Alzheimer. Fin 2016, il a dû se résoudre à l’installer, à 83 ans, dans une maison de retraite proche de chez lui.
Très vite, entre les quatre enfants de Pauline, la brouille a éclaté. Invoquant des dettes, des fins de mois plus difficiles, deux d’entre eux n’ont ni voulu – ni pu – partager la facture de l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), qui s’élevait à plus de 1 200 euros mensuels. Les impayés se sont accumulés. Aujourd’hui, l’établissement réclame plus de 11 000 euros. Quant à Pauline, elle est placée sous tutelle depuis neuf mois et l’établissement souhaite son départ. « Je verse 300 euros par mois à l’Ehpad, 10 % de mon salaire, confie Thierry Dormeau, qui n’a pas les revenus suffisants pour consentir un effort supplémentaire. J’attends, inquiet de savoir qui va payer le dû final. C’est l’engrenage du système qui a détruit notre fratrie. »

Ehpad : ces familles qui s'endettent pour leurs aînés

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27/02/2019

Beaucoup de Français s'inquiètent pour leurs vieux jours. Comment faire face aux coûts d'un Ehpad,1 850 € en moyenne par mois ? Les enfants doivent souvent aider à payer la facture. C'est le cas de ce couple rencontré par France 3.



Aide médicale à mourir : une méthode optimale reste à définir

Elsa Bellanger
| 01.03.2019


Comment s’assurer de l’absence de souffrances lors d’une aide médicale à mourir ? C’est la question sur laquelle s’est penchée une équipe de recherche internationale, mêlant des spécialistes de la médecine, du droit et de l’éthique. Leur étude, publiée initialement dans la revue « Anaesthesia », a été rapportée dans le « British Medical Journal ».
Ces chercheurs ont passé en revue les différentes méthodes utilisées, en particulier celles mises en œuvre aux Pays-Bas, et les ont comparées aux modalités de la peine capitale encore pratiquée dans plusieurs États américains. Si les drogues utilisées, leur dosage et le suivi varient, la méthode la plus répandue repose sur une ingestion auto-administrée de barbiturique, suivie d’un décès résultant lentement d’une asphyxie due à une dépression cardiorespiratoire. Une variante consiste à faire réaliser les injections par un médecin.

Psychiatrie: "On va réinvestir dans un monde en grande difficulté" dit Macron

Publié le 28 février 2019

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Pessac (AFP) - Emmanuel Macron, en visite jeudi soir à Pessac, près de Bordeaux, lors d'un débat consacré aux femmes, a affirmé avoir demandé "une initiative de grande ampleur" pour la psychiatrie, "un monde en grande difficulté", avec l'objectif d'apporter une réponse "à l'automne".
"J'ai demandé à la ministre (de la Santé Agnès Buzyn, ndlr) de préparer une initiative d'ampleur", a indiqué le président de la République devant un auditoire exclusivement féminin, de quelque 400 participantes réunies dans un gymnase, où le président les a rejointes.
"On a sous-investi ce secteur depuis des décennies", a indiqué M. Macron en réponse à la question d'une psychiatre girondine sur l'accompagnement des psycho-traumatismes et les violences, avec, selon cette professionnelle de santé, des disparités géographiques.
"On va réinvestir, relancer des appels à projets. Je veux aussi qu'on puisse redonner une perspective à la pédo-psychiatrie et à la psychiatrie dans notre pays", a affirmé le président en reconnaissant que "le monde de la psychiatrie est aujourd'hui en grand difficulté", ajoutant qu'il y aurait "des investissements".
M. Macron, interpellé également sur la question des psychologues qui, contrairement aux psychiatres, ne sont pas reconnus par l'assurance-maladie, a admis que les "psychologues ne sont pas reconnus et ne font pas l'objet de remboursement", sauf dans des "conditions très encadrées".

Le personnel hospitalier des urgences psychiatriques en grève bloque le Pont Neuf

Publié le 
  • Un barrage filtrant a été organisé sur le Pont Neuf hier matin à Toulouse./ Photo DDM, M.N.

Un barrage filtrant a été organisé sur le Pont Neuf hier matin à Toulouse./ Photo DDM, M.N.
Des patients qui arrivent toujours plus nombreux, et des moyens qui restent les mêmes. Le service des urgences psychiatriques est surchargé, et les salariés n'en peuvent plus. Depuis une semaine les infirmiers de ce service du CHU de Purpan sont mobilisés.
Hier matin, ils ont organisé un barrage filtrant au bout du Pont Neuf, avant de rejoindre l'hôpital vers midi.

ALORS VOILÀ


Baptiste Beaulieu passe l'hôpital au scanner et, des urgences aux soins palliatifs, dépeint avec légèreté et humour l'univers hospitalier…

DIFFUSIONS PRÉCÉDENTES


Une association dénonce les discriminations sexistes dans la prise en charge médicale

Laminute.info:

Publié le 
1er mars 2019  
par
 

Douleurs minimisées, patientes pas prises au sérieux, voire agressées sexuellement: les femmes sont moins bien soignées que les hommes, s’indigne l’association « Osez le féminisme! », qui a annoncé jeudi le lancement d’une campagne nationale sur ce sujet.


#Metoo, procès Baupin, Ligue du LOL : les saines colères des femmes

Par Anne Chemin   Publié le 1er mars 2019



Depuis des siècles, l’emportement est un territoire déconseillé aux femmes, qui doivent incarner la tempérance, la docilité et le calme. #metoo, procès Baupin, la Ligue du LOL : et si les femmes s’autorisaient – enfin – à parler haut et fort ?

DoC-feeling : un outil basé sur le ressenti des soignants pour affiner le diagnostic des patients en état de conscience altérée

Charlène Catalifaud
| 27.02.2019


Des équipes AP-HP/Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM)/INSERM/CNRS/Sorbonne Université ont développé un outil basé sur l'appréciation des infirmiers et des aides-soignants qui permet d'affiner le diagnostic des patients en état de conscience altérée (état végétatif, état de conscience minimale…). Cet outil, appelé DoC-feeling, fait l'objet d'une publication dans « The British Medical Journal Open ».
« L'approche que nous avons développée permet de quantifier la perception subjective des soignants et de la corréler aux critères scientifiques validés », indique au « Quotidien » le Dr Bertrand Hermann, neurologue et co-premier auteur de l’étude.

Débat - "La télémédecine, un plus… mais pour quelles professions de santé ?"

28.02.19

A ne pas rater ce soir : l'émission en direct "Les jeudis des professions de santé", s'intéressera à la télémédecine, son développement, ses acteurs, et la place de chacun dans ce dispositif qui se veut innovant mais... Médecins, pharmaciens, infirmiers... en débattront. Nous serons particulièrement attentifs au point de vue infirmier défendu par Nathalie Depoire, présidente de la Coordination nationale infirmière.  
interrogation
La télémédecine : quelle place pour chacun des professionnels de santé impliqué dans ce dispositif qui se veut innovant et performant ?
La soirée en direct sur Fréquence Médicale, animée par Jean-François Lemoine (médecin Journaliste) et Nicolas Leblanc (médecin de santé publique), s’intéressera à la thématique suivante : "La télémédecine, un plus… mais pour quelles professions de santé ?" En effet, si les médecins sont en train de rentrer de plein pied dans le sujet, volontaires ou contraints, qu’en est-il des autres professions ? Les expériences débutent chez les pharmaciens, les infirmiers sont assez vindicatifs sur le sujet...

Les femmes dangereusement oubliées dans la conception des objets du quotidien

Par Marlène Thomas — 
Au niveau international, la plupart des mannequins de crash-test sont encore moulés sur le corps d’un homme d’1,70 m et 76 kilos.
Au niveau international, la plupart des mannequins de crash-test sont encore moulés sur le corps d’un homme d’1,70 m et 76 kilos.Photo Bertrand Guay. AFP

Adaptés à des normes masculines, toilettes, téléphones ou dispositifs de sécurité présentent souvent des inconvénients, voire des risques pour les femmes. C'est ce que démontre la journaliste britannique Caroline Criado-Perez dans un extrait de son ouvrage, publié par le «Guardian».

LE 21 MARS, C'EST AUSSI LE PRINTEMPS DE LA PSYCHIATRIE !

Publié le 27 Février 2019


Le 21 mars, c'est aussi le printemps de la psychiatrie !

Le Mouvement pour un printemps de la psychiatrie appelle à une journée nationale de mobilisation le 21 mars à Paris et dépose un "préavis de rêve" ...
La psychiatrie veut sortir d’une insupportable hivernation qui a vu prospérer chambres d’isolement et contentions. Les formations initiales, réduites à leur portion congrue, ne savent plus que décliner des pseudos-compétences, de vagues savoir-faire, qui ne permettent plus de penser la clinique contemporaine.
La science est mise au service du pouvoir économico-politique et ne sait plus qu’énoncer : « Le cerveau ! Le cerveau vous dis-je. Il faut plein d’euros pour la neuro. Et des roupies pour la psychiatrie. »
Les usagers promus pairs-aidants aujourd’hui ne sont que des faire valoir, les dernières têtes de gondole des think tanks néolibéraux, alors qu’une reconnaissance du savoir expérientiel et du potentiel soignant de tous leur sont déniés.
Attention, les blouses ne réussiront bientôt plus à enfermer les soignants !

Schizophrénie : quel sont les effets des traitements psychotropes additionnels à une monothérapie antipsychotique ?

Univadis

Par Agnès Lara   20 févr. 2019

Chez les patients schizophrènes suivant une monothérapie antipsychotique, l’adjonction d’un antidépresseur est associée à une réduction du risque d’hospitalisation psychiatrique et d’admission en service d’urgence psychiatrique, par comparaison à l’ajout d’un second traitement antipsychotique. Ces résultats confortent ceux déjà observés sur des patients scandinaves. En revanche l’ajout d’une benzodiazépine ou d’un régulateur de l’humeur apparaît plus délétère et incite à la prudence, puisque le risque d’hospitalisation et de visite aux urgences psychiatriques est augmenté sous benzodiazépines, et que le risque de mortalité est accru suite à l’introduction d’un régulateur de l’humeur, en particulier avec la gabapentine.