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MARSEILLE
À Marseille, les infirmières et les infirmiers font face à la pénibilité de leur métier et les jeunes ont du mal à se projeter.
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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
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MARSEILLE
À Marseille, les infirmières et les infirmiers font face à la pénibilité de leur métier et les jeunes ont du mal à se projeter.
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PUBLIÉ LE 06/04/2023
Dans un communiqué commun, 14 organisations soignantes* dont plusieurs infirmières, représentant plus de 800 000 soignants, saluent les conclusions de la Convention citoyenne sur la fin de vie portant sur la nécessité de renforcer l’offre en soins palliatifs.
Saluant le « travail approfondi » et « rigoureux » engagé sur le sujet par les 185 citoyens réunis au sein de la Convention, elles se félicitent qu’il ait mené « à la même conclusion » que celui de la Mission d’évaluation parlementaire sur la loi Claeys-Leonetti, rendu le 29 mars dernier : « si le cadre légal d’accompagnement des personnes en fin de vie semble répondre à l’immense majorité des situations, sa mise en œuvre n’est pas satisfaisante ». En cause, un manque de moyens humains et matériels et des carences organisationnelles. Une problématique qui n’est pas nouvelle.
PUBLIÉ LE 06/04/2023
Ces hospitalisations seraient évitables notamment avec une meilleure prise en charge en amont, souligne une étude de la DREES publiée mercredi 5 avril.
«265 000 hospitalisations pour des pathologies chroniques auraient pu être évitées» en médecine (hors chirurgie, obstétrique et odontologie), en 2017 en France, indique la Direction des études et des statistiques des ministères sociaux (DREES), et «près de la moitié avaient pour motif une insuffisance cardiaque». Et la notion porte même un nom : l’hospitalisation potentiellement évitable (HPE). Elle signifie qu'une hospitalisation aurait pu ne pas être nécessaire avec une meilleure prise en charge en amont (à ne pas confondre avec le recours non pertinent à l’hôpital, type bobologie, précise la Drees).
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INFOGRAPHIES. Au moment où le débat sur les retraites fait rage, l'Insee publie une étude qui montre que le pays compte 30 000 centenaires. Soit 30 fois plus qu’il y a 50 ans.
L
L'avait-il imaginé ? De nos jours, les centenaires ne sont plus si rares. Tout du moins en France. Selon un récent rapport de l'Insee, notre pays en compte près de trente fois plus que dans les années 1960-1975 ! En 2023, 30 000 de ces super-séniors vivent sur le territoire national. La bonne surprise est que la moitié d'entre eux habitent encore chez eux, l'autre moitié étant hébergée dans des établissements spécialisés. « Sur 1 000 personnes âgées de 60 ans en 1980, 21 sont devenues centenaires en 2020, ce qui place la France au premier rang européen », soulignent les analystes de l'organisme public.
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Jeunes chercheurs et universitaires, jusqu’au 5 mai, participez à l’appel à projets 2023 de la Fondation Pierre Deniker.
Chaque année, la Fondation Pierre Deniker attribue à des équipes de recherche des bourses et des prix pour faire progresser les connaissances sur les maladies mentales. Fidèle à sa mission de recherche et d’information, elle a lancé le 31 mars son appel à projets 2023.
Cette année, 4 prix seront attribués à des jeunes chercheurs et universitaires intervenant dans les champs de la psychiatrie, de la psychologie, des neurosciences et des sciences humaines et sociales.
06 avril 2023
BELGIQUE
À Liège, une nouvelle unité fermée "High & Intensive Care" a ouvert ses portes lundi au centre hospitalier spécialisé Notre-Dame des Anges. Ce nouveau service psychiatrique permet d’accompagner les patients de la manière la plus individualisée qui soit.
“La Parenthèse”, c’est le nom donné à la nouvelle unité fermée de la clinique Notre-Dame des Anges. Ce service HIC (High and Intensive Care) est doté d’une équipe pluridisciplinaire. Contrairement au service psychiatrique traditionnel, l’unité propose une prise en charge plus ferme et complètement individualisée du patient. "On a vraiment adapté la prise en charge des soins autour du patient. On travaille avec d'autres intervenants, que ce soit des ergothérapeutes, des psychologues, des médecins ou des autres membres du personnel. C'est désormais adapté à ses besoins personnels afin de pouvoir réaliser une insertion avec son réseau extérieur, que ce soit la famille, le médecin traitant ou d'autres organismes" explique Julio Caballero, infirmier en santé mentale et psychiatrie.
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Par Hélène Jouan (Montréal, correspondante)
Publié le 7 avril 2023
A la fin de l’année, 8 % des Québécois décédés devraient avoir eu recours à l’aide médicale à mourir, autorisée par la loi depuis 2014, au terme d’une longue délibération collective. De nombreuses personnes atteintes d’une maladie incurable et invalidante sollicitent ce « soin ultime », qui donne le droit au médecin, et à lui seul, d’administrer une solution létale. Dans la province canadienne, la démarche est entrée dans les mœurs. En France, la convention citoyenne sur la fin de vie vient tout juste de rendre son avis sur cette question sensible.
« L’éternité, ça ne va pas être un peu long ? Que vais-je faire de tout ce temps ? » A quelques jours de sa mort, programmée en juillet 2022, Ghislaine Lemay, 86 ans, appréhendait le calme à venir. Dans sa coquette maison de Québec, le monde s’était mis à vibrionner autour d’elle : ses filles s’activaient afin de s’assurer que la trousse médicale des trois piqûres requises pour dispenser l’aide à mourir arrive à temps, ses petits-fils aménageaient sa chambre pour qu’à l’heure dite toute la famille y trouve sa place, ses plus anciennes amies se pressaient autour de son lit pour partager un dernier verre et leurs souvenirs. Ses arrière-petits-enfants, enfin, la couvraient de dessins, lui souhaitant un « bon voyage au paradis ». « Malgré ses interrogations, ma mère n’a jamais flanché ni paniqué, se souvient, quelques mois après son décès, sa fille Geneviève Gagné, 62 ans, qui l’accueillait chez elle depuis vingt ans. Quand elle a su qu’elle était autorisée à partir, elle est même devenue euphorique. »
Année d'édition : 2023
Ce numéro de Pratiques en Santé mentale explore les nouveaux usages numériques dans les pratiques en psychiatrie et en santé mentale, en examine les avantages et les inconvénients et propose un premier état des lieux à partir de récits d’expériences concrètes d’usagers et de professionnels.
Les périodes de confinement ont montré l’importance que pouvait revêtir l’utilisation des outils numériques pour la continuité des échanges et des soins en même temps qu’ils contribuaient à lutter contre l’isolement. Mais au-delà de ces périodes, les services de psychiatrie ou médico-sociaux utilisent-ils la téléconsultation ou le télésoin ? voire des objets connectés ?
par Jean-Charles Andrieu de Levis Le 05/04/2023
La « S » Grand Atelier est un centre d’art brut et contemporain situé dans les Ardennes, près de Vielsam. Espace de création unique tant par sa longévité que par son attractivité, il polarise l’attention de nombreuses institutions et créateurs. La « S » Grand Atelier accueille et accompagne des artistes déficients mentaux. Bien loin de s’évader avec de l’art thérapie, ils s’investissent véritablement dans une démarche artistique qui n’appartient qu’à eux et signe la singularité de leur être au monde.
Ainsi, dans une ancienne caserne militaire se déroulent des ateliers où les artistes explorent différentes techniques en fonction de leur besoin d’expression : du dessin à la peinture en passant par la gravure sur bois, le monotype, la vidéo ou encore la sculpture et le textile, chaque résident se voit offrir la possibilité de s’épanouir dans la pratique de son choix. La « S » ouvre ainsi le champ des possibles à la créativité de chacun.
Dans une maison d’arrêt, des détenus se confient à un psychiatre. Voici leurs propos rapportés.
« Je me sens mieux depuis que je ne prends plus le traitement », m’explique Monsieur B. âgé de 37 ans. Depuis l’âge de 21 ans, il a été hospitalisé à plusieurs reprises en psychiatrie, dont l’une, qui s’est déroulée dans un service pour malades difficiles et violents, a duré un an et demi. Nous reparlons une fois de plus du traitement qu’il refuse de continuer à prendre, de son délire de persécution et des voix qu’il entend en permanence. Il me répète qu’aucun traitement n’est nécessaire car il ne se sent pas malade. Néanmoins, à l’issue de l’entretien, il accepte de revenir me voir la semaine suivante, pour reparler une énième fois de ses symptômes : « Elles me chuchotent dans l’oreille, elles m’insultent, elles me disent de me pendre, parfois de me couper les veines ».
« Merci beaucoup docteur, ça m’a fait du bien, cette hospitalisation. Tout est rentré dans l’ordre, mais je voudrais juste un somnifère ». Monsieur M., 21 ans, a été hospitalisé en urgence la semaine dernière pour un état délirant aiguë. Il avait l’impression que les surveillants et ses codétenus le surveillaient, et avaient placé des micros et des caméras dans sa cellule. Revenu hier d’hospitalisation, il ne montre plus le moindre symptôme pathologique. Nous avons refait le déroulé des jours qui avaient précédé son hospitalisation, et au bout d’une demi-heure, il a fini par accepter le fait que son abus de consommation de cannabis l’avait mis dans cet état. «Mais vous comprenez docteur, c’est la prison, je reste éveillé toute la nuit si je ne fume pas, j’en ai besoin pour dormir».
«Non, je n’en ai pas besoin», me répond Monsieur C., 33 ans, quand je lui demande des nouvelles de sa santé et que je le questionne sur son hygiène et sa prise de douche. Il ne prononcera aucune autre parole tout au long des vingt interminables minutes de notre entretien, rendues particulièrement pénibles par les odeurs de transpiration et d’urine qui se dégagent de ses vêtements. C’est sa quatrième incarcération en huit ans, et autant d’hospitalisations en psychiatrie. Entretemps, il vit à la rue. Il n’a plus aucun lien avec sa famille depuis des années, et n’a de contact avec des personnes que lorsqu’il est amené à l’hôpital, contre son gré, par les services de police ou du SAMU social. Malgré les efforts de mes collègues médecins et infirmières, il ne reste jamais plus de quelques jours dans le service, puis il retourne à sa vie d’errance dès qu’il en a l’occasion.
Le 5 avril 2023
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a procédé mercredi à l’inauguration du Centre de réhabilitation psycho-sociale du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Ibn Rochd de Casablanca, un projet solidaire qui illustre, une nouvelle fois, l’intérêt particulier qu’accorde le Souverain à la promotion du secteur de la santé, en général, et de la santé mentale, en particulier.
SM le Roi a, à cette occasion, visité les différentes composantes de ce Centre qui a pour mission de prendre en charge les patients présentant un handicap psychique induit par des pathologies mentales graves et chroniques, en vue de réduire les effets délétères de leur handicap et de favoriser leur réintégration sociale et professionnelle.
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Dans une Lettre ouverte adressée le 31 mars au ministre de la Santé et de la Prévention, F. Braun, la Fédération nationale des associations d’usagers en psychiatrie (Fnapsy) demande à nouveau un moratoire sur la création d’Unités de soins intensifs en psychiatrie, revenant sur une demande formulée par les principaux représentants de la psychiatrie publique en juillet 2022. D’après Hospimédia, la Commission nationale de la psychiatrie (CNP) a tout juste commencé les travaux sur ce sujet.
3 avril 2023
L’instruction n° DGOS/R4/2022/244 du 17 novembre 2022 relative aux équipes mobiles de psychiatrie de la personne âgée (EMPPA) déclinant la mesure 7 des Assises de la Santé Mentale et de la psychiatrie a pour cible l’augmentation du déploiement d’une expertise de psychiatrie de second recours dans les EHPAD et sur les territoires.
L'intervention se fait sur demande de professionnels du premier recours, pour mieux répondre aux besoins spécifiques des personnes et s'’inscrit dans une dynamique « d’aller-vers » et de soutien aux personnes âgées sur le lieu de vie.
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À la suite de la mobilisation du vendredi 31 mars 2023, en lien avec la crainte de fermeture temporaire de l’unité de psychiatrie du centre hospitalier de Redon-Carentoir, son directeur indique que l’hospitalisation complète de l’unité psychiatrique de Lanrua est maintenue au moins jusqu’au 8 mai.
Un peu plus d’une cinquantaine de personnes, dont de nombreux membres du personnel, se sont réunis devant l’unité de psychiatrie de Lanrua à Redon, vendredi 31 mars 2023. Ils craignaient la fermeture de l’hospitalisation complète faute de médecins. | OUEST-FRANCE
Avec l’application de la loi Rist, limitant les salaires des médecins intérimaires, qui est entrée en vigueur lundi 3 avril 2023, le service d’hospitalisation complète de l’unité de psychiatrie de l’hôpital de Redon, dont la moitié des praticiens sont remplaçants, était menacé de fermeture pour quinze jours à partir du 14 avril 2023.
De Chloé Martin Lundi 3 avril 2023
Des lits en moins pour la psychiatrie dans le Cotentin. La Fondation Bon Sauveur ferme temporairement 13 lits, sur son site de La Glacerie, à partir de la mi-avril et pendant six mois. Une décision prise face au manque de médecins psychiatres.
C'est une nouvelle conséquence du manque de médecins dans la Manche. A partir de la mi-avril, la Fondation Bon Sauveur va fermer temporairement 13 lits sur son site de La Glacerie, pour les six prochains mois. Autant de places en psychiatrie en moins dans le Cotentin.
Jeudi 6 avril 2023
Provenant du podcast
Les Pieds sur terre
Le terme “ghoster” vient du verbe anglais “ghost”, littéralement “fantômer”, autrement dit couper tous les liens avec une personne du jour au lendemain, disparaître en se contentant de ne plus répondre.
A vingt-et-un ans, Jeanne n’a jamais vraiment eu de relation amoureuse. Elle décide alors de s’inscrire sur Tinder pour vaincre sa timidité. Elle y fait la connaissance d’un jeune homme et commence à le fréquenter.
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Jeudi 6 avril 2023
Provenant du podcast
Le Pourquoi du comment : histoire
En 2020, lors de la pandémie de la Covid-19, les Français ont découvert le rôle essentiel que jouaient les médecins étrangers pour le fonctionnement de l'hôpital public. Leur nombre a considérablement augmenté au cours des dernières décennies pour résoudre une pénurie de praticiens résultant, en grande partie, du sévère numerus clausus mis en place pour limiter l’admission aux études médicales.
Mais ce que beaucoup de gens ignorent encore, c'est que les professionnels de santé qui ont obtenu leur diplôme dans un pays qui ne fait pas partie de l'Union européenne n'ont pas les mêmes droits, ni les mêmes rémunérations, que les médecins français bien qu'ils exercent le même métier. Une petite partie d'entre eux peuvent espérer obtenir un jour l'égalité de traitement avec leurs collègues, mais la procédure d’Autorisation d’Exercice est un véritable parcours du combattant qui contraint ces médecins à vivre dans la précarité, pendant de longues années.
Par Stéphane Foucart Publié le 03 avril 2023
L’humanité est de plus en plus confrontée aux maladies chroniques, du fait d’une augmentation des risques sanitaires et d’un manque de réflexion collective, analyse l’épidémiologiste Jean-David Zeitoun dans son dernier ouvrage, paru chez Denoël.
Livre. « Nous vivrons toujours plus vieux ! » S’il est une idée reçue – plus que jamais d’actualité avec la réforme des retraites – dont la lecture du Suicide de l’espèce fait douter, c’est bien celle-là. Dans ce bref essai, vif et percutant, écrit dans la continuité d’un précédent ouvrage (La Grande Extension. Histoire de la santé humaine, Denoël, 2021), le médecin et épidémiologiste français Jean-David Zeitoun entreprend d’élucider les causes profondes de l’épidémie de maladies chroniques qui frappe l’humanité – diabète et obésité, maladies cardio-vasculaires, cancers, etc. – et dont les effets sur la mortalité commencent à occulter les progrès accomplis par la médecine au cours du siècle passé.
Disponible
Du 28/03/2023 au 09/06/2023
De la guerre froide à nos jours, l'expansion de l'évangélisme a favorisé l’émergence d’un fondamentalisme chrétien. En trois volets, cette enquête fouillée dévoile les rouages d'une redoutable machine politico-religieuse décidée à étendre son empire sur les consciences.
Présent sur tous les continents, le mouvement évangélique, en rapide et constante expansion, compte aujourd'hui quelque 660 millions de fidèles. S'il réunit différentes Églises, ce protestantisme conservateur reste dominé par un courant fondamentaliste devenu au fil des décennies une redoutable machine politique. Il a contribué à porter au pouvoir, entre autres, Donald Trump et Jair Bolsonaro. Tous deux ont été défaits dans les urnes, mais leur présidence respective a renforcé les liaisons dangereuses entre pouvoir, finances et religion, au service d'un "nationalisme chrétien" de plus en plus offensif. Remontant au XVIe siècle, aux racines d'un phénomène à la fois omniprésent et méconnu, ce premier volet en retrace la genèse et la mutation décisive qui intervient en 1942, avec la fondation de la National Association of Evangelicals américaine, qui entend reconquérir la société. Avec la guerre froide, le prédicateur Billy Graham va donner à cet objectif un formidable élan. Sillonnant le globe au fil de "croisades" anticommunistes d’évangélisation, il galvanise des meetings géants au service des présidents conservateurs, d'Eisenhower à Nixon. Opposé à la ségrégation, il se tient pourtant à l'écart du mouvement pour les droits civiques emmené par Martin Luther King. Après le Watergate, il se retire de la politique intérieure pour se consacrer au reste du monde, visitant au total 185 pays. Dans son sillage, la dynamique d'expansion se poursuit et les "méga-églises" se multiplient en Corée du Sud, au Brésil ou au Nigeria, où de nouveaux leaders religieux vont récolter ce qu'il a semé.
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Écrit par Yves Quemener
Publié le
Le parquet d’Epinal (Vosges) ne considère plus le harcèlement scolaire comme la cause du suicide du jeune Lucas. Quatre élèves du collège Louis-Armand de Golbey (Vosges) sont accusés de harcèlement. Le jugement a été mis en délibéré au 5 juin prochain.
Le parquet d’Epinal (Vosges) a décidé lundi 3 avril 2023 de ne plus considerer le harcèlement scolaire comme la cause du suicide du jeune Lucas, 13 ans. Une décision qui devrait atténuer les éventuelles peines prononcées à l'égard des quatre élèves du collège Louis-Armand de Golbey qui sont mis en cause.