100 Rires ! n’est pas qu’une simple exposition… À Lons-le-Saunier, berceau de la naissance des premières boîtes de Vache qui rit ®, c’est une véritable fabrique à rires que vous allez découvrir ! Plus que des portions de Fromage, ce sont des sourires, des secrets, des histoires, des anecdotes, que renferment ses milliards de boîtes déjà produites dans le Jura.
Tout le monde a déjà croisé cette petite boîte iconique de la grande Vache qui rit ®. Ce sont ces expériences que l’on vous propose de partager. Découvrir qu’en 100 ans elle a eu mille visages, qu’elle a croisé bien d’autres célèbres rieurs, que si elle rit c’est surtout que c’est une grande joueuse et qu’elle adore partager ses sourires !
Certains enfants présentent des variations du développement génital brouillant leur assignation à un genre. Faut-il intervenir de façon précoce pour « normaliser le corps » ou attendre l’âge d’un consentement éclairé ? La question divise.
Micro-pénis, vagin plus court que la moyenne et parfois abouché à l’urètre, absence d’utérus, clitoris de taille supérieure à la moyenne, urètre placé ailleurs qu’au bout du gland (hypospade), vulve présentant l’aspect d’organes génitaux externes masculins, hirsutisme chez les filles, présence simultanée de testicules et d’un vagin… Ces caractéristiques physiques ont tour à tour porté les termes d’hermaphrodisme, d’intersexualité, d’anomalies du développement sexuel et, plus récemment, de variations du développement génital (VDG).
Dans son dernier rapport, la Miviludes* montre du doigt certaines professions du bien-être. Alimentation, yoga, méditation et autres thérapies brèves sont en tête des nouvelles poussées sectaires. Les experts nous aident à y voir plus clair.
Promesses d’apaisement, d’épanouissement voire de guérison, les disciplines de développement personnel et pratiques de santé alternatives ont désormais pignon sur rue… et sur la toile ! Les réseaux sociaux offrent une formidable caisse de résonance à une nébuleuse de thérapeutes en herbe alimentant pseudo-sciences et croyances dans des communautés d’initiés en roue libre.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 4 Français sur 10 ont recours aux médecines dites alternatives, dont 60% parmi les malades du cancer ; il existe plus de 400 pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique, on dénombre 1 800 structures d’enseignement ou de formation "à risques" dans le domaine de la santé, 4 000 "psychothérapeutes" autoproclamés n’ont suivi aucune formation et ne sont inscrits sur aucun registre (source : Miviludes).
Depuis 2003, le mois de novembre est notamment consacré à la santé mentale des hommes, via la campagne Movember, car les hommes se suicident 3 à 4 fois plus que les femmes en Occident*.
Cette campagne est l’occasion de mettre en lumière de façon plus générale la façon dont les entreprises ont un rôle à jouer pour accompagner leurs salariés, femmes et hommes, en proie à des troubles mentaux. Une étude de la Fondation Pierre Deniker révélait que 22% des actifs (soit plus d’un sur cinq) présentaient "une détresse orientant vers un trouble mental". Un chiffre qui s’aggrave pour les femmes (26% contre 19% d’hommes), et qui grimpe même jusqu’à 35% pour les personnes travaillant plus de 50h par semaine**.
Face à ces chiffres, l’entreprise doit prendre conscience de l’importance de mettre en place une gestion de la santé mentale, qui fait partie intégrante du cadre législatif de la santé au travail et donc des actions de prévention depuis le début des années 2000. Et ce tant d'un point de vue économique qu'humaniste.
D'un point de vue économique, l'Organisation Mondiale de la Santé a démontré que la maladie mentale coûtait aux organisations des milliards de dollars chaque année (absentéisme, perte de productivité, etc.). En gérant correctement la santé mentale, ces coûts peuvent donc être réduits. D'un point de vue humain, un lieu de travail inclusif, dans lequel chacun est valorisé, encourage les individus à s’investir, en renforçant leur sentiment de valeur.
Il est utile de faire la distinction entre, d'une part, les maladies mentales qui n'ont aucun lien avec le travail, mais qui doivent être prises en compte lors de la gestion des personnes atteintes de troubles psychologiques et, d'autre part, les maladies mentales qui sont une conséquence directe du travail.
Le forcené de Tours placé en détention provisoire le 26 octobre pour « tentative de meurtre sur un médecin et un policier » fait appel en vain de son incarcération.
Le 15 juin, vers 11 h, une patrouille de police était intervenue rue Arago au domicile d’un homme de 55 ans hospitalisé en psychiatrie avec soins au domicile. En vue d’être transféré en milieu hospitalier à la suite d’une rupture de soins, il avait visé une infirmière, un médecin et un policier, avec un fusil de chasse.
L’infirmière, légèrement blessée, s’en sort avec 5 jours d’ITT, le médecin psychiatre, aucun, le brigadier-chef de police, atteint au crâne, justifie lui de 10 jours d’ITT, ainsi qu’un autre gardien de la paix 10 jours d’ITT, par son état de stress. Le Raid appelé à la rescousse avait fini par le neutraliser.
Célibataire, jamais condamné, le prévenu souffre d’une schizophrénie paranoïde. Il a reconnu les faits et n’exprime aucun regret. L’abolition de son discernement, dans ce cadre, nécessite une hospitalisation en milieu spécialisé, ce qu’il a refusé.
L’accusé avait reconnu les faits d’homicide avec une atténuation de sa responsabilité. Il a également reconnu quatre chefs d’accusation de tentatives de meurtres et trois de blessures volontaires. « Il ne fait aucun doute que vous êtes un homme très dangereux et posez un risque important pour le public », a déclaré le juge Edward Pepperall.
Libéré sans suivi en avril 2020
Arrêté le lendemain de la série d’agressions, l’accusé avait expliqué qu’il entendait des voix et a semblé indifférent au carnage qu’il venait de commettre, a souligné l’accusation pendant l’audience à Birmingham. Il avait pour la première fois présenté des symptômes de schizophrénie paranoïaque en 2012 et avait plusieurs condamnations à son actif pour divers délits, parmi lesquels un cambriolage ou l’agression d’un bébé de six mois. Il avait été libéré de prison sans suivi en avril 2020, en plein confinement instauré en Angleterre contre le coronavirus.
Selon plusieurs études, les personnes aveugles de naissance sembleraient être protégées contre la schizophrénie. Pour autant, ce ne serait pas le cas des personnes qui développent des pathologies oculaires au cours de leur vie. Voici quelques explications.
COMMUNIQUÉ | 18 NOV. 2021 - 10H02| PAR INSERM (SALLE DE PRESSE)
Les chercheurs ont pu mettre en évidence des activités cérébrales spécifiques, prédictives des hallucinations acoustico-verbales. Crédits Adobe Stock
Une étude conduite par Renaud Jardri, Professeur à l’Université de Lille et pédopsychiatre au CHU de Lille (Unité Inserm U-1172 Lille Neuroscience & Cognition), le Dr Philippe Domenech à l’Institut du Cerveau (Inserm/CNRS/AP-HP/Sorbonne Université), et leurs collaborateurs, montre qu’il est possible de prédire la survenue des hallucinations auditives chez les patients schizophrènes grâce à la combinaison d’IRM fonctionnelle et d’algorithmes d’intelligence artificielle. Ces résultats, publiés dans Biological Psychiatry, ouvrent la voie au développement de nouvelles thérapies de neuromodulation et de neurofeedback en boucle fermée pour traiter ces hallucinations.
De Fassbinder (avec qui elle tourna une vingtaine de films) à Godard, de Ferreri à Ozon, le lumineux portrait d’une actrice à la personnalité pétillante et libre, qui partage aujourd'hui sa vie entre Paris et Berlin, entre souvenirs et projets éclectiques.
Une femme de 62 ans a été reconnue coupable de vol et condamnée à six mois de prison avec maintien en détention. Elle avait été interpellée lundi 22 novembre 2021 après avoir essayé de dérober des vêtements à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
Une femme de 62 ans était jugée pour vol mercredi 24 novembre 2021 par le tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Elle a été présentée en comparution immédiate après avoir été interpellée deux jours plus tôt. La sexagénaire avait tenté des vêtements pour un montant de 305 € dans un centre commercial, rapporte La Montagne.
Cofondatrice de l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament
Jérôme Martin
Cofondateur de l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament
La « seule solution » pour une réponse mondiale adaptée à la pandémie est d’autoriser les pays du Sud à produire leurs vaccins, estiment, dans une tribune au « Monde », Pauline Londeix et Jérôme Martin, cofondateurs de l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament.
Tribune. Du 30 novembre au 3 décembre se tiendra à Genève la douzième conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), et la demande de levée des brevets sera de nouveau à l’ordre du jour. La Commission européenne s’opposera-t-elle une nouvelle fois à une mesure efficace et de bon sens, au risque de continuer à priver d’accès aux vaccins une grande partie de la population mondiale et de voir la pandémie se prolonger indéfiniment dans le monde, mais également en Europe de l’Ouest ?
Comme il fallait s’y attendre, la séance de vente-dédicace du professeur en psychiatrie Farid Kacha, jeudi dernier, a drainé une grande foule à la librairie Cheikh-multi-livres située au centre-ville de Tizi Ouzou.
Le psychiatre et écrivain a été agréablement surpris de l'accueil qui a été réservé à lui ainsi qu'à son dernier livre «Parole de psychiatre», publié par les éditions Koukou d'Alger. Il faut préciser que Farid Kacha ne s'est pas limité à dédicacer son ouvrage, mais il a également animé une conférence au grand bonheur de ses lecteurs qui l'ont attendu avec impatience car Farid Kacha est l'un des tout premiers psychiatres de l'Algérie indépendante. Il est de ce fait l'un des témoins privilégiés et oculaires, mais surtout un artisan, du lancement de la psychiatrie en Algérie. Il a été également témoin de nombreux événements historiques postindépendance et dont certains sont développés dans son dernier livre très autobiographique. Lors de son intervention, jeudi dernier, à la librairie Cheikh-multi-livres, Farid Kacha est revenu sur les conditions dans lesquelles est née l'idée d'écrire ce livre en rappelant que les premières lignes avaient été rédigées au tout début du confinement.
L'orateur a rappelé que dans ce livre, il a tenté de raconter en les survolant, les 55 ans d'exercice du métier de psychiatre.
Selon des informations obtenues par Radio-Canada Estrie, au moins cinq psychiatres sont absents présentement au CHUS-Hôtel-Dieu. Ce nombre pourrait être appelé à augmenter au cours des prochaines semaines.
La nouvelle cheffe du Département de psychiatrie du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS), Dre Annick Michaud, soutient que ces absences sont dues à des congés de maladie ou de maternité. Un poste est également vacant.
Ces absences représentent un peu moins de 15 % des effectifs en psychiatrie auCHUS
Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke
-Hôtel-Dieu. Au total, selon le Plan des effectifs médicaux du ministère de la Santé, 38 psychiatres devraient être à l’emploi duCHUS
Propos recueillis par Matthieu Giroux Publié le 21 novembre 2021
Si le mot fascine, la réalité de l’exorcisme reste mal connue du grand public. L’anthropologue Olivia Legrip-Randriambelo, qui vient de publier une anthologie de textes sur le sujet, fait le point sur cette pratique toujours utilisée aujourd’hui.
Qui sont les exorcistes ? Qui sont les possédés, les démons et les diables à exorciser ? Comment se déroule une séance d’exorcisme ? Chercheuse à l’université de Lyon II et corédactrice en chef de la revue de sciences sociales Emulations, Olivia Legrip-Randriambelo vient de publier, aux éditions du Cerf, Le Combat contre le diable, un recueil de textes sur l’exorcisme qui couvre une période de cinq siècles (du XVIe au XXIe siècle). L’ouvrage éclaire la réalité historique d’une pratique souvent mal comprise et réduite à quelques clichés spectaculaires.