Près de la moitié des officines françaises transmettent des informations personnelles (pathologies, traitement suivis…), en partie anonymisées, à la société IQVia. Il est maintenant possible de s’y opposer et d’exiger la suppression de celles déjà stockées.
Question posée par Daniel le 29 juin 2021
Bonjour,
Vous nous interrogez sur la collecte de données personnelles de santé réalisée par près de la moitié des pharmacies françaises pour l’entreprise IQVia, société américaine dont le cœur de métier est le stockage et la vente de ce type d’informations. L’affaire a surtout été médiatisée par une émission de Cash Investigationdiffusée en mai. D’après les chiffres de l’entreprise, corroborés par la Fédération des syndicats pharmaceutiques, plus de 9 000 des 21 000 établissements de l’Hexagone utilisent ainsi le logiciel de traitement de données LRX, qui permet ce transfert. Dans un cadre légal strict, mais pas totalement respecté.
L’anxiété était un facteur de risque significatif d’abus d’alcool et de beuverie express pendant la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), en particulier au sein des populations vulnérables, telles que les personnes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine (PVVIH).
Pourquoi est-ce important ?
Une augmentation substantielle des problèmes de santé mentale a été observée pendant la pandémie de COVID-19, ce qui pourrait être particulièrement problématique chez les PVVIH et/ou les personnes souffrant de troubles liés à l’usage de substances.
Depuis le 1er janvier 2018, les vaccinations chez le nourrisson contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite (DTP), la coqueluche, l’Haemophilus influenzae b (Hib), l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque, la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) sont obligatoires avant l’âge de 2 ans.
Plus de 3 ans après, Santé publique France (SPF) dévoile les conséquences positives de cette extension d’obligation vaccinale sur les couvertures vaccinales des nourrissons ciblés, mais également sur les populations hors cible.
À la faveur de la pandémie de la Covid-19, la question du suicide a bénéficié d’un éclairage médiatique qui n’avait sans doute plus eu lieu depuis ce qui fut appelé la « crise des suicides » de France Télécom en 2009.
Pourtant, entre ces deux périodes, le nombre de suicides en France n’a pas connu de véritable bouleversement, oscillant autour de 9000 à 10 000 par an même si la tendance est plutôt à une baisse des taux depuis le début des années 1990.
Alors que les suicides des jeunes et les suicides au travail sont l’objet de nombreux travaux, le suicide des personnes âgées s’avère beaucoup moins étudié.
Pourtant, les taux de suicide augmentent avec l’âge. Si l’on se réfère aux chiffres de l’observatoire national du suicide, les 15-24 ans ont un taux de suicide de 5/100 000 correspondant à 373 suicides pour l’année 2014 tandis que celui des personnes âgées de 75 ans ou plus est de 35,4/100 000 (1749 suicides en 2014) et s’élève même à 83,8/100 000 pour les hommes âgés de 85 à 94 ans (458 suicides en 2014).
Ce constat de l’élévation des taux de suicide avec l’âge n’est pas nouveau puisque Émile Durkheim le mentionnait déjà il y plus d’un siècle. Dès lors, comment comprendre que ces suicides ne fassent pas l’objet d’une préoccupation à la hauteur des taux précités ?
Plusieurs hypothèses peuvent être avancées. Tout d’abord le fait que le suicide représente une cause de mortalité mineure aux âges avancés (0,5 %) alors qu’elle est majeure chez les jeunes (16,2 % pour les 15-24 ans). Ensuite, peut être parce que la mort des jeunes, qui plus est par suicide – parangon de la mauvaise mort –, apparaît plus choquante que celle des personnes âgées dont on se dit qu’elles ont « fait leur vie ».
La Commission des citoyens pour les droits de l’homme, émanation de l’Église de scientologie, avait mis en cause l’établissement lors d’une manifestation, samedi 24 juillet 2021
Mis en cause lors d’une manifestation de la Commission des citoyens pour les droits de l’homme (CCDH) à Saint-Jean-de-Luz, samedi 24 juillet 2021, le pôle psychiatrie du Centre hospitalier de Bayonne réagit en jouant la carte de la transparence.
[...] Dernier point mais pas des moindres : la CCDH est une émanation de l’Église de scientologie, pointée par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), et qui se donne pour objectif de lutter contre les « violations des droits de l’homme en psychiatrie », voire contre la psychiatrie tout entière.
Le gros œuvre du nouveau bâtiment de psychiatrie à l'Hôpital Nord est achevé. La 2e étape du projet va désormais concerner les finitions pour une ouverture prévue au printemps 2022.
Cette nouvelle construction permettra le regroupement de toutes les unités d'hébergement de psychiatrie adulte pour une meilleure efficience et lisibilité des activités du pôle psychiatrie. Cela représente un investissement de 17,5 M€.
Le nouveau bâtiment de 5 350 m2 est mitoyen du bâtiment de psychiatrie existant. La construction est assurée par l'entreprise Léon Grosse et l'architecte Chabanne.
Les nouvelles installations accueilleront sur quatre niveaux les trois unités du Pavillon 52 de l'Hôpital Bellevue (52A-52C-52D) et le centre de jour de courte durée (CJCD) de psychiatrie adulte de l'hôpital la Charité. Au rez-de-chaussée : 23 chambres individuelles organisées autour d'un patio ainsi que quatre espaces de médiation ; au 1er étage : 23 chambres individuelles et trois espaces de médiation ; au 2e étage : 10 chambres individuelles et 7 places en hôpital de jour.
C'est l'une des conséquences du dérèglement climatique, pointé du doigt par le GIEC dans son dernier rapport.
Une vie sous plus de 35 degrés au thermomètre, avec 90% d'humidité dans l'air : une vie où chaque geste compte, et où travailler comme faire du sport n'est plus possible. Deux régions du globe ont déjà atteint ce seuil, invivable pour les humains : Jakobabad au Pakistan, et Ras Al Khaimah, dans le golfe Persique.
Le cocktail chaleur et humidité peut être mortel pour l'organisme. "Quand l'air est sec, (…) on est capable de résister à des chaleurs extrêmes, 60 degrés, jusqu'à 100 degrés si ça ne dure pas trop longtemps", indique la journaliste Valérie Heurtel. Le corps est équipé d'un thermostat naturel, qui a pour rôle de maintenir la température à 37 degrés. "Au contact d'un air sec, la sueur s'évapore, et c'est cette évaporation qui nous rafraîchit, ajoute-t-elle. Dans un air saturé en humidité, la sueur a du mal à s'évaporer, résultat le corps est en surchauffe."
Dans le cadre de sa campagne de sensibilisation sur la toxicomanie, Lions Club international Cotonou Saphir était ce jeudi, 29 juillet 2021 aux côtés des pensionnaires du Centre national hospitalier universitaire de psychiatrie de Cotonou à Jacquot. Ceci, afin de participer à une activité de sensibilisation sur la toxicomanie. Une initiative conjointement menée avec les autres Lions club de la Zone 21.
Les Lions club Zone 21 étaient au chevet des pensionnaires du Centre psychiatrique de Jacquot pour prendre part à une séance de sensibilisation sur la toxicomanie et surtout leur témoigner leur solidarité. Il s’agit des Lions Club Cotonou Saphir ; Cotonou baobab ; Abomey-Calavi Diamant, Cotonou Rubis ; Cotonou Bel’Harmonie. Ainsi, à travers la séance de musicothérapie, les patients ont été sensibilisés sur les conséquences de la drogue et dérivés. Très émus par la présence des membres de Lions Club Zone 21, ces derniers ont exprimé leur joie.
REPORTAGE Avec l’apocalypse que connaît le Liban, les suicides sont devenus plus visibles, mais le tabou des troubles mentaux persiste.
Accompagnée de son cousin Ahmad, Ranimarrose les iris autour de la tombe de son père, dans le cimetière d’Ersal, une bourgade libanaise à la frontière avec la Syrie. Chaque semaine, la fillette de 7 ans vient s’y recueillir. Son père,Ali Fliti, s’est pendu en décembre 2019, à l’arrière de la maison familiale. « Ranim est forte. Elle fait face. Mais elle pense sans cesse à lui. Chaque matin et chaque soir, elle s’adresse à lui », confie Tahani, sa mère. L’enfant ne perd pas une miette de la conversation, mais garde le silence.
Travailleur dans la pierre d’ornement, Ali avait 42 ans lorsqu’il s’est donné la mort.Il a été enterré selon le rite islamique, bien que le suicide soit condamné religieusement, chez les musulmans comme chez les chrétiens. « D’ordinaire, dans l’islam, on ne prie pas sur la dépouille d’une personne qui s’est suicidée. Mais Ali est un martyr de la pauvreté », explique sa veuve. Son geste, au début de l’effondrement financier de 2019, avait suscité une onde de choc à travers le pays. Ali Fliti est passé à la postérité sous le prénom de Naji, celui qu’il portait sur sa carte d’identité.Il avait été perçu comme une incarnation du désespoir des Libanais, au moment où leurs repères commençaient à s’effacer. Il symbolisait le refus de l’humiliation de la part de ce père de famille qui n’arrivait plus à subvenir aux besoins des siens.
L’analyse du génome de 110 variétés de « Cannabis sativa » révèle comment, au fil de la sélection par l’homme, deux variétés ont divergé : le chanvre, pour la production de fibres et de graines, et la marijuana, pour produire des cannabinoïdes dont l’intérêt médical est exploré.
Chanvre ? Marijuana ? Cannabis ? Ces noms renvoient à une même espèce végétale, Cannabis sativa. Au fil de sa domestication, cette plante s’est scindée en deux principaux groupes. Il y a, d’abord, les variétés destinées à la production de fibres (textiles et cordes) et de graines : c’est le groupe du chanvre. Il y a, ensuite, les variétés qui produisent de fortes concentrations de composés chimiques, les « cannabinoïdes », aux fameuses propriétés psychoactives (d’usage illégal dans la plupart des pays) : c’est le groupe de la marijuana. Quant au terme cannabis, dans le langage commun, il désigne la plante ou la drogue qui en dérive. Aucun de ces noms, cependant, ne correspond à une classification scientifique.
De nombreux tests psychométriques existent en ligne pour faire le point sur soi, ses envies, ses atouts, etc. Comment s’y retrouver ?
LA LISTE DE LA MATINALE
Des tests psychométriques, on en trouve pour tous les goûts, mais pour quel résultat ? « Un bon test repose sur un modèle théorique fiable, des résultats scientifiquement validés et la bonne formation du praticien qui les fait passer », précise Philippe Chartier, maître de conférences en psychologie différentielle au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), coauteur de L’Orientation scolaire et professionnelle : pratiques d’évaluation (Mardaga, 2018).
S’il est recommandé de se faire accompagner par un professionnel, il est également possible d’en faire des versions seul, en ligne, chez soi. Des associations ou structures d’orientation en proposent sur leur site. Ces tests peuvent amorcer la réflexion et la discussion avec l’entourage dans une approche 360 degrés, donner des idées et l’envie de mieux se connaître.
Attention, toutefois, à ne pas prendre les résultats pour argent comptant. « Ces tests en ligne, sans accompagnement, n’ont pas valeur de diagnostic. En cas de fragilités, ils peuvent ébranler la confiance en soi », prévient le psychiatre Jérôme Palazzolo, notamment auteur de La Psychologie positive (Que sais-je, 2020).
Paris, le mercredi 21 juillet 2021 - Claire Hédon, Défenseure des droits, rend public un avis destiné au Parlement concernant l’extension du passe sanitaire, dans lequel elle s’interroge « tant sur la méthode que sur la proportionnalité de la plupart des dispositions et restrictions présentes dans le texte ».
Sur la proportionnalité, la Défenseure des droits considère que « ces restrictions de l’accès aux biens et services et cette atteinte à la liberté d’aller et venir, envisagées de manière générale et sans information délivrée suffisamment longtemps en amont, n’apparaissent pas proportionnées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent ».
Une méthode contestable
Sur la forme, Claire Hédon regrette le choix de la procédure accélérée « compte-tenu de l’ampleur des atteintes aux droits et libertés fondamentales prévues par ce projet de loi ainsi que du caractère inédit de certaines dispositions qu’il comporte ». Elle pointe également, un texte qui « contient des zones d’ombre sur plusieurs dispositions qui pourraient donner lieu à de nombreuses interprétations de nature à restreindre les droits et libertés au-delà de ce que prévoit le projet de loi ».
En effet, rappelons que de nombreux points sont renvoyés au pouvoir réglementaire.
Les dimensions spatio-temporelles de l’Univers sont proprement inhumaines. Il faut parcourir 380.000 km pour atteindre la Lune et certains disent que c’est loin. Ça l’est effectivement pour ceux qui « font toute une histoire » d’un voyage dans l’ISS qui orbite autour de la Terre entre 400 et 450 km d’altitude. Mais cette distance Terre-Lune n’est rien par rapport à celle qui nous sépare de Mars qui évolue de 56 à 400 millions de Km sur une période de 26 mois. A cette distance, le temps « montre le bout de son nez » et l’immédiateté dans les relations qu’on peut avoir d’une planète à l’autre « en prend un coup » puisqu’il faut de 3 à 22 minutes pour que la lumière, donc tout signal porté par les ondes électromagnétiques, puisse franchir la distance qui les sépare.
Après cela on change une première fois de « braquet » ; on ne mesure plus en km mais en unités astronomiques, UA, qui valent chacune 150 millions km, soit la distance qui nous sépare du Soleil. Neptune, la plus éloignée des huit planètes de notre système, évolue à 30 UA du Soleil, donc entre 29 et 31 de la Terre ce qui est pratiquement pareil. On est « à la porte » de la Ceinture de Kuiper, anneau constitué principalement d’astéroïdes mais aussi de quelques planètes naines et qui s’étend de 30 à 55 UA. Viennent ensuite, jusqu’à 150.000 à 200.000 UA, les Nuage de Oort interne puis externe qui enveloppe notre système comme un cocon.
A nouveau les nombres deviennent si énormes qu’on change une deuxième fois de braquet en passant insensiblement de l’UA à l’année lumière. Ce faisant, le temps prend de plus en plus d’importance dans l’évaluation de la distance puisque l’année-lumière l’exprime aussi bien que l’étendue parcourue. Aux confins du système solaire nous sommes à quelques 2,3 années-lumière et encore « chez nous », alors que ce tout petit nombre représente, selon le terme utilisé pour le premier braquet, plus de 21.000 milliards de km.
Notre étoile actuellement voisine (tout change et elle ne le restera que quelques 3.3000 ans), Proxima-Centauri, évolue à quelques 4,25 années-lumière (269.400 UA) du Soleil ou de la Terre (ce qui est pratiquement pareil à cette distance). Et il faudrait 77.000 ans à la vitesse de Voyager-1 soit 16,6 km/s (3,5 UA par an) pour l’atteindre, 7.700 ans pour la Sonde Parker qui est l’objet le plus rapide (150 km/s) jamais construit par l’homme (du fait qu’il bénéficie de l’accélération gravitationnelle résultant de ses trajets entre le Soleil et Vénus) ou « seulement » 20 ans en voyageant à la vitesse fantastique (et relativiste) de 20% de la vitesse de la lumière (projet Breakthrough Starshot)…ce qui est actuellement exclu pour les masses importantes (Breakthrough Starshot n’envisage d’envoyer qu’une flotte de sondes de chacune 2 grammes, propulsées par une forêt de rayons laser ultrapuissants, 100 GW, pendant dix minutes).
La Mutualité Française formule 10 propositions pour faire progresser la prise en charge des patients qui souffrent de troubles psychiques. Après avoir annoncé en mars la prise en charge des consultations des psychologues, elle apporte à nouveau sa contribution au débat public avant les Assises de la santé mentale qui devraient se tenir à la rentré
Ces dernières années, divers produits pharmaceutiques tels que les antidépresseurs et les tranquillisants ont été utilisés pour traiter un large éventail de troubles anxieux. Cette tendance, bien que souvent immédiatement bénéfique pour le patient, a éclipsé les traitements thérapeutiques qui sont sans doute les plus efficaces à long terme, dont la psychothérapie. Si vous faites partie du nombre grandissant de personnes en souffrant, voici comment la psychothérapie peut soulager les troubles anxieux.
Le sondage de la RNAO révèle que 15 % des infirmières ontariennes pourraient quitter la profession.
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Les associations des professionnels du domaine des soins infirmiers s’inquiètent d’une possible vague de démissions à la suite de la pandémie. Un sondage publié par l’Association des infirmières et infirmiers autorisés de l’Ontario (RNAO) en mars dernier a révélé que 15 % des infirmières autorisées envisageaient de quitter la profession.
Les données de l’étude démontrent qu’un grand nombre d'infirmières s’apprêtent à prendre leur retraite alors que d’autres souffrent d’épuisement intense.
Ce serait une situation dévastatrice pour notre système de santé. Nous ne sommes pas prêts à perdre 15 % du personnel infirmier dans la province.
Denise Jeffery, infirmière autorisée depuis 19 ans dans la région de Toronto, explique que le sentiment d'épuisement est commun parmi ses collègues.
Prendre des substances psychoactives en très petites doses, à des fins thérapeutiques ou récréatives, fait son chemin chez les consommateurs. Une pratique renforcée par la crise sanitaire.
Pour Myriam (1), 29 ans, tout a commencé fin octobre 2019, à l’annonce du deuxième confinement, alors que la peur de la solitude devenait trop grande. «Je tournais en rond dans mon petit studio parisien. C’était difficile de se lever chaque matin en imaginant que la journée consisterait à travailler sur mon ordinateur, à seulement trois mètres de mon lit. J’étais clairement en manque de dopamine. Alors, comme je suis de nature anxieuse et que je n’avais aucune envie de tomber dans la déprime, je me suis autorisée un petit coup de pouce.» Le petit coup de pouce, ce sont 10 microgrammes de LSD, «assez pour se détendre dès le petit-dej, mais pas assez suffisant pour commencer à délirer en pleine réunion sur Zoom», s’amuse cette jeune femme qui travaille dans le secteur des énergies renouvelables.
Le mouvement des Alcooliques Anonymes fête cette année ses 60 ans d'existence en France. A l'occasion de cet anniversaire, Interception vous emmène au cœur de leurs réunions. Témoignages rares, bruts, sans filtre. Émission déjà diffusée le 18 octobre 2020.
"Je me suis rendue compte que j'étais alcoolique quand je me disais "là ce soir, s'il n'y en a pas, cela va être un problème". Il me faut au moins deux verres de vin blanc, sinon je ne vais pas supporter la soirée".
Virginie est alcoolique. N'ayons pas peur des mots. Elle-même n'a plus peur d'en parler.
Pour défendre l'extension du pass sanitaire et la vaccination contre le coronavirus, le sénateur a choisi une démonstration par l'absurde.
POLITIQUE - La preuve par l’absurde. Sur fond de tensions sur l’extension du pass sanitaire, le sénateur Claude Malhuret s’est lancé dans une longue tirade ironique sur ces détracteurs, pendant l’examen du projet de loi au Sénat vendredi 23 juillet.
Si à l’Assemblée nationale, les débats sur le pass sanitaire ont parfois été houleux, au Sénat, Claude Malhuret, représentant de l’Allier et président du groupe Les Indépendants - République et Territoires a choisi de répondre à ses détracteurs différemment. À grands coups de comparaisons et de références absurdes comme le montre la vidéo ci-dessus, il a répondu à Stéphane Ravier, sénateur RN des Bouches-du-Rhône opposé à l’extension du dispositif.
“En écoutant notre collègue Ravier, j’ai soudain compris que nous vivions sous le joug d’une dictature et que sans une poignée d’héroïques résistants, nous ne nous en serions pas aperçus. (…) Après que pendant des années, onze vaccins nous aient été injectés à l’insu de notre plein gré, au douzième, bingo, nos yeux se sont décillés grâce à ces combattants de la liberté qui ont eu le courage de nommer l’infamie du pass sanitaire”, a déclamé le sénateur dans l’hémicycle, dans une tirade à charge de 3 minutes contre les opposants aux nouvelles mesures, parmi lesquels des élus qu’il n’a pas hésité à nommer.