Elles peuvent conduire à un état de stress post-traumatique dont il est difficile de sortir
L’exposition répétée à des traumatismes collectifs, comme l’attentat du marathon de Boston en 2013 ou celui du Bataclan en 2015, a des conséquences dévastatrices. En effet, la couverture médiatique de ces terribles nouvelles nous entraîne dans un cycle de détresse. Notamment, un état de stress post-traumatique, sans vivre directement les événements. Elle nous pousse également vers une consommation encore plus grande de « mauvaises nouvelles ».
LES MÉDIAS POUSSENT LES SPECTATEURS DANS UNE SPIRALE DE DÉTRESSE
Que ce soit dans nos fils d’actualité Facebook ou Twitter, à la télévision ou encore dans les journaux, il est difficile de détourner le regard face à un article traitant d’une nouvelle fusillade de masse, ou encore de catastrophes naturelles. Il semble y avoir une raison psychologique qui nous pousse à trouver ces événements tragiques fascinants. Néanmoins, ils nous entraînent dans un cycle de détresse.