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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 11 septembre 2014

Le bras de fer entre la maman d'un adolescent autiste et son école

Le Monde.fr Par 
Capture d'écran d'une vidéo Youtube montrant Timothée, 15 ans, se voir refuser l'accès au collège dans lequel il est inscrit, le 3 septembre.
« Mon fils est inscrit dans cet établissement, c’est un droit fondamental d’être scolarisé, vous n’avez pas le droit de le refuser ! », tempête une mère devant les grilles du collège de la Tourette de Lyon (1er arrondissement), tandis que le proviseur, devant elle, affirme qu’il ne peut pas faire entrer l'adolescent. La scène, filmée par Maryna Zholud, la mère de Timothée, 15 ans, se déroule mercredi 3 septembre, jour de la rentrée en 4e de son fils autiste. Postée le lendemain sur Youtube, la vidéo comptabilisait plus de 175 000 vues jeudi 11 septembre. Et suscitait de vives réactions sur les réseaux sociaux. « C’est indigne », « scandaleux », « une honte », « ras le bol de ces injustices », peut-on ainsi lire sur la page Facebook créée par une amie de la mère de Timothée, qui avait récolté près de 3 000 soutiens le 11 septembre.
Derrière le buzz et l’émotion, l’histoire complexe. Depuis 2011, Timothée est scolarisé au collège public de la Tourette, en milieu ordinaire, alors que la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) chargée d’émettre des recommandations sur son orientation préconise pour lui un établissement spécialisé. « La mère de Timothée veut que son fils vive en société, qu’il ne soit pas marginalisé ou parqué dans une garderie », justifie l’avocate de Mme Zholud, Sophie Janois. D’ailleurs, il n’y a aucune classe réellement adaptée aux besoins spécifiques des autistes dans l’académie [de Lyon] », assure-t-elle.

Selon cette avocate spécialiste de l’autisme, la loi de 2005 impose à l’établissement de la Tourette d'ouvrir ses portes au plus vite à Timothée. Mais son cas est complexe : le jeune garçon a besoin de l’accompagnement d’un assistant de vie scolaire (AVS), que le collège ne peut pas obtenir car la MDPH n’en a pas fait la demande, puisqu’elle préconise une scolarisation en milieu spécialisé.

Toiles sous Toile 3ème Festival de Cinéma Documentaire

Bonjour,

Vous trouverez ci-joint la programmation de la manifestation Toiles sous Toile. Celle-ci a été confectionnée avec les ateliers de programmation menés cette année au Centre Social de l'Orange Bleue et au Centre Social de la Dhuys de Clichy-sous-bois. 

J'attire particulièrement l'attention des professionnels de la santé mentale sur les films LAME DE FOND, LETTRE A LOU et également le portrait de FRANCIS JEANSON (Vous pouvez voir les trois films à la suite dans la même journée en prévoyant votre pique-nique - Le bar sera ouvert pour les boissons).

Toutes les séances sont gratuites. Il est impératif de réserver si vous venez en groupe.

Au plaisir de vous rencontrer au chapiteau.

Très cordialement.

Nathalie Joyeux
Cinéaste
Responsable de Toiles sous Toile
01 43 02 19 64









Où l’on reparle du bracelet électronique en psychiatrie

11/09/2014




L’intrusion d’interventions technologiques s’avère « de plus en plus fréquente en psychiatrie », mais peut soulever « des préoccupations éthiques et des controverses. » C’est notamment le cas de la surveillance électronique, présentée par ses promoteurs comme une « aide à la sécurité publique dans un cadre médico-légal », mais dénoncée au contraire par ses détracteurs comme susceptible de « provoquer un malaise important, voire des troubles psychologiques. » On se souvient ainsi du débat, voilà quelques années, sur le port éventuel du bracelet électronique par des malades mentaux[1]. Cette proposition d’élargir son usage (hors du contexte judiciaire vers des indications psychiatriques) a été rejetée en France où les psychiatres pensent généralement que sa présence pourrait susciter « des angoisses massives, une dépersonnalisation, une transformation de l’image corporelle, voire un risque d’automutilation pour se débarrasser du bracelet. »

Suicide chez les jeunes : des séances chez le psychologue gratuites

Raphaëlle BESANÇON 10 Septembre, 2014
afp.com/Frederick Florin
Photo : afp.com/Frederick Florin

Chez les moins de 24 ans, 500 jeunes se donnent la mort chaque année. L’association Phare Enfant-Parent et la CPAM profitent de cette journée mondiale de prévention du suicide pour lancer un dispositif à Paris permettant aux moins de 18 ans d’avoir accès à des rendez-vous gratuits chez le psychologue. Trois questions à Sylvie Juishomme, psychologue depuis 20 ans à Paris, participant au dispositif.

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Victoire pour la maternité des Lilas

L'Humanité.fr avec l'AFP 10 Septembre, 2014
Photo :  Pierre Pytkowicz
Manifestation du personnel des Lilas, en janvier 2014, pour la reconstruction de la Maternité des Lilas aux Lilas...
Photo : Pierre Pytkowicz

La lutte pour le maintien et la modernisation de la maternité des Lilas en Seine-Saint-Denis a payé. Le projet de transfert au centre hospitalier de Montreuil, qui suscitait une forte opposition des personnels et de personnalités politiques, a été abandonné.
"L'abandon du projet de délocalisation de la maternité à Montreuil nous a été annoncé par Claude Evin", directeur général de l'Agence Régionale de Santé (ARS) d'Ile-de-France, a indiqué Madeline da Silva, présidente de l'association Naissance et membre du collectif de soutien au maintien de la maternité aux Lilas.
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Un avant-goût de télépathie grâce à la stimulation magnétique transcrânienne

13/09/2014

Télépathie : « transmission de pensée d’une personne à une autre en dehors de toute communication par les voies sensorielles », selon le dictionnaire Larousse. L’expérience menée au printemps dernier par des chercheurs américains (Harvard Medical School), espagnols (université deBarcelone) et français (société Axilum Robotics) s’en rapproche plus que jamais.
Pour la première fois, ils sont parvenus à communiquer de cerveau à cerveau, sans utiliser les cinq sens, un message codé en binaire entre deux individus séparés par des centaines de kilomètres (l’un en Inde, l’autre à Strasbourg). Leurs travaux, menés sur deux ans, ont été publiés le 14 août dans la revue PLOS ONE.
Les chercheurs ont eu recours à une interface cerveau-machine classique pour « lire » la pensée de l’émetteur. Un casque d’électrodes mesure l'activité électrique de ses neurones lorsqu'il se concentre sur des actions à réaliser (bouger les mains, les pieds). Ces ordres cérébraux sont associés à un code binaire  (0 ou 1) par un ordinateur. Lors de l'expérience, le sujet devait penser « bouger la main » pour émettre un 1, bouger le pied pour un 0. En répétant ce processus, il pouvait produire une séquence binaire (140 bits au total) correspondant au message à transmettre (les mots « ciao » et « hola »). Il était ensuite expédié par courrier électronique à Strasbourg.
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Source : PLOS ONE

Médecine des comportements et prescription verte

Paris, le samedi 13 septembre 2014 – « Est-ce que vous mangez entre les repas ? ». « Il faudrait vous arrêter de fumer ». « Pensez à marcher un peu plus ». Face aux patients présentant manifestement des comportements évitables grevant leur espérance de vie, les recommandations des praticiens se limitent le plus souvent à ces petites phrases lénifiantes, à l’exception de cas marqués (obésité morbide, dépendance à l’alcool) face auxquels une véritable « prescription » est mise en œuvre. Manque de temps, désillusion quant à l’efficacité d’une telle démarche, réserve face à des méthodes qui n’auraient pas été validées scientifiquement, primauté accordée à la prise en charge médicamenteuse et thérapeutique, absence de reconnaissance financière et méconnaissance des techniques « relationnelles » qui permettraient aux mots d’avoir une réelle influence sur les « mauvaises habitudes » sont autant de raisons qui dissuadent les praticiens de se lancer dans ce que le professeur Patrice Couzigou, hépatogastroentérologue nomme la « médecine des comportements ». Pourtant, les promesses de cette dernière sont bien réelles tant pour les patients que pour la relation médecin malade ou encore l’aura de la médecine générale, victime d’une importante crise de vocation. Telle est tout au moins l’opinion enthousiaste de ce praticien qui évoque pour nous les freins à la médecine des comportements et ses enjeux et qui nous propose un mode d’emploi de la « Prescription verte ». Une vision peut-être un peu utopique mais qui se propose de « réenchanter » les soins. Une perspective pas si négligeable par les temps qui courent.
Par le Professeur Patrice Couzigou (Hépatogastroentérologue )*
Plus de la moitié des causes de mortalité dites évitables (avant 65 ans) sont d’origine comportementale : tabagisme y compris passif, consommation excessive d’alcool, surpoids et obésité, inactivité physique et sédentarité. La maitrise de ces quatre facteurs de risque accroit l’espérance de vie, souvent de plus de 10 ans (1,2) ! Et pourtant, les médecins ne se sentent pas vraiment impliqués : en consultation le seul repérage de ces quatre facteurs de risque est loin d’être pratiqué de manière systématique, sans parler de leur prise en charge. Les personnes malades (ainsi que la population générale et souvent les soignants) considèrent qu’il s’agit de simple prévention… sans réaliser vraiment  que la maitrise dite préventive de ces facteurs augmente souvent davantage l’espérance de vie que des traitements médicamenteux. Et, en  France, la dépendance médicamenteuse reste très forte, l’obésité technologique s’accroit. L’écologie interne devrait pourtant se développer, au même titre que l’écologie externe !

Amour et…antidépresseurs

03/09/2014


Depuis plusieurs années, l’usage des antidépresseurs (et en particulier celui des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, ISRS) a augmenté, au point qu’ils représentent désormais « l’un des types de médicaments les plus prescrits » rappellent les auteurs d’une étude réalisée à l’Université de Pise (Italie) sur l’impact possible des antidépresseurs en matière de relations amoureuses.
Portant sur 192 patients ambulatoires déprimés (123 femmes et 69 hommes) âgés en moyenne de 41,2 ans (± 10,2 ans) et souffrant d’une dépression « légère ou modérée » selon les critères du DSM-IV révisé, cette étude explore les « changements éventuels de certaines caractéristiques des relations amoureuses » chez des sujets traités sur une longue durée (six mois ou plus) par un médicament antidépresseur (soit un ISRS, soit un tricyclique). Cette évaluation est réalisée au moyen d’un test conçu précisément à cet effet (le questionnaire « Sexe, Attachement et Amour »).
Les auteurs observent que les ISRS ont un « impact négatif significatif sur les sentiments d’amour et d’attachement au partenaire. » Ce constat concerne surtout les hommes qui disent ressentir moins de crainte qu’auparavant à l’idée de perdre leur partenaire et moins disposés à rechercher son soutien, à lui faire confiance, à échanger des idées et des sentiments…alors que les femmes sous antidépresseur tricyclique « se plaignent davantage d’effets latéraux sur leur sexualité » (dans le sens d’une « baisse d’intérêt » à ce propos). Ces effets indésirables du traitement antidépresseur sur l’amour semblent dépendre de la durée de la relation amoureuse ou sexuelle : ils sont plus marqués en cas de relation récente (<12 alors="" an="" ancienne="" moins="" mois="" p="" para="" plus="" qu="" relation="" sensible.="" t="" un="" une="">
 Ces données suggèrent une « interaction significative » entre le traitement contre la dépression et la vie amoureuse et sexuelle. Mais, précisent les auteurs, si ces résultats confirment « l’effet des antidépresseurs sur certaines composantes des relations amoureuses », l’étude de cette incidence doit être approfondie dans des recherches complémentaires. On peut aussi s’interroger sur la part du phénomène réellement imputable à un effet indésirable du traitement antidépresseur, et celle liée aux conséquences propres de la dépression sur la libido et la vie psychique, lesquelles motivent précisément la prescription de ce traitement antidépresseur.
Dr Alain Cohen


RÉFÉRENCES
Marazziti D et coll.: Dimorphic changes of some features of loving relationships during long-term use of antidepressants in depressed outpatients. J Affect Disord. 2014; 166: 151–155.

« Les applications de la réalité virtuelle en psychiatrie légale »

QUEBEC 11 sept. 2014

« Les applications de la réalité virtuelle en psychiatrie légale »

C’est avec grand plaisir que nous vous invitons à assister, dans le cadre des Relais scientifiques de l’Hôpital Rivière-des-Prairies, à la conférence intitulée :
« Les applications de la réalité virtuelle en psychiatrie légale»
Conférenciers :
Patrice Renaud, PhD, Psychologue et Tarik Boukhalfi, Ing.
Cette présentation portera sur les applications de la réalité virtuelle en psychiatrie légale. Les conférenciers présenteront les activités de recherche du laboratoire Applications de la réalité virtuelle en psychiatrie légale (ARViPL), de même que les différentes méthodologies et technologies y étant utilisées.

mercredi 10 septembre 2014

Hélène Erlingsen-Creste (2014) : L'abîme carcéral

Une femme au sein des commissions disciplinaires 
 
Saviez-vous qu’il existe, dans chaque prison, une pièce où l’on sanctionne les détenus qui commettent des fautes pendant leur incarcération ?
Les commissions de discipline, où siègent surveillants et directeurs de la pénitentiaire, en présence d’avocats, sont le dernier bastion encore inconnu du grand public.
Depuis 2011, un « citoyen-assesseur », issu de la société civile, y participe et, pour la première fois, l’un d’eux témoigne.
Hélène Erlingsen-Creste nous raconte comment les détenus se défendent, tout en parlant de leur quotidien.

" Infirmier soignant un blessé allemand, reconnaissance boche "

1914-1918
Carte postale de propagande alliée représentant un infirmier soignant un officier allemand qui le tue ensuite. 


LES ENFANTS DE LA ROSE VERTE

Un document sur le traitement des enfants et des adolescents autistes.

Qui soigne-t-on, que soigne-t-on, comment ça soigne ? Comment communique-t-on avec des enfants qui ne parlent pas ou peu, qui semblent indifférents à la relation humaine quelle qu'elle soit ? Comment l’enfant autiste peut-il sortir de sa bulle ? Comment les parents vivent-ils la souffrance de leur enfant et la thérapie au long cours dont il bénéficie ? 

Dans un hôpital de jour d’un secteur de pédopsychiatrie, nous avons filmé librement les enfants et leurs soignants dans leurs activités thérapeutiques et éducatives, ainsi que des parents.

Sortie nationale le mercredi 24 septembre 2014 :
Au Cinéma La Clef, 34 rue Daubenton à Paris (75005).
Projection de presse le jeudi 4 septembre 2014, à 10h30 au Cinéma Le Lincoln, 14 rue Lincoln à Paris (75008).
Merci de demander votre invitation auprès de 
François Vila, attaché de presse,
au 01 43 96 04 04 / 06 08 78 68 10 ou à l'adresse francoisvila@aol.com
Ou télécharger le carton d'invitation ICI.


LA CLINIQUE DU DOCTEUR BLANCHE

vendredi 12 septembre à 20h50 (93 min)

 Rediffusion vendredi 26.09 à 3h10
Au milieu du XIXe siècle, Émile Blanche, aliéniste comme son père, prend sa succession et s’essaie à de nouvelles méthodes... Un téléfilm inspiré, porté par ses acteurs (de Stanley Weber à Grégoire Leprince-Ringuet, en passant par Serge Riaboukine et Bruno Lochet), qui restitue les débats de la psychiatrie de l’époque.

LE MAL DE VIVRE

vendredi 12 septembre à 23h20 (54 min)

 Rediffusion mercredi 24.09 à 2h35
Comment faire face au suicide d’un proche, ou à sa propre volonté de mourir ? Souvent lié à des états dépressifs ou à des troubles psychiques, ce profond et intime mal de vivre demeure difficile à endiguer. Un documentaire qui aborde avec pudeur un sujet encore largement tabou.

mardi 9 septembre 2014

L’appli de l’infirmier

Nouvelle génération d’application : 3 fonctions pour exploiter et personnaliser votre application... 1. Consulter – 2. Créer – 3. Exporter/réceptionner
Loïc CADIOU | Laurent FACON | al.


Prix de lancement jusqu’au 31 octobre 2014 : 7,99 € au lieu de 14,99 €
Nouvelle génération d’application : 3 fonctions
pour exploiter et personnaliser votre application
1. Consulter – 2. Créer – 3. Exporter/réceptionner

« L’appli de l’infirmier » est destinée aux étudiants en soins infirmiers (ESI) et aux infirmiers diplômés d’État (IDE). En cours, en stage, en ville, en clinique ou à l’hôpital (pré et intrahospitalier), « L’appli de l’infirmier » organisée en 3 rubriques liées (Items A-Z, outils, AFGSU) propose un accès rapide et simple aux informations utiles et indispensables liées aux activités de l’infirmier au quotidien (médicaments, anglais/français, alimentations, scores, échelles, douleurs, réparations aux examens, valeurs biologique, calculs de doses et de débit)…
En plus du mode de consultation traditionnelle, cette nouvelle génération d’application permet la création de fiches automatiquement hiérarchisées et aussi, l’exportation et/ou la réception de fiches vers et/ou venant d’autres utilisateurs.

1. La consultation en 3 rubriques (hors connexion)
La rubrique « Items A-Z » organisée par ordre alphabétique présente 60 fiches enrichies de tableaux et de photos. Liste non exhaustive de la rubrique :

lundi 8 septembre 2014

Maladie d'Alzheimer : entretien avec l'infirmier coordinateur d'A Spannata à Ajaccio

08/09/2014

(Michaël Andreani - Alta Frequenza) - Nouvel éclairage sur l’association A Spannata, et plus particulièrement sur l’UADJ, l’Unité d’Accueil de Jour qui porte le même nom. Celle-ci, située dans les locaux de l’ADMR à Ajaccio, reçoit des personnes touchées par la maladie d’Alzheimer et autres maladies apparentées. Cette structure, financée par le Conseil Général et l’Agence Régionale de Santé, dispense à ses bénéficiaires des activités thérapeutiques non médicamenteuses afin de maintenir au mieux les possibilités cognitives de ces derniers. Une unité qui vient également en aide aux aidants et aux familles, qui peuvent trouver ainsi une épaule sur laquelle se reposer.
Après la présidente d’A Spannata, écoutez l’infirmier coordinateur Bernard Di Scala.

Autonomie : Touraine mise sur le maintien à domicile, lors d’une visite d’un foyer logement

 08/09/2014

Alors que doit démarrer mardi 9 septembre l’examen du projet de loi sur l’autonomie à l’Assemblée nationale, la ministre de la Santé Marisol Touraine a visité ce lundi le foyer-logement pour personnes âgées du Clos Lamotte, au Pré Saint Gervais (Seine-Saint-Denis).
Ce foyer, créé en 1976 initialement pour offrir un cadre de vie proche de Paris aux jeunes retraités, représente aujourd’hui un modèle d’adaptation de la société et de l’habitat au vieillissement : 73 logements disponibles à la location, des possibilités de restauration et d’animation, et des jeunes médecins disponibles 24h/24.

L’Italie autorise la production du cannabis à des fins thérapeutiques

 08/09/2014
Crédit photo : AFP
L’adoption la semaine dernière d’un dispositif gouvernemental autorisant la culture du cannabis à des fins thérapeutiques, a brisé un tabou qui pénalisait les patients et plombait les comptes de la sécurité sociale italienne.
« Il ne s’agit pas de libéraliser la marijuana mais de faire preuve d’ouverture d’un point de vue pharmacologique et médical », a toutefois souligné la ministre de la Santé, Beatrice Lorenzin. Selon l’accord peaufiné à la fin de l’été par les ministères de la Défense et de la Santé, seule l’armée pourra cultiver la marijuana et dans des conditions particulières.