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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 11 juin 2022

Femmes au foyer : «Comment en suis-je arrivée là ?»

par Anastasia Vécrin  publié le 9 juin 2022 

 Un documentaire sur Arte retrace l’histoire oubliée de celles qui «tiennent» la maison, entre fatigue et violence de la perte de soi. A voir absolument !

Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants… et après? «Après, ce n’est plus intéressant.» Ce sont ces mots de la mère de Michèle Dominici, réalisatrice de l’Histoire oubliée des femmes au foyer, qui ouvrent le film disponible en replay sur Arte jusqu’au 12 décembre, et qui lui ont donné l’idée du documentaire. Nous sommes après la Seconde Guerre mondiale, la place des femmes est à la maison, celle des hommes au travail. Mais comment les femmes vivent-elles cette assignation? Là est l’intérêt et la beauté de ce documentaire qui donne voix aux mots de ces femmes, glanés dans des journaux intimes, à leurs sentiments, de l’espoir incarné par le mariage aux désillusions de la vie de ménagère.

Drame de Pau : la procureure de Bordeaux fait appel du transfert de Romain Dupuy hors unité pour malades difficiles

Écrit par SP avec AFP

Romain Dupuy en 2007

Romain Dupuy en 2007 • © PIERRE ANDRIEU / AFP

Au lendemain de la décision du juge des libertés et de la détention (JLD) de Bordeaux d’autoriser le transfert de Romain Dupuy vers un établissement psychiatrique ordinaire, le parquet annonce faire appel. Pour le moment, Romain Dupuy reste à Cadillac en Gironde, où il est interné depuis 17 ans.

Le parquet de Bordeaux a fait appel ce vendredi 10 juin de la décision du juge des libertés et de la détention qui permettrait à Romain Dupuy, d'être transféré de l’ Unité pour malades difficiles (UMD) de Cadillac en Gironde vers un hôpital psychiatrique classique.

" Le parquet a formé appel de cette décision, celle-ci comportant, selon notre analyse, une difficulté quant à sa motivation sur la partie relative à la levée du placement en UMD", explique la procureure de la République de Bordeaux Frédérique Porterie.

La préfecture de Gironde a également annoncé son intention de faire appel.

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L'origine du monde Guido Tonelli : «On ne peut pas vraiment vivre sans se demander d’où tout cela vient»

par Erwan Cario   publié le 10 juin 2022 

Dans son essai «Genèse», le chercheur, spécialiste de la physique des particules, revient sur l’histoire de l’univers depuis la première fraction de seconde jusqu’aux derniers milliards d’années qui ont précédé l’apparition de la vie sur Terre. Le monde n’a pas été créé en sept jours, mais Tonelli a identifié sept étapes majeures dans ce périple vertigineux. 

Il y a 13,8 milliards d’années, l’univers tel que nous le connaissons a commencé son expansion. C’est ce qu’on appelle «le modèle du Big Bang», et il raconte une histoire. Une histoire d’espace, de temps, de particules, d’énergie, d’étoiles et de galaxie qui aboutit, de notre point de vue, sur une planète orbitant autour d’un Soleil âgé de 4,5 milliards d’années. Cette histoire du cosmos a déjà été écrite à maintes reprises ces dernières décennies, mais une des forces de la vulgarisation astrophysique, c’est que chaque nouveau récit amène avec lui une forme qui va ancrer de manière différente les événements dans la tête de celui ou celle qui lit.

Dans son premier essai, Genèse, le physicien Guido Tonelli, qui a longtemps travaillé sur la découverte du boson de Higgs, choisit un parallèle audacieux, celui du mythe de la création en sept jours. Le premier jour dure ainsi 10-32 seconde (soit cent-millième de milliardième de milliardième de milliardième de seconde) quand le troisième, celui où intervient notre boson préféré, dure trois minutes et le quatrième 380 000 ans. Le résultat est étonnant et réussit à marquer une temporalité dans les événements fondateurs qui reste gravée dans notre mémoire. Les connaissances scientifiques deviennent alors des balises pour aider notre imagination à voyager dans l’espace et le temps, ce que nous avons voulu faire en compagnie du chercheur.

Normandie. Les psy se mobilisent contre « la casse du soin psychique » et « l’ubérisation » des métiers


 


Mis en ligne le 10/06/2022

Venus de Seine-Maritime et de l’Eure, environ 70 psychiatres et psychologues normands étaient, vendredi 10 juin 2022, mobilisés devant la préfecture de Rouen où une délégation était reçue pour faire remonter leurs doléances

Des psychologues et psychiatres de toutes la région ont fait le déplacement
Des psychologues et psychiatres de toutes la région ont fait le déplacement - (Photo PND)

Les professionnels de santé sont en colère face à une série « de lois, de décrets et d’arrêtés qui pleuvent depuis 18 mois et qui montrent une volonté gouvernementale de légiférer et d’encadrer nos métiers dans des orientations en rupture avec la diversité des pratiques », résume Murielle Palenne, membre du Collectif des psychologues normands.

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vendredi 10 juin 2022

Reportage Manifestation des psys à Paris : «La psychologie, c’est toujours la discipline qui passe à la trappe»

par Estelle Aubin  le 10 juin 2022

Ce vendredi, les psychologues sont descendus dans la rue à Paris et en région, pour protester contre la mise en place du dispositif MonPsy, et plus généralement, contre la dégradation de la prise en charge des malades, pourtant de plus en plus nombreux.

«Si le dispositif MonPsy passe, dans trois ans, à la fin de son expérimentation, je peux vous dire que je pars travailler au Canada, lance Jennifer, 25 ans, sourire narquois. Et ça, vous pouvez l’écrire dans votre article.» «Moi, je deviens coach de vie, écourte Magali Foynard, 42 ans. Qu’on ne me parle pas d’être psychologue si c’est pour faire huit séances de 30 minutes maxi, sur adresse d’un médecin qui ne connaît rien à mon job.» Jennifer et Magali, cheveux longs, lunettes de soleil sur le nez et maquillage léger, sont psychologues en libéral. L’une à Nice, l’autre à Chartres. Mais toutes les deux sont montées à Paris, ce vendredi, pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail.

Déclin de la fertilité masculine : une nouvelle étude pointe l’impact des polluants du quotidien sur la baisse de qualité du sperme

Par   Publié le 10 juin 2022

Plastiques, dioxines et paracétamol pèsent lourd dans le déclin de la fertilité masculine, selon une étude qui hiérarchise pour la première fois les polluants du quotidien les plus nuisibles à la qualité du sperme humain.

Bouteilles de plastique autour d’un banc créé par Alex Bellini à la Foire du design et du mobilier de Milan (Italie), le 8 juin 2022.

Le déclin rapide de la fertilité humaine est, à lui seul, l’indice des liens étroits entre la santé des populations et la qualité de leur environnement au sens large. Des chercheurs britanniques et danois le mettent à nouveau en évidence dans une étude publiée jeudi 9 juin par la revue Environment International. Conduits par Andreas Kortenkamp (université Brunel de Londres) et Hanne Frederiksen (Rigshospitalet, université de Copenhague), les auteurs présentent la première évaluation des risques, vis-à-vis de la fertilité masculine, des mélanges de polluants du quotidien.

Philosophie de l'enfantement Cinq méditations

Classiques Garnier

Philosophie de l'enfantement. Cinq méditations

  • Auteure : Clarisse Picard 

  • Résumé : L'enfantement est-il le propre de la femme ? Pourquoi n'y a-t-il qu'un seul sexe qui enfante ? Les hommes ne pourraient-ils pas aussi enfanter ? Est-il encore nécessaire d'en passer par le corps des femmes pour mettre au monde les enfants ? La fin de l'enfantement se présente-t-elle comme une libération ou comme une aliénation des femmes ?

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Folie douce, folie dure


 









Marine Laclotte

Festivals : Le Festival international du film d’animation d’Annecy

Une balade dans le quotidien de plusieurs institutions psychiatriques, à la rencontre de personnes hors normes qui nous laissent entrer dans leur intimité.

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Heures sup payées doubles, embauche des étudiants en soins infirmiers dès leur sortie d’IFSI : la ministre de la santé annonce des mesures pour faire face à la crise de l’hôpital

8 juin 2022

Brigitte Bourguignon réactive le doublement de la rémunération des heures supplémentaires du personnel non médical sur la période estivale et active un dispositif permettant aux étudiants en soins infirmiers et aux élèves aides-soignants ayant terminé leur cursus de pouvoir travailler sans attendre la remise de leur diplôme. 

Elle n'aura pas attendu les conclusions de la mission flash sur les urgences pour prendre quelques premières mesures. Face à la crise que connaissent les services d'urgences et plus généralement l'hôpital, Brigitte Bourguignon, ministre de la santé et de la prévention, a estimé qu'il fallait prendre les devants. 


Urgences. 1 : L’amoncellement des difficultés


 



Serge Cannasse   8 juin 2022

Le 31 mai 2022, le Président de la République a annoncé le lancement d’une « mission d’appui visant à identifier d’ici le 28 juin de premières solutions opérationnelles pour faciliter l’accès aux soins urgents et non programmés, partout en France. » La Ministre de la santé a confié le pilotage de cette mission à François Braun, président de Samu-Urgences de France, syndicat regroupant des «membres du personnel médical participant à l’activité des Structures de Médecine d’Urgence ». Beaucoup se sont étonnés de cette initiative, alors que bon nombre d’études et de rapports ont déjà été publiés sur le sujet, que le diagnostic est largement consensuel et les solutions possibles connues, sinon partagées. Avant d’aborder les contours de la mission elle-même dans un deuxième article (Urgences. 2 : un panel de solutions), il n’est donc pas inutile de revenir brièvement sur l’état des lieux des urgences en France.

Des urgences embouteillées

Le recours aux urgences est en augmentation quasi continue depuis plusieurs années. En 2019, il y a eu 21,2 millions de passages contre 10,1 millions en 1992. Pour plus du quart, il s’agissait d’enfants de moins de 15 ans. Le principal motif de consultation était d’ordre traumatologique.

La plupart des services d’urgence ont du mal à faire face à cette augmentation, bien que la situation soit très variable selon les régions. Les raisons de leurs difficultés de prise en charge se situent aux trois niveaux : en amont et en aval du flux des patients, mais aussi au sein même des services d’urgences.

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Parcours de vie et autoportraits à la Collection de l'Art Brut

09 juin 2022

SUISSE

 Les autoportraits de Karl Beaudelere semblent surgir du support tels des fantômes. KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT sda-ats

(Keystone-ATS)

La Collection de l'Art Brut invite dès vendredi à une double découverte. Dans "LIVES", l'institution lausannoise s'intéresse aux parcours de vie des artistes. Le second accrochage donne un coup de projecteur sur les étonnants autoportraits de Karl Beaudelere.

"LIVES. Art brut et parcours de vie" présente sept auteurs des collections du musée, dont Eugenio Santoro (1920-2006) et Madeleine Lanz (1936-2014). Ces créateurs ont en commun d'avoir réalisé la totalité ou une grande partie de leurs oeuvres à un âge avancé.

Suite à un bouleversement dans leur existence, ces artistes ont pris la liberté de créer sans connaissances techniques, ni théoriques. Leur pratique artistique peut se comprendre comme une forme de résilience, de capacité à rebondir après une épreuve.

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Un Montaigne de douleur

Les Chemins de la philosophieÉpisode du jeudi 9 juin 2022 par Géraldine Mosna-Savoye

Portrait anonyme de Michel de Montaigne, aux alentours de 1578 - Wikicommons

Résumé

Michel de Montaigne souffrait d'une maladie sévère, son existence était un "vivre coliqueux". Dans ses Essais, il propose une approche originale : ni nier la douleur, ni s'y noyer, ni l'exagérer... De la même façon qu'on fait son deuil, comment "faire" sa douleur ?

 

avec :

Dominique Brancher (professeure de littérature française ancienne à l’Université de Bâle, visiting professeure à Yale, spécialiste de la Renaissance).


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jeudi 9 juin 2022

Qui veut encore être "soignant.e" ?

Un membre du personnel médical, au sein de l’unité de soins intensifs à l'hôpital Jacques Cartier de Massy, en Essonne, pendant la pandémie de Covid-19. ©Getty - Pascal Bachelet/BSIP/Universal Images Group

Le Temps du débat

Épisode du lundi 6 juin 2022 par Emmanuel Laurentin

Résumé

La crise du Covid-19 a mis au jour les tensions qui caractérisent le système de santé français. Manque de personnel, conditions de travail dégradées, reconnaissance… Malgré les mesures prises avec le SÉGUR, les problèmes semblent plus profonds. Est-il encore possible de “sauver” l’hôpital public ?


avec :

Zaynab Riet (déléguée générale de la Fédération hospitalière de France (FHF)), Charles Jeleff (Médecin urgentiste à la Polyclinique Saint-Côme de Compiègne (Oise)), Bérengère Araujo (infirmière en réanimation, présidente de l'Union Nationale des Infirmiers en réanimation (UNiRea)).


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Isolement et contention : la réforme aurait provoqué une vague de départ de psychiatres hospitaliers

Après trois censures du juge constitutionnel, un dispositif de contrôle juridique du recours à l’isolement et à la contention en psychiatrie a été mis en place par le législateur le 22 janvier 2022.

Dans son rapport d’activité, le CGLPL (Contrôleur général des lieux de privation de liberté) salue cette réforme qui « institue enfin le contrôle juridictionnel de l’isolement et de la contention que le CGLPL appelait de ses vœux depuis 2016 » mais regrette que les parlementaires n’aient pas suivi toutes ses recommandations.

Une réforme sans concertation

Le CGLPL avait ainsi suggéré en juillet 2021 que le dispositif recueille l’adhésion des professionnels au cours d’une large consultation institutionnelle et puisse s’inscrire « dans la réalité des pratiques ». Il insistait également sur l’importance d’accompagner la mise en place de la réforme d’actions de formation.

Le CGLPL s’interroge en effet : ce texte est-il applicable en l’état ? L’institution rappelle ainsi que ses visites dans « les établissements de santé mentale en 2021 ont confirmé la crise profonde que traverse la psychiatrie publique française. Le manque criant de médecins, parfois doublé d’un manque de soignants, des injonctions contradictoires, une pression croissante des exigences sécuritaires ou médico légales »

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Faciliter l’accès à la psychothérapie pour prévenir le suicide, dit un psychiatre

 



Frédéric Lacroix-Couture 8 juin 2022

MONTRÉAL — Les services de psychothérapie devraient être facilement accessibles à l’ensemble de la population et non seulement aux personnes bénéficiant d’une assurance privée, milite un médecin psychiatre. 

Le Dr Alain D. Lesage a remis sur la table l’idée d’un accès équitable à la psychothérapie parmi ses recommandations présentées, mercredi, à l’enquête publique du Bureau du coroner sur la thématique du suicide. 

«Quand l’assurance médicaments a été créée, ceux qui n’étaient pas assurés sont devenus assurés. Mais on n’a pas créé deux types de pharmacies; une pour les pauvres et une pour les gens riches», a-t-il illustré devant la coroner Me Julie-Kim Godin, au palais de justice de Trois-Rivières. 

En octobre dernier, dans une lettre ouverte publiée dans «Le Devoir», il soutenait que «seulement la moitié des hommes québécois peuvent rapidement et à moindre coût avoir accès à la thérapie en ayant recours à leurs programmes d’aide aux employés ou à leurs assurances privées». 

Les citoyens non assurés doivent plutôt «patienter dans la très longue file d’attente offerte par le régime public», mentionnait le professeur titulaire au Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal. 


mercredi 8 juin 2022

Reportages sur Les Invités au Festin

 

Une série de 5 reportages diffusés quotidiennement du lundi 12 au vendredi 16 avril dans le Magazine de la Santé sur France 5, dans la partie intitulée “In vivo”.

L’association “Les Invités au festin” œuvre pour les personnes atteintes de troubles psychiques. Elle veut accueillir tout le monde, sans distinction, pour casser les clichés sur la maladie mentale. L’association propose également à ces personnes de vivre sous le même toit, et de partager une vie en communauté.”

Voir ou revoir les reportages en cliquant ci-dessous :








Grand entretien «Que nous disent les trans ? Que la binarité sexuelle ne fonctionne pas si bien que ça»


 


par Cécile Daumas  publié le 3 juin 2022

Une partie des psychanalystes estime que les demandes de transidentités sont une menace pour l’ordre sexuel. D’autres, comme Laurie Laufer, jugent que c’est à la psychanalyse d’écouter et d’innover.

Est-il possible d’échapper à son sexe de naissance ? Est-il envisageable qu’un enfant soit élevé par deux pères ou deux mères ? Peut-on concevoir le mariage de deux personnes de même sexe ? Depuis plus de quarante ans, ces demandes venues de la société civile divisent profondément le milieu de la psychanalyse. Des praticiens y voient au mieux des «effets de mode» au pire des perversions, redoutant une grave menace psychique pour ces enfants et ces jeunes adultes. Une autre génération de psys rappelle que la psychanalyse est au contraire une pratique qui évolue avec son temps comme Freud lui-même la concevait. Le psy n’est pas un expert en santé mentale, et la psychanalyse n’est ni de la psychiatrie ni une forme de normativité psychique.

Le parcours de l’enfant au centre des coopérations sur les territoires — Du diagnostic à l’action : quels outils ?

1 juillet 2022  PARIS 

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Informations Générales
Quels outils de coopération au service des parcours ?
L’AIRe, l’ANPF, l’ANMECS, le CNAEMO et le GEPSO organisent, le 1 juillet 2022 à Paris, leur première journée de formation commune.
Ces cinq associations accompagnent au quotidien des enfants, adolescents et jeunes majeurs présentant des vulnérabilités multiples, handicap et besoin de protection, qui rendent leur parcours plus complexe et fragile.
Elles souhaitent s’engager toutes les cinq dans un travail de collaboration au niveau national, qui puisse servir d’appui à l’ensemble de leurs professionnels sur les territoires.