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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 16 décembre 2019

Hôpital de Montfavet : "Il faut sauver la psychiatrie publique"

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Par France Bleu Vaucluse  
Lundi 16 décembre 2019

Les soignants de l'hôpital psychiatrique de Montfavet se mobilisent à Avignon mardi 17 décembre, jour de manifestation des hôpitaux publics. Ils réclament des recrutements dans tous les services de l'établissement.

L'hôpital de Montfavet compte 15 % de postes de médecin vacants.
L'hôpital de Montfavet compte 15 % de postes de médecin vacants. © Radio France - Géraldine Marcon

Avignon, France
Croiser des collègues en pleurs dans les couloirs, c'est presque une habitude pour Marion, infirmière à l'hôpital psychiatrique de Montfavet depuis deux ans : "On est en sous-effectif, souvent non-remplacés, soupire la soignante. Il y a beaucoup d'accidents de travail et d'arrêts maladie",  L'établissement compte 15 % de postes de médecin vacants. Pour Magali Trouvé, psychiatre, cette situation est insoutenable : "Dans mon service, on accueille des patients sous contrainte. On doit les accueillir même si on manque de place. Résultat, certains dorment sur des lits de camp."

Étude clinique sur l’apathie

Publié le 

Soins psychiatriques sans contentement : contrôle du juge judiciaire sur les mesures de contrainte et d’isolement

Accueil

par Valérie-Odile Dervieux   le 16 décembre 2019

ÉDITION DU 16 DÉCEMBRE 2019

Le juge des libertés et de la détention n’est pas le « juge des libertés et de la contention » 
Par arrêt du 21 novembre 2019, la Cour de cassation a exclu les mesures de contention et d’isolement prises dans le cadre d’une hospitalisation sans consentement, du domaine de compétence du juge judiciaire.
En fixant cette limite importante au contrôle du juge des libertés et de la détention, la Haute Cour a pris une décision dont la portée est juridique mais pas que …
De fait, alors que la question du contrôle judiciaire se pose avec encore plus d’acuité s’agissant des mesures les plus restrictives à la liberté que sont l’isolement et la contention (CSP, art. L. 3222-5-1 ; HAS, févr. 2017, guide « Isolement et contention en psychiatrie générale - Méthode Recommandations pour la pratique clinique » ; Civ 1re, 7 nov. 2019 n° 19-18.262, Dalloz actualité, 19 nov. 2019, obs V.-O. Dervieux), la position de la Cour de cassation contribue en creux au débat sur la portée de l’article 66 de la constitution et donc le rôle du juge judiciaire.

Moins d’embrassades, de bises, de câlins : pourquoi on se touche de moins en moins

En cette époque d’« hygiénisme social », ce qu’on touche, tâte, balaye le plus, ce sont finalement des écrans lisses et froids.
Par   Publié le 13 décembre 2019 

« Ren Xinyu Fingers Along the Li River Guilin » (China, 2016).
« Ren Xinyu Fingers Along the Li River Guilin » (China, 2016). ARNO RAFAEL MINKKINEN, COURTOISIE GALERIE CAMERA OBSCURA
Entrez dans une boulangerie, vous récupérerez votre monnaie dans une machine à sous. Passez au supermarché, vous serez tenté de biper vos articles. Consultez un médecin, n’attendez plus qu’il vous serre la main – « La dernière fois, il m’a tendu son épaule ! », regrette une ex-enrhumée. Question d’hygiène, de sécurité, ou marque de bienséance ? Confrontés, entre autres crises, à celle du toucher affectif, nos plus menus frôlements périclitent.
Le contact humain serait devenu un « produit de luxe », selon Nellie Bowles, journaliste américaine spécialiste des nouvelles technologies au New York ­Times. Et ce qu’on touche, tâte, balaye le plus, ce sont des écrans lisses et froids. Le 23 mars, elle rappelait par ailleurs dans son journal qu’une box d’intelligence ­artificielle type Alexa coûte moins cher qu’une aide à domicile.

La bise nationale en voie de décroissance

Pour parer à ce problème et réinjecter du « toucher social » dans nos ­téléphones, Marc Teyssier, étudiant à ParisTech, leur a confectionné une ­seconde peau : Skin-On, dotée d’un derme couleur chair creusé de petites ­rides et de quatre cents capteurs au millimètre carré. Vous pourrez la commander par tripotage, pincement ou caresse. « Ce projet vise plus à faire réfléchir qu’à être commercialisé, relativise le jeune chercheur. Je refuse que mon invention accentue notre carence en toucher, déjà bien marquée… »
Il n’a pas tort. Si les émojis en forme de bouches en cul-de-poule ­bécotent généreusement les réseaux ­sociaux à coups d’air-kisses (« baisers ­mimés »), notre bise nationale a bel et bien entamé sa décroissance. Elle se fait plus rare au bureau. « Je trouve ça désagréable, ça me gêne », plaidait, il y a deux ans, Anne Picard-Wolff, maire de Morette (Isère), commune de 400 âmes, dans un mail adressé aux 73 élus qu’elle n’embrasserait plus.

De plus en plus de femmes enceintes ou avec un nouveau-né à la rue

PAR 
STÉPHANY MOCQUERY
PUBLIÉ LE 16/12/2019

Crédit photo : AFP
Dans une tribune publiée ce dimanche dans « le Parisien », des professionnels de santé et des associations dénoncent le manque criant d’hébergements pour les femmes enceintes ou avec un nouveau-né sans domicile.
« Elles sont enceintes, jeunes accouchées avec leur bébé dans les bras, souvent seules, étrangères, prises en charge par une maternité française et elles sont sans domicile. » Ainsi commence le texte, qui entend alerter sur la situation de ces dizaines de femmes, généralement arrivées depuis peu sur le sol français, qui n’ont pas de solution d’hébergement et se retrouvent à la rue.

Jeunes et migrants : l'OFDT alerte sur la précarisation de la santé des usagers de drogues

PAR 
COLINE GARRÉ -  
PUBLIÉ LE 16/12/2019

Crédit photo : S. Toubon
Les conditions de vie des usagers de drogues marginalisés sont toujours plus précaires, avec comme conséquence, une dégradation de leur état de santé, alerte l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) à la lumière des derniers chiffres issus du dispositif TREND (tendances récentes et nouvelles drogues). Ce réseau de huit sites en métropole assure depuis 1999 une veille sur les tendances et phénomènes émergents dans les additions.

Obésité et dénutrition, de plus en plus de pays victimes du « double fardeau » nutritionnel

PAR 
DAMIEN COULOMB
PUBLIÉ LE 16/12/2019

Crédit photo : AFP
Une part croissante de pays sont désormais touchés simultanément par les deux aspects de la malnutrition : surpoids et sous-alimentation. Selon une série de 4 articles publiés dans le « Lancet », un pays sur trois (48 sur les 126 analysés dans le rapport) aujourd'hui serait concerné par cette « nouvelle réalité de la malnutrition », comme l'indique le Dr Francesco Branca, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et premier auteur d'un des 4 articles.

Dans les pays développés, le boum des femmes sans enfants




  • Plusieurs pays développés ont dépassé le taux de 20 % de femmes restées sans enfant.

Dans les pays développés, le boum des femmes sans enfants
Les jeunes Japonaises non mariées à 25 ans étaient affublées il y a peu encore du sobriquet de Christmas cake, parce qu’elles devenaient moins appétissantes comme un gâteau de Noël qui a passé la date du 25 décembre… Les célibataires sont encore fréquemment qualifiées de « parasites » dans l’archipel nippon, rapporte la sociologue Xiao Lei (1).
Dans un Japon où mariage et procréation demeurent des valeurs cardinales – moins de 3 % des enfants y naissent hors mariage –, nombre de Japonaises veulent échapper à la tradition, et les grandes villes s’adaptent à la nouvelle donne sociale. En 2010 à Tokyo, plus de 36 % des femmes de 30 à 39 ans étaient célibataires. Au niveau national, 29 % des femmes nées en 1974 sont restées sans enfant (certaines pouvant être mariées). « On s’attend à ce que ce taux continue à augmenter au Japon, mais aussi à Singapour, en Corée du Sud et à Taïwan », pronostique Tomas Sobotka, de l’Institut autrichien de démographie.

« Emma Peeters » : Son suicide est à mourir de rire (faut dire qu'elle est Belge)

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Caroline Vié   Publié le 17/12/19

HUMOUR NOIR On s’amuse avec l’actrice dépressive et fantasque qui est l’héroïne d'« Emma Peeters », en salle ce mercredi

Monia Chokri dans «Emma Peeters» de Nicole Palo
Monia Chokri dans «Emma Peeters» de Nicole Palo — Nicole Palo/CFA programmation et distribution
  • Lasse de sa vie de comédienne ratée, l’héroïne d'« Emma Peeters » décide de se suicider le jour de ses 35 ans...
  • Monia Chokri incarne la belle désespérée dont les aventures délirantes font bien plus rire que pleurer.

A 35 ans, elle estime avoir tout raté, au point de vouloir mettre fin à ses jours le jour de son anniversaire. Elle, c’est Emma Peeters, comédienne qui donne son nom au film et qui s’organise au mieux pour faire les choses comme il faut, avec une efficacité remarquable.

dimanche 15 décembre 2019

Saint-Nicolas-du-Pélem : le musée où le temps s’est arrêté en 1930

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Par Nathalie Rossignol   Publié le 15/12/2019

Un musée nichet dans un hameau de Saint-Nicolas-du-Pelem (22) / © Fabrice Leroy - France 3 Bretagne

Quoi de plus efficace que de se replonger dans une époque pour mieux la comprendre ? C’est ce que propose depuis 1994 le musée de l’école de Bothoa à Saint-Nicolas du Pelem. Un musée associatif qui a investi une école construite dans les années 30 et fermée en 1977.


Dans cette école, la vie des écoliers d’avant guerre, de la salle de classe à la maison de l’institutrice, a été reconstituée. Pour les élèves en visite, l’illusion est saisissante, surtout qu’ils prennent place eux-mêmes derrière les pupitres qu’auraient pu occuper leurs aïeux.

Avant d'arriver à l'école, il faut marcher et parfois longtemps


Tout commence par une marche dans les chemins creux, étroits et boueux des environs pour accéder à cette ancienne école construite en 1930, dans ce hameau qui était alors un chef de canton. Une façon idéale pour se glisser dans la peau des élèves de l’époque qui se déplaçaient à pied, et même chaussés de sabots. Ce jour-là, les élèves de CM2 de l’école du Mené ne sont pas gâtés par la météo, et c’est sous une pluie persistante qu’ils parcourent les deux kilomètres prévus au programme… Thomas n’a pas tellement apprécié cet exercice, bien loin du confort qu’il connaît habituellement, probablement dans la voiture de ses parents. « J’ai pas trop aimé, parce que j’ai les chaussettes trempées »« L’idée c’est de leur faire vivre au-delà des mots ce qui se passait à l’époque. Leur montrer concrètement que ce n’était pas simple et que c’était même une épreuve de venir à l’école » nous explique Cédric Binet, animateur du musée.

Le ton sévère de l'instituteur intimide les enfants


Un souci d’authenticité qu’il incarne lui-même en endossant la blouse grise de l’instituteur, et en empruntant son ton sévère, ses remontrances désagréables. « Là, c’est concret remarque Aurélie Longeard, l’enseignante de l’école du Menéil joue merveilleusement son rôle et on s’y croirait ». A tel point que les élèves semblent pétrifiés derrière les pupitres. Rentrés en rang dans la classe, il leur a été intimé l’ordre de s’asseoir, de se taire et de croiser les bras. Et chacun s’est exécuté, craignant la punition. La journée commence, comme pour les grands-parents ou arrières grands-parents par la morale« Je vais vous lire une histoire, nous en tirerons une phrase que vous répéterez, écrirez et apprendrez par cœur ».

Écriture à la plume et punitions


L’exercice suivant, c’est l’écriture à la plume. Démonstrations à l’appui et menaces de rigueur « on peut faire un pâté, un deuxième pourquoi pas, au troisième, on déchire et on recommence ». Dans la salle de classe chauffée par le poêle à charbon que remplit régulièrement le maître, les plumes et l’encre violette remplissent les lignes des feuilles. « Plus on s’éloigne du modèle, moins ton T majuscule n’y ressemble » Théo est invité à s’appliquer. L’un ou l’autre de ses camarades aura droit à un bon point... L’occasion d’expliquer qu’à l’époque, bien travailler à l’école n’implique aucune récompense à la maison, d’autant que les moyens familiaux ne permettent pas de gâter les enfants. En revanche, une punition à l’école est renouvelée le soir en famille« Car le maître a toujours raison ». Et côté punition, certains instituteurs ont la main lourde, sévices ou humiliations sont fréquents. Rien qu’à l’évocation du coup de règle sur les doigts, des oreilles ou cheveux tirés, les enfants frémissent.


La misère sexuelle, un argument si pratique

Pour notre chroniqueuse Maïa Mazaurette, ce qu’on appelle « misère sexuelle » désigne en réalité la « crise d’une certaine masculinité » : « un souci d’identité, de rapport au monde, de hiérarchie des corps ». Elle appelle à en finir avec ce concept.

Maïa MAZAURETTE Publié le 15 décembre 2019


MAÏA MAZAURETTE
Avez-vous remarqué ? Que l’on parle de prostitution, de pornographie, de pédophilie, de culture du viol ou d’abstinence, quelqu’un finit toujours par mentionner le tragique destin des martyrs de la misère sexuelle. Pourvu que ces derniers soient des hommes, bien entendu. Côté femmes, le manque est rigolo (ah, les « nymphos »), dédramatisé (« les femmes n’ont pas de pulsions »), décrédibilisé (« il suffit aux femmes de traverser la rue pour trouver un partenaire »).
Pour les hommes, en revanche, misère sexuelle partout ! Un argument pratique, compassionnel, véritable « petite robe noire » des débats sociétaux. C’est que la misère sexuelle se porte avec tout. Vous pouvez vous en servir pour caler des tables ou pour monter des œufs en neige.
Ce « succès » est étrange : sauf handicap lourd, rien n’empêche les personnes délaissées de se masturber. En matière de « soulagement des pulsions », une masturbation vaut autant qu’un missionnaire.
Précisons donc : si la présence de l’autre est requise pour se réchauffer les pieds, c’est de la détresse affective. Si l’on s’en tient à la reproduction de l’espèce, il faudrait inventer la détresse reproductive. Mais comment parler de misère sexuelle, quand le soulagement sexuel est une ressource dont toutes les personnes valides disposent en quantité infinie ?
Objectivement, cette misère-là est un fantasme. Un concept. Une histoire qu’on aime se raconter. Et pourtant. Non seulement elle est omniprésente dans nos conversations, mais elle est prise au sérieux. On ne plaisante pas avec les forces telluriques du désir (y compris quand ces forces pourraient se balayer d’un revers de main) ! Notre compassion révèle de curieuses élasticités : le risque de mourir de faim ou de froid ne justifie ni le vol ni le squat ; en revanche, la grosse envie de sexe justifie d’outrepasser les règles les plus élémentaires du consentement ou de la vie en société.

Fatalisme sexuel

Pire encore, notre acharnement à faire exister la misère sexuelle en produit. On crée un faux besoin, qui physiologiquement n’existe pas. Son assouvissement génère des troubles, au mieux, et des victimes, au pire. Au moment de payer la facture, nous nous désolons – autant pour les coupables que pour celles et ceux qui ont croisé leur route. Comme s’il y avait là une forme d’équivalence.
Nous prétendons qu’il n’y a pas de solution (« c’est la biologie », « c’est des pauvres types », « les hommes sont des bêtes ») : non seulement nous créons ainsi le problème de toutes pièces, mais nous nous condamnons d’avance à ne jamais le résoudre.
Nous voici donc face à un énième avatar de notre indéboulonnable fatalisme sexuel, qui voudrait que dans le monde profane on puisse déplacer des montagnes, mais que dans la chambre à coucher on n’arrive même pas à soulever le drap.
Nous en payons le prix : plus nous légitimons ce faux besoin, plus les « miséreux » se sentent autorisés à le faire peser sur l’ensemble de la société (femmes, enfants, gays, hommes perçus comme faibles).
Ma position n’est pas celle d’une femme sans cœur (je le prendrai rosé, avec une sauce à l’orange). Au contraire. Je répugne à retourner les couteaux dans des plaies. Or c’est précisément à cette torture qu’on renvoie nos « miséreux », quand on les plaint, ou quand on décrit leur situation comme intolérable. Bien sûr qu’être assailli de désir est embêtant. Mais en reporter la responsabilité sur le monde entier l’est encore plus. Et franchement, être assailli/e du désir des autres est non seulement embêtant mais potentiellement dangereux.

Mépris de la masturbation

Ce qui pose la question du pourquoi. Pourquoi ces faux débats, quand nous pourrions affirmer une bonne fois pour toutes que la masturbation est suffisante ? (Et que, même si elle était insuffisante, on n’en mourrait pas ?)
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Le Samusocial sans président, faute d’accord entre Paris et l’Etat

Le gouvernement souhaite un haut fonctionnaire à ce poste. La Ville préférerait une figure du monde associatif.
Par   Publié le 14 décembre 2019
Le conseil d’administration du Samusocial de Paris, réuni jeudi 12 décembre, n’a pas réussi à se trouver un nouveau président, faute de consensus entre l’Etat et la Ville de Paris. Le président sortant, Eric Pliez, avait fait savoir, en octobre, qu’il ne solliciterait pas un nouveau mandat. Il avait toutefois accepté d’assurer l’intérim jusqu’à ce jour, mais pas plus longtemps, car il s’engage en politique et brigue la mairie du 20e arrondissement sur la liste « Paris en commun » d’Anne Hidalgo (Parti socialiste).

samedi 14 décembre 2019

Mme Wonner députée et la pétition exigeant l'interdiction de la psychanalyse...

Martine Wonner députée, membre de la Com. des affaires sociales de l’assemblée,a signée récemment une pétition pour l’exclusion de la psychanalyse de la Cité. Est-elle encore légitime pour assurer les fonctions de vice-Présidente des groupes de travail de la Commission des affaires sociales de l'Assemblée Nationale ?
Une pétition demandant l'exclusion de la psychanalyse des tribunaux, de l'université et des institutions de soins et du médico-social a été publiée à l'automne 2019 sur le site https://www.justicesanspsychanalyse.com/ .
Elle a été signée par 1022 professionnels de santé. Elle a été relayée par le Figaro et le Nouvel Obs.
J'ai publié dans Médiapart un article le 31 octobre dernier Si par hasard tu croises la psychanalyse... fripon fais gaffe!.
Avec Roland Gori, nous avons découvert que Mme Martine Wonner, député de la 4e circonscription du Bas Rhin, membre de la Commission des affaires sociales, auteure d’un récent rapport sur la psychiatrie contesté par de nombreux collectifs et professionnels de la psychiatrie, a apporté son soutien à cette pétition en la signant personnellement.

LREM veut-elle la mort de la psychanalyse ?

Nous portons à l'attention de Gilles Legendre, Président du Groupe parlementaire LREM, notre étonnement quant à l’engagement d’une députée LREM en faveur d'un groupe de pression réclamant que soient exclus des tribunaux, des hôpitaux et des universités la totalité des psychiatres et des psychologues se référant à la psychanalyse.