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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 6 juin 2019

La blague pour Freud

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7 juin 2019

Découvrez ici ce que Freud pense des plaisanteries, ainsi que ce qu'elles dénotent selon lui.


Une des manifestations du génie de Sigmund Freud est d’avoir remarqué les phénomènes quotidiens qui n’avaient aucune importance pour d’autres. Les blagues en font partie. En effet, pour Freud, elles sont bien plus qu’une manière ingénieuse ou sympathique de penser la réalité.
Son chef-d’œuvre à ce sujet est Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient. Il a été publié en 1905 et dans cet ouvrage, Freud analyse les caractéristiques, les éléments et les motivations de ces plaisanteries quotidiennes dont la plupart d’entre nous rient. Pour lui, ces aspects en disent long sur nous.
[...] 

La technique de la blague pour Freud

Pour Freud, la blague est basée sur 6 techniques de base :
  • •Condensation : fusion de deux mots ou concepts en un seul, générant un malentendu potentiellement drôle. Comme quand quelqu’un dit : « Arrête de fumer » et que l’autre répond : « Je suis un expert en arrêt du tabac. Je l’ai déjà fait huit fois »
  • Déplacement : le sens d’une chose est transféré sur une autre
  • Double sens : lorsque le même mot est utilisé avec un sens différent. Comme dans ce cas : « Mieux vaut donner que recevoir. Sincèrement, le boxeur »

Suicide : des scientifiques étudient le génome des patients ayant tenté de mettre fin à leurs jours

Publié le 

Publiés cette semaine dans The American Journal of Psychiatry, les travaux menés ont été réalisés par des chercheurs de l'Icahn School of Medicine à Mount Sinai (New York, Etats-Unis). Les chercheurs ont comparé les génomes de 6 569 personnes ayant fait une tentative de suicide à celui de 17 232 personnes n'ayant pas tenté de se suicider. 

Comblés (ou presque) par leur système de santé, les Français plébiscitent toujours leur médecin traitant

Marie Foult
| 05.06.2019
Les Français sont toujours satisfaits de leur système de santé. Ils sont 81 % à se dire contents de la qualité des soins, 75 % de la pédagogie du personnel soignant, 64 % des conditions financières d'accès aux soins et 60 % de l'accès à ces soins (et ce malgré une baisse régulière depuis quatre ans). C'est ce que révèle un sondage* Opinion Way pour le cabinet Deloitte, publié ce mercredi 5 juin.
Alors que la loi de santé est examinée au Sénat, les Français ont été interrogés sur les mesures jugées prioritaires pour résoudre les déserts médicaux. 39 % d'entre eux citent le développement de l'exercice en cabinet de groupe, 27 % la fin du numerus clausus et 22 % la création de postes d'assistants médicaux, des mesures qui figurent dans la future loi. Seulement un Français sur dix cite la téléconsultation.

Crise des urgences : l'Ordre appelle le gouvernement à agir au plus vite

Stéphane Lancelot
| 05.06.2019




  • Urgences

    Crise des urgences : l'Ordre appelle le gouvernement à agir au plus vite 

BURGER/PHANIE

Alors que s'ouvrait ce mercredi à Paris le Congrès des urgences dans un climat social tendu, le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) a tenu à apporter son soutien aux services et médecins concernés par ces difficultés.
Considérant que la crise des urgences est l'un « des symptômes les plus aigus de l'extrême difficulté dans laquelle se trouve l'hôpital public », l'Ordre appelle l'État à organiser au plus vite une concertation avec tous les acteurs afin d'apporter « une réponse durable aux revendications des professionnels de santé »« Leur souffrance face aux conditions de travail actuelles doit être entendue », appuie-t-il.

Malaise aux urgences d'Avignon : “On est débordé, on travaille comme des machines” raconte un infirmier

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Par Jean Poustis /  Publié le 05/06/2019

Le personnel des urgences adultes du centre hospitalier Henri Duffaut est en grève / © Xavier Schuffenecker


Ce mouvement de grève aux urgences dure depuis plus de deux mois et ne faiblit pas, signe d'un profond malaise. Entamée mi-mars dans un hôpital parisien, après une agression, la grève des services d'urgence a essaimé dans des dizaines d'établissements partout en France.


Depuis cinq ans, Emmanuel Martin travaille comme infirmier aux urgences du Centre hospitalier Henri Duffaut, à Avignon. Ces conditions de travail ont changé ces dernières années. Une surpopulation se crée notamment dans les couloirs de l’hôpital. Mais malgré la grève, le personnel assure les soins.




Grève des urgences Des réquisitions de médecins et d’infirmières pour faire fonctionner un hôpital

LA VDN

Afp | 

PHOTO ARCHIVE AFP
PHOTO ARCHIVE AFP - AFP

La poussée printanière a pris racine: entamée mi-mars dans un hôpital parisien, la grève des services d’urgence a essaimé dans des dizaines d’établissements partout en France. Au départ, il y a eu l’agression de trop, qui a poussé les infirmiers et les aides-soignants de Saint-Antoine, dans l’est de la capitale, à se mobiliser. L’initiative a fait tache d’huile, d’abord au sein des Hôpitaux de Paris (AP-HP), où les soignants ont créé le collectif Inter-Urgences, qui n’a cessé de s’étendre depuis. «On en est à 80 services», a déclaré mardi Candice Lafarge, aide-soignante à Saint-Antoine et membre de ce collectif.

Les blouses blanches voient rouge et lancent un ultimatum



BELGIQUE

LUDOVIC JIMENEZ Publié le 

La pause de midi était plus animée qu’à l’accoutumée à l’hôpital de Tubize ce mardi.

Durant une bonne demi-heure, tout le personnel siégeait dehors dans le but de faire entendre son ras-le-bol envers les dégradations de travail du personnel infirmier. Suivi à Bruxelles et dans toute la Wallonie, le mouvement du "mardi des blouses blanches" en était à sa première édition. "On le fera tous les mardis du mois de juin et plus si c’est nécessaire. Le mouvement est national et les actions vont devenir de plus en plus dures. Il faut savoir que des services ferment. Aujourd’hui, les infirmières et infirmiers se croisent les bras et disent stop. La pression monte. On n’est pas d’accord de sacrifier l’humain au service du financier", lance Nathalie Bouchez, infirmière en radiologie à l’hôpital de Tubize.

"Ça détruit une personne" : Inès, infirmière aux urgences de Lariboisière

par Danielle Messager publié le 
Le mouvement de grève aux urgences dans les hôpitaux parisiens ne faiblit pas. Une manifestation est prévue ce jeudi à Paris, en plein congrès des urgentistes, où la ministre Agnès Buzyn n'a pas encore confirmé sa venue. Témoignage d'une gréviste de l'hôpital Lariboisière à Paris.
Les personnels des urgences de l'hôpital Lariboisière à Paris sont en arrêt maladie depuis la nuit de lundi à mardi
Les personnels des urgences de l'hôpital Lariboisière à Paris sont en arrêt maladie depuis la nuit de lundi à mardi © AFP / Mathias Zwick / Hans Lucas
Pour dénoncer des "conditions de travail devenues insupportables", une grève illimitée a été lancée il y a deux mois dans plusieurs services d'urgence de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris à l'appel de la CGT, SUD et FO.

Inès, 28 ans, est infirmière depuis quatre ans au service des urgences de l'hôpital Lariboisière à Paris. Comme ses collègues grévistes, elle est en arrêt maladie depuis la nuit de lundi à mardi pour protester contre la surcharge de travail devenue ingérable.


À bout, le personnel infirmier lance les mardis des blouses blanches

TVCOM

BELGIQUE

 04 juin 2019

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Après les jeudis pour le climat, voici les mardis des blouses blanches. Le personnel infirmier de Wallonie et de Bruxelles voit ses conditions de travail se dégrader de plus en plus et il compte bien le faire savoir chaque mardi, avec des actions organisées dans les hôpitaux. Avec l'appui des syndicats, il dénonce la surcharge de travail, la déshumanisation des soins et des normes trop contraignantes. Le premier mardi des blouses blanches avait lieu aujourd'hui.


Les infirmiers des soins intensifs subissent une charge de travail excessive



BELGIQUE

Publié le lundi 03 juin 2019

Les infirmiers des soins intensifs subissent une charge de travail excessive
Les infirmiers des soins intensifs subissent une charge de travail excessive - © SISKA GREMMELPREZ - BELGA


D’après une étude effectuée dans 16 hôpitaux de Fédération Wallonie-Bruxelles, les infirmiers des unités de soins intensifs subissent une charge de travail deux fois supérieure à la norme prévue pour le personnel. "La charge de travail est telle qu’un infirmier ne sait s’occuper que d’1,5 patients, alors que la norme prévoit un infirmier pour trois patients", explique Arnaud Bruyneel, l’un des auteurs de l’étude et président de l’association francophone des infirmiers de soins intensifs SIZ Nursing.


Niels Högel, l'infirmier tueur en série qui voulait être un héros

Par    Publié le 04 juin 2019

Berlin (AFP) - En mal de gloire, l'infirmier Niels Högel a tué ses patients en masse et sans état d'âme pour devenir le criminel en série le plus prolifique de l'après-guerre en Allemagne.
"Je dois dire que l'empathie ne jouait pas un grand rôle pour moi à cette époque", a-t-il admis lors de son procès dont le verdict est attendu jeudi.
Il répond de la mort d'une centaine personnes. Lui a systématiquement employé le terme "manipulations" pour qualifier ces meurtres de patients par injection de médicaments.
Depuis 2015, ce père d'une adolescente est déjà condamné à perpétuité, après avoir été reconnu responsable du décès de six patients.
Mais à priori, le nombre réel de ses victimes pourrait être bien plus élevé. La police évoque plus de 200 morts. Selon des codétenus, Niels Högel s'est lui-même sacré "plus grand tueur en série de l'histoire de l'après-guerre".
- "Vraiment désolé" -

mercredi 5 juin 2019

Des seniors initiés au surf dans un Ehpad de Bretagne

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Par
Direction la Bretagne aujourd'hui où des personnes âgées résidant dans un Ehpad ont la possibilité de suivre des cours de... surf !

Il n’y a pas d’âge pour découvrir de nouvelles choses. C’est ce que doivent se dire les pensionnaires de l’Ehpad de la Résidence, situé à Dol-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine).
Le sourire de Christiane, en pleine action sur une vague, accompagnée sur la planche par Hélène.
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COMMUNIQUÉ | 04 JUIN 2019 | PAR INSERM (SALLE DE PRESSE) 

Dormir nous rendrait-il plus créatif ? L’étude des personnes narcoleptiques, qui bénéficient d’un accès privilégié au sommeil paradoxal, pourrait apporter des informations clés pour comprendre ce phénomène. Une équipe associant des médecins de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP et des chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de Sorbonne Université au sein de l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière, en collaboration avec une équipe de l’université de Bologne en Italie, a mis en évidence l’existence d’une plus grande créativité chez les patients atteints de narcolepsie. Les résultats de l’étude suggèrent un lien entre une phase du sommeil particulière, le sommeil paradoxal, et les capacités créatives. Cette avancée importante, publiée dans la revue Brain le 29 mai 2019, ouvre de nouvelles pistes quant à la compréhension des fonctions cognitives du sommeil et des mécanismes de la pensée créative.

La narcolepsie est un trouble rare du sommeil qui touche environ 0.02% de la population générale. Il est caractérisé par des phases de sommeil incontrôlables. Ces endormissements ont la particularité de débuter souvent immédiatement par une phase de sommeil particulière, le sommeil paradoxal, une situation impossible à rencontrer en temps normal.