blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 23 avril 2018

2018 European Stone Stacking Championship - in pictures

Résultat de recherche d'images pour "the guardian"
Mon 23 Apr 2018 



The competition taking place in Dunbar, Scotland is one of Europe’s largest championships for stone stacking and balancing artists

Work begins at the stone stacking competition.
Work begins at the stone stacking competition.

Balancing act: stacked stones at the championship.
Balancing act: stacked stones at the championship.

Stone stacking can take from a couple of minutes to several hours.
Stone stacking can take from a couple of minutes to several hours

Lire la suite ...

RESTER VIVANT - MÉTHODE

Damned Films

Un film d'Erik Lieshout,
Reinier van Brummelen et Arno Hagers
avec
Iggy Pop
Michel Houellebecq
Anne Claire Bourdin
Jérôme Tessier
Robert Combas
Résultat de recherche d'images pour "RESTER VIVANT - MÉTHODE"
SYNOPSIS
Iggy Pop nous présente une méthode pour rester en vie dans un monde impersonnel. L’essai Rester vivant - méthode de Michel Houellebecq et les expériences personnelles d’Iggy Pop sont les points de départ de cette quête qui s’intéresse au rôle du poète, aux artistes en difficulté et aux problèmes de santé mentale. 

Tout, tout, tout, vous saurez tout sur le clitoris, les ovaires, le périnée…

Makery logo

En avant-première, la designer Fanny Prudhomme présente les Parleuses, kit d’éducation sexuelle conçu pour son diplôme à l’Ensci, un ensemble d’organes féminins cousus main ou à fabriquer.

La rentrée 2017 a fait du bruit du côté des sciences de la vie et de la terre, avec la sortie du premier manuel scolaire représentant l’anatomie complète d’un clitoris. Un quoi ? Un clitoris, cette partie quasi invisible du sexe féminin, objet de plaisir mais aussi de tabou. Et c’est peu dire puisque selon le rapport du Haut conseil à l’égalité femmes-hommes, une fille de 15 ans sur quatre ne sait pas qu’elle a un clitoris…


Ceci est un clitoris. © Fanny Prudhomme
Ceci est un clitoris. © Fanny Prudhomme

En juillet 2016, la chercheuse Odile Fillod proposait le premier clitoris imprimable en 3D (un projet que Makery avait relayé, avant qu’il ne fasse le buzz). En mars 2017, Fanny Prudhomme, 26 ans, a imaginé les Parleuses dans le cadre de son projet de diplôme pour l’Ensci (Ecole nationale supérieure de création industrielle). Le nom est à la fois celui de la communauté qui se construit depuis autour du projet, celui du kit et du site internet en développement.


L’ensemble des organes du sexe féminin du kit conçu par les Parleuses. © Fanny Prudhomme

Lire la suite ...

Les femmes ont-elles des dons psychiques ?

LES 400 CULS
 



Au XIXe siècle, le phénomène du spiritisme offre à des milliers de femme la possibilité de gagner leur vie en faisant tourner des guéridons et des planchettes. Certaines deviennent riches, très riches. Le spiritisme : un mouvement d’émancipation ?
Parmi les articles du numéro spécial «Fantômes» de la revue Terrain, celui du philosophe Philippe Baudouin («Archéologie des machines occultes») pose une question d’actualité : les femmes sont-elles libérées ou piégées lorsqu’elles affirment avoir des dons spéciaux, comme celui de médium ? Détail troublant : lorsque les savants étudient la communication avec les morts, ils préfèrent prendre pour sujet une femme qu’un homme. «Est mentionné le caractère “efféminé” des hommes médiums, voire leur homosexualité latente.» Autrement dit : les médiums masculins sont éliminés des protocoles expérimentaux, parce que les qualités de passivité et d’hyper-sensibilité attribuées aux médiums paraissent légitimes chez les femmes, mais pas chez les hommes. Il est normal qu’une femme «se soumette» à l’influence des esprits. N’est-elle pas soumise de nature ?
La femme est un corps instrumentalisé par des esprits
Cette image de la femme comme simple réceptacle – «instrument d’une intelligence étrangère» – est largement véhiculée par les autorités du mouvement spirite qui sont, pour la plupart, des hommes. Allan Kardec (l’inventeur du mot spiritisme), notamment, définit les médiums comme d’authentiques «machines électriques» qui «transmettent des dépêches télégraphiques d’un point éloigné à un autre de la terre». Pour lui, les médiums ne sont que des outils de chair. Ainsi, précise-t-il, «quand nous voulons dicter une communication, nous agissons sur le médium comme l’employé du télégraphe sur son appareil» (1). Aux yeux des savants qui s’intéressent très vite au phénomène, les femmes sont à leur place dans le rôle de médium, puisqu’elles restent conformes à l’image qu’on se fait d’une femme. Grégory Delaplace, qui coordonne le numéro «fantômes», formule ainsi la problématique : au XIX siècle «tandis que les médiums féminins se pensaient à l’avant-garde de la découverte d’un monde que les hommes n’avaient (pour une fois) pas les moyens d’explorer seuls, les scientifiques masculins les envisageaient comme de simples instruments de mesure psychique, qui seraient d’autant plus fiables qu’ils seraient passifs sous la main experte de l’homme de science.»

Quand les filles font office de fils aîné

23.04.2018

AfghanistanFaute de frère, certaines jeunes filles afghanes se font passer pour des garçons afin de pouvoir travailler et aider leur famille.


Cinquième d'une fratrie de six filles, Sitara Warfada, 18 ans, assume temporairement le rôle du fils jamais arrivé et travaille dans une briqueterie aux abords de Jalalabad. (Dimanche 22 avril 2018)
Cinquième d'une fratrie de six filles, Sitara Warfada, 18 ans, assume temporairement le rôle du fils jamais arrivé et travaille dans une briqueterie aux abords de Jalalabad. (Dimanche 22 avril 2018)
Image: AFP
«Mon plus grand souhait serait d'avoir les cheveux longs mais c'est impossible. Alors je les coiffe et je m'habille comme un garçon.» Sitara n'a guère le choix: elle est le fils que son père n'a jamais eu.
L'Afghanistan a inventé un troisième genre, celui des «bacha poshi» - littéralement, «habillé comme un garçon» - qui permet aux filles de vivre et surtout de travailler comme des garçons. Un statut qui n'a qu'un temps, celui de venir en aide à la famille le plus souvent.
Cinquième d'une fratrie de six filles, Sitara Warfada, 18 ans, assume temporairement le rôle du fils espéré et jamais arrivé. Pour 160 afghanis (1,8 euro) par jour, elle trime du matin au soir six jours par semaine dans une briqueterie aux abords de Jalalabad, dans l'Est, à tasser la terre entre ses mains.
«J'ai tellement de dettes, je n'arriverai jamais à les rembourser seul», soupire son père, Sahib Noor, dont l'épouse diabétique requiert des soins coûteux. «Je suis obligé de la faire travailler avec moi.» Pire, il s'est endetté auprès de son patron. «Si j'avais un fils, je n'aurais pas tous ces problèmes et mes filles vivraient une vie tranquille et prospère.»
Mais si Sitara se présentait habillée comme une fille, explique-t-il, «elle ne pourrait pas travailler ici. Les gens la dévisageraient, ils pourraient même l'embêter.»

Le grand blues des directeurs d’hôpital

Entre « hôpital et directeurs bashings », ces hauts fonctionnaires déplorent le manque de soutien de leur ministre, Agnès Buzyn, ancienne praticienne hospitalière.

LE MONDE  | Par 

COLCANOPA

Lassés de se voir sans cesse attribuer la responsabilité du malaise à l’hôpital public et d’être continuellement présentés comme des « cost killers » maltraitants, les directeurs d’hôpital se rebiffent. Sans nier que leurs établissements se trouvent « sous tension » après des années de restrictions budgétaires, ils dénoncent les présentations « catastrophistes », « caricaturales » et souvent « à charge » faites par les médias. Alors qu’une importante réforme du système de santé doit être annoncée avant l’été, Jérémie Sécher, le président du Syndicat des manageurs publics de santé (SMPS), estime que « les directeurs sont en train de devenir le bouc émissaire d’un système dont tout le monde sait qu’il doit changer ».

De l'inquiétante étrangeté au complexe du homard : quatre expressions de la psychanalyse

Par Alisonne Sinard   16.04.2018

L'antisèche |"Le complexe du homard", associez-vous cette expression à la psychanalyse ? Françoise Dolto utilisait cette métaphore pour expliquer la crise d'adolescence. De Freud à Winnicott, grâce aux archives radiophoniques, explorez quatre expressions plus psychanalytiques qu'il n'y paraît !

Deux petites filles se font pincer le nez par un homard, France, 1959
Deux petites filles se font pincer le nez par un homard, France, 1959  Crédits :Keystone-France/Gamma-Rapho - Getty

L’inquiétante étrangeté, l'objet transitionnel, le complexe du homard ou encore le moi-peau : derrière ces expressions à l'allure énigmatique se logent des concepts psychanalytiques qui ont donné noms à plusieurs ouvrages. Et pourtant, si l'expression "inquiétante étrangeté" est devenue courante, y associe-t-on spontanément le concept théorisé par le père de la psychanalyse ? Certaines expressions sont devenues courantes au point de sortir presque de l'association à la psychanalyse, là où d'autres substantifs - divan, cure, rêve, transfert - s'y réfèrent directement. Grâce aux archives radiophoniques, par le prisme de quatre expressions, explorez la pensée psychanalytique de Sigmund Freud, Didier Anzieu, Donald Winnicott et Françoise Dolto.


Faire de l’expérience de la maladie son métier

Epreuve douloureuse, la maladie peut devenir l’occasion de se reconvertir dans l’éducation thérapeutique. Des diplômes universitaires existent pour les patients et les soignants qui veulent se tourner vers ces nouveaux métiers.

LE MONDE  | Par 

Avoir été malade, et apprendre à faire de cette expérience éprouvante une profession.
Avoir été malade, et apprendre à faire de cette expérience éprouvante une profession. ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP

Des cours peu ordinaires se déroulent au troisième étage d’un bâtiment de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, dans le cadre de la faculté de médecine Pierre-et-Marie-Curie (Sorbonne Université). Au programme de cette matinée de mars : « techniques de préservation de la fertilité après un cancer », « prise en charge de la douleur », « sexualité et cancer ».

Gérard Miller, le petit psy rouge

Actualités Politique, Monde, Economie et Culture - L'Express
publié le 

Gérard Miller - A son domicile - 06 février 2018 - 
Editions du Seuil
©Jerome Panconi/SDP

Où Miller prêche chez Ruquier, puis passe sur le divan de Drucker. Quatrième volet.

Autant dire que les chers confrères ont tordu le nez quand ils ont vu Gérard, le petit frère de Jacques-Alain Miller (JAM), profiter de son étiquette "psy" pour aller s'ébrouer sur les plateaux de télévision, où il est comme chez lui. Le système de défense de Gérard Miller, lorsqu'il s'offre aux caméras, tient aujourd'hui en une leçon de manipulation des médias, déposée sur son site : "Pour ne pas perdre son âme à la télé, la seule issue consister à finasser quand elle vous piège. Répondre à côté, entretenir le malentendu, jouer au chat et à la souris." Quant à lui, il prétend avoir trouvé la parade : le présentateur interrogeait le "psychanalyste", "mais c'était le citoyen qui lui répondait." 

dimanche 22 avril 2018

« Adoption, je t’aime… moi non plus »

LE MONDE  | Par 

[…] 

La difficulté d’être parent, ou celle d’aimer son enfant, a mis du temps avant de pouvoir s’exprimer. Pour les parents adoptifs, cependant, la confidence demeure ­taboue, parfois même inaudible, voire scandaleuse. Et ce, parce que ces pères et ces mères qui ont été soumis à une évaluation psychosociale avant de recevoir un agrément – le feu vert à l’adoption – ont été en quelque sorte estampillés solides et « aptes ».

C’est en cela que le documentaire de Stéphanie Malphettes bouleverse, par la parole qu’il libère, empreinte encore de culpabilité mais franche, émouvante et dure, loin de l’image parfaite de la famille idéale. « J’ai vraiment pensé un moment qu’on avait gâché notre vie », confie Paulette, la mère adoptive de Grégoire. « Un jour, dans le bain, j’ai serré le cou de ma fille », avoue Nathalie, mère adoptive de Sonia, qui a longtemps pensé ne pas être une bonne mère, « jusqu’au jourdit-elle, où j’ai compris que pour ma fille, m’aimer moi, c’était ne plus aimer sa mère. Quand j’ai pris conscience qu’elle était dans ce ­conflit de loyauté, j’ai enfin réussi à me dire que ce n’était pas ma faute ».



Sonia et sa mère Nathalie

Sonia et sa mère Nathalie Morgane Productions

Pour tous, le chemin a été long avant que s’apaisent les émotions, que les uns et les autres s’apprivoisent, que des solutions soient trouvées pour se rapprocher, ou s’éloigner. Car parfois, la « greffe » ne prend pas. L’enfant, chargé de trop de souffrances, a besoin d’être placé. Comme pour Claudia et Louis et leur fille adoptive, victime jusqu’à l’âge de 6 ans, en Colombie, de maltraitances psychologiques et physiques de la part de sa mère.



A la faculté de médecine de Montréal, on forme (aussi) à l’humanisme

Univadis
  • Benoît Thelliez
  •   
      Paris, le lundi 16 avril 2018 - Les facultés de médecine du Canada anglais ont depuis plusieurs décennies déjà intégré en leur sein des représentants des sciences humaines et sociales pour coordonner des programmes d'humanités médicales (medical humanities) destinés à étoffer la formation des futurs médecins. L'objectif, résume Alexandre Klein, historien et philosophe des sciences à l'Université Laval (Québec) qui s'est exprimé sur ces questions le 22 mars dans les colonnes du quotidien Le Devoir, est de « former des médecins à porter un regard différent sur leurs valeurs et leur pratique » et « leur permettre d'être, à terme, plus ouverts sur la société à laquelle ils participent, plus à l'écoute de leurs patientes et patients, et plus engagés dans une prise en charge interprofessionnelle de la santé ».

samedi 21 avril 2018

A lire et à voir - Omerta à l'hôpital illustré

 par .

Un livre comme un écho au précédent. Un livre en images, sous forme de bande-dessinée pour continuer à sensibiliser tout un chacun mais surtout les étudiants en santé sur la question des maltraitances qu'ils ont subies ou subissent au quotidien. Valérie Auslender et SoSkuld nous proposent aujourd'hui « Omerta à l'hôpital illustré ».

crédit photo skuld
Crédit SosKuld - Des témoignages qui vont permettre que des 
actions de santé publique se mettent en place pour protéger 
les étudiants en professions de santé et pour améliorer les 
conditions de travail des soignants.

Début 2017, le livre « Omerta à l'hôpital. Le livre noir des maltraitances faites aux étudiants en santé », signé Valérie Auslender, médecin généraliste attachée à Sciences Po Paris, levait le voile sur les situations de violence vécues durant leur formation par les étudiants. Nombre d'entre eux témoignaient d'avoir été malmenés verbalement par leurs tuteurs, découragés par leur hiérarchie, rabaissés au seul titre de « stagiaire », « d'élève », niés en tant qu'individus, voire pire encore… Leurs témoignages, édifiants, ont eu un large écho. Valérie Auslender.disait alors ceci : grâce à tous ces témoignants, l'omerta de la maltraitance, acceptée par le système, est rompue. Lever cette loi du silence permettra à d'autres victimes de parler. Ces témoignages vont permettre que des actions de santé publique se mettent en place pour protéger les étudiants en professions de santé et pour améliorer les conditions de travail des soignants. Ils vont permettre de changer la politique de santé car aujourd'hui, nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas.


"Je sais que je vais mourir ce jour-là. Je sais que c'est ma dernière journée"

 par 

Pamela Ramez, infirmière aux urgences de Denain, a accepté de raconter pourquoi elle a craqué et tenté d’en finir, épuisée par les heures supplémentaires, jusqu'à neuf nuits de garde successives. Un témoignage bouleversant diffusé ce jeudi 12 avril 2018, dans le cadre du magazine « Envoyé spécial » sur France 2, qui met également en évidence qu'en parler met mal à l'aise les équipes qui préfèrent se taire et faire comme si...
C’est de pire en pire, on n’en peut plus ! Combien de temps les professionnels de santé hospitaliers  -médecins, chefs de service, infirmières, aides-soignantes …- vont-ils tenir ? Urgences débordées, patients parfois mal soignés et mal traités : le personnel est à bout. Il dénonce un hôpital de plus en plus soumis, selon lui, à la loi du marché, aux contraintes de budget et de productivité.
Je suis descendue au vestiaire, j'ai pris ma douche, je me suis injecté l'insuline et j'ai attendu...

Soigner les soignants : la clé de leur longévité...

 par .

« Quelle solidarité pour les soignants » Quels regards et quelles réponses apporter face à la souffrance croissante du corps sanitaire ? Quelles spécificités de prise en charge ? Comment soigner un soignant qui va mal ? Autant de questions débattues ce mardi 10 avril au sein du Conseil de l'Ordre des médecins qui réunissait des personnalités du monde hospitalier et un auditoire autour de cette problématique du mal-être des soignants et des pistes concrètes et surtout partagées de tous pour y remédier. Extraits choisis.


Eclats de rire à l'hôpital !

 par .

Redonner de la joie à l'hôpital… rendre le sourire et le partager malgré la maladie. David Ken photographie bénévolement patients et soignants en plein fou rire, c'est le LOL Project. Dernière expérience réjouissante menée en février dernier à l'hôpital de jour de l'Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif (94). Où quand le « lâcher-prise » est à l'oeuvre...

Lol project
Eclats de rire en duo patient/soignant… par David Ken 
photographe et initiateur du LOL Project.
David Ken a déjà fait rire à gorge déployée des milliers de malades et de personnels soignants grâce à son LOL Project. dont la base line affiche la couleur : « ça fait du bien ». Nous vous en avions déjà parlé en mai dernier, à l'occasion des 80 ans de l’hôpital Foch de Suresnes, dans le 92. L’établissement de santé avait en effet invité le photographe dans ses murs pour immortaliser ces moments de fous rires partagés. Parce que oui, David Ken est un photographe militant de la bonne humeur, et ce en toutes circonstances. Il aime les gens et cela se voit. Il aime les observer et déclencher chez eux, lors de prises de vues dont lui seul à le secret, des rires en cascade. Immortaliser le « lâcher-prise » afin de recréer du lien et du partage, capter la joie du moment, montrer des duos soignants/patients en plein éclat de rire et, ensuite les afficher en grands formats, telle est la finalité de son projet