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http://www.magicmaman.com/,les-fessees-rendraient-les-enfants-anxieux,2222,1663349.asp
Les fessées rendraient les enfants anxieux
La chercheuse en psychiatrie de l'Université de Montréal Françoise Maheu a rendu les premières conclusions de sa grande enquête sur la fessée. Elle vient confirmer ce que plusieurs autres études avaient déjà démontré au préalable : « des pratiques courantes comme donner la fessée ou punir avec excès (...) ne permettent pas d'inculquer une bonne discipline. Au contraire, il y a des effets psychologiques sur les enfants.» Les fessées développeraient en effet selon elle l'anxiété des enfants.
La chercheuse fait bien la distinction entre les fessées fréquentes qui visent à punir l'enfant et la maltraitance ou l'abus physique.
Pour mener à bien cette étude, Françoise Maheu et son équipe a suivi près de 2 500 enfants de 5 mois à 12 ans. «Nous avons découvert que de cinq à sept pour cent des femmes qui ont de nombreuses pratiques parentales coercitives alors que leur enfant est âgé de cinq mois les conservent au fil du temps, indique Françoise Maheu. D'où l'importance d'intervenir le plus tôt possible afin d'avoir un effet à long terme sur le bien être des jeunes.»
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Les fessées rendraient les enfants anxieux
La chercheuse en psychiatrie de l'Université de Montréal Françoise Maheu a rendu les premières conclusions de sa grande enquête sur la fessée. Elle vient confirmer ce que plusieurs autres études avaient déjà démontré au préalable : « des pratiques courantes comme donner la fessée ou punir avec excès (...) ne permettent pas d'inculquer une bonne discipline. Au contraire, il y a des effets psychologiques sur les enfants.» Les fessées développeraient en effet selon elle l'anxiété des enfants.
La chercheuse fait bien la distinction entre les fessées fréquentes qui visent à punir l'enfant et la maltraitance ou l'abus physique.
Pour mener à bien cette étude, Françoise Maheu et son équipe a suivi près de 2 500 enfants de 5 mois à 12 ans. «Nous avons découvert que de cinq à sept pour cent des femmes qui ont de nombreuses pratiques parentales coercitives alors que leur enfant est âgé de cinq mois les conservent au fil du temps, indique Françoise Maheu. D'où l'importance d'intervenir le plus tôt possible afin d'avoir un effet à long terme sur le bien être des jeunes.»
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