Adoptée en urgence à l’Assemblée, une réforme de l’hospitalisation d’office détricote une loi sécuritaire de 2011. Les nouvelles dispositions suscitent le débat, y compris dans le Puy-de-Dôme.
«En matière de psychiatrie, il y a trois curseurs : la santé du patient, la liberté et la sécurité. La loi de 2011 mettait l'accent sur ce dernier point. Aujourd'hui, on sent qu'on veut rétablir le critère de liberté ». M e Cédric Giraudet intervient souvent sur les cas de patients atteints de troubles psychiatriques et soumis à des soins sans consentement. Il s'agit des anciennes hospitalisations d'office, qui peuvent être mises en 'uvre à la demande d'un tiers, du préfet ou d'un maire.
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