La police néo-zélandaise fait face à une constante augmentation du nombre d’appels de personnes en détresse psychologique ou suicidaires. Des coups de fil difficiles à gérer, qui nécessitent à la fois du temps et une analyse particulière.
Le centre de tri des appels d’urgence du 111, basé à Wellington, doit gérer, depuis plusieurs années, une augmentation des appels liés à une détresse psychologique.
En tant que forces de l’ordre, les policiers se voient affectés à des missions de toutes sortes. En voici une qui demande patience, analyse et diplomatie. Comment gérer l’appel de détresse d’une personne suicidaire ? De quelle manière conseiller cet homme ou cette femme en proie à une maladie mentale ? Voici un aperçu des questions que se posent les officiers en charge de la ligne du 111, le numéro d’urgence à composer en Nouvelle-Zélande.
Temps. C’est une responsabilité devenue quotidienne pour les officiers néo-zélandais, selon Dave Cliff, commissaire adjoint du pays. « Ce type d’appel est en hausse depuis ces dix dernières années.
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