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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 1 mai 2021

Covid-19 : selon une étude, une dose de vaccin permettra de réduire de 50 % la transmission du virus

Par Gabriel Foffano,  publié le 29 avril 2021

Une main prise en photo avec un vaccin.

Une main prise en photo avec un vaccin.Main photo créé par wirestock - fr.freepik.com

Une nouvelle étude britannique vient de prouver que la transmission du virus était réduite de 50% dès la première dose de vaccin.

Depuis le début de la pandémie, nous avons que le coronavirus se propage principalement lors de réunions privées ou bien dans l’enceinte du foyer familial. A travers une nouvelle étude menée par l’agence de santé anglaise (PHE), nous apprenons aujourd’hui qu’une seule dose de vaccin Pfizer ou AstraZeneca permettre de réduire la transmission du virus de la Covid-19 du 38 % à 49 % dans l’enceinte d’un même foyer par rapport aux personnes non vaccinées.

Une dose de vaccin pour protéger de la transmission au sein d’un même foyer

« C’est une excellente nouvelle », soulignait le ministre de la Santé britannique Matt après avoir pris connaissance des résultats de la nouvelle étude de l’agence de santé publique anglaise relayée ce mardi 27 avril 2021. Pour arriver à ces résultats prometteurs, les chercheurs ont suivi 57 000 personnes appartenant à 24 000 ménages où une personne vaccinée a été testée positive à la Covid-19, et les a ensuite comparés à environ un million de contacts de personnes non vaccinées.


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Tentatives : Fernand Deligny

3 ÉPISODES (3 DISPONIBLES)

TOUS LES ÉPISODES 
LE 29/04/2021

Première partie d’un documentaire diffusé en 1977 sur France Culture, consacré à Fernand Deligny (1913-1996), un éducateur hors du "commun".

LE 30/04/2021

Deuxième partie d’un documentaire diffusé en 1977 sur France Culture, consacré à Fernand Deligny, un éducateur hors du "commun" (1913-1996).


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7 révolutions dans l'histoire de la médecine

21/04/2021

France Culture Education | L’histoire de la médecine est faite de tâtonnements, d’erreurs et de hasards, autant que d’intuitions géniales et de glorieuses découvertes. Cette sélection d'émissions vous propose d'en découvrir sept, de l'asepsie à la radiologie en passant par la vaccination.

Ballons à col-de-cygne utilisés par Louis Pasteur pour ses travaux sur la fermentation et la génération spontanée (Musée Pasteur)
Ballons à col-de-cygne utilisés par Louis Pasteur pour ses travaux sur la fermentation et la génération spontanée (Musée Pasteur) Crédits :  BSIP/UIG - Getty

La recherche médicale constitue un élément clé dans la période que nous traversons et suscite de vifs débats. Mais, si l'on n'employait pas encore ce terme, les travaux des savants, médecins ou biologistes ont, depuis l'Antiquité, contribué à produire des révolutions dans l'art de soigner, permettant une meilleure compréhension du corps et de ses maladies, et des progrès parfois spectaculaires dans la guérison de celles-ci. Le plus souvent nées de tâtonnements, de hasards heureux, quelque fois d'intuitions géniales, certaines de ces découvertes ont trouvé une application rapide dans le champ de la médecine. Pour d'autres, le chemin entre la théorie et la pratique a été long et semé d'embûches. Cette sélection d'émissions vous propose de mieux connaître l'histoire de quelques unes de ces innovations scientifiques majeures, de l'asepsie à la radiologie en passant par la vaccination.

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vendredi 30 avril 2021

De la pulsion violente à l’abstinence militante : les natures du désir. Avec Matthieu Garrigou-Lagrange et Ovidie

LE 30/04/2021

À retrouver dans l'émission

L'INVITÉ(E) DES MATINS

par Guillaume Erner

La sexualité… Un sujet qui ne sera sans doute jamais clos. 

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. Crédits :  Jan Hakan Dahlstrom - Getty

Le mouvement MeToo, les débats sur le lesbianisme politique au sein du mouvement féministe, ou plus récemment, le succès critique du documentaire Vivre sans sexualité, diffusé par France Culture, qui donne la parole à des personnes qui n’ont pas ou plus de vie sexuelle, prouvent que la sexualité continue de poser d’innombrables questions. 

Comment fonctionnent les pulsions ? À quel point nos fantasmes sont marqués par une masculinité dominatrice ? L’attachement à la virilité et la culture de la disponibilité féminine interrogent de plus en plus de jeunes hommes et jeunes femmes qui s’en sentent prisonniers et aimeraient s’en débarrasser. 

Sortir de la sexualité peut-il, des années après les combats menée sous le mot d’ordre de la libération sexuelle, émanciper ? L’omniprésence de la sexualité dans le cinéma ou la publicité, en tout cas, interroge. 

L'histoire du Brutaliste, ou la chut d'une pulsion sexuelle violente

« Le Brutaliste » met en scène un architecte portugais, encore vivant aujourd’hui, qui, au sommet de sa gloire, a vu des enregistrements fuiter, révélant ses relations sexuelles avec des jeunes filles non consentantes. 

L’architecte décide de ne pas payer le journaliste qui le fait chanter. C’est une sorte de suicide social, il perd sa famille et son travail et il est devenu la risée des Portugais. Une espèce de monstre que tout le monde connaît. Ça ne fait pas tellement scandale à l’époque, mais il était devenu la risée de Lisbonne. Matthieu Garrigou-Lagrange

[...] 

De la pulsion violente à la remise en question du désir

Matthieu Garrigou-Lagrange et Ovidie pointent un changement de mentalité sur les questions des rapports sexuels dans notre société aujourd'hui.  Pour l'un comme pour l'autre, le contexte social et historique que nous connaissons,  remettent en cause de les fantasmes et poussent à une déconstruction du désir. 

On a senti qu’il se passait quelque chose et surtout qu’on commençait à en parler. On nous a fait croire que tout le monde faisait l’amour, que tout le monde a une vie sexuelle riche et trépidante. La vérité c’est que beaucoup de personnes n’ont pas de vie sexuelle, n’en n’ont plus ou font une pause. Ovidie

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Le gouvernement sécurise un peu plus l’hébergement des femmes victimes de violences

par Marlène Thomas  publié le 30 avril 2021 

Les ministres de l’Egalité et du Logement, Elisabeth Moreno et Emmanuelle Wargon, annoncent dans «Libération» la revalorisation du financement des 1 000 places d’hébergement supplémentaires prévues en 2021 pour l’accueil des femmes victimes de violence.

Le gouvernement entend muscler sa réponse à la question cruciale de l’hébergement des femmes victimes de violences, pointée par des experts comme lacunaire. En visite ce vendredi dans un centre d’hébergement d’urgence de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) tenue par l’association Foyer international des travailleuses, une femme, un toit (FIT), la ministre déléguée chargée de l’Egalité, Elisabeth Moreno, et la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, s’apprêtent à confirmer la création de 1 000 nouvelles places en 2021 par le lancement d’un appel à projets. Un pas en avant, déjà promis début septembre par le Premier ministre, Jean Castex, en sus des 1 000 places déjà créées dans le cadre du Grenelle l’an dernier. 535 de ces nouvelles places seront dévolues à l’hébergement d’urgence et 465 seront créées par le biais de l’allocation de logement temporaire (ALT). Les premiers projets devraient voir le jour dès le 15 juillet.

Dans les Cévennes, sur les traces de la femme des bois

Par    Publié le 30 avril 2021




Sur la route départementale, le sentier démarre juste dans un tournant. Là, il faut abandonner la voiture. Un muret éboulé, la rivière, trois planches mangées de mousse qui esquissent un pont, et c’est déjà la forêt. On peut continuer à flanc de montagne sans remarquer, à quelques pas du chemin, une bâtisse pas plus grande qu’une cabane, quatre murs nus en pierres sèches qui s’accoudent au rocher. Dans cette vallée des Cévennes, elle est longtemps restée à l’abandon au milieu des châtaigniers et des genêts.

En la voyant, Maud s’est enthousiasmée. Ici, elle pourrait venir s’échapper quelques jours par semaine. Elle ferait pousser des plantes aromatiques et médicinales. Ce serait un abri pour sa fille – sait-on jamais – une enfant de 8 ans. Sur son dos, elle a monté un matelas, un poêle, un baquet pour l’eau, quelques outils. La voilà au paradis. On est en 2017.

Jérémy, infirmier et YouTubeur, partage ses connaissances et sa vie de soignant en vidéo

  

Etudiant en école d’infirmier anesthésiste, Jérémy a lancé sa chaîne Youtube en 2019. « Les minutes de Jérémy » compte aujourd’hui 18 000 abonnés et plus de 730 000 vues.

Jérémy, infirmier et YouTubeur, partage ses connaissances et sa vie de soignant en vidéo

Capture d'écran, "Les minutes de Jérémy".

Infirmier, futur IADE et Youtubeur, Jérémy Guy multiplie les casquettes.

Après un parcours d’IDE aux urgences et en réanimation pédiatriques, il est aujourd’hui étudiant en école d’infirmier anesthésiste. A 25 ans, il est le visage de la chaîne Youtube Les minutes de Jérémy.

Passionné de vidéo depuis longtemps, il fédère autour de lui une communauté qui rassemble professionnels de santé, étudiants et accueille de plus en plus le grand public. « Je souhaite parler des soignants dans leur globalité », confie-t-il.

En 2019, Jérémy crée ses premiers tutoriels, « comme des tutos de bricolage, version santé et soins », s’amuse-t-il. Dans ces vidéos il transforme sa chambre ou son salon en salle de travaux pratiques, anecdotes et conseils professionnels à la clé. « C’est ce qui m’a permis de me faire connaitre du monde infirmier. » Depuis 2 ans, Jérémy publie au moins une vidéo tous les 15 jours.

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Antisémitisme, terrorisme : quand la justice se heurte à la psychiatrie

LE 29/04/2021

À retrouver dans l'émission

L'INVITÉ(E) DES MATINS

par Guillaume Erner

De nombreuses voix se sont élevées suite à la décision de la Cour de cassation qui a confirmé l’irresponsabilité pénale du meurtrier de Sarah Halimi en raison de bouffées délirantes.

Manifestation à Los Angeles devant le consulat français
Manifestation à Los Angeles devant le consulat français Crédits :  Apu GOMES - AFP

Le meurtre de Sarah Halimi ne donnera pas lieu à un procès. La Cour de cassation a en effet jugé que Kobili Traoré a manqué de discernement à cause d'une «bouffée délirante aiguë», induite par la prise de cannabis. 

Que dit la loi ? 

Marie Dosé rappelle que selon la loi, n'est pas pénalement responsable une personne atteinte au moment des faits d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes. Seul compte le point de savoir si ce trouble a été d'une telle intensité que l'auteur a perdu effectivement toute conscience de ses actes. 

Cela ne signifie pas que la consommation de stupéfiants exonère de toute responsabilité. Il y a un rapport de cause à effet qui n'est pas juste dans cette affaire. Ce n'est pas la consommation de stupéfiants qui explique l'irresponsabilité pénale, mais l'abolition du discernement qui en est éventuellement la conséquence. Le consommateur de stupéfiants s'attend à l'ivresse cannabique, et parfois il l'espère mais pas la bouffée délirante qui a aboli son discernement. Donc, on est ici sur l'imprévisibilité de l'effet de la consommation de stupéfiants. Marie Dosé

Comment un fou est-il jugé en France ? 

La réforme de 2008 a permis d’instaurer la qualification d’un crime commis par un fou, à la place d’un non-lieu qui laissait entendre aux victimes qu’il n’y avait pas de crime. On qualifie donc le crime et son imputabilité à l’auteur, et ensuite on se penche sur sa responsabilité ou son irresponsabilité. 

Pour avoir assisté à ces audiences devant la chambre de l'instruction, je peux vous assurer que c'est extrêmement troublant parce que généralement vous vous retrouvez avec quelqu'un dans un boxe qui ne comprend strictement rien et qui délire. Je peux vous assurer aussi que c'est compliqué pour les parties civiles de le supporter. Marie Dosé

Distinguer la folie, la violence … et le discours politique

Fethi Benslama rappelle qu’entre 3 et 5 % des actes violents reprennent les thèmes du terrorisme et du djihadisme, alors qu'ils n'ont rien à voir avec le jihad. Selon lui, amener le débat de l'antisémitisme et du racisme sur ces questions de la folie ou non, c'est le détourner de la question de fond idéologique

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L'auteur d'un double meurtre à Pau, Romain Dupuy, reste dans une Unité pour malades difficiles

Publié le 30/04/2021

La justice a rejeté jeudi 29 avril à Bordeaux la demande de l'auteur des meurtres de deux soignantes à Pau en 2004 d'être transféré d'une Unité pour malades difficiles (UMD) vers un hôpital psychiatrique classique.

Romain Dupuy en 2007

Romain Dupuy en 2007 • © PIERRE ANDRIEU / AFP

Fin 2007, Romain Dupuy, souffrant de schizophrénie, avait été reconnu pénalement non responsable de ses actes et n'avait pas été jugé pour les meurtres à l'arme blanche au centre hospitalier psychiatrique de Pau, d'une aide-soignante et d'une infirmière qu'il avait décapitée.

Lors d'une audience mardi 27 avril 2021, les nouveaux avocats de Romain Dupuy, Mes Hélène Lecat et Serge Portelli, avaient plaidé devant un juge des libertés et de la détention pour que leur client puisse quitter l'UMD de Cadillac (Gironde), où il est en hospitalisation complète sans consentement depuis 2005, pour un service de psychiatrie classique, où il resterait en hospitalisation complète mais où "il pourrait évoluer positivement".

Interview Affaire Halimi : «Le meurtre commis par Kobili Traoré est complètement sous-tendu par le délire»

par Chloé Pilorget-Rezzouk  publié le 30 avril 2021 

Le psychiatre Roland Coutanceau, un des sept experts sollicités pour déterminer l’état psychique du meurtrier de Sarah Halimi, défend la thèse d’une bouffée délirante «exotoxique». Il souligne que «dans toutes les démocraties, le droit retient l’état mental au moment des faits, ni avant, ni après».

Trois collèges d’experts psychiatres, soit sept éminents professionnels, se sont penchés sur le cas de Kobili Traoré. Tous estiment que le meurtrier de Sarah Halimi était en proie à une «bouffée délirante aiguë» au moment des faits, mais ils divergent sur leurs conclusions. Six concluent à une «abolition» de son discernement, mais le premier médecin à l’avoir examiné, Daniel Zagury, penche, lui, pour une «altération» en raison de «la prise consciente et volontaire régulière du cannabis en très grande quantité». Pour le deuxième collège, la consommation de cannabis de Kobili Traoré a précipité la dégradation de son état, mais n’a été qu’un «qu’un cofacteur et non la cause», comme l’a expliqué un des psychiatres dans Marianne. Enfin, la troisième expertise, à laquelle le psychiatre Roland Coutanceau a participé, évoque une bouffée délirante «exotoxique», c’est-à-dire causée par des substances psychoactives. Expert national depuis quarante ans, et actuellement à la cour d’appel de Paris et à la Cour de cassation, il revient pour Libération sur ce dossier très sensible

Analyse Affaire Sarah Halimi : des confusions hâtives ?

par Julie Brafman publié le 29 avril 2021 

La décision de la Cour de cassation, qui a confirmé l’irresponsabilité pénale du meurtrier de la sexagénaire juive, a suscité une vague de colère et d’incompréhension en France. Retour sur cette affaire complexe où se mêlent le politique et le psychiatrique.

De quoi Sarah Halimi deviendra-t-elle le nom ? D’une rue, comme le veut Anne Hidalgo, la maire de Paris, qui a déclaré ce dimanche «ça sera aussi une façon de lui rendre justice, pas de lui rendre la vie, mais de lui rendre justice» ? D’une loi, qui verra le jour fin mai, comme l’a annoncé le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti – sur instruction du président de la République – afin de mettre fin au «vide juridique» qu’il croit déceler dans notre code pénal ? De cette vague d’émotion qui a submergé la France, 26 000 manifestants criant à l’injustice après que l’homme accusé du meurtre de cette sexagénaire juive a été déclaré pénalement irresponsable ?

Brèves de psy

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Brèves de psy

Path Lucia

Informations sur le livre

Editeur : Amalthée
Année de parution : 2019

Présentation de l'éditeur

Psychologue à l’hôpital, Lucia Path a souhaité transmettre quelques instants prélevés de sa pratique dans un service de pédopsychiatrie. Les fragments choisis viennent témoigner d’instants de vie d’enfants, d’adolescents, de parents qui confient dans un bureau, un couloir, un interstice, leurs inventions singulières pour affronter le monde.
Ces brèves introduisent, avec toute la pudeur exigible, les drames et les brisures qui peuvent parsemer une vie.

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Oedipe, une histoire complexe ?


 


LE 29/04/2021

À retrouver dans l'émission

LES CHEMINS DE LA PHILOSOPHIE

par Adèle Van Reeth

Que reste-t-il de la pièce "Oedipe roi" de Sophocle sans la musique et les chants de l'époque antique, l'essence du théâtre, qui accompagnaient le texte ? Quelle est l'émotion du spectacle tragique ? Quelle forme de pensée est devenue la figure d'Oedipe ?

Pierre Blanchar incarne Oedipe
Pierre Blanchar incarne Oedipe Crédits :  Keystone-France/Gamma-Keystone - Getty

Depuis quand le nom d'Oedipe se trouve-t-il dans notre culture ?
Dès l'Illiade d'Homère, puis dans le chant 11 de l'Odyssée, le personnage est mentionné.
Après le mythe, les Tragiques : Eschyle, Euripide, et les deux pièces de Sophocle qui font aujourd'hui référence en la matière.
Et l'histoire continue : Sénèque à Rome, 5 siècles plus tard, puis, proches de nous, Freud et son complexe d'Oedipe, Pasolini et son Oedipe roi, Deleuze et son Anti-Œdipe...
Retournons aux sources du tragique, sur scène, afin de comprendre ce qu'Oedipe le tragique dit de nous...

L'invitée du jour : 

Florence Dupont, professeure émérite à l’Université de Paris, docteure Honoris causa de l’Université de Genève, ancienne directrice de programme au Collège international de philosophie

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A Lille, une association accompagne et habille les candidats avant leur entretien d'embauche

LE 29/04/2021

À retrouver dans l'émission

LE REPORTAGE DE LA RÉDACTION

par Lise Verbeke

"L’habit ne fait pas le moine, mais il y contribue". C’est le slogan de l’association La Cravate solidaire, qui combat la discrimination à l’embauche liée à l’apparence. Elle habille les demandeurs d’emplois pour leurs entretiens, et les coache. Une aide précieuse en cette période de crise.

Dans les locaux de l'association La Cravate solidaire à Lille, des candidats à l'embauche trouvent de quoi s'habiller et se préparer aux entretiens.
Dans les locaux de l'association La Cravate solidaire à Lille, des candidats à l'embauche trouvent de quoi s'habiller et se préparer aux entretiens. Crédits :  Lise Verbeke - Radio France

L’association La Cravate Solidaire possède 12 antennes dans toute la France. Celle de Lille existe depuis 2016 et se trouve au pied d’une barre d’immeuble, à quelques stations de métro du centre-ville. Chaque semaine, entre trois et quatre ateliers ont lieu. Avec un programme bien précis.

Les bénéficiaires passent d’abord par le vestiaire, homme ou femme. Des dizaines et dizaines de vêtements sont ici accrochés en enfilade sur des cintres, comme un véritable magasin. Des robes, jupes, costumes, chemisiers, jeans, bijoux, chaussures etc. "Nous avons des dressings très remplis qui proviennent de dons de particuliers ou de fins de séries de magasins, détaille Vincent Berthault, le directeur, le but de l’association est de lutter contre les discriminations à l’embauche et l’une des premières causes, c’est malheureusement encore l’apparence aujourd’hui".

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«Sortez-moi de moi»: sous pression

 LEDEVOIR

SUISSE

Manon Dumais

30 avril 2021

«Sortez-moi de moi» met en scène Clara St-Amand (Sophie Lorain, sur la photo) et Myriam Melançon (Sandra Dumaresq), travailleuses sociales chargées d’envoyer des personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale à la psychiatre Justine Mathieu (Pascale Bussières).

Photo: Yan Turcotte

Trois semaines après avoir dévoilé la série Portrait-robot sur Club Illico, le tandem de choc que forment Sophie Lorain et Alexis Durand-Brault présentait jeudi les trois premiers des six épisodes de Sortez-moi de moi à la presse. Diffusé sur Crave dès vendredi prochain, ce thriller campé dans l’univers des intervenants de première ligne et de la psychiatrie sortira en même temps dans sa version doublée en anglais (Way Over Me). Une première au Canada pour une série québécoise.


[...]

Sortez-moi de moi met en scène Clara St-Amand (Sophie Lorain) et Myriam Melançon (Sandra Dumaresq), travailleuses sociales chargées d’envoyer des personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale à la psychiatre Justine Mathieu (Pascale Bussières). Tandis que Clara doit apprendre à travailler avec son nouveau partenaire, Gabriel Beauregard (Bruno Marcil), qui vit une séparation difficile, Justine se laisse séduire par David Ducharme (Vincent Leclerc), patient bipolaire de type 2. Or, comme le veut le proverbe, les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés…

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