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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 15 septembre 2017

Santé : les enfants manquent de sommeil

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Par  – France Télévisions   15/09/2017

D'après une étude révélée par le journal Le Parisien, les enfants ont perdu 40 minutes de sommeil par nuit en 30 ans. Les conséquences se font ressentir à l'école, avec des difficultés de concentration, des changements de comportement rendant les enfants parfois apathiques ou agités à l'extrême.


Infirmier scolaire : un métier de soins, et d'écoute privilégiée


Par Céline Serrano



Sur l'île ils sont une trentaine à exercer dans les établissements scolaires. Une présence destinée à prodiguer les premiers soins aux élèves malades, mais aussi à prêter une oreille attentive à leurs petites et grandes détresses.


A Nancy, nouvelle controverse autour de l'arrêt des soins d'une mineure

14.09.2017

Le tribunal administratif de Nancy a suspendu jeudi la procédure d'arrêt de soins entamée à l'égard d'une jeune patiente de 14 ans atteinte d'une maladie auto-immune et dans le coma depuis plusieurs mois. La jeune fille souffre d'une myasthénie auto-immune et a été hospitalisée en juin au CHRU de Nancy, inconsciente après une défaillance cardiaque.
Face à la situation, l’hôpital avait proposé aux parents d'arrêter les soins, ce que ces derniers ont refusé.

Un outil pour identifier les volontés de fin de vie chez les résidents en soins de longue durée

Univadis
8 sept. 2017

Malgré la possibilité qu’offre la loi de rédiger des directives anticipées de fin de vie ou de désigner une personne de confiance, ces options sont rarement exploitées par les personnes séjournant en service de soins longue durée (SLD) gériatrique. Leur absence et le fait que ces patients n’ont souvent plus les capacités cognitives nécessaires pour faire part de leurs volontés le moment venu, placent régulièrement les soignants face à des situations délicates. C’est alors le plus souvent l’entourage qui est consulté pour décider de l’accompagnement de fin de vie. Pour répondre à ce problème, l’équipe de l’unité de soins de longue durée gériatrique du centre hospitalier Annecy-Genevois a travaillé à l’élaboration d’un support spécialement adapté à la communication des souhaits de fin de vie.


ISRS et IRSNA, la prudence reste de mise chez les enfants et adolescents

Univadis
11 sept. 2017

Les troubles dépressifs (TD), anxieux (TA), obsessionnels compulsifs (TOC) et les états de stress post-traumatique (ESPT) sont fréquents chez les enfants et adolescents. Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et des inhibiteurs mixtes de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSNA) interviennent en première ligne de traitement chez l’adulte, mais leur place reste débattue chez l’enfant en raison de risques accrus d’effets indésirables comme les tentatives de suicide, les pensées suicidaires ou les comportements hostiles. jusqu’ici, Peu d’études ont analysé le bénéfice/risque de ces molécules en population pédiatrique.  Afin d’actualiser les données sur la question, Une équipe américaine a effectué une méta-analyse des essais ayant évalué l’efficacité et la sécurité des ISRS et des IRSNA dans le traitement de ces différents troubles psychiatriques chez les enfants et adolescents.


L’avenir des effectifs de santé en Europe au programme du congrès de l’OMS

Univadis
11 sept. 2017

Les ministres de la Santé et les représentants de haut niveau des 53 États membres de la Région européenne de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), ainsi que des organisations partenaires, se réunissent à Budapest en Hongrie pour la 67e session du Comité régional de l’OMS pour l’Europe.
Le programme du congrès de cette année est dominé par les politiques et les cadres en matière de santé, et comportera des discussions sur l’établissement d’effectifs de santé durables au sein de la Région européenne par le biais de la mise en place d’un cadre d’action. Dans ce nouveau cadre, les pays sont invités à améliorer la planification des effectifs et le maintien des personnels de santé. Les pays à revenus élevés sont dissuadés de recruter des personnels de santé provenant de pays dont les revenus sont inférieurs.

Lésés sur les choix de stages, une centaine d'internes en psychiatrie franciliens se rebiffent

Sophie Martos
| 14.09.2017

Coup de théâtre. Convoqués mercredi 13 septembre pour choisir leur stage d'internat du semestre d'hiver, 106 internes en psychiatrie en deuxième année d'internat ont boycotté la procédure de choix de postes organisé par l'Agence régionale de santé (ARS) Ile-de-France.
Au cœur des justifications, l'entrée en vigueur de la réforme du troisième cycle des études médicales et sa répercussion sur la répartition des terrains et lieux de stages en Ile-de-France. Les internes parisiens estiment dans un communiqué relayé par l'association des internes en psychiatrie de Paris (PEPS) que les modalités d'attribution des stages ne leur ont pas « été transmises ni à temps, ni dans la transparence ». 
« 94 postes fléchés, évalués comme étant les plus formateurs (...) et en pédopsychiatrie, ont été alloués d'office à la nouvelle promotion des internes 2017 », soutiennent-ils. « Ces postes ont donc été retirés de notre liste de choix, sans compensation adéquate », dénoncent-ils.

PREMIÈRE JOURNÉE SCIENTIFIQUE DE LA CLINIQUE DU DAUPHINÉ POUR “UNE PSYCHIATRIE GLOBALE, POSITIVE, RÉÉDUCATIVE”

TROIS QUESTIONS À – Élisabeth Giraud Baro, psychiatre et coordinateur médical à la Clinique du Dauphiné de Seyssins, participe à l’organisation de la 1re journée scientifique de l’établissement le 21 septembre sur le thème « Dépression, émotions, addictions : créer des liens médicaux, psychologiques et sociaux ». Elle nous en explique le principe, tout en revenant sur le positionnement de cette clinique psychiatrique privée et conventionnée du groupe Sinoué, inaugurée le 17 novembre 2016.



Les patients prennent le large pour une thérapie en mer

La Nouvelle République

15/09/2017

Après 2011 et 2012, l'hôpital de Romorantin participe pour la 3<sup>e</sup> année. - Après 2011 et 2012, l'hôpital de Romorantin participe pour la 3<sup>e</sup> année.Après 2011 et 2012, l'hôpital de Romorantin participe pour la 3<sup>e</sup> année.
Après 2011 et 2012, l'hôpital de Romorantin participe pour la 3e année.
Cinq patients du pôle psychiatrie de l’hôpital de Romorantin seront sur la ligne de départ de “ Voile en tête ”, le 30 septembre à Marseille. Une régate à forte valeur ajoutée thérapeutique et humaine.
On ne va pas se prendre la tête. Il y a des équipages qui pratiquent la voile régulièrement, nous on va y aller tranquillement. On aurait pu entendre une mouche voler mercredi après-midi dans la cafétéria qui fait face au pôle psychiatrie de l'hôpital de Romorantin. Autour de la table, sept personnes, dont certaines ne se connaissent pratiquement pas, embarqueront bientôt à bord du même voilier de 12 mètres. Ce sera la première régate de leur vie, à l'occasion de Voile en tête (*), du 30 septembre au 7 octobre à Marseille.

Pairs aidants : Le programme « un chez soi d’abord »

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13 septembre 2017

Pairs aidants dans le chez soi d'abord Christian Laval

Des pairs aidants dans le « chez soi d’abord ». Par Christian Laval, sociologue, chercheur associé au laboratoire ESO (UMR 6590).

Depuis une dizaine d’années, de nouvelles figures émergent dans du médico-social et du sanitaire d’individus reconnus et qualifiés de « pairs » : pairs aidants, pairémulateurs, pairs-accompagnants, médiateurs santé pairs. Ces intitulés mettent tout particulièrement en avant les expériences traversées par ces individus en tant qu’usagers, patients, personnes handicapées, malades, etc., expériences à partir desquelles ils se reconnaissent et sont reconnus comme pairs des publics ciblés par les politiques publiques. S’il ne s’agit pas d’un phénomène massif numériquement en France, il convient de souligner l’institutionnalisation1 progressive de ces pratiques. Ce court article a pour ambition de comparer ces développements dans le champ de la santé mentale et plus particulièrement dans le cadre du programme expérimental « un chez soi d’abord » mis en place de 2011 à 2015.

Des spectacles d’artistes en situation de handicap avec Nantes < > Japon

13/09/2017



La compagnie de théâtre de Tottori sera à Nantes<>Japon le lundi 23 octobre au Lieu unique.

Du jeudi 19 au mercredi 25 octobre, l’événement Nantes < > Japon illustre l’inclusion sociale des personnes en situation de handicap à travers à l’art. Ce rendez-vous sera composé d’une exposition dédiée à l’art brut japonais, de performances d’arts de la scène, d’un colloque scientifique intitulé « Art, soin et Citoyenneté » ou encore de projections de cinéma.
« 500 Japonais seront à Nantes, fin octobre pour l’événement Nantes < > Japon », indique Patrick Gyger, directeur de la scène, Le lieu unique.

jeudi 14 septembre 2017

Maroussia Wilquin, la psychiatre dans la tête des criminels

ELLE, le magazine de toute l'actualité des femmes

13 septembre 2017

Maroussia Wilquin, la psychiatre dans la tête des criminels
Maroussia Wilquin, experte psychiatre auprès des tribunaux 
© Frédéric Stucin

Maroussia Wilquin est experte psychiatre auprès des tribunaux. Alors que s'ouvre le procès en appel de la mère infanticide de Berck, elle raconte son métier, indispensable et pourtant décrié.

Une façade en briques rouges, des murs blancs fatigués aux affiches jaunies, des couloirs qui sentent l'odeur tiède et âcre des plateaux-repas... C'est dans un service de psychiatrie en tout point semblable aux autres que Maroussia Wilquin reçoit ses patients à Abbeville, dans la Somme. Spécialisée en addictologie, cette psychiatre, experte auprès du tribunal d'Amiens interviendra cette semaine dans le cadre du procès en appel de Fabienne Kabou à Douai (Nord). Elle avait déjà livré son expertise lors du premier procès de cette mère infanticide, condamnée à vingt ans de réclusion criminelle en juin 2016 (lire encadré ci-dessous). Souvent décriés par une opinion publique qui les désigne, un peu vite, comme responsables des récidives, instrumentalisés par des politiques ravis de trouver des boucs émissaires quand un fait divers bouleverse le pays et maltraités par la justice qui les paie au lance-pierre, les experts psychiatres sont les mal-aimés du système judiciaire. Maroussia Wilquin nous éclaire sur leur rôle pourtant indispensable et détaille leurs principales missions.

Assister à des funérailles sans quitter sa voiture

13.09.2017



JaponConfronté à une population vieillissante, l'archipel innove dans le secteur funéraire.


Les Japonais peuvent honorer leurs morts sans quitter le volant.
Les Japonais peuvent honorer leurs morts sans quitter le volant.Image: AFP
Rendre hommage à des proches disparus sans trop d'efforts quand on est vieux ou invalide, c'est possible: un prestataire japonais de services funéraires propose de prier pour les défunts sans quitter le confort de sa voiture.
Grâce à une boîte à encens que vient lui présenter un préposé, la personne reste à bord de son véhicule et peut effectuer les gestes habituels (prendre de l'encens dans la boîte, élever brièvement la main à hauteur du front puis la rabaisser pour laisser tomber l'encens dans un encensoir en frottant ses doigts), et ce sans se rendre jusqu'à l'autel, filmé par une caméra dont les images sont retransmises pour l'assistance.

"Titicut Follies" de Frederick Wiseman



 Crédits :
Synopsis :
Bridgewater (Massachusetts), 1967. Frederick Wiseman tourne Titicut Follies, son premier film, dans une prison d’État psychiatrique et atteste de la façon dont les détenus sont traités par les gardiens, les assistants sociaux et les médecins à l’époque. Ce qu’il révèle a valu au film d’être interdit de projections publiques aux États-Unis pendant plus de 20 ans. Témoin discret et vigilant des institutions, Frederick Wiseman pose, avec Titicut Follies, les bases de ce qui fait son cinéma depuis 50 ans.

Mourir sans souffrir, le droit de choisir

Par Eric Favereau, Photo Théophile Trossat pour Libération — 


Anne Bert, le 4 avril, chez elle, en Charente-Maritime.
Anne Bert, le 4 avril, chez elle, en Charente-Maritime. Photo Théophile Trossat pour Libération

Atteinte de la maladie de Charcot, qui la condamne à finir «emmurée» dans son propre corps, cette écrivaine a décidé de se faire euthanasier en Belgique.


Quand le médecin est une femme

Par Dominique Stoppa-Lyonnet, cheffe du service génétique oncologique de l'Institut Curie et professeur de génétique a l'université Paris Descartes — 
Quand le médecin est une femme
Quand le médecin est une femmeIllustration réalisée par Jules Julien pour le cahier AVC



La relation au patient diffère-t-elle ?

Dominique Stoppa-Lyonnet participera à la soirée de débats "Quoi de neuf docteure?" organisée au siège de la rédaction de Libération, inscrivez-vous.
La parité sera atteinte chez les médecins en 2021, le ratio femme-homme sera de 60% en 2034 selon les projections de la DREES. 

mercredi 13 septembre 2017

Parents, attention en cette rentrée !

Le 12 Septembre 2017

Votre enfant retourne à l’école. S’il est indiscipliné ou rêveur, un psychologue scolaire - ou même un enseignant – peut vous dire que votre enfant souffre de « T.D.A.H. » : « Trouble déficit de l'Attention avec ou sans Hyperactivité ».

Sachez-le : ce diagnostic n'est reconnu par aucune des classifications françaises des problèmes de l’enfance : ni la CIM10, ni la C.F.T.M.E.A. Quant à la Haute autorité de la santé (HAS) elle a recommandé ce diagnostic en passant par-dessus la tête des experts français, et elle s’appuie sur une classification américaine : le « DSM 5 ». Ce "diagnostic" a été inventé sur mesure après la découverte de la Ritaline : il permet d’ouvrir un marché lucratif à l'industrie pharmaceutique. Aux USA, une multitude d'enfants prennent cette amphétamine, et cela bien plus qu'en France, où la plupart des pédopsychiatres ont une formation psychanalytique. Selon les Centers for Dicease Control and Prevention (CDC) aux USA : … « environ 11% des enfants 4-17 ans (6,4 millions) ont été diagnostiqués TDAH à partir de 2011. »

Nous représentons 5000 professionnels de la santé mentale avec le soutien de quatorze associations de professionnels, et nous nous élevons contre ce diagnostic TDAH, non fondé scientifiquement, dangereux et récusé par nombre d’experts internationaux.


Des consultations à 46 et 60 euros vont faire leur apparition chez les médecins généralistes

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Par Géraldine Houdayer,   13 septembre 2017 

Dès le premier novembre, de nouveaux tarifs, plus élevés, feront leur apparition lors de certaines consultations chez les médecins généralistes. Ils seront appliqués à des consultations "complexes", et concerneront par exemple les enfants obèses ou les jeunes filles qui souhaitent une contraception.
Le premier novembre prochain, les consultations complexes ou très complexes, facturées 46 et 60 euros, feront leur apparition chez les médecins généralistes. Ces nouveaux tarifs, dont les décrets ont été publiés au Journal officielce mardi 12 septembre, sont le résultat de négociations entre les syndicats de médecins et l’assurance maladie, dans le cadre d'une nouvelle convention tarifaire. C'est cette convention qui a également entraîné le passage de la consultation chez un généraliste de 23 à 25 euros en mai dernier. L'avis ponctuel d'un spécialiste, sollicité par un généraliste, passera, lui, de 46 à 48 euros, avant d'être facturé 50 euros en juin 2018.

Un tiers des établissements sans médecin coordonnateur : la grande misère des Ehpad

13.09.2017

"Les Ehpad souffrent de sous-effectifs patents". C'est la députée REM Monique Iborra qui a lancé mercredi ce signal d'alarme devant la commission des affaires sociales de l'Assemblée. "Malgré l'engagement des personnels, la situation est parfois indigne", confirme Brigitte Bourguignon, la présidente de la Commission des Affaires sociales qui a diligenté une "mission flash", nouveau type de commission d'enquête express d'une quinzaine de jours. Alors que plusieurs conflits sociaux ont éclaté récemment dans certains établissements et qu'une récente étude de la DREES révélait, il y a quelques jours, que 50 % des Ehpad connaissent des difficultés de recrutement, cette structure a auditionné depuis le 4 septembre les acteurs du secteur et confirme ses difficultés.

Les médecins veulent pouvoir attester librement des conséquences du travail sur la santé

Le Conseil d’Etat doit se prononcer sur la légitimité des plaintes d’employeurs auprès du conseil de l’Ordre.
LE MONDE ECONOMIE  | Par 
Un médecin examine une patiente à Godewaersvelde (Nord), en septembre 2012.
Un médecin examine une patiente à Godewaersvelde (Nord), en septembre 2012. PHILIPPE HUGUEN / AFP
Un employeur mécontent qu’un certificat médical établisse un lien entre la santé dégradée d’un de ses salariés et ses conditions de travail a-t-il le droit de demander au Conseil de l’Ordre des médecins de sanctionner l’auteur de cet écrit ? Cette question se trouvait, mercredi 13 septembre, au cœur d’une audience au Conseil d’Etat, saisi par l’association Santé et médecine du travail (SMT), ainsi que par des organisations de médecins et de victimes au travail et deux confédérations : l’UGICT-CGT (cadres) et Sud-Solidaires.

A l’origine de cette requête déposée en septembre 2016, l’affaire de Dominique Huez, médecin du travail à la centrale nucléaire de Chinon (Indre-et-Loire). Pour avoir rédigé un tel certificat en 2011 concernant un salarié d’un sous-traitant d’EDF, la société Orys, qui a porté plainte, la Chambre disciplinaire nationale du Conseil de l’Ordre des médecins a infligé à M. Huez un avertissement et l’a condamné au paiement de 1 000 euros à Orys. Estimant que la plainte de l’employeur n’était pas recevable par l’Ordre, et dans l’attente de la décision du Conseil d’Etat, M. Huez, qui est aussi président de SMT, a refusé de payer. Il a alors reçu la visite d’un huissier en mars 2017, qui a bloqué ses comptes en banque et a voulu saisir ses véhicules.


« Avoir eu un cancer m’empêche de faire un emprunt étudiant »

Thomas, 19 ans, a vaincu le cancer qui l’avait empêché de débuter ses études l’an dernier. Mais il lui faut renoncer à ses projets d’intégrer une école de commerce et d’achat immobilier, faute d’obtenir un prêt pour les financer.

LE MONDE  | Par 

« Comment financer ses études supérieures ou sa vie d’étudiant après avoir eu un cancer ou d’autres affections de longue durée ? » La question nous a été posée sur la page Facebook du Monde Campus, par un jeune homme de 19 ans, Thomas (le prénom a été modifié), qui se disait sobrement « concerné par le sujet ». Après quelques échanges, nous lui avons proposé de témoigner de sa situation, partagée par d’autres anciens malades. Voici son texte.

« C’était il y a un an : quelques jours avant d’entrer en IUT, j’ai appris que j’étais atteint d’un cancer (le lymphome de Hodgkin, Stade III-A pour les plus curieux). C’est un cancer qui se soigne relativement bien, et l’affronter physiquement n’a pas été l’étape la plus compliquée pour moi. Sur le plan médical, j’ai bénéficié d’un excellent suivi. Malgré des moments de grande fatigue, une semaine après la chimiothérapie, puis même au cours de la radiothérapie, j’étais de retour sur les terrains de basket. Mais une question s’est rapidement posée : qu’est-ce qu’un étudiant de 18 ans (enfin, je n’ai même pas eu le temps de faire ma première journée que j’étais déjà à l’hôpital…) peut devenir après cela ? Selon mon expérience, dans une telle situation, l’aide se fait peu présente.


PMA : le long chemin vers un droit pour toutes

Par Catherine Mallaval — 


Dans les faits, de nombreuses femmes lesbiennes ou célibataires ont déjà recours à la PMA, à l’étranger.
Dans les faits, de nombreuses femmes lesbiennes ou célibataires ont déjà recours à la PMA, à l’étranger. Photo Liz Hingley. Agence VU


La laborieuse bataille des femmes célibataires ou en couple homosexuel qui souhaitent devenir mères pourrait prendre fin l’année prochaine. L’exécutif compte en effet soumettre la PMA pour toutes au Parlement.


Manifeste des 180 pour l’égalité hommes-femmes dans le monde arabo-musulman

12 septembre 2017

La Tunisie a toujours été en avance pour donner autant à ses citoyens quel que soit leur sexe. De nouvelles lois doivent être mises en place rapidement pour un nouveau pas décisif. Le manifeste a été signé par 188 femmes Tunisiennes, mais aussi Algériennes, Turques, Syrienne, Marocaine, Iraniennes, Libanaises, ou Palestienne.