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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 27 avril 2012


Réponse ouverte de parents d’enfants autistes aux journalistes, philosophes et psychanalystes

Pour une vraie liberté d’expression et d’opinion, en réponse à :
Bernard Golse (Magazine de la Santé, France 5, 14/02)
Jean-Claude Maleval (Lacan Quotidien le 15/02)
Jean-François Rey (Le Monde du 22/02)
Le Parti Communiste Français (L’Humanité du 13/02)
Le Collectif des 39 et le Cercle Freudien (communiqué du 22/02)
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Les antidépresseurs chez l'enfant en débat


Les antidépresseurs chez l'enfant en débat

Par figaro icon Aude Rambaud - le 22/02/2012
Une étude doute du risque de suicide lié à l'absorption de ces médicaments. Mais, selon les spécialistes, leur usage doit rester très limité.
L'utilisation des antidépresseurs chez les enfants et les adolescents est un art difficile. Depuis quelques années, la prescription de ces médicaments chez les enfants fait l'objet d'une mise en garde sérieuse, certaines études ayant mis en évidence un risque de suicide accru chez ceux ainsi traités.
Une nouvelle étude américaine publiée le 6 février dernier dans The archives of General Psychiatry sur ce sujet se veut plus rassurante. Les auteurs ont réétudié quatre essais cliniques portant sur l'administration de fluoxétine chez des enfants et des adolescents et montrent, en intégrant différents critères d'évaluation, qu'il n'y a finalement pas de relation significative entre ce traitement et les idées et comportements suicidaires chez les 7-18 ans, même en cas d'efficacité du médicament sur les symptômes dépressifs.
Aucune étude ne permet aujourd'hui de prouver le lien de cause à effet entre un antidépresseur et le risque suicidaire mais, en l'état actuel des connaissances, «il est déconseillé de prescrire un antidépresseur en première intention à un mineur, clarifie le Pr Marie-Michèle Bourrat (Limoges), présidente de la Société française de psychiatrie de l'enfant, de l'adolescent et des disciplines associées, notamment en raison des effets indésirables de ces molécules: risque cardiaque, céphalées, insomnies, désinhibitions, etc.». La psychothérapie reste la référence.

Des consultations en urgence

Dans certaines situations très précises de dépression majeure, la prescription demeure possible mais «doit être très raisonnée et effectuée par un spécialiste pour une évaluation rigoureuse de l'état du patient. Des consultations en urgence sont proposées pour cela dans des centres de psychiatrie», insiste-t-elle.
En outre, «c'est tout un ensemble de mesures de soins et d'accompagnement, pouvant inclure le traitement antidépresseur, qui va créer des conditions de sécurité et de confiance, pour essayer de prévenir au mieux les éventuels risques de passage à l'acte», renchérit le Pr Jean-Philippe Raynaud, chef du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent au CHU de Toulouse.
Cette nouvelle étude ne serait pas dénuée de critiques. «C'est une erreur scientifique d'intégrer dans un même échantillon des jeunes de 7 à 18 ans,précise le Pr Maurice Corcos. Les enfants et les adolescents ont des comportements et des réponses très différentes aux traitements et chaque individu réagit lui-même de façon indépendante à la maladie ou à sa prise en charge au sein de chaque tranche d'âge. Chez la personne âgée, la dépression est un facteur de risque majeur de suicide mais chez l'adolescent c'est beaucoup plus complexe. Les facteurs individuels psychologiques et environnementaux sont prédominants. Des jeunes non dépressifs se suicident par exemple sans crier gare.»
En 2004, l'analyse des effets indésirables de 25 études cliniques portant sur huit antidépresseurs de la classe des inhibiteurs de recapture de la sérotonine utilisées dans différentes tranches d'âges avait interpellé l'Agence américaine du médicament. Elle révélait une augmentation du risque d'idées et de comportements suicidaires chez les mineurs ayant pris ces traitements, même si aucun passage à l'acte n'avait été à déplorer. Deux ans plus tard, l'agence étendait son alerte aux jeunes adultes jusqu'à 25 ans.

Un effet paradoxal

Branle-bas de combat outre-Atlantique. Des médicaments censés réduire le risque de suicide et qui semblent au contraire l'augmenter! L'Agence américaine du médicament a alors imposé à tous les fabricants un gros cadre noir appelé black box warning sur les notices, signifiant clairement ce risque aux utilisateurs. Selon l'Agence du médicament américaine, ces médicaments augmenteraient le risque d'idées suicidaires entre 8 et 18 ans, voir 25 ans, y compris en cas de bénéfice sur les symptômes dépressifs. Cet effet, qui peut sembler paradoxal, est montré du doigt depuis 2004.
En 2006, l'Agence française du médicament émet ses propres recommandations et déconseille l'usage des antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de sérotonine à l'exception de la fluoxétine dans le traitement de la dépression chez l'enfant et l'adolescent en raison d'un risque de comportement suicidaire (idées suicidaires, tentatives de suicide) et/ou hostile (agressivité, comportement d'opposition, colère). «Les antidépresseurs sont théoriquement susceptibles d'augmenter le risque d'idées et de gestes suicidaires en début de traitement en raison de la levée de l'inhibition liée à la maladie. Les patients sortent d'une phase de ralentissement psychique et physique et cela peut expliquer un passage à l'acte», explique le Pr Maurice Corcos, chef du département de psychiatrie de l'adolescent à l'Institut Montsouris, à Paris.




Bordeaux

Demain, une journée rendra hommage au psychiatre et psychanalyste bordelais.

Michel Demangeat sera évoqué aujourd'hui, de 9 heures à 18 heures.

Michel Demangeat sera évoqué aujourd'hui, de 9 heures à 18 heures. (photo archives « sud ouest »)

Ceci est une journée en forme d'hommage certes, mais qui sera aussi l'occasion de nouvelles questions, d'autres défis à poursuivre, d'autres travaux à prolonger. Michel Demangeat, psychiatre et psychanalyste bordelais, est mort l'année dernière, à l'âge de 83 ans. Demain vendredi, à l'Athénée municipal de Bordeaux, entre 9 et 18 heures, ses pairs viendront évoquer sa mémoire, et poursuivre son itinéraire.
Michel Demangeat, psychiatre, a fait sa formation analytique avec Lacan et fut tout au long de sa vie un précurseur. « Il a été la cheville ouvrière de la création du premier hôpital de jour pour malades mentaux en 1972.
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L’insertion pour fil rouge
le 19/04/2012 

Les salariés de l’Atelier du Coin Montceau réalisent des affiches  sur le cinéma, pour une exposition prochaine à Dijon.  Photo C.R.
Les salariés de l’Atelier du Coin Montceau réalisent des affiches sur le cinéma, pour une exposition prochaine à Dijon. Photo C.R.
Créé en 1992 sous l’impulsion de l’équipe de psychiatrie de la Société de secours de Bourgogne et d’artistes peintres de l’association Malin plaisir, l’Atelier du Coin a tout d’abord accueilli des personnes atteintes de maladies psychiques.
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Un souvenir d’incendie

La psychanalyse se consacre à la libération psychique individuelle ; mais la découverte des craintes, des désirs, des fantasmes n’est pas sans influence sur la perception des valeurs communément admises et du bien-fondé des hiérarchies dominantes. Elle contribue ainsi à un affranchissement des modèles politiques considérés comme la seule réalité possible.
par Max Dorra, avril 2012
La lutte des classes a-t-elle un contenu latent 
Henri Lefebvre, Le Manifeste différentialiste
Tout pouvoir repose, en dernière analyse, sur la capacité d’angoisser, d’infantiliser. De réactiver une peur, celle éprouvée face à l’autre,l’étranger. Le jugement de valeur qu’un autre porte sur nous — son attitude, sa mimique, à l’évidence l’expriment — peut en effet provoquer notre angoisse. De son appréciation, de l’estime qu’il nous porte, du crédit qu’il nous accorde dépendra pendant le temps de l’échange (appréciation, estime, crédit, échange : l’économie, on le voit, hante les mots) notre force d’exister, de persévérer dans notre être. Bref, notre accès à la banque du sens.
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Pour des usagers de la psychatrie acteurs de leur propre vie.




Pour des usagers de la psychatrie acteurs de leur propre vie.
Rétablissement, inclusion sociale







Auteur :  |  |

Editeur : ERÈS

Année : 03/2012

Les trois notions, rétablissement, inclusion sociale et empowerment, créent un nouveau paradigme qui situe l'usager de la psychiatrie comme moteur de sa  propre vie, au sein d'une collectivité dans laquelle il est citoyen à part entière et où les services de santé mentale se donnent les moyens de soutenir son autonomie plutôt que de perpétuer son rôle traditionnel de « patient ».
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Freud et ses tapis...
Freud et ses tapis...© ANN RONAN PICTURE LIBRARY / PHOTO12

Un tapis sur le divan de Freud, une histoire pour un objet


"Le rêve dans un tapis" est le nom d'une exposition proposée au musée départemental de Labastide Rouairoux, jusqu'à la fin du mois de mai. Le fil conducteur choisi est un certain Freud...

Voici donc une histoire psychanalytique du tapis... ou presque. La commissaire de cette exposition, Anne Deguelle, artiste plasticienne, a choisi pour évoquer cet objet de prendre celui qui lui paraissait le plus emblématique : le tapis qui ornait le divan de Freud dans son bureau de Londres. Il en existait justement un dans le fond du musée départemental. Il s'agissait d'un tapis des nomades Qashquai, au style orné de décors végétaux et animaliers, dans un univers onirique. La scénographe trouvait le lien entre ce tapis et le monde des rêves explorés par le père de la psychanalyse intéressant. Elle a donc mené son exposition dans ce sens, avec des rêves représentés en sons et en images sublimatives.

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Suicide d’enfants : les psys évoquent des «responsabilités au pluriel»
le 23.03.12 
Le suicide des trois enfants âgé de 11 et 12 ans, dans la wilaya de Tizi Ouzou, en l’espace de 48 heures, a remis sur table le manque d’infrastructures sanitaires, en particulier psychologiques au niveau des établissements scolaires.

Le suicide est un acte commis par une seule personne, mais la responsabilité est partagée entre les proches, l’école, la société et les médias, estime le docteur Mustapha Bouzidi, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent et enseignant à l’université de Tizi Ouzou. Pour lui, on ne peut parler de coupable lorsqu’il s’agit d’un suicide, mais de «responsabilités au pluriel». Mieux vaut prévenir que guérir. Et la prévention est l’affaire de tous, insiste le psychiatre. «Aujourd’hui, l’enfant est ‘‘confié’’ à la télévision, internet et les jeux électroniques, sources de violence. Les parents doivent surveiller leurs enfants et les faire suivre chez un psychologue s’ils jugent leur cas compliqué. L’école également doit mettre du sien et se doter d’équipes pluridisciplinaires pour assurer un suivi psychologique des enfants en difficulté», conseille Dr Bouzidi.

Cet évènement tragique n’est pas un cas isolé ni une nouveauté. «Le suicide d’adulte semble ne pas susciter l’intérêt des concernés, à savoir les spécialistes et professionnels de la santé, pour effectuer des études approfondies et des statistiques afin de déceler les raisons et les solutions de ce phénomène. Encore moins le suicide d’enfants qui prend de l’ampleur et qui, faut-il le préciser, n’est pas propre à Tizi Ouzou», affirme le psychiatre. La difficulté de recenser les cas de suicide d’enfants revient, selon Mahmoud Boudarene, psychiatre dans la même wilaya, aux procédés entrepris par les enfants suicidaires. «Généralement, les accidents de voiture ou les chutes sont considérés comme des accidents alors qu’en réalité, certains sont l’œuvre de la victime elle-même. Un enfant peut se jeter sur une voiture ou dans un puits pour mettre fin à ses jours.

Mais dans les trois derniers cas, le suicide a vite été avéré grâce au procédé peu habituel chez l’enfant, qui est la pendaison», explique Dr Boudarene. Par ailleurs, nos deux interlocuteurs s’accordent à dire que les hypothèses avancées jusque-là, quant aux raisons de ces actes fatals, expliquent ce geste par l’échec scolaire. Or, ce dernier ne peut être le seul facteur, car une goutte ne fait déborder qu’un vase déjà plein.      

Lamia Tagzout

La psychiatrie est-elle le propre de l’homme ?
Publié le 07/03/2012
« Le rire est le propre de l’homme » prétend Rabelais. Dans quelle mesure cet aphorisme (déjà transposé au langage par Descartes) est-il extrapolable aussi à la psychopathologie ? Autrement dit, les professions de vétérinaire et de psychiatre sont-elles résolument irréductibles entre elles ?
The British Journal of Psychiatry analyse un ouvrage récent, fruit d’une collaboration entre un neuropsychiatre et un biologiste de l’évolution. Les auteurs observent qu’on peut retrouver dans plusieurs espèces animales les équivalents de certains troubles psychiatriques chez l’homme (comme « la dépression ou la simple phobie »), mais qu’il n’en est pas de même pour des problématiques plus complexes comme la schizophrénie, l’autisme, les troubles bipolaires, ou les démences fronto-temporales [1] qui se révèlent apparemment des affections « propres à l’espèce humaine.»
On doit naturellement s’interroger alors sur cette spécificité présumée : pourquoi le genre humain aurait-il ce douteux privilège d’éprouver ces troubles psychiatriques (qualifiables en somme de «supérieurs ») ? Comprendre les mécanismes de cette spécificité pourrait nous renseigner sur les particularités du cerveau humain et « apporter un nouvel éclairage sur les troubles neuropsychiatriques. »
S’appuyant notamment sur les neurosciences, les auteurs rattachent plusieurs maladies mentales spécifiques de l’homme à la « nature exclusivement humaine de certains systèmes neuronaux comme ceux de la conscience de soi (self-monitoring), du langage, et de l’intégration sociale. » On peut bien sûr contester cette spécificité, dans la mesure où il existe également des langages (non verbaux) et des sociétés chez maintes espèces animales, mais l’acuité et la coexistence de ces critères semblent propres à l’humanité. On doit aussi rappeler que des comportements étranges, voire « suicidaires », sont observés chez certains animaux (par exemple le gammare [2], ou la coccinelle [3]). Le commentateur regrette toutefois que cet ouvrage « n’apporte pas d’idée nouvelle », mais consiste seulement dans un « réarrangement agréable » (d’idées éprouvées).

Dr Alain Cohen
Carson A : Book review : The human illnesses: neuropsychiatric disorders and the nature of the human brain (Peter Williamson & John Allman), Oxford University Press, 2011. Br J Psychiatry 2012 01: 85.

Notre cerveau, machine à illusions

LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 
En 1966, le psychiatre britannique John Barker fondait le Bureau britannique des prémonitions. Six ans auparavant, il avait mis à profit l'effondrement d'un terril sur une école du Pays de Galles, qui avait tué 144 personnes (dont 139 écoliers), pour lancer dans la presse un singulier appel à témoins : il souhaitait savoir si quelqu'un avait prévu le drame. Il reçut 60 lettres, dont la moitié des auteurs indiquaient avoir eu une telle prémonition, en rêve.
L'objectif de son Bureau était digne d'une nouvelle de Philip K. Dick : utiliserces "précogs" pour anticiper et prévenir les catastrophes. En 1967, l'un d'eux informe Barker qu'il va bientôt mourir. Le psychiatre avait justement écrit un livre intitulé Mort de peur, où il expliquait qu'une telle prédiction pouvait se réaliser, car la terreur induite par cette annonce était susceptible d'affecter le système immunitaire. Baker se plia à sa science : il mourut effectivement soudain, en 1968. Et son Bureau ne lui survécut que quelques années, avant de fermer, faute de moyens.
Des histoires comme celle-ci, le livre de Richard Wiseman en regorge. On y croise une mangouste parlante, mais invisible, dans une masure de l'île de Man. Mais aussi le télépathe Washington Irving Bishop, mort avec ses secrets, car autopsié à l'âge de 33 ans alors qu'il était sans doute simplement plongé dans une crise de catalepsie. Et encore le sinistre Jim Jones, grand laveur de cerveaux, qui poussa au suicide plus de 900 personnes enrôlées dans sa secte au Guyana, en 1978.
L'un des personnages les plus marquants pour l'auteur est sans doute la psychologue anglaise Susan Blackmore, qui a été à l'origine de sa vocation scientifique. Richard Wiseman a en effet d'abord été magicien professionnel, avant de se tourner vers la psychologie - deux disciplines ayant évidemment partie liée. Le témoignage de Susan Blackmore a changé sa vision du surnaturel : plutôt que d'enquêter, en bon sceptique, sur l'authenticité du paranormal, n'était-il pas plus fructueux d'étudier pourquoi il nous fascine tant ; pourquoi beaucoup y croient, en font l'expérience ?
Démystifier le paranormal
La psychologie expérimentale s'est fait une spécialité d'élucider ces questions - pas seulement pour dégonfler les baudruches de la parapsychologie, mais aussi pour analyser ou améliorer des techniques dont d'autres marchands d'illusions, comme les as du marketing ou les politiciens, font leur miel. Wiseman, aujourd'hui professeur de psychologie à l'université du Hertfordshire et star des médias outre-Manche, en livre un précis réjouissant.
Ses Petites expériences extrasensorielles s'inscrivent dans la longue tradition éditoriale des ouvrages qui démystifiaient le paranormal, aussi vivace que la lignée de ceux qui en font la promotion. L'intérêt de son livre ne réside pas tant dans les "trucs" qu'il dévoile, en praticien expérimenté, que dans l'analyse qu'il expose des mécanismes mentaux qui nous conduisent à croire l'impossible, à voir l'invisible.
Sous sa plume alerte, desservie par une traduction un peu plate, la télépathie, la voyance, la prémonition, les fantômes de toutes étoffes deviennent de fascinants révélateurs de nos processus mentaux. Son manuel - il propose d'étonnantes petites expériences propres à animer les repas de famille - risque de faire des adeptes. Aussi bien dans le camp des mystificateurs que dans celui des sceptiques. Susan Blackmore a pour sa part renoncé à dénoncer les illusions paranormales : elle était lasse d'être confrontée à des crédules mettant en doute son ouverture d'esprit. Mais Richard Wiseman a brillamment repris le flambeau...
Petites expériences extrasensorielles,
de Richard Wiseman (Dunod, 256 p., 16,90 €).

Une infirmière robotisée à domicile !


            
                                               
Robotique
Une infirmière robotisée à domicile !

Une équipe scientifique internationale, composée de chercheurs tchèques [1], autrichiens [2], néerlandais [3], italiens [4] et estoniens [5], a mis au point un robot "infirmier" pouvant assister les personnes âgées ou les patients ayant subi une intervention chirurgicale.

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