Joana Vasconcelos Martins Monteuse vidéo
Publié le
La santé mentale est très importante, mais parfois nous passons à côté de certains signaux d'alarme. Découvrez les signes qui doivent vous alerter. Il est peut-être temps de suivre une thérapie.
Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
Joana Vasconcelos Martins Monteuse vidéo
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La santé mentale est très importante, mais parfois nous passons à côté de certains signaux d'alarme. Découvrez les signes qui doivent vous alerter. Il est peut-être temps de suivre une thérapie.
disponible jusqu'au 12.10.22
réalisé par : Cécile Allegra
Survivants de la longue route de l'exil, des réfugiés venus d'Erythrée, du Soudan, de Somalie, de Guinée, de République démocratique du Congo arrivent à Conques, au coeur de l'Aveyron. Là, une association, Limbo, entourée d'habitants accueillants, permet au groupe de se poser un temps. La réalisatrice pose sa caméra dans une bibliothèque, la cuisine d'une maison, un coin d'une ancienne grange.
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La Suite dans les idées
Épisode du samedi 21 mai 2022 par Sylvain Bourmeau
C'est l'un des lieux communs les plus partagé : l'histoire ne cesserait d'accélérer. Qu'en est-il ? D'où vient cette idée ? Le philosophe Christophe Bouton a mené l'enquête. Il est rejoint par l'artiste et écrivain Jean-Charles Massera.
Christophe Bouton (professeur de philosophie à l’Université Bordeaux Montaigne, spécialiste des questions du temps et de l’histoire dans la philosophie contemporaine), Jean-Charles Massera.
Publié le 19 juin 2022
Nicolas Santolaria
Il existe un sentiment inédit, et répandu chez les plus jeunes, d’être né géo-prolétaire, c’est-à-dire quelqu’un dont les générations précédentes ont accaparé non pas la force de travail, mais le futur vivable sur la Terre.
« Vous nous refilez une planète toute pourrie », répète régulièrement mon fils aîné, du haut de ses 10 ans.
18 juin 2022
Publié le 18 juin 2022
SUISSE
37 paires d'yeux dévisagent et transpercent les visiteurs et visiteuses de la Collection de l'Art Brut à Lausanne. Des yeux qui n'appartiennent qu'à un seul homme, Karl Beaudelere, un artiste qui paradoxalement ne dévoile ni son visage, caché par un masque, ni son âge.
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Par Joséfa Lopez et Isabelle Hennebelle Publié le 10 juin 2022
Sur scène, le public a découvert son flow aux côtés du rappeur Orelsan dans le groupe Les Casseurs flowters, avant de le retrouver dans une carrière solo, couronnée par un disque d’or pour son album Enfant lune. Derrière l’écran, les spectateurs l’ont aperçu dans les films Carbone, Les Chatouilles, Comment c’est loin, mais aussi des séries TV comme Validé ou VTC.
Par Anna Villechenon Publié le 18 juin 2022
ENQUÊTE Sur les réseaux sociaux et dans des groupes de parole, les femmes enceintes et les jeunes mères se lâchent. Elles osent désormais témoigner de l’âpreté de leur quotidien, loin d’une vision enchanteresse qui leur a longtemps imposé le silence.
Entre le premier enfant d’Elsa Serot, né il y a sept ans, et son dernier, qui a moins de 1 an, « cela n’a plus rien à voir ». « Avant, parler maternité se résumait souvent à “c’est génial, tu verras”. Aujourd’hui, on est extrêmement informées sur tout. » Pour se renseigner lors de sa première grossesse en 2014, la jeune femme – 28 ans à l’époque – avait le choix entre « La Maison des maternelles », émission-phare du service public sur la maternité, et Baby Boom, le docu-réalité de TF1, qui filmait en immersion des accouchements au sein de plusieurs maternités françaises. La bible intergénérationnelle de Laurence Pernoud J’attends un enfant (première édition : 1956), quelques forums et sites aux contenus plus ou moins sérieux ainsi qu’une poignée de cours de préparation à l’accouchement complétaient l’offre. Le tout dans un climat flirtant bien souvent avec un récit enchanté. En ces temps pourtant pas si lointains, devenir mère relevait encore de l’épiphanie presque obligée.
A partir de 2018, les podcasts sur la maternité – « Bliss Stories » et « La Matrescence » pour n’en citer que deux – se sont multipliés, rencontrant rapidement leur public, et faisant émerger un nouveau discours. Quatre ans plus tard, on ne compte plus les livres, blogs et comptes Instagram consacrés au sujet. Sur les réseaux sociaux, les mères parfaites entourées de leurs enfants aux habits immaculés ont peu à peu fait place à celles qui montrent l’envers du décor, de la grossesse au post-partum en passant par l’accouchement. « Mon corps est plus mou, mes seins tombent un peu plus chaque jour, les vergetures se sont bien installées et, pourtant, j’y trouve une certaine beauté », écrivait la chanteuse et actrice française Juliette Katz sur son compte@coucoulesgirls.
par Florian Bardou publié le 18 juin 2022
Pour sculpter son corps, Maël a longtemps enchaîné les régimes amincissants, couplés à la fréquentation assidue d’une salle de sport. Il a aussi un temps consulté un diététicien. Mais pas de quoi garantir des «bénéfices à long terme». Alors pour «réapprendre à manger et équilibrer ses repas», le trentenaire, végétarien, s’est tourné l’été dernier vers un coach en nutrition repéré sur Instagram. L’objectif : se sentir attirant et retrouver confiance en lui. «J’aurais pu trouver les bases dans des bouquins mais j’avais la flemme et surtout l’envie d’être accompagné pour ne pas faire de faux pas», justifie le consultant en communication.
par Christian Lehmann, médecin et écrivain publié le 18 juin 2022
11 mars 2020. Depuis Rome, l’ancien Premier ministre italien Matteo Renzi exhorte sur CNN les pays occidentaux à prendre des mesures drastiques pour éviter la propagation du Covid. Nous sommes juste avant le confinement et la séquence semble sortie d’un blockbuster américain, avec ce politicien désespéré : «Ne sous-évaluez pas le risque comme nous l’avons fait. De nombreuses personnes décident de dire, comme en France la semaine dernière […] : “N’ayons pas peur, allons au théâtre”. C’est une bonne réaction face à une attaque terroriste, nous montrons notre résilience. Mais face à un virus, nous devons éviter les lieux publics. Donc ne perdez pas de temps. L’Italie a perdu du temps et c’était une erreur.» A l’époque, tandis que son pays était submergé par la première vague du Covid, la France apposait fièrement des affichettes dans les aéroports en se préparant à aller voter aux municipales. Il y a quelques semaines, à nouveau surpris par le contraste entre le discours du ministre de l’Enseignement transalpin et le déni de ses homologues français, j’ai demandé à Ugo Di Luca, 53 ans, web développeur italien, de me parler de la différence d’approche entre ces deux pays voisins :
«Avant la crise, j’étais un de ces privilégiés qui exerçaient déjà leur métier en télétravail, et j’alternais ma résidence entre la région parisienne et le Nord-Est italien, selon mes obligations professionnelles et familiales. En atterrissant en Italie au début de la pandémie, mi-février 2020, j’ai compris qu’il se passait un truc étrange. La prise de température à l’arrivée et ces personnes en combinaisons blanches, c’était troublant. A mon retour, deux jours après l’interruption inquiétante du Carnaval de Venise, aucun contrôle à l’aéroport d’Orly… et j’ai trouvé ça plus inquiétant encore. Puis le confinement. J’étais opposé à ce confinement généralisé, je comprenais qu’il soit indispensable en Italie, cueillie par surprise, mais je pensais naïvement que la France pouvait gérer cela territorialement, en comptant sur la responsabilité individuelle et des mesures strictes envers les personnes détectées positives. L’épisode de l’aéroport d’Orly aurait dû m’ouvrir les yeux.
par Un collectif publié le 17 juin 2022
Le Président réélu avait conclu le débat de l’entre-deux-tours en évoquant sa volonté de faire de la «protection de l’enfance» une priorité de son prochain quinquennat. L’actualité a illustré depuis lors, sur plusieurs registres, les failles immenses de la politique de l’enfance auxquelles il s’agit sans nul doute de remédier.
Par Cécile Ducourtieux (Londres, correspondante)
ENQUÊTE Judy, Veronica, Ann… Ces femmes font partie des quelque 250 000 Anglaises à avoir été séparées de leurs bébés nés hors mariage. Ces abandons, effectués sous la pression intense des institutions et de la société entre les années 1950 et 1980, ont bouleversé leurs vies et, souvent, celles de leurs enfants. Elles réclament aujourd’hui des excuses de leur pays.
1967. Cette année-là, les Beatles chantent All You Need Is Loveet l’avortement vient tout juste d’être légalisé en Angleterre et au Pays de Galles. « C’était l’époque du Swinging London, raconte Judy Baker, une énergique retraitée. J’avais 18 ans, j’ai rencontré le père de ma fille à Chelsea, au cœur de Londres, qui était l’endroit où l’on faisait la fête. Il avait 30 ans, il était très attirant et j’étais naïve. On a entamé une relation sexuelle régulière. » Judy Baker commence à prendre la pilule, disponible dans le pays depuis 1961. Trop tard, elle est déjà enceinte. « Je ne m’en suis pas aperçue tout de suite, parce que j’avais des règles irrégulières et que ma mère ne m’avait jamais rien expliqué sur le fonctionnement du corps féminin. »
La jeune fille est terrifiée, mais elle ne veut pas avorter, et le père de l’enfant est marié. A l’époque, dans ce pays qui entre de plain-pied dans la modernité après les années grises de l’après-guerre, être une « fille-mère » – une femme enceinte sans être mariée – est considéré comme une infamie. Inquiète, Judy Baker rencontre une assistante sociale à l’hôpital, le National Health Service (NHS), système de santé public et gratuit créé juste après guerre. « Elle m’a immédiatement dit : “Vous savez quelle est la solution, n’est-ce pas ? C’est l’adoption.” »
Le Monde avec AFP Publié le 17 juin 2022
L’Organisation mondiale de la santé appelle toutes les nations à investir davantage dans la santé mentale de leur population grandement affectée par la pandémie de Covid-19.
L’alerte est double. Dans son « Rapport mondial sur la santé mentale » publié vendredi 17 juin, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) révèle que près d’une personne sur huit dans le monde vivrait avec un trouble mental, un chiffre qui bascule même à une personne sur cinq dans les zones de conflit. En parallèle, l’organisation s’inquiète du manque de moyens déployés pour y faire face.
Publié le 17/06/2022
Une vingtaine d'agents ont dit stop à la casse et à la pénurie organisée en psychiatrie.
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Une mobilisation place d'Armes au pied d'une banderole demandant : "Après Bosch et Sam, allez-vous laisser crever Sainte-Marie ?".
En marge du conseil de surveillance de l'établissement puis en centre-ville de Rodez, le personnel réuni sous la bannière d'une intersyndicale CFTC, CGT, FO et Unsa a manifesté son ras-le-bol ce vendredi 17 juin.
"Écarts de rémunérations entre public et privé", "fuite et usure des personnels", "fermetures de lits", le tout "au détriment des patients"... la coupe est pleine pour les salariés de l'hôpital Sainte-Marie de Druelle qui ont souhaité ce vendredi faire connaître la situation au sein de leur établissement à travers une manifestation en deux temps, comme l'explique le délégué CGT Francis Cunac. "Nous sommes venus au conseil associatif de surveillance de l'établissement pour dire qu'il y a le feu. Nous attendons des mesures concrètes parce qu'on veut garder des salariés à Sainte-Marie, alors que la demande de soins en santé mentale est de plus en plus importante après la crise sanitaire".
Jeudi, 16/06/2022
Une étude conduite par le Docteur Miquel Lledós et ses collègues de l’Hôpital de Sant Pau, en Espagne, a montré que le microbiome intestinal peut être un facteur important du risque d’accident vasculaire ischémique. Selon ces travaux, certains groupes de bactéries du microbiote intestinal sont associés à des accidents vasculaires cérébraux plus graves et à une moins bonne récupération post-AVC. Ces recherches ont été présentées à la conférence de l'European Stroke Organisation qui s’est tenue à Lyon.
Un AVC survient lorsque le flux sanguin vers une partie ou une autre de votre cerveau est interrompu par l’obstruction d’une artère souvent en raison d’un caillot sanguin et/ou d’un dépôt graisseux causé par l’athérosclérose, ce qui endommage les cellules cérébrales en les privant d’oxygène. Les conséquences de l’AVC dépendent de la partie du cerveau qui a subi des dommages et de leur étendue.
par Violette Vauloup publié le 18 juin 2022
Sur le bitume brûlant des villes, les sans-abri suffoquent plus que les autres. Alors que la température dépasse les 40 degrés par endroits ce samedi, les personnes à la rue peinent à trouver un peu d’air frais. Sans toit pour se protéger ni robinet à proximité, elles sont particulièrement exposées à la plume de chaleur qui touche la France cette semaine et font partie des premières victimes du dérèglement climatique dans le pays. Thierry Couvert-Leroy, en charge de la lutte contre les exclusions pour la Croix-Rouge, rappelle que pour celles et ceux qui n’ont pas de toit, l’été est aussi compliqué que l’hiver.
Lise Abou Mansour Publié le 16/06/22