Le député de l’Isère et neurologue Olivier Véran est satisfait « pour les malades, l’hôpital et les médecins» dela décision de MarisolTouraine de plafonner la rémunération des médecins intérimaires en établissements.
« Je me réjouis que la ministre de la Santé se saisisse de la question de la démographie hospitalière », indique le parlementaire socialiste au « Quotidien ».
Santé. Avec une suroccupation des lits, un manque cruel de médecins, des moyens limités
et un territoire d’action toujours plus vaste, la psychiatrie de la Pointe de Caux va mal et le fait savoir.
Un territoire plus vaste, et donc plus de patients, pour un centre psychiatrique déjà en mal de médecins
Fatigués et inquiets des conditions de travail qui sont les leurs, les salariés du groupe hospitalier du Havre au centre psychiatrique Jacques-Monod ont manifesté ces dernières semaines. Mardi dernier, leurs représentants étaient reçus par l’Agence régionale de santé (ARS). Ils emmenaient un courrier du directeur du GHH et des médecins psychiatres. Le point sur la situation avec Alain Fuseau, chef du pôle de psychiatrie, et Philippe Paris, directeur de Monod.
REPORTAGE L’école des Platanes
d’Abbeville applique le «Plus de maîtres que de classes», dispositif phare de
la refondation contre l’échec scolaire.
«Tu as écrit "chevale". As-tu vraiment
besoin de faire chanter le "l" avec un "e" ?» Courbé
derrière l’élève, Christophe Tixier désigne du doigt le mot mal orthographié.
Pierre efface vite la lettre incongrue. Le professeur tourne autour de la table
installée au fond de la classe, où cinq élèves de CP planchent sur des
exercices de français. «Tu es sûr que le "r" monte jusqu’au deuxième
interligne ?» demande-t-il à Enzo du même ton patient. «Là, tu vois une niche :
comment vas-tu écrire le son "ch" ?» enchaîne-t-il à l’adresse de
Mathieu, perplexe devant sa feuille, crayon dans la bouche.
Pendant que Christophe Tixier s’occupe de ses
élèves, l’enseignante de la classe de CP, Caroline Paroïelle, 30 ans, continue
son cours comme si de rien n’était : «Nous allons faire une dictée, mais
attention, il y a des pièges et, cette fois, je ne vous les dirai pas.»
Plusieurs poussent de gros soupirs. La prof commence lentement à dicter : «Le
peintre a mis de la peinture…»Elle poursuit très distinctement en passant entre
les bureaux : «…de la peinture blanche et jaune.»
A Paris, des médecins du monde
entier ont confronté leur pratique face à des cas limites au congrès d’éthique
clinique.
Cinq cents participants, venus de
plus de 30 pays : l’éthique clinique sort peu à peu de sa tanière et commence à
s’afficher. La semaine dernière s’est tenue, pour la première fois à Paris, la
Conférence internationale d’éthique clinique (ICCEC). L’éthique clinique ?
C’est un drôle de mot, ou plutôt une nouvelle pratique.
Conflit.
«Il s’agit moins de réfléchir au plan des principes,explique le Dr
Véronique Fournier qui a présidé la rencontre de l’ICCEC,que
de se confronter à la réalité des enjeux éthiques que posent la médecine en
général et ses avancées technologiques en particulier.»Médecin, elle dirige le centre
d’éthique clinique de l’hôpital Cochin, à Paris. Et précise :«Il
ne s’agit pas de savoir, par exemple, si on est pour ou contre l’aide active à
mourir, mais d’accompagner les différents protagonistes quand ils sont
confrontés à une situation de ce genre avec une idée : comment prendre la moins
mauvaise décision ? Comment faire en sorte que chacun soit entendu ?»
Pour se faire vacciner, les soignants sont plus influencés par l'impact de la vaccination sur leur propre santé que sur celle des patients, selon une revue systématique de données internationales publiée dans Infection Control and Hospital Epidemiology.
Les raisons qui conduisent les professionnels de santé à refuser la vaccination sont certainement nombreuses, complexes et intriquées, mais la nécessité d'augmenter la couverture vaccinale nécessite de les comprendre, estiment Marija Vasilevska de l'université de Toronto (Canada) et ses collègues dans leur revue systématique parue dans Infection Control and Hospital Epidemiology.
Les études antérieures étaient largement centrées sur la vaccination antigrippale. Afin de comprendre plus globalement les facteurs qui influencent la décision des soignants, l'équipe a réalisé une revue systématique de la littérature publiée sur ce sujet jusqu'en mai 2012. Sur 116 études, les auteurs ont sélectionné 37 articles parus entre 1987 et 2012 qui portaient sur des vaccinations variées : grippe, coqueluche, anthrax, hépatite B et variole. Parmi ces travaux, neuf s'appuyaient sur des données européennes et 20 sur des données nord-américaines.
Depuis six mois, l’ARS Basse Normandie expérimente la fonction de coordonnateur d’appui aux soins. Assuré par un infirmier, ce nouveau métier a pour mission d’aider les professionnels sanitaires et médico-sociaux à redynamiser la prise en charge des patients complexes.
Ces référents sont à la disposition des médecins traitants et des professionnels médico-sociaux pour accompagner un temps un de leur patient pour lequel la situation médicale et/ou psychosociale est complexe.Appuyer la coordination des soins. C’est la mission de trois infirmiers qui, depuis novembre 2013, officient chacun dans l’un des trois territoires de Basse-Normandie pilotes : agglomération caennaise, Bayeux, Cherbourg.
C’est un paradoxe : le système de santé français considéré comme l’un des plus performants par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est aussi un des pays de l’Europe de l’Ouest où les inégalités sociales et territoriales sont les plus marquées. La sous-médicalisaton, était un des thèmes abordés lors d’un colloque organisé à la Faculté de Bobigny.
Depuis la fin de la dernière guerre mondiale, l’espérance de vie a progressé de façon constante. D’après les données de l’INSEE, à 35 ans une femme peut espérer vivre encore en moyenne 49 ans et un homme 43 ans, dans les conditions de mortalité observées en 2000-2008 en France.
BANGUI, 24 avril 2014 (IRIN) - Selon les données rassemblées dans un hôpital pour enfants souffrant de malnutrition en République centrafricaine (RCA), les parents de nombreux enfants pris en charge présentent des symptômes de stress post-traumatique directement liés à leur exposition à des actes d’extrême violence, a révélé l’organisation non gouvernementale (ONG) Action contre la faim (ACF).
Le pays est en proie à des troubles depuis plus d’un an et, depuis le mois de décembre, les violences ethnoreligieuses ont déplacé de force des centaines de milliers d’habitants.
Rédigé le Jeudi 24 Avril 2014 à 14:57 | Lu 1365 fois | 3 commentaire(s)
Après quatorze longues années de luttes intenses , de rudes sacrifices et de privations, pour la prise en charge et la réinsertion sociale des malades mentaux errant à travers le pays, au nombre de deux mille cent quatre vingt douze (2192), dans des conditions inhumaines, le Président de l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM), Ansoumana DIONE, s’exile en ce jeudi soir 24 avril 2014, dans la sous-région ouest Africaine.
Troisième temps d’une semaine entièrement conjuguée à l’infinitif du verbe « parler ». Aujourd’hui nous évoquons la cure par la parole, avec notre invitée Anaëlle Lebovits-Quenehen, psychanalyste, psychologue clinicienne, nous revenons sur les origines théoriques et pratiques de la psychanalyse, qui parie sur la parole comme mode de guérison.
Que voit le patient chez son psychanalyste ? Qu’y a-t-il en face du divan ? Ou sur le côté ? Quel est le « cadre » ? Tableau, gravure, photo, fenêtre, papier peint, bibliothèque. Est-ce important ? Que retient la mémoire ? Comment l’inconscient se fixe ou non sur un objet ? Un bouquet de fleurs ? Un tableau de Poussin ? Une ampoule qui s’éteint ? A partir d’une image vue depuis le divan (« dit vent ») l’imaginaire se met en marche. A moins que les paupières ne soient closes. Le patient ferme les yeux.
Thème 2014 : « La sécurité et la santé dans l’utilisation des produits chimiques au travail »
La Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail a lieu tous les ans, le 28 avril. C’est une campagne internationale destinée à promouvoir un travail sûr, salubre et décent. Cette Journée constitue un outil important pour sensibiliser l’opinion à la façon de rendre le travail sûr et salubre et à la nécessité de donner un plus grand poids politique à la prévention des risques professionnels.
CRITIQUE La construction du moi
musulman, tiraillé entre la raison et la voix divine par le psychanalyste Fethi
Benslama.
Sans doute sait-on que Freud, dans
ses travaux sur la culture et le monothéisme, par exemple son Moïse, n’a pas
pris en compte l’islam, «écarté en une phrase assez expéditive, au titre de difficulté».
Cette difficulté tient-elle au fait que Dieu, dans le judaïsme et le
christianisme, intervient directement dans la procréation du fils, et est donc
Dieu-le-père, alors que dans la théologie et la spiritualité de l’islam, où est
interdit tout rapprochement entre le créateur et le procréateur, Dieu n’est pas
le père et son messager, le Prophète, n’est pas tenu pour le père des musulmans
? Si on ôte en effet la figure de Dieu-le-père, des pans entiers de la
psychanalyse freudienne ou lacanienne s’écroulent. En ce sens, l’islam, quant à
la construction de son univers psychique et de ses systèmes symboliques, semble
«opposer un défi à l’hypothèse freudienne».
A ce défi, Fethi Benslama,
psychanalyste, professeur de psychopathologie clinique, n’a pas cessé de
répondre, depuis ce jour lointain - il terminait ses études à Tunis - où il
subit comme un «effondrement joyeux» en lisant Tafsir al-Ahlam, la première
(1952) traduction en arabe, par Moustapha Safouan, de l’Interprétation des
rêves de Freud. Après la Psychanalyse à l’épreuve de l’islam (2002), il propose
aujourd’hui la Guerre des subjectivités en islam.
L’objectif de ce prix est de susciter l’intérêt du public pour les recherches effectuées par les psychanalystes.
Sélection du site
Nous étions partis pour choisir 10 ouvrages à proposer au vote des libraires mais nous ne nous sommes mis d’accord que sur 8 d’entre eux. Cela ne veut pas dire bien entendu que les autres livres parus cette année ne présentaient pas d’intérêt mais, finalement, il nous a paru plus juste de n’en retenir que 8. La lecture de l’ouvrage de Gaetano Benedetti « Séminaires cliniques sur l'hystérie » a retenu toute notre attention. Hélas son auteur vient de nous quitter après une longue carrière de clinicien d’enseignant et de théoricien. On lira avec intérêt l’hommage que lui rend P.Faugeras sur le site d’Érès.
Certains ouvrages collectifs également présentaient d’indéniables qualités et parfois ouvraient sur des champs davantage en lien avec les questions actuelles , ce qui n’est pas toujours le cas des livres écrits par un seul auteur ; mais nous avons choisi, dans le cadre du prix, d’écarter cette année encore, les ouvrages collectifs.
Reste que l’on a beaucoup entendu de « mais » au cours de notre réunion. Ce n’est pas un livre sans qualité « mais » il est un peu bâclé, « mais » ce n’est pas son meilleur, « mais » il prêche un peu trop pour sa paroisse etc.… Dans ces conditions et pour respecter notre engagement auprès de vous, nous avons choisi de limiter notre sélection.
Au total donc voici la liste proposée au choix des libraires cette année. N’hésitez pas à aller les voir pour parler avec eux, surtout si, de votre côté, vous défendez l’un des ouvrages soumis à leur choix. Expliquez leur ce qui vous a intéressé, ce que sa lecture vous a fait découvrir. Plus le débat sera approfondi meilleur sera le choix final. Très prochainement , soit dans une quinzaine de jours, rendez-vous dans les librairies pour voter et et sur le site pour imprimer le bulletin de vote par courrier afin d’élire le prix de cette année.
Pour le Groupe de lecture
Laurent Le Vaguerèse
Alain Abelhauser, Mal de femme. La perversion au féminin, Seuil, 2013, 406 p., 24 €.
Paul-Laurent Assoun , L’excitation et ses destins inconscients. Court Traité psychanalytique de l'excitation, PUF, 2013, Paris, 262 p., 21 €
Steeves Demazeux , Qu'est-ce que le DSM ? Genèse et transformations de la bible américaine de la psychiatrie, Ithaque. 252 p., 16 €
Laura Dethiville , La clinique de Winnicott, Éditions CampagnePremière, 2013, Paris,19€
Eva-Marie Golder , Au seuil de la clinique infantile, Érès Collection Psychanalyse et clinique, 294 p., 28 €
Gérard Haddad , « Tripalium » - Pourquoi le travail est devenu une souffrance , Editions François Bourin, 107 p. 15 €
Patrick Merot , « Dieu la mère » Trace du maternel dans le religieux, PUF Collection Le Fil Rouge, 2013, Paris, 176 p., 20 €.
Moustapha Safouan, La psychanalyse (Science, thérapie-et cause), éd. Thierry Marchaise, 2013. 420 p. 29,50€ (18.99 € en téléchargement)
La psychanalyse peut-elle contribuer à l'analyse économique? C'est le pari de "Capitalisme, Finance, Démocratie" , qui vient de paraître. Un pari difficile. Par Pierre-Yves Cossé, ancien commissaire au Plan
[...] La psychanalyse à l'aide de l'analyse économique
La seconde tient à la construction intellectuelle. Quoique férus de la modélisation mathématique-présente dans les annexes du livre- ces deux polytechniciens considèrent que l'économie n'est pas une « science dure » et qu'elle doit être « complétée » en faisant appel à d'autres sciences sociales, ici la psychanalyse. Ils ont raison d'élargir l'approche traditionnelle fondée sur un « homo economicus » parfaitement rationnel. Ils ne sont pas à leur coup d'essai puisqu'ils ont publié en 2008 « Macropsychanalyse, l'économie de l'inconscient » (2008). Les concepts freudiens sont rebaptisés pour être appliqués à l'analyse du capitalisme et de la démocratie. Le « ça » devient le « Producteur, le « surmoi » « le Prêtre », « le moi » « le Prince » et le « Principe de Réalité » « le Professeur ». Ces correspondances sont inégalement convaincantes. Le ça/producteur d'où émanent les pulsions de haine et d'amour ? Sommes -nous dans la métaphore ou le dévoilement du réel ?
DU VENDREDI 18 JUILLET (19 H) AU VENDREDI 25 JUILLET (14 H) 2014
(Colloque de 7 jours) DIRECTION : Christophe DEJOURS, Felipe VOTADORO ARGUMENT :
À partir de 1960 et de sa contribution (avec Serge Leclaire) au Colloque de Bonneval sur l’Inconscient, Jean Laplanche va développer - en spirale - une pensée psychanalytique affranchie de toute allégeance, qui ne cède en rien aux effets ni à la fascination de la mode, voire s’affirme à contre-courant.
"Aller à contre-courant" signifiait, pour Jean Laplanche, rester au plus près de l’exigence qui anime les praticiens de l’analyse, exigence dont il fallait rendre compte jusque dans la théorie même.
Dans son rapport à l’héritage freudien, il s’agissait de "remettre Freud au travail, de faire travailler (grincer éventuellement) son œuvre, en travaillant avec elle".
C’est cette même "méthode" que nous appliquerons à notre tour à l’œuvre de Jean Laplanche.
Entre séduction et inspiration, entre étayage et primat de l’autre, entre Sexual et genre, entre énigme et traduction, le fil de l’ouverture - de la blessure - copernicienne présent dans les "Nouveaux Fondements" proposés par Jean Laplanche, semble, de façon croissante, retenir l’attention de penseurs venant des horizons les plus divers.
Les trois volets de ce colloque: les moments théoriques de l’œuvre, les incidences de la théorie sur la pratique analytique et la psychanalyse "exportée" (ou "hors cure"), articuleront les interventions de façon à permettre la discussion la plus large entre analystes et chercheurs d’autres disciplines et d’autres cultures linguistiques. Lire la suite ...
l’Emergence de l’inconscient réel chez Lacan et Deleuze/Guattari : Artaud et Joyce
L’émergence de l’inconscient réel est indissociable chez Lacan d’une critique de l’œdipe. Lacan, dès 1962, critique Totem et tabou et prend des distances résolues avec Freud (1). L’œdipe ne « sert à rien aux psychanalystes », et le « pire » c’est qu’il « est contraire à l’expérience clinique » (2). Dans cette critique, Deleuze et Guattari trouvent le motif essentiel qui motive l’Anti-œdipe en 1972. C’est également à partir de Lacan qu’ils vont affirmer radicalement l’hypothèse de l’inconscient réel. Cette précipitation du sens de l’œuvre lacanienne permettra vraisemblablement à Lacan d’approfondir à son tour sa conception de l’inconscient (3). Car, dès la décennie suivante, son ton se fait plus virulent, et l’écart avec Freud plus net. Lacan n’hésite pas à renvoyer la notion de « père primitif » à la névrose de Freud, et parle à cet égard du« père orant », et du « pérorant outang »(4).
Que s’est-il passé ? D’un point de vue interne à la doctrine lacanienne, le passage de la primauté du symbolique au Réel (à l’hypothèse de l’inconscient réel) peut rendre compte de ce mouvement. Mais il faut bien voir que ce mouvement est aussi bien épistémique que politique. Lacan, en délestant la psychanalyse du mythe de l’œdipe, peut à la fois repenser la psychose et approfondir son élaboration théorique de « l’objet a » qu’il va combiner à une analyse politique inspirée de Marx.
C’est également dans ce sillage poststructural ouvert qu’il faut penser l’enjeu de la schizo-analyse. Il s’agit d’une réfutation du structuralisme psychanalytique qui se soutient de la primauté d’une conception du symbolique articulé à l’œdipe. Dès 72, D/G affirment en effet que « toute autre était la voie tracée par Lacan. Il ne se contente pas, tel l’écureuil analytique, de tourner dans la roue de l’imaginaire et du symbolique, de l’imaginaire œdipien et de la structure œdipianisante [...] » (5).
N’est-ce pas en effet la raison pour laquelle Lacan a bien pris soin de rappeler en 1962 qu’il parlait non pas de l’œdipe mais de la « métaphore paternelle » dans « La question préliminaire » ? Le père a la fonction de métaphore par où tient le symbolique : il s’agira de se passer du « père », de son ordre ou de sa loi, « à condition de savoir s’en servir ». Seulement rien n’est moins sûr que ses disciples l’aient entendu. Les lacaniens sont clairement visés par D/G : « Ce n’est pas un hasard si l’ordre symbolique de Lacan a été détourné, utilisé, pour asseoir un œdipe de structure applicable à la psychose et pour étendre les coordonnées familialistes hors de leur domaine réel et même imaginaire. » (6) Lire la suite ...