Palais du Luxembourg
vous invite à une journée de réflexion consacrée au
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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
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Un même pôle réunit officiellement depuis jeudi les activités de l'Hôpital psychiatrique de Valisana et des Services de psychiatrie adulte et infanto-juvénile des Cliniques universitaires Saint-Luc. L'Institut de Psychiatrie, installé sur le site de l'UCLouvain à Woluwe-Saint-Lambert, offre une prise en charge psychiatrique pour tous les âges de la vie. L'hôpital universitaire bruxellois dit ainsi disposer d'une structure unique en Belgique francophone.
La nouvelle structure donnera lieu à une trajectoire de soins intégrée, en amont et en aval de l'hospitalisation. L'Institut fournira toute la palette des soins psychiatriques: prises en charge aigües et chroniques, consultations en ambulatoire et u nités d'hospitalisation.
L'offre thérapeutique se veut diversifiée par zone d'âge et pour certaines pathologies spécifiques. La psychiatrie infanto-juvénile se démarque par plusieurs activités ambulatoires d'expertise telles que le Centre de ressources autisme et TED (troubles envahissants du développement) ou encore l'équipe SOS Enfants.
03 Avril 2024
« On est loin du modèle qui nous avait été annoncé, celui d'une assistance au suicide mettant en avant l'autonomie et la liberté du patient »
Aurélie Haroche|
Bien sûr, le film a été quand même diffusé. Il était difficile d’imaginer, même si les militants se montraient déterminés, que France Télévisions accepte une telle déprogrammation quelques heures avant l’heure dite. Ainsi, Tu ne tueras point, téléfilm de Leslie Gwinner a été présenté ce mercredi 3 avril aux téléspectateurs de France 2 au lendemain de la journée de sensibilisation à l’autisme. L’œuvre raconte comment un avocat pénaliste à la retraite, interprété par Samuel Le Bihan (auteur du scénario et père d’une enfant souffrant d’un trouble du spectre autistique), accepte de défendre une mère qui a tué sa fille atteinte d’autisme. Si la femme, jouée par Natacha Rénier, signale que les « trop » grandes souffrances de son enfant sont notamment à l’origine de son acte, l’homme de justice insiste sur la solitude complète de cette femme et l’abandon de la société.
[...] Eugénisme
Si les réactions ont été si vives, c’est d’abord parce que certains y ont vu la légitimation d’un discours qui considérerait que certaines existences ne vaudraient pas la peine d’être vécues. Le député Sébastien Peytavie, lui-même handicapé moteur, a ainsi commenté sur X : « Mieux vaut être mort qu’handicapé. C’est la petite musique qui court depuis quelques jours et qui entoure la promotion du film Tu ne tueras point (…) Les médias et ce film présentent le meurtre d’un enfant handicapé comme une solution au désespoir de leurs parents.
Publié le
Un homme de 73 ans incarcéré à la maison d’arrêt d’Épinal a mis fin à ses jours, mardi 2 avril. Deux autres détenus s’étaient déjà donné la mort au mois de février dans cette prison.
Publié le
L’élève de 7 ans, qui avait essayé de mettre fin à ses jours avec un lacet vendredi 29 mars 2024 dans son école de Martigues (Bouches-du-Rhône), subissait les moqueries de ses camarades, a raconté sa mère à France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur. Le jour de sa tentative de suicide, il avait été agressé physiquement par des enfants.
Écrit par Laure Bolmont Publié le
À l'occasion de la journée mondiale de l'autisme, Sabine maman d’un adolescent autiste Asperger, témoigne du quotidien épuisant des parents. Elle se bat pour faire connaître les troubles autistiques et permettre une meilleure inclusion au sein de l'école.
"Asperger universe "est le nom du compte qu'elle vient de créer sur Instagram. Sabine a décidé de raconter le quotidien de sa famille, au centre de laquelle se trouve Thomas*, son second fils, âgé de 15 ans, atteint d'un syndrome autistique Asperger. Partager pour faire comprendre et accepter la différence de son enfant, aujourd'hui élève de seconde, en souffrance dans son apprentissage scolaire. À l'occasion de la Journée mondiale de l'autisme, elle veut témoigner de son combat.
Cette infirmière marseillaise de 51 ans a renoncé à son métier pour s'occuper de son fils lorsqu'il a été diagnostiqué autiste Asperger, juste avant la Covid. "Je me suis dit, je vais tout faire pour l'aider, mais aujourd'hui, j'ai des moments où je me sens que je ne vais pas y arriver".
Publié le 4 avril 2024
Collectif
Un collectif comprenant notamment Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, Julia Cagé, économiste et François Molins, ancien procureur général près la Cour de cassation, dénonce, dans une tribune au « Monde », l’appauvrissement du service public et la fracture de la société qui en résulte.
Dpuis plus d’un mois, des milliers d’enseignants, d’élèves et de parents d’élèves de Seine-Saint-Denis sont mobilisés pour obtenir des recrutements en adéquation avec le nombre d’élèves, des chaises en état et des bâtiments sans fuites d’eau. Depuis plus d’un mois, au Mans, les équipes des urgences du centre hospitalier sont en grève pour un accueil décent de leurs patients en service psychiatrie. Dans le même temps, cheminots et militants écologistes font entendre leur voix pour la défense du fret ferroviaire.
La pandémie de COVID-19 a rappelé toute l’importance de la santé mentale dans la société. Avec près d’une personne sur cinq touchée par des troubles mentaux au cours de la vie, les tensions sur l’offre de soins en psychiatrie illustrent la nécessité de proposer des mesures nouvelles et fortes, pour répondre à l’urgence et bâtir l’avenir.
La FHF présente, ce 2 avril, le premier volet de ses propositions sur l’avenir de la psychiatrie, fruit du travail mené avec plus de trente professionnels de terrain. Ce premier volet porte sur l’organisation territoriale des soins, les parcours de prise en charge, et l’amélioration de l’attractivité des métiers et sera complété lors du second semestre 2024 par un second volet sur la recherche en psychiatrie, la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent et les droits des patients.
Par Alexandre Aublanc (Casablanca (Maroc), correspondance) Publié le 4 avril 2024
Alors qu’une révision du code de la famille est attendue, les associations plaident pour la reconnaissance systématique de la paternité avec un test ADN et réclament une réforme de la kafala, cette prise en charge spécifique au droit marocain qui ne donne droit ni à la filiation ni à l’héritage.
Le coup de filet est aussi peu banal qu’inquiétant. Interpellés fin janvier, à Fès (Maroc), des médecins, des infirmières, des personnels administratifs et des agents de sécurité sont soupçonnés d’avoir vendu des nouveau-nés à des familles souhaitant adopter. Les prévenus font face à plusieurs chefs d’accusation, dont ceux de traite d’êtres humains et de corruption. Une première audience devant le juge, le 19 mars, a permis d’entrevoir l’ampleur du trafic : sur les bancs des accusés, pas moins de trente-quatre personnes, dont une partie opéraient depuis trois hôpitaux publics de la ville.
Bien qu’il soit qualifié d’« extraordinaire » par sa taille, l’existence d’un tel réseau ne surprend pas les acteurs engagés dans la prise en charge des enfants abandonnés. En 2010 déjà, une précédente affaire, à Casablanca, avait défrayé la chronique. A l’œuvre cette fois-là, une sage-femme retraitée qui réclamait en moyenne 3 000 euros par nouveau-né. Grâce à la complicité de fonctionnaires, les nourrissons étaient même inscrits à l’état civil.
Publié le
Dans le cadre de la refonte des activités/compétences infirmières et de la formation initiale, le Conseil National Professionnel Infirmier (CNPI) publie un avis sur l’enseignement de la santé mentale et de la psychiatrie et aux stages professionnalisantes s’y rapportant. Propositions.
Les besoins de soins en Santé mentale (englobant à la fois la santé mentale positive, la détresse psychologique réactionnelle et les troubles psychiatriques) se majorent année après année. Comme préconisé par le récent rapport du Conseil International des Infirmières « Lignes directrices sur les soins infirmiers en santé mentale (CII,2024) », de nombreux pays ont adopté un parcours de professionnalisation avec une formation initiale commune à toutes les pratiques, une année de spécialisation en santé mentale et le développement d’une pratique avancée infirmière en santé mentale.
GILON Christiane, LEROY Delphine, VILLE Patrice, CAMPINI Christine
Cet ouvrage fait suite au colloque international « Éducations critiques & Épistémologies des Suds : Paulo Freire et les pédagogies alternatives, libertaires, transformatrices... » réalisé à l’Université Paris 8. Loin d’une reprise d’actes de colloque, il se veut une réflexion sur l’action afin d’identifier l’importance des dispositifs à mettre en œuvre pour s’inscrire dans une démarche transformatrice et émancipatrice.Ses deux parties se font écho, la...
Dr Alain Cohen|27 Mars 2024
Publié le
Dans le cadre de la refonte des activités/compétences infirmières et de la formation initiale, le Conseil National Professionnel Infirmier (CNPI) publie un avis sur l’enseignement de la santé mentale et de la psychiatrie et aux stages professionnalisantes s’y rapportant. Propositions.
Les besoins de soins en Santé mentale (englobant à la fois la santé mentale positive, la détresse psychologique réactionnelle et les troubles psychiatriques) se majorent année après année. Comme préconisé par le récent rapport du Conseil International des Infirmières « Lignes directrices sur les soins infirmiers en santé mentale (CII,2024) », de nombreux pays ont adopté un parcours de professionnalisation avec une formation initiale commune à toutes les pratiques, une année de spécialisation en santé mentale et le développement d’une pratique avancée infirmière en santé mentale.
« Investir dans le développement et le maintien de la main-d’œuvre infirmière en santé mentale, de son domaine de pratique et de ses compétences, ainsi que dans le bien-être des infirmières concernées : il s’agit aussi d’une nécessité pour bâtir un système de santé résilient et des communautés en bonne santé » (CII, 2024).
Serge Cannasse Actualités Médicales 28 mars 2024
La CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a publié une vigoureuse mise en garde contre les sites web de vente en ligne de tests génétiques. Leurs offres portent en général sur la filiation ou la généalogie des personnes demandeuses, qui reçoivent alors un kit à retourner avec les échantillons biologiques requis (salive).
Des données sensibles
Mais cette collecte n’est pas anodine. En effet, les entreprises récupèrent de nombreuses informations contenues dans le génome : origine ethnique, données phénotypiques (couleur des yeux, peau, morphologie, etc.) ou relatives à l’état de santé (prédispositions à certaines maladies, etc.). De plus, elles collectent des renseignements sur l’identité et les coordonnées des personnes (au moins noms, prénoms, adresses postales ou électroniques). Il peut même arriver que certaines adressent des questionnaires pour connaître les relations (maritales ou familiales) de leurs clients, des dates sur leurs évènements de vie (mariages, décès), leurs goûts alimentaires, leur capacité à effectuer certains gestes (bouger les oreilles, les sourcils), des photographies et autres données, comme les données de santé. Enfin toutes ces informations ne concernent pas seulement la personne demandeuse, mais portent sur ses proches (ascendants, descendants, etc.) du fait qu’elles sont génétiques. Ces derniers n’y ont pas consenti et bien souvent n’en ont même pas été informés.
Or, cela peut avoir de lourdes conséquences, par exemple en révélant des secrets (adoption, naissance par don de gamètes, filiation, etc.), en annonçant la probabilité d’une maladie ou même en divulguant des données pouvant entraîner des discriminations (origine ethnique, santé, etc.).
PUBLIÉ LE 06/03/2024
En réponse à la colère et à la mobilisation des IDEL depuis plusieurs semaines, le ministre délégué à la Santé, Frédéric Valletoux, demande un rapport sur la pénibilité du métier d'infirmier libéral à l'Assemblée nationale. Une journée de protestation unitaire est prévue le 19 mars.
Les infirmiers libéraux ont marqué leur mécontentement ces dernières semaines : depuis la fin janvier, le collectif asyndical des Infirmiers en colère, soutenu par le troisième syndicat représentatif Convergences Infirmières, organise une mobilisation avec barrages filtrants et distributions de tracts.
«J'ai lancé une mission de l'Igas (Inspection générale de la santé et des affaires sociales) sur la prise en compte de la pénibilité de la profession» d'infirmier libéral, a indiqué Frédéric Valletoux devant l'Assemblée nationale, en réponse à une question de la députée LR Alexandra Martin (cf la vidéo à 1:09). «Depuis de nombreux mois, les infirmières et infirmiers libéraux expriment leur très grande souffrance face au manque de reconnaissance de leur travail et l'absence de revalorisation de leur mission. Ils s'interrogent, comme nous, comme leurs patients, sur l'avenir de leur profession et leur place au sein du système de santé», a-t-elle lancé, insistant sur leur «épuisement», ou «sur leurs difficultés de leur trésorerie».
Il s'agira d'avoir un «élément qui fasse juge de paix» dans la mesure de cette pénibilité dénoncée aujourd'hui par les organisations d'infirmières, a-t-il indiqué.
Publié le
Dans un communiqué du 28 mars, Ramsay Santé annonce renforcer son offre de soins ambulatoire en santé mentale. Le groupe prévoit ainsi d’implanter d’ici fin 2025 douze Centres médipsy dans des zones identifiées comme sous-dotées. Deux d’entre eux sont déjà ouverts à Montreuil et Orléans.
Ramsay Santé, acteur de psychiatrie privée, renforce son offre de soins en santé mentale avec une stratégie de développement de structures d’hôpitaux de jour dans des zones de centre-ville. Dénommées « Centres Médipsy », elles ont vocation à rendre davantage accessibles les soins de santé mentale dans des zones identifiées comme sous-dotées par les Agences régionales de santé (ARS). Le premier Centre Médipsy a ouvert en janvier 2024, proche du centre-ville d’Orléans. Le second, dédié aux troubles addictologiques, a ouvert à Montreuil début mars 2024. Les centres de Niort, Compiègne et Laval ouvriront dans les toutes prochaines semaines. Douze ouvertures sont prévues au total d’ici à fin 2025.
Publié le
Selon un communiqué du 28 mars, l’Association française de psychiatrie biologique et de neuro-psycho-pharmacologie (AFPBN) « ne recommande pas la prescription de tests diagnostiques en psychiatrie, en l’état actuel des connaissances » Cette mise au point est faite à l’occasion de la Journée mondiale des troubles bipolaires, alors qu’un tel test a été lancé pour différencier dépression unipolaire et bipolaire. Elle encourage cependant vivement la recherche dans ce domaine.
Un problème majeur et bien identifié dans le trouble bipolaire est le retard diagnostique moyen de 8 ans, qui compromet le pronostic de la maladie et entraîne souvent des traitements inadaptés. La détection précoce du trouble bipolaire est donc cruciale pour améliorer le pronostic et favoriser le rétablissement.
Vendredi 5 avril 2024
Provenant du podcast
Avec philosophie
Les séries font maintenant partie de notre quotidien. Si certains et certaines philosophes affirment que les séries sont une source précieuse d'enseignements, d'autres ont une approche plus critique. Est-ce le retour d’une vieille querelle d’intellectuels à propos de la culture populaire ?
Avec
Sandra Laugier Philosophe à l'université Paris
Hugo Clémot Professeur agrégé de philosophie en lycée, et chercheur associé au laboratoire « Philosophies contemporaines » de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Bertrand Cochard Chercheur en philosophie.
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Dominique BARBIER / Jean GUYOTAT |
Dominique Barbier est psychiatre des hôpitaux et auteur de plusieurs ouvrages sur divers thèmes psychiatriques (Ed. Privat). Le livre qui nous est présenté est une réflexion personnelle sur les hospitalisations de longue durée et sur la chronicité. Il décrit le cas d'un schizophrène de 51 ans qui était d'un niveau socio-culturel élevé au temps de sa première hospitalisation en psychiatrie à 23 ans. Par la suite, au cours des 28 ans d'hospitalisation et de prises en charge thérapeutiques dans différentes institutions, ce patient a été progressivement abandonné par sa famille et sa vie asilaire est devenue sa seule vie sociale. D. Barbier essaie de comprendre comment cet homme est devenu un malade chronique et se demande si cette longue hospitalisation est à considérer comme un échec pour lui et pour les équipes soignantes, ou si sa chronicité était une fatalité, un destin inévitable ?
mardi 2 avril 2024
Source : ARS
Du 9 au 12 septembre, la Guyane organisera ses Assises de la santé mentale et de la psychiatrie. Elles s’adressent aux professionnels des secteurs sanitaire, médico-social, social, associatif et aux collectivités. Parmi les invités figurera le Pr Franck Bellivier, délégué ministériel à la santé mentale.
Il existe bien une psychiatrie antique, pensée et nommée comme telle. Les auteurs de langue latine la désignaient comme «soin des aliénés».
De la crise durable du secteur psychiatrique aux faits divers criminels qui, régulièrement, mettent en cause des individus privés de volonté, la maladie mentale fait débat. La question des meilleures manières dont la société peut y faire face, dans sa complexité et sa diversité, est assurément obscurcie par des préjugés romantiques sur la «folie» (sur son rapport au génie, sur sa relativité culturelle…). La discussion peut aussi être entravée par un préjugé évolutionniste, qui verrait dans le soin psychiatrique ou dans le statut juridique singulier du trouble mental des innovations de la modernité occidentale.
Certes, le traitement médical et social de la maladie mentale dans les sociétés du XXIe siècle est profondément déterminé par l'invention relativement tardive de l'hôpital et de médicaments puissants, ou encore par les développements de l'imagerie cérébrale. Si le cadre institutionnel, les techniques de soin et les méthodes de recherche scientifique ont une longue (et passionnante) histoire, il n'en demeure pas moins que leur évolution est définie par des principes sociaux stables, qui trouvent leur première formulation à l'aube de notre civilisation.
[...] La naissance de cette psychiatrie est inséparable du nom d'Asclépiade de Bithynie (dans l'actuelle Turquie), un personnage singulier, orateur peut-être dans les premières années de sa vie professionnelle, venu ensuite exercer la médecine dans la ville éternelle où il évolue dans l'entourage de Crassus le Riche. Mais dans l'ombre d'Asclépiade, les soins médicamenteux, incluant notamment le recours aux psychotropes et aux sédatifs, s'étaient sans doute déjà diffusés, dans une mesure qu'il est impossible d'évaluer.
Dr Alain Cohen|
Avec la prévalence croissante des troubles de santé mentale aux États-Unis et dans le monde, rappelle le Residents’Journal (supplément à l’intention des jeunes psychiatres de l’American Journal of Pyschiatry), il faut des « moyens innovants » pour garantir l’accès aux soins et maintenir la fourniture de traitements psychiatriques de qualité.