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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 25 avril 2024

«Baby botox» Médecine esthétique : les jeunes de plus en plus dingues de la seringue

par Margaux Gable   publié le 26 avril 2024 

Ces dernières années, les 18-35 ans ont investi les salles d’attentes des cabinets de médecine esthétique. Une «génération selfie», poussée par les réseaux sociaux, qui tente d’effacer dès leur apparition les premiers signes de l’âge, notamment avec le Botox.

Et à 21 ans, c’est le drame. Là, pile entre les deux sourcils. Imane a beau s’éloigner du miroir, elle ne voit qu’eux. Deux (micro) sillons verticaux se sont invités sur son visage. La fameuse ride du lion, légèrement en avance. Le temps passe, c’est inexorable, mais la jeune femme n’était «pas prête» à voir chaque jour la preuve au beau milieu de la face. Sérums, crèmes, alimentation… Grande amatrice de contenu skincare sur les réseaux sociaux, la jeune femme, qui a grandi sous le règne tyrannique d’Instagram, fait pourtant tout ce qu’elle peut pour conserver une peau «glowy» et rebondie. Il y a quelques mois, elle a même succombé à la tendance de se scotcher le visage pendant la nuit pour figer momentanément les muscles et diminuer les rides au réveil. Trois ans plus tard, fini de tergiverser. Rendez-vous est pris dans un cabinet de médecine esthétique à Figueres, en Espagne.

mercredi 24 avril 2024

Quimper : une bande dessinée qui casse les clichés sur la psychiatrie

Par Adele Leberre   Publié le 

Titiane Vorano a passé deux mois dans une clinique psychiatrique. Elle livre son témoignage dans une bande dessinée illustrée par Clara Vialletelle : Je ne suis pas folle.

La maladie de Titiane Vorano est représentée par ce tigre très encombrant.

La maladie de Titiane Vorano est représentée par ce tigre très encombrant. ©Clara Vialletelle

Elle en a même fait une bande dessinée : Je ne suis pas folle. Sortie en décembre 2023 aux éditions Édifice, cette BD a été mise en images par Clara Vialletelle qui vit à Quimper (Finistère).

« Je voulais partager mon expérience car elle était très positive. Je suis bien consciente que cela se passe mal voire très mal pour certains patients. C’est donc une histoire très subjective, très personnelle que je livre »

Titiane Vorano.

Clara Vialletelle a dessiné Je ne suis pas folle.
Clara Vialletelle a dessiné Je ne suis pas folle. ©Adèle LE BERRE



 










Une exposition se tiendra du 15 mai au 31 octobre au coeur de l’hôpital Saint-Jean de Dieu pour célébrer le bicentenaire de cet établissement si particulier…

Par Gérald Bouchon    Publié le 21 avril 2024

L’hôpital Saint Jean de Dieu fête son bicentenaire. Avec une série d’événements programmée, de mai à octobre 2024.

Objectif : célébrer les 200 ans du plus vieil hôpital psychiatrique du Rhône. Un hôpital créé par deux frères de l’ordre hospitalier Saint Jean de Dieu… Voué à la fermeture dans les années 70 du siècle dernier, l’établissement sera finalement sauvé grâce au Conseil Général du Rhône qui se porte acquéreur.

[...]  » La première date, c’est 1824, la création de l’hôpital au sein du château de Champagneux. Il y a eu ensuite plusieurs phases de travaux au 19ème siècle, des agrandissements successifs… Durant la première guerre mondiale, l’hôpital Saint-Jean de Dieu fait office d’ambulance militaire. Il accueille des soldats blessés. Le dernier tournant, c’est 1980 avec le départ des frères. C’est le Conseil Général du Rhône qui reprend le flambeau ».

maison de santé photo ancienne

L’exposition  » Un long fleuve intranquille  » se donne pour mission de déconstruire certaines idées reçues et de questionner.  » Un long fleuve intranquille fait référence à un poème de Fernando Pessoa. L’intranquillité, pour lui, c’est tout ce qui se rapporte à la psychiatrie. Pour nous, un long fleuve intranquille, c’est une histoire de 200 ans Intranquille car l’histoire de l’hôpital se déroule par à-coups, par tâtonnements… ».

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Frères abandonnés, ils ont vécu livrés à eux-mêmes pendant sept ans dans un bois

DEMOTIVATEUR

Par Jérémy Birien · 

Ce mercredi 24 avril, le film “Frères” réalisé par Olivier Casas retrace l’histoire incroyable de deux garçons, qui ont vécu dans un bois pendant sept ans après l’abandon de leur mère.

Parfois, le cinéma nous fait découvrir des histoires tellement dingues qu’on pourrait douter de leur authenticité. Pourtant, le film “Frères”, réalisé par Olivier Casas, et qui sort ce mercredi 24 avril dans les salles obscures, n’a rien d’une fiction.

Le long-métrage (le second du réalisateur après Baby Phone) retrace l’enfance atypique vécue par Michel et Patrice de Robert de Lafregeyre, deux frères abandonnés par leur mère en 1948. Livrés à eux-mêmes, les deux garçons vont se réfugier dans un bois et y vivre pendant sept ans.

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A Lyon, visitez l'exposition "Epidémies, prendre soin du vivant".




Publié le 

DU 12 AVRIL 2024 AU 16 FÉVRIER 2025

Une photographie de l'exposition "Epidémies, prendre soin du vivant"

Jusqu'au 16 février 2025, le musée des Confluences à Lyon accueille l'exposition "Épidémies, prendre soin du vivant", et revient sur toutes les grandes épidémies de notre histoire.

Peste, variole, choléra, grippe de 1918, sida et très récemment Covid-19… Depuis des millénaires, les épidémies touchent les sociétés humaines ainsi que les autres espèces animales.

L'exposition Épidémies, prendre soin du vivant les étudient à la manière d'une enquête historique afin de comprendre comment elles ont bouleversé la vie sur tous les continents.

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Les psychologues réclament des comptes à la CNS

Publié

LUXEMBOURG 

Alors qu'un accord a été trouvé, fin 2022, pour rembourser les séances de psychothérapie, les psychologues du pays ne comprennent pas pourquoi ils sont exclus du système de remboursement.

Les quelque 320 psychologues du Luxembourg ne savent plus à quel saint se vouer. Alors qu'un accord a été trouvé, fin 2022, pour rembourser les séances chez les psychothérapeutes, à hauteur de 144 euros pour une séance de 50 à 60 minutes, les psychologues du Grand-Duché ne comprennent pas pourquoi ils sont écartés du système de remboursement.

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Le Conseil international des infirmières annonce la tenue de son prochain Congrès, prévu pour 2025, ainsi que son thème. La phase de soumission de projets s'ouvrira très prochainement.

PUBLIÉ LE 22/04/2024

helsinki, dome, finlande

Le Conseil international des infirmières (CII) organisera son Congrès du 9 au 13 juin 2025, à Helsinki (Finlande), informe-t-il par communiqué. Le thème en a déjà été décidé : le rôle et la place des infirmiers dans la transformation des systèmes de santé, « l'amélioration de l'accès aux soins et l'influence sur les politiques de santé dans le monde entier ». Face aux conséquences de la crise Covid, qui ont déstructuré les systèmes, le CII ne cesse en effet d’insister sur la nécessité d'investir dans la profession infirmière et de s’appuyer sur elle pour en assurer la reconstruction. Le choix de la Finlande n’a, quant à lui, pas été fait au hasard : l'année 2025 marquera le centième anniversaire de l'Association des infirmières finlandaises (FNA) et le centième de la date à laquelle elle a accueilli pour la dernière fois le congrès du CII à Helsinki.

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Projet de loi sur la fin de vie : l’Assemblée nationale entame ses travaux en faisant vœu de sérénité

par LIBERATION et AFP    publié le 22 avril 2024

Le projet de loi sur la fin de vie arrive ce lundi 22 avril à l’Assemblée, où la commission spéciale va mener durant un mois des auditions et éplucher le texte et ses amendements avant l’examen en hémicycle à partir du 27 mai. Les députés plaident tous pour un débat apaisé.

Prélude d’un parcours qui pourrait durer jusqu’à deux ans, le projet de loi sur la fin de vie arrive ce lundi 22 avril à l’Assemblée, où la commission spéciale va mener durant un mois des auditions et éplucher le texte et ses amendements. Le départ du marathon législatif autour de cette grande réforme sociétale du deuxième quinquennat Macron sera donné à 18 heures par la ministre de la Santé, Catherine Vautrin. Elle entend se livrer à un «exercice de pédagogie», selon son entourage, en expliquant notamment «comment nous sommes parvenus à un équilibre» sur ce texte hautement sensible.

TRIBUNE Aide à mourir : les vieux que nous sommes doivent être au cœur du projet de loi

par Le collectif du Conseil national autoproclamé de la vieillesse (CNaV)  publié le 22 avril 202

Pour le Conseil national autoproclamé de la vieillesse, la future loi doit s’inspirer des exemples de la Belgique, des Pays-Bas, de la Suisse et du Canada : l’existence d’une «souffrance physique ou psychologique réfractaire et insupportable» doit donner accès à l’aide à mourir. Et la décision d’y avoir recours ne peut être que l’apanage de la seule personne concernée.

Le débat sur la fin de vie arrive devant les parlementaires, et nous voulons en être. Nous, vieilles et vieux, membres du Conseil national autoproclamé de la vieillesse (Cnav), avons en effet dès l’origine signifié que notre objectif était de participer à l’élaboration des politiques publiques nous concernant. Sur ce sujet de la fin de vie, nous pensons que notre parole compte parce que, même si nous continuons d’aimer puissamment la vie, l’âge fait que nous avons eu le temps de réfléchir à la mort, à ce que nous voudrions qu’elle ressemble, et pourquoi.

Lettre d’adieu à l’autorité disparue, par Luc Le Vaillant

par Luc Le Vaillant    publié le 22 avril 2024

Gabriel Attal voudrait restaurer une discipline à l’ancienne dans les écoles quand mieux vaudrait repenser la transmission des savoirs au temps du numérique.

Chère autorité,

Il n’y en a plus que pour vous. C’est à qui vous hélera, puis vous hâlera jusqu’à la berge. Vous seule semblez capable de nous réarmer contre les fauteurs de troubles imberbes. On vous invoque à tout bout de champ et on vous convoquerait volontiers si vous n’étiez pas aux abonnées absentes depuis si longtemps, laissant pantelantes les nostalgies les plus transies. Le fait est que plus personne n’entrevoit votre impériale silhouette, pesant de tout son poids sur les nuques raides, courbant les échines et étouffant sous son impavide séant de matrone impérieuse les personnalités qui croyaient pouvoir respirer tranquille, nez au vent de l’aventure, sans plus aucun compte à rendre.

mardi 23 avril 2024

Aide médicale à mourir: un groupe demande d’inclure les patients atteints de démence


OTTAWA — Un groupe exhorte le gouvernement fédéral à permettre aux personnes atteintes de troubles comme la maladie d’Alzheimer et la démence de demander l’aide médicale à mourir avant leur déclin cognitif.

La présidente et directrice générale de Mourir dans la dignité Canada, Helen Long, affirme que le public soutient fermement l’idée de permettre aux personnes atteintes de troubles neurocognitifs de demander une aide à mourir avant que leur maladie ne leur fasse perdre la capacité de consentir.

La revendication pour permettre un meilleur accès pour ces patients fait suite à la décision d’Ottawa, après des mois de débat, de retarder l’extension de l’admissibilité aux personnes souffrant uniquement de maladie mentale.

Le gouvernement a légiféré pour obtenir une pause de trois ans, après que plusieurs provinces eurent déclaré au ministre fédéral de la Santé que leurs systèmes n’étaient pas prêts à mettre en œuvre la politique.

L’organisation de Mme Long, ainsi que d’autres partisans de l’idée, soutiennent que les personnes souffrant d’une maladie mentale intolérable devraient avoir le même droit à la procédure que les personnes souffrant d’une condition physique débilitante.

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Comment le capitaine Haddock aurait pu éviter une condamnation pour conduite en état d’ivresse ?


Quentin Haroche | 26 Avril 2024

Bruges – Un homme de 40 ans a échappé à une condamnation pour conduite en état d’ivresse grâce à une maladie particulièrement rare. 

Cela ressemble à une histoire belge et elle est pourtant véridique. Le tribunal correctionnel de Bruges, en Belgique flamande, jugeait ce lundi une affaire, somme toute relativement banale en apparence, de conduite en état d’ivresse en récidive. Le prévenu, âgé de 40 ans, était jugé pour avoir été arrêté à deux reprises sous l’emprise de l’alcool au volant en 2022 (la justice belge n’est apparemment pas beaucoup plus rapide que la française).

Il avait ainsi été contrôlé une première fois avec un taux de 0,91 mg/L d’air expiré (soit l’équivalent de cinq pintes de bière légère !) puis une seconde fois avec un taux de 0,71 mg/L d’air expiré, alors même que la loi belge fixe la limite légale pour conduire à 0,22 mg/L d’air expiré. En ayant vu d’autres, les gendarmes n’ont pas cru les dénégations du prévenu, qui affirmait n’avoir pas bu une seule goute d’alcool malgré son apparente ébriété.

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Les témoignages d’athlètes de haut niveau

Léon Marchand

Recordman du monde

5 fois Champion du monde 2022/2023


[...]

Florent Manaudou

Multi Recordman du monde

Champion Olympique 2012 

7 fois Champion du monde 2013/2014/2015

3 fois Vice Champion Olympique 2016/2021


lundi 22 avril 2024

ENQUÊTE - Plongée au cœur du milieu de la psychiatrie à Reims

De l’importance du salon de loisirs dans un service de psychiatrie


 


OLJ / Par Chawki Azouri , le 21 avril 2024

LIBAN

Le moment est sacré, intime, personnel. Un face-à-face entre le psychanalyste et son patient, qui se fait dans la colère, les larmes, les fous rires et les silences. 


Dans cette rubrique bimensuelle, le Dr Chawki Azouri partage des histoires et des cas qu’il a vécus tout au long de sa carrière. Pour cette nouvelle série, il revient dans un second article sur son expérience personnelle lors de la création du service psychiatrique de l’hôpital Mont-Liban.


À l’asile psychiatrique qui ressemble souvent plus à un « camp de concentration », il est impossible de créer un salon de loisirs. L’idéologie qui y règne ne peut envisager cela. Pourtant, Michaël Balint, pédiatre et psychanalyste anglais, avait remarqué que les stéréotypies étaient très fréquentes en camp de concentration, alors qu’on les attribuait à la clinique de la psychose.

Autrement dit, les psychiatres qui s’occupaient des patients hospitalisés depuis longtemps dans les asiles pensaient que ces troubles de comportement étaient dus à la psychose, alors qu’en fait ils étaient provoqués aussi par l’enfermement.

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Quimper : une bande dessinée qui casse les clichés sur la psychiatrie

Par Adele Leberre  Publié le 

La maladie de Titiane Vorano est représentée par ce tigre très encombrant.

La maladie de Titiane Vorano est représentée par ce tigre très encombrant. ©Clara Vialletelle

Titiane Vorano a passé deux mois dans une clinique psychiatrique. Elle livre son témoignage dans une bande dessinée illustrée par Clara Vialletelle : Je ne suis pas folle.

Les personnes qui séjournent dans un hôpital ou une clinique psychiatrique, en parlent peu voire le cachent. Souvent par honte. Titiane Vorano a, au contraire, volontiers raconté son expérience à son entourage familial, ses amis…



Un centre de soins psychiatriques vient d'ouvrir à la Chapelle-Saint-Mesmin avec le groupe Ramsay

Dimanche 21 avril 2024

De Patricia Pourrez

Par France Bleu Orléans

Baptisé Médispy, ce nouvel hôpital de jour fonctionne depuis fin janvier. Il accueille des patients souffrant de dépression ou de troubles psychiques. Il a vocation à rendre davantage accessible l'accès aux soins de la santé mentale dans un département du Loiret sous-doté. 

Le nouveau centre Médipsy a ouvert fin janvier à la Chapelle-Saint-MesminLe nouveau centre Médipsy a ouvert fin janvier à la Chapelle-Saint-Mesmin


Situé sur la zone d'activité des Portes de Micy, à la Chapelle-Saint-Mesmin, le centre Médipsy Orléans a ouvert fin janvier en toute discrétion. L'établissement appartient au groupe privé Ramsay Santé, également propriétaire de la clinique Belle Allée de Chaingy" Depuis 2020, on réfléchissait à créer un hôpital de jour en lien avec notre clinique" explique Véronique Bly, la directrice de la clinique et du centre Médipsy, "seulement, pour des questions de mobilité, on s'est dit que ce serait plus facile de l'installer près d'Orléans et ça répondrait aussi à un besoin plus global sur cette partie du Loiret".

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dimanche 21 avril 2024

Au CHU de Bordeaux, une nouvelle unité pour désengorger les urgences

LE 

21 AVR. 2024

Pascale Martinet, infirmière anesthésiste et membre de l'une des premières unités hospitalières mobiles paramédicales (UMH-P) du CHU de Bordeaux, s'occupe d'une femme transportée vers une clinique suite à un appel d'urgence, le 17 avril 2024 

Pascale Martinet, infirmière anesthésiste et membre de l'une des premières unités hospitalières mobiles paramédicales (UMH-P) du CHU de Bordeaux, s'occupe d'une femme transportée vers une clinique suite à un appel d'urgence, le 17 avril 2024  AFP Philippe LOPEZ

"Je ressens une douleur intense dans le dos et la poitrine, j'ai 73 ans". 

Dans la salle de régulation du Samu, une médecin urgentiste intercepte l'appel de cette femme atteinte d'hypertension et déclenche la nouvelle équipe paramédicale du service.

Début mars, le CHU de Bordeaux a rendu opérationnelle l'une des premières Unités mobiles hospitalières paramédicalisées (UMH-P), dont la mise en place a été autorisée nationalement par un décret publié le 29 décembre.

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Quand un CMP et un centre de médecine générale unissent leurs forces…

Publié le 

Au CMP de Bron, une collaboration inédite avec un centre de médecine générale fluidifie l’accès des patients « psy » à des soins somatiques de qualité.

le Centre médico-psychologique (CMP) de Bron (CH Le Vinatier) partage ses locaux avec un centre de médecine générale : le Centre de santé communautaire et planétaire (CSCP) dit Le Jardin. Les deux structures collaborent sous la forme de dispositif intégré, afin de faciliter l’accès aux soins des personnes vulnérables et de fluidifier les échanges entre professionnels. Du côté du CMP, la carence de soins somatiques chez les personnes en affection longue durée psychiatrique (ALD) et leur difficulté à trouver des médecins généralistes référents ont été les moteurs de cette initiative.

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