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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 21 décembre 2019

Les soignants de l'hôpital Sainte-Marie manifestent devant l'établissement

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Par France Bleu Azur   
20 décembre 2019

Les soignants de l'hôpital psychiatrique Sainte-Marie de Nice sont en grève, ils se mobilisent ce vendredi matin devant l'établissement. Ils dénoncent un manque de moyens pour une prise en charge de qualité et des revalorisations de salaires.

Les salariés de l'hôpital Sainte-Marie à Nice mobilisés ce vendredi matin
Les salariés de l'hôpital Sainte-Marie à Nice mobilisés ce vendredi matin © Radio France - Ange Delaval

"Des soignants épuisés, des patients en danger", "SOS la psychiatrie en détresse"... Des personnels de l'hôpital psychiatrique Sainte-Marie sont en grève à l'appel de la CGT et de l'UNSA.  Une grève dans le cadre du mouvement contre la réforme des retraites.  
Les salariés étaient une bonne vingtaine mobilisés devant l'hôpital tôt ce vendredi matin et jusqu'à 11h, ils ont fait brûler des palettes et ont brandi des pancartes pour alerter sur leurs conditions de travail difficiles. 
Les personnels de l'hôpital psychiatrique de Sainte-Marie en grève - Aucun(e)
Les personnels de l'hôpital psychiatrique de Sainte-Marie en grève - Ange Delaval, CGT Santé

A Genève, des jours et des nuits dans l’urgence

Le Temps

Christian Lecomte   Publié jeudi 19 décembre



La hausse continue de la fréquentation des services d’urgence préoccupe les élus suisses. Les infirmières et les infirmiers sont au centre de ce théâtre où se jouent les drames humains. Regard dans le rétroviseur avec Emmanuel Vaudaux, qui a été infirmier pendant treize ans aux Hôpitaux universitaires de Genève.

Taxe de 50 francs votée au Conseil national pour désengorger les urgences des hôpitaux suisses. Initiative pour la revalorisation d’un métier clé pour les premiers soins portés aux patients. Les infirmières et les infirmiers sont au cœur d’un sujet qui préoccupe la classe politique suisse: les coûts de la santé et la hausse continue des consultations aux urgences. Emmanuel Vaudaux a été infirmier pendant treize ans aux urgences des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Au moment où il quitte ce service, nous jetons avec lui un regard dans le rétroviseur pour mieux comprendre la réalité d’un métier hors norme.


vendredi 20 décembre 2019

Aide-soignant : une formation qui attire moins

Accueil - Vie Publique

Publié le 20 décembre 2019


En 2018, 26 200 étudiants étaient inscrits en école d’aides-soignants. La baisse des inscriptions amorcée en 2017 se poursuit. Néanmoins, le nombre de diplômés est quasiment stable et cette formation de santé reste l'une des plus suivies, après celle d’infirmier.

Personnel médical remplissant un formulaire.
Les élèves intégrant une école d'aides-soignants ont en moyenne 28 ans et 7 mois. © sudok1 - stock.adobe.com

Une femme de plus de 28 ans d'origine modeste, titulaire du baccalauréat : tel est le profil type d'un élève aide-soignant, révélé par une enquête de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère des Solidarités et de la Santé parue en décembre 2019(nouvelle fenêtre). Qui sont plus précisément ces étudiants ?

Des candidats moins nombreux

Le nombre de diplômés stagne : 22 800 étudiants ont obtenu leur diplôme d’aide-soignant en 2018, soit 300 de moins qu’en 2017.

En revanche, le nombre d’inscrits en formation baisse pour la deuxième année consécutive (-6% de 2016 à 2018). Celui des candidats au concours d'entrée a chuté de 42% entre 2014 et 2018. Le taux de candidats admis est donc beaucoup plus important en 2018 (41%) qu'en 2014 (24%).


Atout cœur / “Réparer les vivants”

MATIÈRES À PENSER par René Frydman
19/12/2019
44 MIN

Comment annoncer la mort d’un proche ? Comment aborder le prélèvement d’organes ? Comment vivre avec le cœur d’un autre ? Et quid du cœur artificiel ? Ce soir avec Daniel Sibony, philosophe, le professeur Pascal Leprince, chirurgien cardiaque et Louis Guichard, journaliste et critique de cinéma.
 Crédits : © Mars Films / Allociné

Orna Donath : «On peut aimer ses enfants et regretter d’être mère»

Par Anastasia Vécrin et Léa Mormin-Chauvac — 


Photo Jamie Diamond

La sociologue israélienne a réalisé en 2015 une étude, tout juste publiée en français, sur les femmes qui regrettent leur maternité. Ce tabou très ancré dans la société nécessite de reconsidérer l’injonction à avoir des enfants.

Oui, certaines femmes considèrent que «c’était une erreur de devenir mère». Et ce sentiment troublant est inaudible, quelle que soit la société en question. Car celle qui n’a pas d’enfant est perçue comme suspecte, révélant pour les femmes une assignation à la maternité qui écarte le fait que cela ne puisse pas convenir à toutes.
En 2015, l’étude de la sociologue israélienne Orna Donath, intitulée «Regretting Motherhood : A Sociopolitical Analysis», a suscité des débats houleux partout dans le monde, en particulier en Allemagne où le hashtag #regrettingmotherhood avait fait de nombreuses adeptes. «Le regret d’être mère», enquête composée de nombreux témoignages de femmes de tout âge, a été récemment traduite en français aux éditions Odile Jacob. Pour la sociologue, considérer ce sentiment peut être un moyen de «contester les systèmes de pouvoir», il s’agit d’un «signal d’alarme» qui devrait «appeler les sociétés à en faire plus pour faciliter la tâche des mères […] et à revoir notre conception de la femme assignée à la maternité».
sudinfo.be

Publié le Jeudi 19 Décembre

BELGIQUE

C’est une triste histoire que nous révèle le Mirror ce jeudi. Mia Titheridge, 17 ans, avait quelques soucis de santé mentale et était enfermée dans l’hôpital psychiatrique de Huntercombe au Royaume-Unis. Alors qu’elle était censée être surveillée toutes les 15 minutes, elle a été livrée à elle-même pendant plus d’une heure. Quand les infirmiers sont revenus dans sa chambre, ils ont fait une horrible découverte.

Mia, 17 ans, se suicide dans l’hôpital psychiatrique dans lequel elle était enfermée: «La mort de Mia aurait pu être évitée»
Facebook

Cerveau : comprendre ce qui commande nos choix alimentaires...

RTFLASH  16/12/2019 

Pourquoi, que nous ayons faim ou non, sommes-nous irrésistiblement attirés par certains aliments et, au contraire, dissuadés par d'autres ? Des chercheurs de l'Université de Géorgie (États-Unis) se sont penchés sur ce phénomène. Leur recherche a porté sur des rats afin d'analyser un sous-ensemble de cellules cérébrales qui produisent un type d'émetteur dans le cerveau appelé hormone de concentration de mélanine (HCM). Emily Noble, professeure adjointe au Collège of Family and Consumer Sciences à l'Université de Géorgie et auteure principale de l'étude, explique que lorsque ces cellules ont été activées chez les rats, leur comportement alimentaire était susceptible de changer. « Nous avons découvert que lorsque nous activons les cellules du cerveau qui produisent l'HCM, les animaux deviennent plus impulsifs dans leur comportement face à la nourriture », explique-t-elle.

Axe intestin-cerveau : un nouveau monde biologique à explorer…

RTFLASH   17/12/2019 

Une étude réalisée par des chercheurs du Weill Cornell Medicine (New York) a révélé les premiers processus cellulaires et moléculaires sous-jacents à la communication entre microbes intestinaux et cellules du cerveau. Alors que ces dernières années cet axe "intestin-cerveau" a été documenté lors de nombreuses recherches portant sur différentes affections psychiatriques, cette étude, menée chez la souris, décrypte comment des modifications épigénétiques et les composés chimiques dérivés de microbes intestinaux jouent un rôle majeur dans la fonction et la chimie du cerveau.
On sait que les personnes atteintes de maladies auto-immunes telles que les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI), le psoriasis et la sclérose en plaques peuvent également présenter un microbiote intestinal affaibli et souffrir d'anxiété, de dépression et de troubles de l'humeur.

En réponse à une association de familles, la HAS défend sa recommandation sur le diagnostic du bébé secoué

PAR 
DR IRÈNE DROGOU
-  
PUBLIÉ LE 19/12/2019

Crédit photo : PHANIE
Interpellée sur sa recommandation sur le diagnostic du syndrome du bébé secoué, la Haute Autorité de santé (HAS) a tenu à réaffirmer l'importance de ses travaux dans un communiqué signé « avec l'ensemble des organisations professionnelles et associations de patients qui ont été mobilisées pour les élaborer », indique-t-elle. Pour la Haute Autorité, « Contester les recommandations, c'est se tromper de sujet ».

2020: Année internationale des sages-femmes et du personnel infirmier

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1 janvier – 31 décembre 2020

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Le personnel infirmier et les sages-femmes apportent une contribution déterminante à la prestation de services de santé. Ils consacrent leur vie à s’occuper des mères et des enfants, à administrer des vaccins salvateurs et à dispenser des conseils de santé, à prendre soin des personnes âgées et, de manière générale, à répondre aux besoins de santé essentiels, jour après jour.  Ces personnes sont souvent le premier et le seul prestataire de soins dans leur communauté. En somme, on ne pourra instaurer la couverture sanitaire universelle qu’en reconnaissant le rôle clé de ces personnels et en investissant davantage en leur faveur.


Clinique des réseaux

  • Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe 2019/2 (n° 73)
    • Pages : 222
    • Éditeur : ERES



    Les aspects psychosociaux de la santé ne doivent pas être oubliés, selon le président de l’AMM

    Univadis


    Mary Corcoran    16 déc. 2019

    Le président de l’Association médicale mondiale (AMM) a souligné la nécessité de veiller à ce que les médecins disposent de plus de temps avec leurs patients, pour qu’ils prennent pleinement en considération leurs soins. 

    S’exprimant lors de la réunion de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur l’accélération des progrès concernant les maladies non transmissibles et la santé mentale la semaine dernière, le Dr Miguel Jorge a déclaré que, même si l’enseignement et la formation en médecine mettent fortement l’accent sur les aspects biologiques des maladies et de leur traitement, il est nécessaire qu’une plus grande attention soit accordée aux aspects psychosociaux des problèmes de santé. 

    La luminothérapie serait aussi efficace que les antidépresseurs

    RTFLASH   16/12/2019

    Selon une méta-analyse réalisée par des chercheurs français, la luminothérapie, à raison de trente minutes par jour, serait aussi efficace que les antidépresseurs pour traiter les dépressions. Cette approche fait en effet jeu égal avec les antidépresseurs dans les épisodes dépressifs caractérisés, conclut une revue de la littérature avec méta-analyse conduite par le psychiatre et médecin du sommeil Pierre Alexis Geoffroy (département de psychiatrie et addictologie Bichat-Beaujon, Paris), avec des collègues du CHU de Strasbourg. L’association luminothérapie et antidépresseur est plus efficace que la monothérapie, démontre aussi l’équipe française dans son travail paru en ligne le 18 septembre dans la revue Sleep Medicine Reviews.
    Voilà plus de trente ans que la luminothérapie a commencé à montrer des bienfaits dans la dépression saisonnière, une pathologie qui concerne environ 3 % de la population en Suisse, et jusqu’à 10 % dans les pays du Nord. Depuis, l’intérêt de cette approche a été étudié dans d’autres formes de dépression, non saisonnières.
    L’exposition quotidienne à un écran diffusant une lumière blanche (des LED pour les appareils les plus récents), à une intensité de 10 000 lux, a un effet antidépresseur et synchronise l’horloge interne. L’action antidépressive de la lumière est liée à des effets à différents niveaux, qui peuvent se combiner : synchronisation des rythmes circadiens (biologiques), amélioration de la vigilance, stabilisation des rythmes veille-sommeil, action sur les voies de la sérotonine…

    Naturopathes, aromathérapeutes, réflexologues... : la répression des fraudes, pas tendre avec les médecines douces

    PAR 
    ANNE BAYLE-INIGUEZ -  
    PUBLIÉ LE 19/12/2019

    Crédit photo : PHANIE
    Le contrôle de 675 praticiens exerçant une médecine non conventionnelle a permis à la répression des fraudes de révéler pour deux tiers d'entre eux au moins un manquement à la loi. C'est le résultat édifiant de l'investigation menée en 2018 par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) auprès de professionnels vendant leurs services de naturopathes, aromathérapeutes, hypnothérapeutes, acupuncteurs, auriculothérapeutes et réflexologues.