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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 22 mars 2022

Comment s'informent les adolescents ?

DIFFUSÉ LE 21/03/2022

À retrouver dans l'émission

ÊTRE ET SAVOIR

par Louise Tourret

Twitter, Snapchat, TikTok, Brut... comment les jeunes français s'informent-ils ?
Twitter, Snapchat, TikTok, Brut... comment les jeunes français s'informent-ils ? Crédits : Malte Mueller - Getty

En cette année d’élection présidentielle il était prévu de proposer une émission sur la manière dont les adolescents s’informent sur la politique. La guerre en Ukraine bouscule la programmation et le sujet fait bien plus la une que la campagne électorale. Il est également largement traité dans les médias qui s’adressent au public jeune – alors finalement la question posée dans cette émission est simplement "comment s’informent les adolescents ?", sur ces sujets comme sur d’autres.

Etre et savoir tente d'y répondre en s'appuyant sur les 5 W du journalisme, souvent utilisés pour expliquer les bases de l’information dans l’éducation aux médias : What ? Who ? Where ? When ? Why ?


Essonne. Huit artistes et un collectif questionnent l’animalité de l’Homme dans une exposition

Publié le 

Ce samedi s'ouvre l'exposition collective "Devenir un autre animal" au domaine départemental de Chamarande. Huit artistes et un collectif investissent les espaces du château.

Julien Salaud, Printemps (Cerfaure), 2014. Vue de l’exposition « GAÏA, regards croisés », Musée Mandet, Riom, 01/09/2021-20/03/2022
Photo : Christophe Monterlos
Julien Salaud, Printemps (Cerfaure), 2014. Vue de l’exposition « GAÏA, regards croisés », Musée Mandet, Riom, 01/09/2021-20/03/2022 Photo : Christophe Monterlos (© Julien Salaud, 2022)
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Expertise psychiatrique pour le faux instituteur de Douai

Par Le Figaro avec AFP. Publié le 26 mars 2022

 Le procès d'un homme de 45 ans qui s'était fait passer mardi pour un instituteur remplaçant et avait donné cours dans une école primaire de Douai a été renvoyé vendredi au 29 avril, dans l'attente d'une expertise psychiatrique.


Journées de la schizophrénie : « Je n’ai jamais eu honte de cette maladie. Je n’ai rien fait pour l’avoir ».

Écrit par Clé Arouche   Publié le 

Thomas souffre de schizophrénie. Une maladie psychique qui s’est immiscée dans sa vie à l’adolescence. En France, une personne sur 100 souffre de ce trouble. Les journées de la schizophrénie se déroulent du 19 au 26 mars 2022 pour sensibiliser le grand public à cette question.


Schizophrénie. "Je témoigne pour tous ceux qui sont comme moi, pour ne pas qu’on nous rejette."

Écrit par Catherine Deunf   Publié le 

Elle habite dans les Côtes d’Armor et souhaite se faire appeler Chloé. Pas envie d'être stigmatisée, alors elle préfère un prénom d’emprunt. Chloé a 32 ans et souffre de schizophrénie. Si elle a décidé de témoigner, de raconter son errance médicale, son quotidien, ses voix, ses visions, c’est qu’elle veut qu’on jette un nouveau regard sur cette maladie.

"Je témoigne pour tous ceux qui sont comme moi, pour ne pas qu’on nous rejette." Chloé tire sur sa cigarette électronique et on sent tout le courage qu’il lui a fallu pour oser témoigner à la presse. Comme une bouteille à la mer. Raconter son histoire pour ne plus être vue comme une bête curieuse.

"On est les plus mal aimés de la terre, nous les schizophrènes. On n’est pas dangereux, il y a trop de préjugés." Cette image de menace qui colle à la peau, Chloé la sent décupler dès qu’un fait-divers implique un schizophrène.

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Schizophrénie : 24 millions de personnes dans le monde

Par 20 mars 2022

24 millions de personnes sont touchées par la schizophrénie dans le monde. Ce trouble psy peut avoir des répercussions considérables sur la vie socio-professionnelle, familiale... Pour lutter contre son développement, il faut agir précocement !


lundi 21 mars 2022

Tournai : de nouveaux bâtiments prochainement construits au sein de l’Hôpital Psychiatrique Sécurisé

M.P.   Publié le 

BELGIQUE

L’objectif est d’améliorer la prise en charge des patients par une intensification des soins et une diminution du nombre de patients par unité. Les travaux démarreront à la fin du premier semestre 2023 pour l’occuper en 2026.

Tournai: de nouveaux bâtiments prochainement construits au sein de l’Hôpital Psychiatrique Sécurisé


Un médicament psychédélique, combiné à une thérapie intense, améliore les symptômes du SSPT

Attractive Area

  

Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) touche des millions de personnes chaque année, principalement des survivants et des témoins d’événements terrifiants ou choquants, tels que des guerres, des agressions ou des catastrophes. Parce que les traitements existants ne fonctionnent pas pour tout le monde, de nouvelles thérapies sont nécessaires de toute urgence. Aujourd’hui, les scientifiques rapportent les résultats et les données de suivi d’un essai clinique de phase 3 d’un médicament psychédélique, la 3,4-méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA), connue dans la rue sous le nom d’« ecstasy » ou de « molly », associée à une psychothérapie pour le traitement de SSPT. Leurs données préliminaires suggèrent que la thérapie fonctionne même chez les patients difficiles à traiter, tels que ceux souffrant de troubles liés à la consommation de drogues ou d’alcool.

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Pour une abolition de la contention physique en psychiatrie

 18 MARS 2022

Mathieu Bellahsen  Psychiatre

A l'occasion des Assises citoyennes du soin psychique, des témoignages ont relaté des pratiques de contentions physiques notamment chez des enfants. A l'instar des EHPAD, il est nécessaire d'amplifier la mobilisation pour faire connaître et abolir ces pratiques indignes et les amalgames entretenant leur banalisation.

Imaginons deux situations.

Contention

Dans la première, une personne est attachée par les jambes, les bras, le buste à un lit avec des sangles. Elle est dans une chambre fermée à clé, sans personne autour d'elle. Elle a été mise là, sans son accord. Elle se débat, elle ne comprend pas ce qui lui arrive. Parfois, une ou plusieurs blouses blanches apparaissent. Quand personne ne vient, on lui parle par l'intermédiaire d'un interphone placé en haut d'un des murs de la chambre d'isolement. Dans le pire des cas, en fonction des établissements, une caméra de surveillance « veille » sur elle. Certes, on dira que cela permet de faire avec le manque de personnel mais ça n'arrange pas son syndrome de persécution.

Quand arrivent les blouses blanches, on s'attarde sur son corps, ses constantes vitales, les risques propres à la contention physique, une phlébite, une embolie pulmonaire, un escarre. Cette personne est là, allongée, bloquée. Peu de paroles. Elle ne peut pas arrêter la machine infernale à attacher et enfermer. Sauf si elle se tient « sage » et que le médecin le décide. Dans de rares cas, le juge des libertés et de la détention (JLD) peut ordonner la levée de cette mesure de contention, mesure gravement attentatoire aux libertés et à la dignité de la personne qui y est soumise.

Ce qui se dit alors, c'est le fameux « on ne peut pas faire autrement ». Mais c’est qui ce « on » ? « On » professionnels du soin ? Quand elle existe encore, « on » équipe de soin ? « On »,l’établissement ? « On », nous les citoyens contentionnés humainement, matériellement, psychiquement, politiquement par un système pervers ? « On », les sadiques qui jouissent d’atteindre à la dignité de l’autre et qui se parent des arguments précédents? 

« On », dans une certaine mesure, c’est nous toutes et tous. "On"détourne le regard car nous participons toutes et tous à un système ayant accepté la pénurie et la faisant porter aux premiers concernés, usager.e.s- patient.e.s – psychiatrisé.es, derniers maillons de « l’enchaînement » psychiatrique…

Et si la personne attachée au lit est un enfant ?

Vous savez ces enfants abandonnés et trahis par tant d’institutions… Ces institutions qui n’ont plus pour vocation première de les aider à se développer et à grandir quelques soient leurs difficultés? "On" préfère que ces institutions se développent et grandissent à la place des enfants accueillis. "On" les mutualise et les fusionne. Du coup, cet enfant, il vient d’arriver dans un service de psychiatrie adulte, il n’y a pas ou plus de place en pédo-psychiatrie. « On » a raté toutes les étapes préalables qui auraient pu concourir à déjouer cette situation infernale. Alors« on » commencera par dire de cet enfant qu’il est « un mineur ». "Mineur" et "majeur", c’est plus administratif, plus distancié. Moins de scrupules. Et puis ça se voit à la date de naissance. « On » trouve que c'est moins pénible que de dire  "enfant" et "adulte"… Et puis si c'est mineur, il suffit du consentement des personnes ayant l’autorité parentale pour l’enfermer et l’attacher sans que personne ne puisse rien trouver à y redire.

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« Assistance médicale au suicide : enjeux »

Résumés des présentations et enregistrement de la séance du 8 mars 2022 : « Assistance médicale au suicide : enjeux »







Organisateur : Jean-Pierre Olié

Introduction par Jacques BRINGER

Conférence

Après la loi du 2 février 2016 par Jean LEONETTI (Ancien ministre des Affaires européennes. Maire d’Antibes Juan-les-Pins. Président de la Communauté d’Agglomération Sophia Antipolis)

Communications

De l’euthanasie au suicide assisté : aspects éthiques par Pierre LE COZ (Professeur de philosophie à la Faculté de médecine, Aix-Marseille Université, Laboratoire UMR ADES 7268-EFS-CNRS, Marseille)

Suicide assisté des malades mentaux par Philippe COURTET (Département Urgence et Post-Urgence Psychiatriques, Hôpital Lapeyronie, CHU Montpellier)

Assistance médicale au suicide en fin de vie par Régis AUBRY (Pôle Autonomie – Handicap, CHRU de Besançon. Axe « Éthique et progrès médical » Inserm CIC 1431 / Laboratoire de Recherches Intégratives en Neurosciences et Psychologie Cognitive, Université Bourgogne Franche-Comté, Besançon. Président de la plateforme nationale de recherche sur la fin de vie. Membre du Comité Consultatif National d’Éthique.)

Conclusion par Jacques BRINGER

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Tribunal et psychiatrie : coupable mais pas responsable

19 mars 2022

L’expertise psychiatrique est un moment clé lors des procès devant la cour d’assises. Car c’est alors que sont abordées les questions d’irresponsabilité pénale et d’abolition du discernement.







[...] Avec Daniel Zagury, professeur honoraire de psychiatre, expert près de la cour d’appel de Paris


Des femmes au pouvoir


DES FEMMES AU POUVOIR (10 ÉPISODES)

Présentation d'une Nuit d'archives autour des femmes au pouvoir, proposée par Albane Penaranda.

Avant-garde des femmes allant à Versailles, estampe, Paris, 1789
Avant-garde des femmes allant à Versailles, estampe, Paris, 1789 Crédits :  Gallica, BNF, Domaine public

Nous avons choisi d'intituler cette Nuit Des femmes au pouvoir… et non pas, La ou Les femmes au pouvoir... c'est qu'il ne faudra pas y chercher un hypothétique caractère proprement féminin, une qualité, une sensibilité communes et spécifiques aux femmes qui dicteraient immanquablement leur manière d'exercer le pouvoir. Tout au contraire, l'évocation durant cette Nuit de quelques grands destins de femmes dans l'Histoire, récente ou lointaine, rappellera que l'exercice du pouvoir exige des qualités morales et intellectuelles dont les femmes ne sont ni mieux, ni moins bien pourvues que les hommes. Un truisme qui jusqu'à maintenant semble avoir échappé à l'attention de notre République.

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Vladimir Poutine est-il malade ? "Il faut se méfier des analyses psychopathologiques"


 



Propos recueillis par   Publié le 

Cancers, maladie de Parkinson, troubles psychiatriques… Trois semaines après le début de l’invasion de l’Ukraine, les rumeurs sur l’état de santé de Vladimir Poutine se multiplient. Mais il apparaît difficile de poser un diagnostic en ne disposant que des vidéos et des éléments comportementaux du président russe.



Santé mentale des adolescents : Santé publique France rediffuse et renforce sa campagne #JenParleA

Publié le 14 mars 2022

Après deux ans de pandémie de COVID-19, la santé mentale de toute la population dont celle des enfants et des adolescents reste un sujet de préoccupation. Les dernières données issues du Point épidémiologique mensuel dédié à la Santé mentale le confirment : les indicateurs de souffrance psychique chez les 11-17 ans restaient à des niveaux élevés, comparables voire supérieurs à ceux observés début 2021. 

Dans cette perspective et parce que la santé mentale de la population et notamment des jeunes est un axe prioritaire de la programmation de Santé publique France, la campagne de sensibilisation #JenParleA initiée en juin 2021 se poursuit jusqu’en juin 2022 avec un dispositif digital enrichi et une campagne d’affichage en complément. Le but reste le même : libérer la parole, premier pas vers une recherche d’aide, et inciter les adolescents en situation de mal-être à en parler à une personne de confiance ou à s’adresser au dispositif Fil Santé Jeunes.


Colorado : un psychiatre propose l’aide médicale à mourir en cas d’anorexie mentale « terminale »

 

Publié le 18 Mar, 2022

Le Dr Jennifer Gaudiani, médecin spécialiste des troubles de l’alimentation à Denver, a affirmé dans une revue médicale[1] : « les patients atteints d’anorexie mentale ‘terminale’, gravement compromis sur le plan physiologique et dont les souffrances en fin de vie résultent de douleurs psychologiques et physiques, devraient avoir accès à l’aide médicale à mourir là où elle est légale, comme tout autre patient en phase terminale »Elle exerce dans le Colorado, où l’aide médicale à mourir est légale depuis 2016.

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Semaine du cerveau 2022 à Monaco : l’électrostimulation contre la dépression

Publié le 19/03/2022 

Dans le cadre de la semaine du cerveau 2022 organisée par le Centre Hospitalier Princesse Grace, le docteur David Szekely, chef de service adjoint du service de psychiatrie, a animé une conférence à l’amphithéâtre Lou Clapas dont le thème était le rôle de l’électricité sur le cerveau.


Les conflits au bureau, première cause d’arrêt de travail d’origine psy

Publié

Une étude de l’assurance maladie SWICA montre que les incapacités de travail pour raisons psychiques durent en moyenne environ sept mois et qu’elles sont parfois irrémédiables.



dimanche 20 mars 2022

A l’université de Saclay, le discret diplôme « cannabis » avance sur une ligne de crête

Par   Publié le 20 mars 2022

Lancée en 2021, ce diplôme d’université attire un public varié : médecins, entrepreneurs, pharmaciens, producteurs de chanvre… Ses concepteurs, qui misent sur une évolution de la loi, souhaitent donner davantage d’écho à la recherche scientifique menée dans ce domaine.

Après un « méchant Covid » qui l’a conduit jusqu’en salle de réanimation, Olivier Pons a repris du poil de la bête. Atteint d’une sclérose en plaques, ce médecin généraliste est inscrit dans le diplôme d’université (DU) sur le cannabis médical, piloté par les universités de Saclay et de Montpellier, premier en son genre en France. Un intérêt personnel et professionnel pour ce Montpelliérain, qui se documente et écrit depuis plusieurs années sur la relation patient-soignant, sur les compléments alimentaires ou encore sur le rôle de la méditation. Lui en est convaincu : dans certaines situations et avec une prescription individualisée, le cannabis a des effets « spectaculaires pour certaines pathologies ». Il en fait l’expérience sur sa spasticité, l’une des manifestations de sa maladie : « Il y a une nette amélioration, même si ce n’est pas un miracle. » Avec cette formation, il souhaite continuer à améliorer ses connaissances dans ce domaine, dans une perspective de« prise en charge globale ».

Anxiété: le mécanisme d’action du LSD s’apparente à celui du Prozac

 La voix du sud

Anxiété: le mécanisme d’action du LSD s’apparente à celui du Prozac

MONTRÉAL — La manière dont de faibles doses de LSD combattent les symptômes de l’anxiété s’apparente à celle de certaines classes d’antidépresseurs et d’anxiolytiques fréquemment prescrits, démontrent les travaux d’une chercheuse montréalaise.

Si on savait déjà que des microdoses d’acide lysergique diéthylamide (LSD) jumelées à une psychothérapie pouvaient soulager les symptômes anxieux et dépressifs des patients atteints de graves problèmes psychiatriques ou neurologiques, les mécanismes neurobiologiques responsables de cet effet bénéfique étaient mal compris.

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Quand un suicide cause des dommages à d’autres, qui indemnise ?

Rafaële Rivais  Publié le 19 mars 2022

Les assureurs qui refusent de garantir un sinistre provoqué par un suicide doivent désormais prouver que la personne qui a mis fin à ses jours a eu conscience du dommage qu’elle allait causer à autrui.

L

es familles dans lesquelles une personne s’est suicidée peuvent, en plus de leur peine, craindre de devoir payer de fortes sommes d’argent, lorsque ce suicide a causé des dommages à des tiers (incendie d’un immeuble, déraillement d’un train). Certains assureurs refusent en effet d’assurer ce type de sinistre, en invoquant le code des assurances (article L. 113-1), selon lequel ils ne doivent pas « [répondre] des pertes et dommages provenant d’une faute intentionnelle ou dolosive de l’assuré ».

samedi 19 mars 2022

Une équipe mobile se met en place à Châlons-en-Champagne

 établissement public de santé mentale de la Marne

Une équipe mobile se met en place à Châlons-en-Champagne

14/03/2022

Faciliter l’accès et la continuité des soins psychiatriques à domicile pour des patients sur le secteur châlonnais : telle est la mission de l’Équipe de Soins Psychiatriques Intensifs à Domicile, dénommée ESPID. Les infirmiers y auront toute leur place. L’équipe est en cours de recrutement.

[...]


Des patients du SMPR ont réalisé une fresque murale

07/03/2022

Une fresque murale de 20 mètres de long et de 2,50 mètres de haut a été peinte par 7 patients hospitalisés à l’hôpital de jour du SMPR qui dépend de l’Établissement Public de Santé Mentale de la Marne, avec l’artiste châlonnaise Pauline Brachet.


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Pourquoi la psychiatrie attire moins les étudiants en médecine

Publié 

Actuellement, 30% des postes en psychiatrie ne sont pas pourvus dans les hôpitaux publics, selon la Fédération française de psychiatrie. Notamment parce que cette discipline souffre d'une mauvaise image auprès de nombreux étudiants. 

"Moi aussi, j'ai eu certains préjugés sur la psychiatrie", confesseFranck, 29 ans, interne en psychiatrie dans un hôpital public d'Ile-de-France. Avant de basculer, au début de son internat, de la médecine générale vers cette discipline, il avait "peur d'avoir fait six ans de médecine pour finir par ne plus ausculter". Sauf que le "psy est un médecin comme les autres" qui "sauve aussi des vies", tient-il à rappeler.

Franck n'est pas le seul à avoir eu une vision tronquée de la psychiatrie. Selon une enquête nationale réalisée par l'Association française fédérative des étudiants en psychiatrie (Affep) en 2015, 56% des étudiants en médecine pensent qu'un interne en psychiatrie a probablement des "antécédents personnels psychiatriques" ou qu'il est "bizarre". Une mauvaise réputation qui contribue au manque de psychiatres, faute d'étudiants formés en nombre suffisant.


La santé dans la présidentielle : notre comparateur des programmes

 

Quelles propositions pour les soignants ? Quelle place pour la santé dans les feuilles de route des partis en campagne ?  Infirmiers-com, en collaboration avec d’autres rédactions spécialisées, vous propose un comparateur dynamique des programmes des principaux candidats à cette élection. Études, déserts médicaux, hôpital, santé publique/prévention, dépendance/grand âge, interprofessionnalité/numérique : ces grandes questions sont passées au crible par nos journalistes et actualisées au fil des annonces et des débats.

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La liste des actes propres à l’exercice IPA s’allonge

17/03/2022

Un arrêté publié ce mercredi 16 mars allonge la liste des actes techniques que l’infirmier en pratique avancée (IPA) est autorisé à réaliser sans prescription médicale, ainsi que celle des dispositifs médicaux qu’il peut prescrire. Le texte prévoit aussi des dispositions propres aux IPA « urgences ».

L’arrêté publié le 16 mars au Journal officiel enrichit la liste des actes techniques, fixée par l’arrêté du 18 juillet 2018, que l’IPA « est autorisé à effectuer sans prescription médicale et, le cas échéant, à en interpréter les résultats pour les motifs de recours ou les pathologies dont il assure le suivi ». L’IPA pourra, par exemple, réaliser une échographie de vessie, un échoguidage des voies veineuses périphériques difficiles, poser une sonde gastrique, réaliser un toucher rectal, une anesthésie locale et topique, poser une oxygénothérapie (< 15l/mn), etc.


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Après le départ du directeur, qui pour diriger l'hôpital psychiatrique de Caen ?


 




Par Margaux Rousset  Publié le 

Le directeur de l'Établissement public de santé mentale de Caen (Calvados) prend sa retraite. Qui va lui succéder ?

EPSM Caen

Le directeur de l'EPSM prend sa retraite. Qui va assurer sa succession ? ©Margaux ROUSSET

Il y a du changement à l’EPSM (Etablissement public de santé mentale) de Caen (Calvados). Le directeur, Jean-Yves Blandel, prend sa retraite en cette mi-mars 2022. La question qui se pose est de savoir qui prendra sa succession. En tant qu’établissement de soins psychiatriques, l’EPSM est en très grande majorité financé par l’ARS (Agence régionale de santé).

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