Manger des baies pour la prévention du Parkinson
Selon une étude présentée au Congrès de l’American Academy of Neurology, que l’on soit homme ou femme, manger régulièrement des baies est un bienfait pour réduire la probabilité de développer une maladie de Parkinson. Pour la gent masculine, le fait de consommer des pommes, des oranges ou plus précisément tous aliments riches en flavonoïdes apporte une réduction supplémentaire du risque. Les flavonoïdes sont aussi appelés vitamine P, qui est trouvée non seulement dans les plantes et les fruits (baies, agrumes…), mais aussi dans le chocolat, le vin, le thé. L’étude a porté sur 49 281 hommes et 80 336 femmes. Un logiciel a été utilisé pour calculer la consommation de vitamine P, puis une association a été cherchée avec la maladie de Parkinson. Au cours du suivi (22 ans), 805 personnes ont développé un Parkinson. On observe une réduction de 20 % du risque chez les plus gros consommateurs de flavonoïdes masculins, tandis que chez les femmes, l’association favorable n’apparaît que pour la consommation de baies (Xiang Gao et coll. Harvard).
Dr BÉ. V
Selon une étude présentée au Congrès de l’American Academy of Neurology, que l’on soit homme ou femme, manger régulièrement des baies est un bienfait pour réduire la probabilité de développer une maladie de Parkinson. Pour la gent masculine, le fait de consommer des pommes, des oranges ou plus précisément tous aliments riches en flavonoïdes apporte une réduction supplémentaire du risque. Les flavonoïdes sont aussi appelés vitamine P, qui est trouvée non seulement dans les plantes et les fruits (baies, agrumes…), mais aussi dans le chocolat, le vin, le thé. L’étude a porté sur 49 281 hommes et 80 336 femmes. Un logiciel a été utilisé pour calculer la consommation de vitamine P, puis une association a été cherchée avec la maladie de Parkinson. Au cours du suivi (22 ans), 805 personnes ont développé un Parkinson. On observe une réduction de 20 % du risque chez les plus gros consommateurs de flavonoïdes masculins, tandis que chez les femmes, l’association favorable n’apparaît que pour la consommation de baies (Xiang Gao et coll. Harvard).
Dr BÉ. V
14/02/2011
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