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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 18 février 2019

Netflix et les maladies mentales: le cinéma et les séries sont-ils le remède à nos maux ?

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Shreevatsa Nevatia  16/02/201

Des séries comme "Nanette" et "Crazy Ex-Girlfriend" permettent de modifier la perception que l’on a des maladies mentales et d'aider les souffrants.


Ces séries Netflix et d'autres permettent ce que certains appellent "la cinéma-thérapie".
NETFLIX/CW
Ces séries Netflix et d'autres permettent ce que certains appellent "la cinéma-thérapie".
En décembre dernier, un entrepreneur indien de 22 ans a reconnu souffrir d'une addiction qui semblait jusque-là trop banale et bénigne pour faire l'objet d'un diagnostic. Ce jeune homme était accro aux séries diffusées sur internet.
Constatant qu'il visionnait des heures entières de programmes sur Netflix, Amazon Prime Video et Hotstar, ses parents ont commencé à s'inquiéter. Au moment de son admission au sein du service dédié à l'utilisation raisonnée de la technologie (SHUT) du National Institute of Mental Health and Neuro-Sciences, il admettait aussi être accro aux séries en streaming.
Interrogé par le Times of India, le docteur Manoj Kumar Sharma, coordinateur du SHUT, explique: "Beaucoup de personnes se trouvent potentiellement face au même problème, mais ce jeune homme a fait la démarche de demander de l'aide. C'est quelqu'un d'intelligent qui a simplement perdu le contrôle du temps qu'il passait devant son écran."

Rencontre avec Michel Jonasz, Albert Einstein dans "Le cas Eduard Einstein"

culturebox   publié le 11/02/2019  Par Jean-Francois Lixon

Michel Jonasz (à droite) est Albert Einstein dans ""Le cas Eduard Einstein"

Michel Jonasz (à droite) est Albert Einstein dans ""Le cas Eduard Einstein"
 © DELALANDE RAYMOND/SIPA
Michel Jonasz incarne sur la scène de la Comédie des Champs-Elysées le savant Albert Einstein dans "Le cas Eduard Einstein" de Laurent Seksik. La pièce aborde un aspect méconnu de la vie de l’inventeur de la théorie de la relativité : la schizophrénie de son fils diagnostiquée à l'âge de vingt ans.Lire la suite ...

3e édition : Jeunesse éternelle

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Le Festival des idées Paris est un connecteur entre les Humanités et les Sciences, la recherche et l’art, les campus universitaires et les lieux culturels. Il favorise la rencontre entre chercheurs, jeunes créateurs et grand public.

Lire la suite et voir le programme...


Psychiatrie : Un traitement controversé mis en place à l'Hôpital Notre-Dame



QUEBEC

Comité Pare-Chocs 
Févr 04, 2019

 Le 26 octobre dernier, pour la première fois, l'Hôpital Notre-Dame, nouvellement fusionné au CIUSSS du Centre-Sud de Montréal, a administré des traitements par électrochocs à des patients.
Le comité Pare-Chocs, groupe militant pour l'abolition des électrochocs au Québec, dénonce cette nouvelle dérive en psychiatrie et lance la campagne publique d'opposition « La mémoire est sacrée » pour demander que cesse l'utilisation de cette technique à l'Hôpital Notre-Dame.

Des chiens en prison pour lutter contre le suicide



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Depuis 2016, la Maison d'arrêt de Nantes accueille une fois par semaine Betty et Gandhi derrière les barreaux. Objectif: prévenir les tentatives de suicide des détenues grâce au contact avec les chiens.

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Des ados abonnés au «nomadisme hôtelier»

Par Tonino Serafini — 
En juillet 2015, dans un hôtel, à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) accueillant des familles ayant fait appel au Samu social.
En juillet 2015, dans un hôtel, à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) accueillant 
des familles ayant fait appel au Samu social. Photo Julien Mignot

«Libération» a eu accès en exclusivité à une étude destinée au Défenseur des droits sur les jeunes logés par le Samu social dans des hôtels. Le texte souligne les «effets délétères» de ce mode de vie sur la scolarité, la santé…

Protestation après “l’agression et l’humiliation” d’un infirmier à Ain Defla

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ALGERIE
19 Févr. 2019

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Sexualité – la grande enquête 1/5. Pourquoi les jeunes font si peu l’amour

THE ATLANTIC - WASHINGTON   Publié le 


Malgré la fin des tabous et la montée en puissance des applis de rencontre, la récession sexuelle s’installe chez les plus jeunes, s’alarme le magazine The Atlantic dans une enquête fleuve dont nous publions ici le premier volet.


Par les temps qui courent, le sexe devrait avoir le vent en poupe.
Un pourcentage record d’Américains estime que le sexe entre adultes non mariés n’est “pas du tout condamnable”. Le nombre de nouveaux cas de contamination par le VIH n’a jamais été si bas. La plupart des femmes ont – enfin – accès à une contraception gratuite et à la pilule du lendemain sans ordonnance.
Si vous aimez les coups d’un soir, les applications Grindr et Tinder permettent de trouver un partenaire dans l’heure. La phrase “Si quelque chose existe, il y en a forcément une version porno” est aujourd’hui un lieu commun. Les pratiques BDSMs’affichent au cinéma du coin. Mais pourquoi sortir puisqu’on peut voir des scènes de sexe, souvent très crues, en première partie de soirée sur les chaines du câble. Envoyer des sextos est, d’un point de vue statistique, normal.

Tolérance totale

Polyamour est un mot courant. Les termes un peu honteux comme perversion ont été abandonnés au profit de mots plus enjoués comme coquin. Les rapports anaux ne sont plus l’ultime tabou mais la “cinquième base” [selon la métaphore américaine du baseball, la première étant de s’embrasser avec la langue et la troisième les rapports bucco-génitaux]. Le magazine pour ados Teen Vogue a même publié un dossier sur la question. À l’exception peut-être de l’inceste et de la zoophilie – et bien sûr des relations non consenties – notre culture n’a jamais été si tolérante envers le sexe sous toutes ses formes.

dimanche 17 février 2019

Le gouvernement installe un guide des bonnes pratiques pour la sortie de l’aide sociale à l’enfance

Ce document de référence est destiné à mieux accompagner, dans les départements, les jeunes majeurs qui étaient placés.
Par Solène Cordier Publié le 15 février 2019
Un document de référence, destiné aux départements, pour parvenir à l’objectif de « zéro sortie sèche » de l’aide sociale à l’enfance (ASE). C’est l’une des premières mesures annoncées par le gouvernement depuis le lancement officiel, le 28 janvier, de la concertation sur la protection de l’enfance. Pour la présenter, deux secrétaires d’Etat, Christelle Dubos, chargée des politiques familiales et de la lutte contre la pauvreté, et Adrien Taquet, chargé de la protection de l’enfance, ont fait le déplacement jeudi 14 février à l’Usine, à Saint-Denis, accompagnés d’Olivier Noblecourt, délégué interministériel à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes.

10 morts et 30 blessés dans l’incendie de la rue Erlanger, à qui la faute ?



Annonay - « Recréer une autre psychiatrie ensemble »

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16/02/2019

Mardi 12 février, les infirmiers du service psychiatrie de l'hôpital de jour d'Annonay ont fait grève pour dénoncer leurs conditions de travail. Photo : Hervé Missemer © Photo : Hervé Missemer
Mardi 12 février, les infirmiers du service psychiatrie de l'hôpital de jour d'Annonay ont fait grève pour dénoncer leurs conditions de travail. Photo : Hervé Missemer - Photo : Hervé Missemer

L'équipe infirmière du service psychiatrie de l'hôpital de jour d'Annonay est en grève à durée indéterminée pour manifester contre les restrictions budgétaires.



Loi santé : "le but c’est que chaque Français trouve une offre de soins à proximité"

15.02.19

Le 12 février dernier, la ministre des Solidarités et de la Santé était l’invité de la matinale de France Inter. Alors que la fameuse loi santé était à l’ordre du jour du Conseil des ministres le 13 février, Agnès Buzyn a défendu les orientations du gouvernement et les différentes réformes en cours. Interpellée par les auditeurs sur la crise des urgences et de la psychiatrie elle a pointé ce qui, selon elle, pose problèmes dans ces secteurs.
Loi santé : "le but c’est que chaque Français trouve une offre de soins à proximité"
La ministre a soutenu au micro de France Inter : il faut mettre fin à la médecine à deux vitesses.
La stratégie de transformation du système de santé c’est plusieurs briques, la loi n’en représente qu’une seule. Une autre partie du projet passe par des négociations avec les professionnels de santé et l’Assurance maladie et encore une autre partie est votée dans le PLFSS, explique Agnès Buzyn interrogée au micro de France Inter le 12 février, la veille de présentation de la loi santé au Conseil des ministres. En effet, de nombreuses mesures sur la réforme en cours seront précisées via des décrets et des ordonnances (près d’une demi-douzaine), ce qui inquiète des professionnels de santé comme des élus locaux craignant que les concertations ne soient réduites à peau de chagrin. Pour la ministre, c’est l’inverse. L’ordonnance c’est laisser trois mois supplémentaires après le texte de loi pour se concerter et aboutir à un projet commun. Et je suis absolument certaine que nous sommes d’accord avec les grands élus, je les vois assez souvent pour cela, affirme fièrement Agnès Buzyn. D’ailleurs ce qui émerge du grand débat pointe exactement les orientations que nous prenons assure-t-elle.