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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 12 décembre 2023

La puissance virile

Mardi 5 décembre 2023

Provenant du podcast

Les Pieds sur terre

Face à leurs contrariétés, le premier cherche à tout prix à continuer à “performer” dans une sexualité conventionnelle, le second est prêt à renoncer à ses diktats. Par Valérie Borst.

C’est la question que pose Maïa Mazaurette dans le quotidien Le Monde : la pénétration sexuelle serait-elle en voie de déclassement, voire d’abandon ?

Les deux hommes qui se racontent dans cet épisode sont des “boomers”, nés avant les années 70. Ils ne sont pas exactement déconstruits, ni woke, mais, à leur façon, ils s’imprègnent de leur époque, cherchent et réfléchissent et, de façon très différente, trouvent des solutions pour retrouver une sexualité épanouie.

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Le taux d'enfants morts nés à l'hôpital en légère baisse

PUBLIÉ LE 04/12/2023

Le taux d'enfants morts nés à l'hôpital est en légère baisse en 2022 après deux années de stabilité. Quant au taux de prématurité, il est resté stable, a souligné mardi 28 novembre la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees). 

nourrisson, soignant, maternité

Le taux de mortinatalité* hospitalière a diminué très légèrement par rapport aux deux années précédentes, passant de 8,9 pour 1 000 enfants nés en 2020 et 2021 à 8,8 pour 1 000 enfants nés en 2022. Il retrouve les niveaux observés en 2017 et 2018, après une baisse ponctuelle en 2019 (8,5), précise la Drees. En 2022, le taux de mortinatalité «spontanée» est de 5,4 pour 1 000, contre 3,4 par mortinatalité «induite» (interruptions médicales de grossesse). 

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Une infirmière en pratique avancée à Bamako à la découverte du système de santé malien

Laure Martin    5 décembre 2023

Infirmière en pratique avancée (IPA), mention Pathologies chroniques stabilisées, Hada Soumare a longtemps exercé au sein du centre municipal de santé de Saint-Denis (Île-de-France). Depuis septembre, elle vit à Bamako (Mali). Son objectif : comprendre le système de santé malien et tisser des liens pour fluidifier la prise en charge des patients.

Hada Soumare, Infirmière en pratique avancée (IPA), mention Pathologies chroniques stabilisées

Hada Soumare, Infirmière en pratique avancée (IPA), mention Pathologies chroniques stabilisées

Que faites-vous actuellement à Bamako ? 


J’effectue un stage dans un centre de santé publique, en diabétologie, aux côtés d’un diabétologue, d’un endocrinologue, d’un médecin généraliste et de trois infirmières. Je me suis enregistrée à l’Ordre des infirmiers du Mali et je détiens une convention de stage, je peux donc pratiquer des soins infirmiers.

Pendant mon stage, j’observe et j’interviens auprès des infirmiers du centre de santé.

Contrairement à la France, au Mali, les patients paient pour leurs soins et leurs traitements. De fait, lorsque je suis en consultation avec les médecins, j’essaye de comprendre leur prescription, les choix qu’ils opèrent lorsque les patients n’ont pas beaucoup de moyens. Je découvre une autre manière de soigner.

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Pédocriminalité : ce que l'on sait de l'opération inédite qui a abouti à 80 interpellations en France

Article rédigé par 

franceinfo avec AFP
France Télévisions

Les suspects interpellés ont entre 30 et plus de 60 ans. "Cela va de l'élu local au chômeur, en passant par l'ingénieur", selon le commissaire Quentin Bevan.


L'opération a été coordonnée par l'office des mineurs (Ofmin) de la police judiciaire. Photo d'illustration. (PHILIPPE LOPEZ / AFP)

Un "grand coup de filet contre la pédocriminalité", a salué Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, vendredi 8 décembre, sur le réseau social X. Au cours des jours précédents, 80 hommes soupçonnés de pédocriminalité ont été interpellés à travers le pays. Une opération d'une ampleur "jamais vue" en France, selon le commissaire Quentin Bevan, chef du pôle opérationnel du nouvel Office des mineurs (Ofmin) de la police judiciaire, qui a coordonné l'enquête. Tous les mis en cause ont reconnu les faits lors de leurs gardes à vue, même si certains ont tenté de minimiser ou de se dédouaner. "Les investigations sont toujours en cours", a précisé Gérald Darmanin. Franceinfo revient sur ce que l'on sait de cette opération inédite. 

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Juan-David Nasio : "Le divan n'est pas indispensable à la psychanalyse"

Jeudi 7 décembre 2023

Ce jeudi, l'invité du Grand Entretien est le psychanalyste et psychiatre Juan-David Nasio pour son livre "Dix histoires de vie, de souffrance et d'amour" aux éditions Gallimard, en partenariat avec les éditions France Inter.

Avec

Juan-David Nasio Psychiatre et psychanalyste

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Aurore Bergé annonce des « travaux d’intérêt général pour les parents défaillants »

Le Monde avec AFP   Publié le 10 décembre 2023

Dans un entretien à « La Tribune Dimanche », la ministre des solidarités détaille également la mise en place d’une commission sur la parentalité, coprésidée par le pédopsychiatre Serge Hefez.

La ministre des solidarités et des familles, Aurore Bergé, le 6 décembre 2023, à l’Elysée. 

La ministre des solidarités et des familles, Aurore Bergé, a confirmé, samedi 9 décembre, dans un entretien à La Tribune Dimanche la mise en place de « travaux d’intérêt général pour les parents défaillants » et la création d’une commission qui fera des « propositions concrètes » pour « relever les défis de la parentalité ».

NOUS sommes ETOIL’CLOWN… des « comédiens – clown en milieux de soins »

 

#ETOILCLOWN : les clowns hospitaliers du Poitou-Charentes

L’association ETOIL’CLOWN, envoie chaque semaine de l’année, des DUO de clowns hospitaliers professionnels, dans les cinq pédiatries du Poitou-Charentes: Rochefort, La Rochelle, Saintes, Niort et Angoulême. (départements 16, 17 et 79)

Deux fois par mois, dans le cadre d’une convention de partenariat, les comédiens ETOIL’CLOWN se rendent également dans deux EHPAD des Charentes : Le Gua et Angoulême.

Le passage des clowns en DUO concerne les patients/ résidents, et leurs familles mais aussi, les soignants, les secrétaires, les visiteurs… 

Les clowns hospitaliers, au cours de ces rendez-vous récurrents, offrent une parenthèse colorée attendue, une distraction, un moment de détente, de jeux, de musique, de magie, d’émotions avec des bulles, des sourires et des rires !!…à qui souhaite les accueillir.

La personne visitée est maître du jeu, à tout moment elle peut dire « non »! 

Les comédiens – clowns sont également sollicités pour le détournement d’attention et l’accompagnement de soins dans le cadre des protocoles complexes ou de la prise en charge globale du patient. Clowns et soignants travaillent main dans la main.

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Le 1er Congrès Caribéen sur la santé mentale se tenait ce vendredi en Guadeloupe

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Dépression, stress, anxiété, suicides, automutilation. Les spécialistes de la santé mentale étaient réunis ce vendredi au Macte à Pointe-à-Pître pour le 1er Congrès Caribéen sur la santé mentale. Initialement prévu en octobre, il a été reporté en raison du passage de la tempête Tammy. Cuba, la République Dominicaine, la Jamaïque, Trinidad et Tobago et bien sûr la Martinique, la Guyane et la Guadeloupe... Au total, une douzaine de pays y étaient représentés.


La vie des sociétés primitives : une leçon d'ethnologie

Dimanche 10 décembre 2023

Provenant du podcast

Les Nuits de France Culture

Des jeunes Sara dansent pour mettre en valeur leur tempérament et leur beauté physique, Tchad vers 1950-1953. ©Getty - Michel HUET/Gamma-Rapho

Claude Lévi-Strauss, Jean Malaurie, Georges Balandier et Robert Jaulin sont les invités du quatrième volet d’une série sur la naissance des civilisations. Ils sont les acteurs d'une ethnologie moderne et nous apportent leur éclairage sur la vie des sociétés primitives qu'ils ont appris à observer.

Avec

Claude Lévi-Strauss Anthropologue et ethnologue français

Jean Malaurie Ethnologue, géographe spécialisé en géomorphologie, directeur et fondateur de la collection Terre Humaine

Georges Balandier

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Pousseur du RER : l’inexplicable en procès

par Didier Arnaud   publié le 14 décembre 2012

Homicide . Un homme sous suivi psychiatrique a été condamné, jeudi soir, à seize ans de prison.

D'abord une image. Celle d'une jambe qui se tend vers un corps qui s'efface. Elle est extraite d'une vidéo, sans son, où l'on devine un quai (station Gare de Lyon à Paris), un train (le RER A), la même jambe et un dos qui se plie, jusqu'à disparaître du champ. La jambe, c'est celle d'Ahmed Konkobo, 29 ans, qui pousse sur le rail Subramaniam Rasalingam, 52 ans, agent de nettoyage d'origine sri-lankaise. Cette semaine à la cour d'assises de Paris, Konkobo était jugé pour homicide volontaire. Son procès fait partie de ceux que l'histoire des sous-sols parisiens appelle les «pousseurs du métro». Jeudi soir, il a été condamné à seize ans de réclusion criminelle, assorti d'une obligation de soins, puis d'un suivi sociojudiciaire de quinze ans.

Le 2 avril 2010, à 5 h 45, Rasa, surnommé «Nounours» par ses collègues, tant il est gentil, poli et généreux, attend le RER qui doit le conduire à son travail. Il croise Ahmed, qui dit-il, l'a pris pour un autre, un type qui lui ressemble («il est noir comme lui», affirmera Ahmed) avec lequel il s'était bagarré quelques minutes auparavant, pour «un mauvais regard». Ahmed, l'instruction le montrera, dit qu'il a des problèmes avec les Indiens et les Pakistanais, et les Noirs, en général. Noir ? Pourtant, Ahmed l'est aussi.

Marchepied. Ce matin-là, il n'est pas dans son état normal. Il a déjà avalé deux ou trois bières à 2,50 euros, qui titrent 11,6 degrés.

lundi 11 décembre 2023

Être un garçon, devenir un homme

Lundi 4 décembre 2023

Affiche du documentaire "Les petits mâles" de Laurent Metterie - Florence Dupré la Tour

Comment les jeunes garçons apprennent-ils les codes de leur genre ?

Avec

Pauline Ferrari Journaliste indépendante

Laurent Metterie Réalisateur, producteur

Anne-Laure Bondoux Autrice

Comment les adolescents s'éduquent-ils à leur genre aujourd’hui ? Sont-ils différents des générations précédentes et en quoi ? Six ans après #Me Too, à une époque où le féminisme, la dénonciation des inégalités et des violences que subissent les femmes et les filles sont le sujet de tant de débats, de livres et de films…. quelles idées sur le genre, le sexe, l’amour et la domination ont fait leur chemin dans la tête des garçons ? Avons-nous affaire à une génération plus consciente, ou plus crispée ?

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Pénibilité du travail : Convergence infirmière réclame sa reconnaissance

04/12/2023

Le syndicat représentatif des infirmières libérales, Convergence infirmière, a mené une enquête* sur les difficultés liées à l’exercice du métier. Les résultats**, rendus publics en novembre, confirment la nécessité, pour Ghislaine Sicre, la présidente, de faire reconnaître la pénibilité du métier.  

76.89 % des infirmières libérales (idel) ayant répondu à l’enquête se considèrent comme fatiguées, déprimées ou en burn-out en raison de leur activité professionnelle. Elles sont même 36.67 % à prendre un traitement médicamenteux (problématiques physiques ou psychologiques) pour cette raison. 54 % sont stressées ou angoissées à l’idée d’aller travailler. D’ailleurs, 62 % révèlent avoir subi des menaces ou des violences physiques dans le cadre de leur travail et 22.5 % des violences à caractère sexuel. 53 % estiment ainsi que leur activité entraîne des répercussions sur le bien-être de leurs enfants, et 46.2 % qu’elle est à l’origine de conflits familiaux.  

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"J'ai changé d'avis sur l'euthanasie" : un médecin en fin de vie raconte comment la maladie l'a transformé

Yann Thompson - Envoyé spécial à Ploubezre (Côtes-d'Armor)

Publié 

Depuis son lit, branché à un respirateur artificiel, Philippe Bail décrit les "richesses" de la vie de malade et plaide pour la liberté de choisir sa mort, alors qu'un projet de loi sur le sujet se fait toujours attendre.

Il a fait une promesse à sa femme et à ses enfants : vivre jusqu'à Noël. S'accrocher encore quelques semaines, "et après, on verra". Philippe Bail, 72 ans, est atteint de la maladie de Charcot, une pathologie incurable qui affecte les muscles et qui mène vers une mort par asphyxie. Ses jambes ne répondent plus, ses bras à peine. Sa cage thoracique est presque figée. Ses yeux bleus, son sourire et ses paroles résistent encore. Sa vie ne tient plus qu'à un tuyau, celui de son appareil de ventilation, qui lui propulse de l'oxygène jusqu'aux poumons par un masque nasal.

Voilà bientôt cinq ans que le diagnostic est tombé. Avec une telle longévité face à Charcot, Philippe Bail fait déjà figure de patient émérite, un brin têtu. La mort n'est plus très loin, le Breton le sait. Il le souhaite, aussi. "Le désir de vivre s'épuise un peu chez moi", concède-t-il, blotti sous la couette de son lit médicalisé, dans une ancienne grange qu'il a retapée près de Lannion, dans les Côtes-d'Armor. Cet ancien médecin généraliste guette même "le bon moment" pour mettre fin à ses jours. 

Alors que le projet de loi sur la fin de vie, un temps annoncé pour septembre, puis pour décembre, tarde à voir le jour, Philippe Bail plaide pour un droit à choisir le moment de sa mort. Il en témoigne dans un livre, Fidèle comme une ombre (éditions L'Harmattan), journal de bord de sa vie de malade. Dans ce récit des années "les plus tristes et les plus heureuses" de son existence, il invite aussi à changer de regard sur la maladie, la dépendance et la fin de vie, pour découvrir que "ce long travail du mourir peut être porteur de joie et de richesses".

"Si j'avais pu, j'aurais demandé l'euthanasie"

Du temps où il exerçait encore, le docteur Bail était un homme de principes. Du genre à vous réciter le serment d'Hippocrate, le code de déontologie médicale et le cinquième commandement. "Je ne provoquerai jamais la mort délibérément", lui soufflait une petite voix. "Tu ne tueras point", répétait une autre. Droit dans sa blouse, il contournait les rares appels de patients qui lui demandaient une euthanasie en douce. "Je m'engageais à rester leur médecin jusqu'à la fin et je parvenais à apaiser leurs souffrances par mes visites et par ma maîtrise des morphiniques et des antalgiques", assure-t-il.

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Au p’tit bonheur : « Les grands huit, c’est ma passion. Je les ai tous faits »

Par    Publié le 29 novembre 2023

Brigitte Legrand, 60 ans, accueillante familiale, à Chemilly, dans l’Allier.

« Alain, je pense qu’il est surdoué. Il avait pas 10 ans qu’il bricolait déjà l’électricité – et royalement ! Son rêve, ça avait toujours été d’avoir un moulin. Pour être autonome. Pour créer du courant. Alors il a décidé de s’en acheter un. On en a visité quinze, de moulins. Et on a pris celui-ci, à Chemilly. Ça va faire douze ans qu’on est là. Mais y a un petit problème : y a déjà plus d’eau. Et pas d’eau, ça veut dire pas d’électricité. Alors Alain a eu une autre idée : il a construit un panneau solaire. Ça vaut 12 000 balles un panneau normalement, mais lui, il l’a bricolé pour 2 500, et tout seul hein ! Oui, 2 500 balles ! Il a trouvé toute l’électronique sur Internet, et autrement, bah, sur le marché aux ferrailles. Résultat : tout ce qu’on cuisine le midi, ça nous coûte zéro. Ah bah oui, tant qu’à faire, pas la peine de bouffer du gaz.

Moi, j’ai réalisé mon rêve. Toute ma vie, j’ai fait ce que j’ai voulu. Je suis accueillante familiale. Avant ça, j’étais aide-soignante, et avant ça, femme de chambre et vendeuse en boulangerie. J’ai toujours travaillé. Depuis mes 17 ans. Et là, j’accueille des adultes handicapés qui peuvent pas vivre tout seuls. Leur famille, elle s’occupe pas d’eux. Et ici, ils sont chez eux. Je fais leur ménage. Je fais leur linge. Je leur fais à manger. On fait tous les repas ensemble. J’adore. Alain vient d’ailleurs de bricoler une fourchette qui fait aussi couteau pour Sébastien. Il a 42 ans et il peut plus parler, ni utiliser son bras droit. Il a fait un AVC. Pourquoi ? Trop de shit et d’alcool. Je loue une chambre à côté de la sienne en Airbnb. Pas cher, 20 euros. Comme ça, je peux lui payer ses cigarettes. Y a Georges aussi qui est là. Il a 64 ans, mais 7 ans dans sa tête. Il m’aide énormément aux champs. Parce que j’ai des poules, des canards, des oies, des lapins. J’ai aussi des pintades et une dinde. Un canard, je le vends 16 euros, et un poulet, 12. Mais je l’exploite pas, hein, Georges. Pour le remercier, je l’invite au resto.

Les traumatismes vicariants : définition, contexte et propositions de prise en charge

G. Bouvier

Résumé

Introduction

Le travail avec des personnes traumatisées expose les soignants à avoir accès à des histoires traumatiques avec le risque d’être traumatisés eux-mêmes en retour.

Objectifs

Nous essaierons de montrer que le traumatisme vicariant existe, que les soignants sont à risque de le développer et dans quelles circonstances. Nous proposerons des pistes de préventions ainsi que de traitement.

Méthode

Nous allons définir le traumatisme vicariant, sa symptomatologie, ses causes et les personnes à risques. Nous clarifierons ce concept par rapport aux différentes notions avec lesquelles il est souvent confondu. Nous exposerons nos propositions de préventions et de traitement, enfin, nous illustrerons notre propos au moyen de vignettes cliniques.

Résultats

Nous montrerons que le traumatisme vicariant existe, que les soignants sont à risques. Nous montrerons que la prévention est nécessaire et efficace, que des possibilités de traitements existent et qu’elles peuvent elles aussi être efficaces.

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