23/04/2014
Santé. Avec une suroccupation des lits, un manque cruel de médecins, des moyens limités
et un territoire d’action toujours plus vaste, la psychiatrie de la Pointe de Caux va mal et le fait savoir.
Un territoire plus vaste, et donc plus de patients, pour un centre psychiatrique déjà en mal de médecins
Fatigués et inquiets des conditions de travail qui sont les leurs, les salariés du groupe hospitalier du Havre au centre psychiatrique Jacques-Monod ont manifesté ces dernières semaines. Mardi dernier, leurs représentants étaient reçus par l’Agence régionale de santé (ARS). Ils emmenaient un courrier du directeur du GHH et des médecins psychiatres. Le point sur la situation avec Alain Fuseau, chef du pôle de psychiatrie, et Philippe Paris, directeur de Monod.