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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 16 juillet 2018

DECOUVERTE DE L’ESPACE HISTOIRE DU CENTRE HOSPITALIER, 15 septembre 2018-17 septembre 2018

UNIDIVERS

DECOUVERTE DE L'ESPACE HISTOIRE DU CENTRE HOSPITALIER

du samedi 15 septembre au dimanche 16 septembre à Espace Histoire du Centre hospitalier Découverte de l’Espace Histoire du Centre Hospitalier Visite libre ou guidée de la mémoire de la psychiatrie dans le département.


TROUBLES MENTAUX : QUELS SONT LES PLUS FRÉQUENTS ?

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Dans l’Hexagone, 12 millions de personnes souffrent de troubles mentaux (1), soit environ un Français sur cinq. Plus ou moins sérieux, passagers ou profondément ancrés, ces problèmes psychologiques sont le reflet d’une société qui ne se sent pas vraiment bien. Oui mais alors de quoi souffrons-nous le plus ?


Coupe du monde 2018: Regarder les matchs de foot serait bon pour la santé mentale

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Naomi Mackako    
11/07/18

Le professeur anglais, Alistair Burns, affirme que regarder des rediffusions de matchs pourrait faire travailler la mémoire…
 Deux personnes jouant au football. Illustration.

Alistair Burns, directeur du National Health Service (NHS), le système de la santé publique du Royaume-Uni, a déclaré que regarder la Coupe du monde de foot serait bon pour la santé mentale, rapporte The Indy 100.
Se caler devant sa télé pour mater France-Belgique ou Croatie-Angleterre serait un excellent moyen de stimuler le cerveau et de prévenir la démence. Le foot à la télé s’agirait donc excellent pour la santé mentale des personnes âgées, d'autant que le professeur y voit une façon de maintenir notre esprit actif.

L’athéisme, une maladie mentale ?

Accueil
 Par Ikhlas Latif   13/07/2018

« Dans notre pays, l’irréligiosité et l’athéisme sont une maladie mentale. Faire du camping et être actif dans le milieu associatif sont des signes suicidaires… », telles sont les paroles de Nouha rédigées depuis l’hôpital psychiatrique Razi. Il n’en fallait pas moins pour que la polémique éclate. De qui condamnant un internement abusif et une atteinte à la liberté de conscience, de qui mettant en doute le motif, et bien sûr y’en a ceux qui soutiennent cette décision qui permettra à une jeune égarée de revenir sur le bon chemin !
C’est que le père de Nouha, imam au ministère des Affaires religieuses a déposé plainte pour que sa fille soit internée. Le procureur de la République a répondu présent et a ordonné une hospitalisation  d’office. D’après l’avocat de Nouha, le gentil papa considère que sa fille est athée et qu’elle se comporte contrairement aux normes ! La jeune fille se retrouve donc internée dans d’affreuses conditions, contrainte à ingurgiter des médicaments et ne pouvant utiliser de téléphone (sauf en cachette).

En Inde, les psys affirment (enfin) que l’homosexualité n’est pas une maladie mentale

NEON
par       10 juillet 2018


Défilé de défenseurs de la cause queer à la Queer Pride de 2009 à Bangalore (photo/Vinayak Das/Flickr)

Alors que les juges de la Cour suprême indienne doivent examiner le 10 juillet des requêtes de révision de l’article du Code pénal qui interdit l’homosexualité, The Indian Psychiatric Society (IPS) – la Société psychiatrique indienne – a déclaré que l’homosexualité n’était pas une maladie mentale. Une nouvelle qui pourrait pousser à modifier la loi indienne.


En Tunisie, être athée est « une maladie mentale » !

Toutes les dernières News en Tunisie et dans le monde
Par F.K  13 juillet 2018 

La différence est-elle condamnable en Tunisie ? Il semble que c’est la triste réalité, malgré les avancées, visiblement noir sur blanc, réalisées en matière de Droits de l’Homme et de liberté de conscience.
Une jeune femme en a payé les frais, juste parce qu’elle est athée. Dans un statut publié sur son profil Facebook, Nouhe Bchiny, nom de la victime, affirme avoir été dénoncée par son père parce qu’elle est athée


Le corporatisme des professionnels de la psychiatrie ras-le-bol

Nous réclamons que les professionnels du terrain psychiatrique, qui d'ailleurs sont souvent de gauche, stoppent et combattent d'eux-mêmes la ségrégation honteuse qu'ils portent aux patients et ex-patients psychiatriques ainsi que l'apartheid médico-social dont ils nous frappent et dont ils vivent. Nous ne soutiendrons leurs luttes qu'à cette condition expresse.

dimanche 15 juillet 2018

La nécrologie aigre-douce d’un petit garçon de 5 ans mort d’un « moche et bête cancer »

« La dure réalité, pour Garrett et tant d’autres enfants, c’est que les cancers pédiatriques sont des fléaux vicieux, qui ouvrent la voie au chaos total », déplorent les parents du petit garçon américain.
LE MONDE | 
Garrett Matthias est mort le 6 juillet, d’un cancer fulgurant qui s’attaque spécifiquement aux jeunes enfants. (Emilie Matthias via AP)
Garrett Matthias est mort le 6 juillet, d’un cancer fulgurant qui s’attaque spécifiquement aux jeunes enfants. (Emilie Matthias via AP) EMILIE MATTHIAS / AP
A quoi doit ressembler la nécrologie d’un petit garçon de 5 ans, condamné par un foudroyant rhabdomyosarcome, une tumeur maligne qui s’attaque particulièrement aux enfants ? Les parents de Garrett Michael Booflas, comme tous les parents du monde, n’avaient pas la réponse. Que faire, que dire, qu’écrire face à l’ineffable ? Alors, ils se sont tournés vers leurs fils, pour qu’il parle « avec ses propres mots » de sa vie.
Neuf mois après avoir été diagnostiqué de celui qu’il appelle ce« moche et bête cancer », le petit Américain de 5 ans, originaire de l’Iowa, est mort le 6 juillet. Avant cela, il aura établi lui-même sa nécrologie, avec l’aide de ses parents. Publiée dans le quotidien local, le Desmoines Register, et relayée dans les plus grands médias anglo-saxons, ce texte liste les choses qu’aime le petit garçon, autoproclamé « le génial Garrett superslip », en référence au classique de la littérature enfantine Capitaine slip, vendue à plus de 70 millions exemplaires.
De Garrett, on décèle dans cette autobiographie miniature une certaine difficulté à choisir, de sa couleur préférée – bleue, rouge, noir et vert –, à son superhéros favori – « Batman, et Thor, Iron Man, Hulk et le Cyborg ». Il y aussi parmi ses activités favorites des choses d’enfants « normaux », comme jouer avec sa sœur, Batman (encore lui) ou ses Lego. Et d’autres un peu moins classiques, comme « le moment où on m’endort avant d’injecter des choses dans mon cathéter ». D’ailleurs, Garrett dit détester« qu’on touche à [son] cathéter », mais pas autant que « les pantalons », dont il souligne son dégoût d’un point d’exclamation vengeur.
Il y a aussi ces questions glaçantes. Quand il sera grand, Garrett veut être « boxeur professionnel ». Quand il sera mort, « un gorille qui jettera son caca sur papa ». Une implacable logique, quand ses parents lui demandent ce qu’il veut à ses funérailles : « Les enterrements, c’est triste, moi je veux cinq châteaux gonflables, parce que j’ai 5 ans ». Aussi, « Batman et des glaces ». D’ailleurs, Garrett voudra être incinéré plutôt qu’enterré, « comme quand la maman de Thor meurt ». Ainsi, il pourra « devenir un arbre, où vivre quand [il] sera devenu gorille ».

PSYCHANALYSE : UN «HÉRITAGE POLITIQUE» ENDORMI SUR LE DIVAN

Par Robert Maggiori   — 

La discipline, qui considérait à la fois l’individu et le monde qui l’entoure à sa naissance, est aujourd’hui dépolitisée, regrette Florent Gabarron-Garcia, qui remet en avant dans son ouvrage les multiples débats de l’époque.

Sigmund Freud dans son bureau, à Vienne, vers 1935.
Sigmund Freud dans son bureau, à Vienne, vers 1935. Photo Akg-images. Imagno


Pour éviter de prendre sérieusement en considération des difficultés internes, il n’est pas rare, suivant quelque pulsion paranoïde, qu’on ne se crée un ennemi extérieur, auquel on attribue tous les maux. Depuis quelques années, la psychanalyse, par exemple, ne fait, sans doute à juste titre, que dresser des contre-feux pour ralentir l’avancée, jugée dangereuse, de la médicalisation des troubles psychiques, de la pharmacologie et des sciences neurobiologiques. Est-ce que cela l’oblige à se retirer, se réfugier «bien au chaud dans des institutions», ne plus se soucier que de ses «affaires intérieures», sa clinique, ses théories, ses écoles, ses lectures de Freud ou de Lacan, et se contenter de «revêtir la souffrance psychique du manteau d’un œdipianisme livresque» ? Il est difficile de l’affirmer catégoriquement. Ce qui est patent, en revanche, c’est qu’elle est moins présente dans le champ social, comme si elle s’était «dépolitisée» et, centrée sur le psychisme individuel, ne «voulait rien savoir, ou presque, de la violence du monde actuel», trahissant ainsi les motivations qui étaient à son origine. C’est l’hypothèse qu’explore Florent Gabarron-Garcia dans l’Héritage politique de la psychanalyse - en reconstruisant justement l’«histoire populaire de la psychanalyse» et en creusant le sillon ouvert, entre autres, par Wilhelm Reich, ou le travail de Deleuze et Guattari.

Hôpital psychiatrique du Havre : une sortie de crise en demi-teinte

Par Anaïs Moran — 
Les grévistes du centre hospitalier Pierre-Janet, le 3 juillet au Havre.
Les grévistes du centre hospitalier Pierre-Janet, le 3 juillet au Havre. Photo Charly Triballeau. AFP 

Festival d'Avignon : de l'hôpital psychiatrique à la scène de la Fabrik'

Par F.B.


Des patients de Montfavet jouent deux pièces avec leurs soignants

Il y a quelques semaines, une partie de la troupe Théâtre de l'Autre Scène, en répétition à l'hôpital spécialisé de Montfavet.
Il y a quelques semaines, une partie de la troupe Théâtre de l'Autre Scène, en répétition à l'hôpital spécialisé de Montfavet.PHOTO ANGE ESPOSITO

La question est rituelle, à l'issue de chaque représentation de la troupe Théâtre de l'Autre Scène : "Qui, parmi les comédiens, est soignant, et qui est patient ?", demandent souvent des spectateurs, après avoir vu une pièce de cette compagnie permanente, basée au sein de l'hôpital de Montfavet.
Depuis 29 ans, cette troupe mêle, sous les projecteurs, infirmiers en psychiatrie et patients du centre hospitalier. Une fois que la première scène débute, on oublie illico tout paramètre inhérent au profil sociologique. "Ce qui est important, c'est qu'ils soient reconnus en tant que comédiens, et pas en tant que malades. Et puis, ils voient que nous aussi, parfois, on a du mal à se concentrer, à mémoriser notre texte. On est vraiment tous dans la même galère", explique Nicolas Barrière, infirmier et acteur.
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samedi 14 juillet 2018

"On nous oblige à être maltraitants" : à l'hôpital psychiatrique du Havre, des soignants au bord de la crise de nerfs

avatar Juliette Campion 13/07/2018

Pendant seize jours, des soignants qui se surnomment "les Perchés" ont élu domicile sur le toit des urgences de l'hôpital psychiatrique du Havre pour réclamer plus de moyens face à des conditions d'hospitalisation qu'ils jugent inhumaines. IIs viennent de signer un accord avec leur direction mais pour eux, le combat ne fait que commencer.

La façade de l\'hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre (Seine-Maritime), recouverte de banderoles, mardi 10 juillet 2018. 

Poussettes et voitures défilent devant la façade de l'hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre (Seine-Maritime), mardi 10 juillet. Et personne ne semble vraiment prêter attention aux dizaines de banderoles colorées installées sur la façade, depuis le début du mouvement de grève du personnel soignant, il y a près d'un mois. "Bienvenue dans l'hôpital de la honte", peut-on lire. Sur le toit de ce bâtiment sans étage, des tentes sont dressées et des personnes en blouses blanches vont et viennent. Patients et riverains de cet hôpital à taille humaine de centre-ville semblent s'être habitués au curieux campement installé sur le toit de "Janet", comme est surnommé l'établissement ici.


L'ARS tente de désamorcer le conflit avec les salariés de l'hôpital Philippe Pinel d'Amiens


Par Zohra Hamdane    13/07/2018

L'ARS Hauts de France  répond aux personnels de santé de l'hôpital psychiatrique Philippe Pinel d'Amiens qui ont envahi leurs locaux hier et une réunion le 18 juillet afin de préciser le nouveau projet médical de l'établissement. Les personnels de l'hôpital sont en grève depuis le 15 juin. 
L'ambiance est plus que tendue entre les personnels de l'hôpital psychiatrique Philippe Pinel d'Amiens et l'ARS Hauts de France. A l'appel de FO et la CGT, les salariés de l'hôpital psychiatrique Philippe Pinel sont en grève depuis le 15 juin. Mais le mécontentement dure depuis des mois. Au centre des revendications, toujours la même chose : le manque de personnels et de moyens pour fonctionner correctement.

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Alpes de Haute-Provence : grève en psychiatrie à Digne, le mouvement suspendu

Alpes 1
12 Juillet 2018



Alpes de Haute-Provence : grève en psychiatrie à Digne, le mouvement suspendu

Grève en psychiatrie à Digne les Bains, le mouvement suspendu. C’est ce qu’annonce ce jeudi soir la CGT. Le syndicat tenait un piquet de grève devant l’hôpital depuis trois jours. Il demandait une rencontre avec le directeur de l’établissement et l’ARS. 

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L'enseignement de la folie




Comme quoi se sentir fou est une déconnade…

François Tosquelles, antifranquiste en Espagne puis résistant en France contre Hitler, était un psychiatre génial d’origine catalane. Souhaitant instaurer une psychiatrie « à visage humain », il a toujours voulu considérer l’autre souffrant comme un sujet à part entière. Son œuvre a ainsi radicalement infléchi l’histoire de la folie. La phrase qu’il aimait bien répéter : « ici, personne ne te juge, enfin tu peux déconner à ton aise. Parce que la psychiatrie je l’appellerais la déconniatrie, quoi, vous comprenez..»  dans le livre qui donne son titre à ce spectacle. Mais il était aussi un poète comme il en existe peu, influencé par les surréalistes, Eluard notamment...

Affiche du spectacle


Les Boulons font de la radio et décomplexent la vision de la psychiatrie

    Louise Claereboudt 

L’avenir de la psychiatrie inquiète

logo RJB
13.07.2018

SUISSE

Le député PSA Peter Gasser a déposé une interpellation pour en savoir davantage sur la situation du Réseau Santé Mentale et les conditions de son intégration à l’Hôpital du Jura bernois

Le siège du Département pôle santé mentale de l'HJB, à Bellelay. Le siège du Département pôle santé mentale de l'HJB, à Bellelay.
Le changement de statut du Réseau Santé Mentale (RSM) préoccupe Peter Gasser. Le député PSA a déposé une interpellation pour en savoir davantage sur l’avenir de la psychiatrie dans la région.

Nouvelle-Zélande : première radiographie couleur 3D d'un humain

13.07.2018



radio 3d
La toute première radiographie couleur en trois dimensions (3D) d'un corps humain a été réalisée par des scientifiques néo-zélandais.
Selon le laboratoire de physique européen du CERN dont la technologie est utilisée, « cette technique d'imagerie par rayons X couleur pourrait produire des images plus claires et plus précises et aider les médecins à donner des diagnostics plus précis à leurs patients ».

Un robot peut-il vous consoler ?

 
Faites-vous preuve d’empathie ? Est-ce que vous vous plaignez parfois du fait que vos proches ne se montrent pas suffisamment en empathie à votre égard ? Que dire maintenant des robots à qui, par téléphone, vous expliquez votre situation et qui peinent à comprendre une requête pourtant toute simple et qui finalement vous renvoient bêtement à un autre service. Vous vous dites sans doute que la technologie est encore très loin du robot efficace et emphatique capable de décoder une situation et de répondre rapidement à votre demande.

L’empathie, un concept difficile à cerner

Leslie Jamison dans son livre The Empathy Exams se livre à un exercice révélateur en précisant tout d’abord tout ce que l’empathie n’est pas :
  • L’empathie n’a rien de mécanique.
  • L’empathie n’est pas un simple réseau de connexions synaptiques.
  • L’empathie ne se résume pas à l’emploi des mots justes.
  • Il ne s’agit pas non plus d’une réponse proportionnée à la souffrance que l’on constate chez l’autre.
Finalement, elle conclut en affirmant que l’empathie c’est porter notre attention vers l’autre en tentant de dépasser notre repli, en tentant d’élargir nos horizons.
À la lumière de ce que Leslie Jamison vient d’énoncer, comment réagir face aux efforts de « modélisation » de l’empathie. Devant un concept aussi fuyant, comment être en mesure de le modéliser ?
Alex Knight /Unsplash.
Si la tâche risque d’être ardue, elle répond toutefois à une nécessité. Les robots sont appelés à jouer un rôle prépondérant dans toute une panoplie d’activités humaines. Ils sont appelés à entrer directement en contact avec les humains et à communiquer avec eux. L’empathie computationnelle consiste à étudier les différentes approches par lesquelles des agents artificiels peuvent simuler et susciter l’empathie dans leurs interactions avec les humains.
Idéalement, un agent artificiel emphatique devrait être en mesure de se mettre à la place de son interlocuteur, de ressentir ses émotions, et de réagir de manière appropriée
Des chercheurs ont passé en revue les différentes stratégies de développement d’agents emphatiques. Eux aussi se sont heurtés à la tâche difficile de définir ce qu’est exactement l’empathie.

Pénurie médicale, triste record : 27,4 % des postes de praticien hospitalier temps plein vacants

| 11.07.2018


Alors qu'Agnès Buzyn continue de pilonner les médecins intérimaires hospitaliers dans les médias, le Centre national de gestion (CNG) publie de nouveaux chiffres édifiants qui confirment la progression de la pénurie médicale dans les établissements publics. 
Dans son rapport d'activité sur 2017, l'organisme de gestion des carrières médicales à l'hôpital recense exactement 49 846 praticiens hospitaliers (PH) en activité – dont 89 % à temps plein (44 305 PH) et 11 % à temps partiel (5 541 PH).
Au 1er janvier 2018, le taux de vacance statutaire des PH à temps plein atteint 27,4 %, un record depuis 2008. Ce pourcentage résulte d'une progression de 0,9 point entre 2017 et 2018, note le CNG. 

Comment s’habiller pour plaire aux patients ? Une étude fournit des réponses Stéphane Long

| 14.07.2018


L’habit ne fait pas le moine… mais il fait peut-être le médecin ! Des chercheurs américains ont étudié l’impact de la tenue vestimentaire des praticiens hospitaliers sur leurs patients. Verdict : 53 % des personnes interrogées affirment que ce critère est important, un tiers estime qu’il influence leur niveau de satisfaction durant les soins.
Les auteurs ont également cherché à évaluer quels vêtements étaient les plus à même d’inspirer confiance aux malades. La blouse blanche apparaît comme une valeur sûre, mais d’autres tenues sont à leur avantage selon le contexte de la consultation, indiquent-ils.