Par Esther Degbe 10/05/2020
Face au déconfinement, le psychiatre Jean de Lépinau, chef de clinique à la Pitié Salpêtrière, explique ce que le confinement a permis de révéler et pourquoi il ne faudra pas relâcher ses efforts après le 11 mai.
Alors que nous nous dirigeons vers une première phase de déconfinement et que les soignants commencent à peine à reprendre leur souffle, certains médecins voient déjà la pratique de leur métier transformée par ce qu’ils ont vu pendant les moments forts de l’épidémie de coronavirus.
Pour Jean de Lépinau, psychiatre et chef de clinique à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris, c’est le moment de regarder en arrière pour conserver les bonne habitudes que nous avons acquises pendant le confinement. C’est aussi le moment d’observer les effets du confinement sur les uns et les autres, comme il nous l’explique dans la vidéo en tête d’article.