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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

mardi 3 novembre 2020

VIDÉO. Grâce à ce vélo, ils s’évadent de leur Ehpad et retrouvent «le sourire»

Par Claire Duhamel Le 25 octobre 2020 

VIDÉO. Grâce à ce vélo, ils s'évadent de leur Ehpad et retrouvent «le  sourire» - Le Parisien

BICLOU, la série vélo du « Parisien ». L’association « À Vélo Sans Âge » organise des sorties dans la nature pour les résidents de maison de retraite. Grâce à un vélo triporteur adapté aux personnes à mobilité réduite et tout droit venu du Danemark.

« C'est le calme et puis c'est la verdure »

« C'est formidable, ils nous redonnent le sourire » confie Christian en roulant, tranquillement installé sur le fauteuil de cette drôle de bicyclette. « C'est le calme et puis c'est la verdure, le bon air » ajoute Christiane, 90 ans. Alors que la fréquence des visites en Ehpad varie au gré des conditions sanitaires, cette sortie à l'air libre est particulièrement appréciée.

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Note de position “Fin de vie en Ehpad : de l’hébergement à l’accompagnement”Note de position “Fin de vie en Ehpad : de l’hébergement à l’accompagnement”

 Accueil - Vulnérabilités et Société

29 octobre 2020

A l’heure où la crise de la COVID-19 a mis sévèrement en évidence les lacunes dans l’accompagnement de la fin de vie des résidents d’EHPAD, le Cercle Vulnérabilités et Société formule 5 priorités déclinées en 50 propositions opérationnelles pour aider les établissements à se mettre en capacité de mieux répondre à cet aspect essentiel de leur mission.

Ces propositions sont exposées dans la note de position « Fin de vie en Ehpad : de l’hébergement à l’accompagnement ». Elles sont le fruit de l’expérience et du travail de membres du Cercle V&S qui se sont mobilisés sur cette question : Adef Résidences, Armée du Salut, Croix-Rouge Française, Fondation Partage et Vie, Korian, Maisons de Famille, et Les Petits Frères des Pauvres.

Elles reposent sur une conviction forte : parce qu’ils sont des lieux où vivent un quart des personnes qui décèdent chaque année, les EHPAD doivent oser devenir des lieux de référence en matière de fin de vie. Cela passe par une valorisation explicite de l’accompagnement de la fin de vie à travers ce qu’il requiert de compétences professionnelles (soignantes et non soignantes) mais également à travers une meilleure prise en compte des besoins globaux des résidents.

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Le chef de l’ONU encourage la société civile à plaider en faveur du financement du développement

ONU Info (@ONUinfo) | Twitter 

2 novembre 2020

Photo : ONU/Milton Grant

Les participants des groupes de la société civile se sont rassemblés en marge de la quatrième conférence mondiale des Nations Unies sur les femmes qui s'est tenue à Beijing, en Chine, en septembre 1995

Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a encouragé lundi la société civile à réclamer davantage de solidarité en faveur des pays en développement pour les aider à se relever de la crise déclenchée par la pandémie de Covid-19.

« La pandémie de Covid-19 a infligé d'immenses souffrances à travers le monde et provoqué la crise économique la plus grave depuis un siècle. Notre monde est pleinement capable d’aider ceux qui souffrent le plus. Mais l'aide ne va toujours pas là où elle est urgente », a dit M. Guterres dans un message vidéo diffusé lors d’un événement sur le financement du développement.

« Dans la plupart des pays développés, les gouvernements ont adopté des programmes évalués à deux chiffres du PIB pour lutter contre le virus et son impact social et économique. Mais nous n’avons pas vu le niveau nécessaire de solidarité mondiale qui permettrait au monde en développement de faire de même - comme nous l’avons demandé depuis le début », a ajouté le chef de l’ONU.

Selon lui, il est possible de repenser les cadres mondiaux de financement et de les mettre au service de l'humanité.

« C'est la seule façon pour nous de bâtir une forte reprise après la pandémie et de créer des communautés et des sociétés adaptées aux défis de l'avenir, des maladies infectieuses à la crise climatique en passant par les chocs économiques », a dit M. Guterres.

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Appel Psytoyen. Parcours de soin : vers un échec organisé ?

Lundi 2 Novembre 2020

A l’origine, l’hôpital était un lieu d’accueil des indigents. Aujourd’hui, avant de pouvoir exprimer la problématique qui vous y conduit, on vous demande votre carte de sécurité sociale, votre mutuelle, si vous avez consulté votre médecin ou un spécialiste au préalable - avec l’obligation parfois, de passer par une prétendue évaluation, pour être ensuite renvoyé vers un ailleurs… sans accompagnement véritable vers le soin. Allons-nous vers un non-accueil organisé ?

L’évaluation est reine, mais pour quel résultat ?

Évaluation et orientation deviennent des maîtres-mots dans les services de soin. On évalue : en gériatrie pour quantifier les déficits et objectiver les démences, en neurologie pour diagnostiquer les maladies, en pédopsychiatrie pour déterminer les troubles du spectre autistique, ceux du développement (les « dys », difficultés d’attention, hyperactivité…) etc.

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Saint-Loup-Cammas : polémique sur le fonctionnement de la clinique psychiatrique Marigny

Publié le 

La direction de la clinique Marigny n’a pas voulu s’exprimer sur les accusations d’un patient.

La direction de la clinique Marigny n’a pas voulu s’exprimer sur les accusations d’un patient.

Que se passe-t-il derrière les murs de briques roses de la clinique Marigny, à Saint-Loup-Cammas ? En cette période de confinement et de restrictions sanitaires, un patient de l’établissement a décidé d’alerter l’opinion publique et les autorités de l’agence régionale de santé (ARS), pour dénoncer la promiscuité et la gestion "erratique" de la crise de la Covid.

"Le non-respect des gestes barrières et des protocoles met en danger les malades et en même temps les personnels", explique ce témoin qui veut rester anonyme par crainte de rétorsions. "J’ai séjourné au sein de la clinique dans une des chambres doubles ou l’application des mesures de distanciations est impossible, poursuit-il. Leur taille même ne permet pas de respecter le mètre réglementaire entre les patients et les soignants". Pour cause, photo à l’appui, il constate que l’espace entre deux lits "qu’il estime à 50 centimètres tout au plus, interdit toute circulation normale". Pour lui, le risque de transmission est extrême, alors que les conditions de travail des infirmières et aides-soignants sont de plus en plus difficiles. "Ils sont en sous nombre, parfois seul à assurer un service pour plus d’une vingtaine de patients en psychiatrie, déplore-t-il. Ce sont des héros qui travaillent dans des conditions déplorables".

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lundi 2 novembre 2020

Port du masque à 6 ans : avons-nous perdu (l’âge de) raison ?

Par Alexandra Flouris, psychologue hospitalière, Pédiatrie, GHU site Bicêtre, APHP Emmanuelle Lacaze, psychologue spécialisée en neuropsychologie, Service de Neuropédiatrie, Hôpital Trousseau, APHP Stéphanie de Bournonville, neuropsychologue, Pédopsychiatrie, Fondation Vallée et psychologue pour enfants-adolescents en libéral Christelle Landais, psychologue clinicienne, psychanalyste, en Institut Médico-Educatif et en libéral et Marine Schmoll , psychologue clinicienne en établissements d’accueil de jeunes enfants et en libéral — 

Cette mesure, prévue dès lundi dans les écoles, risque de nuire aux besoins d'expression de l'enfant sur le plan affectif, langagier, émotionnel, corporel, s'alarment des psychologues.

TEMOIGNAGES-COVID- L'appel des médecins du Tarn : "ne portez pas la responsabilité de la contamination de vos parents"

France 3 Occitanie — Wikipédia

Publié le 01/11/2020

Plusieurs médecins du Tarn lancent un appel à la population pour le respect du confinement et des gestes barrières. Ils s'inquiètent de la banalisation du virus.


Photo d'illustration.

Photo d'illustration. • © JP-Duntze / FTV


Ce qu'ils constatent dans leur cabinet médical les inquiètent. La banalisation du virus, des patients qui doutent de l'intérêt des gestes barrières. Alors pour rappeler la réalité du terrain, celle de malades touchés par le coronavirus qui vont souffrir et peut-être mourir, des médecins du Tarn ont écrit leur témoignage. Un appel à la population pour respecter le confinement et les gestes barrières. 

Les dégâts des thèses complotistes

Etienne Moulin a sollicité ses confrères et coordonné les échanges pour créer ce verbatim et le diffuser. L'idée est née explique le médecin de cette différence entre la réalité et les thèses complotistes qui sèment le doute dans l'esprit des patients. Différentes thèses conspirationnistes relayées sur les réseaux sociaux qui prétendent par exemple que le covid n'existe pas, que c'est un complot mondial, un "truc" des laboratoires pour vendre des médicaments. "De mon expérience dit Etienne Moulin une personne sur 10 à peu près est sensible à ce discours, cela suffit à induire des comportements dangereux avec une moins grande prise en compte de l'autre."


On entend dans nos cabinets des phrases du genre : "est-ce bien nécessaire docteur ? j'ai entendu dire que"...Cela banalise le virus. "


Etienne Moulin, médecin dans le Tarn


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Connecter le cerveau et la machine

 cnrs-le-journal-logo - La Fondation Droit Animal, Ethique et Sciences

02.11.2020

Contrôler un ordinateur à distance, piloter un membre artificiel ou restaurer des fonctions motrices perdues ? L’idée séduit. Mais en sera-t-on capables un jour ?

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COMMENT REUSSIR SON DEUXIEME CONFINEMENT

 NEON - Home | Facebook

Et c'est reparti pour un tour : confinement, épisode 2. Mais cette fois, nous n'allons pas reproduire les mêmes erreurs.

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Les 10 grandes questions que soulèvent les attentats islamistes

Michel Eltchaninoff publié le  

Alors que les élèves du primaire et du secondaire reviennent à l’école, les enseignants s’apprêtent à aborder avec eux l’assassinat de leur collègue Samuel Patty, qui a eu lieu le soir des vacances. C’est un moment aussi essentiel que difficile, tant les questions des jeunes sont aussi légitimes que parfois dérangeantes. Et qu’on sait également que certaines idées et valeurs transmises par l’école de la République sont contestées par certains. 

C’est pourquoi nous vous proposons de nous pencher sur les principales questions que pose cet attentat, et de renvoyer vers des articles, analyses, interventions publiées dans Philosophie magazine et sur Philomag.com. 

Bonne rentrée à tous ! 

Peut-on à la fois défendre la liberté d’expression et la limiter ?

C’est un paradoxe que soulèvent souvent ceux qui trouvent incohérent de défendre la publication de caricatures jugées offensantes par certains fidèle tout en punissant des propos racistes ou injurieux. Des distinctions sont ici indispensables. Le philosophe des sciences Philippe Huneman décortique les arguments entendus dans les classes après l’attentat de Charlie Hebdo. Et le philosophe existentialiste italien Paolo Flores d’Arcais affirme que si la liberté d’expression a des limites, ce n’est pas la susceptibilité des croyants qui doit la fixer.

Le droit au blasphème doit-il se transformer en devoir de blasphème ?

Faut-il montrer systématiquement aux élèves les caricatures de Mahomet au nom du droit de blasphémer ? Ne risque-t-on pas, en changeant les caricatures de contexte et de finalité, de le transformer en pesant devoir ? 

Montrer ne suffit pas, selon Frédéric Worms. Mais pour Catherine Kintzlerla question d’un devoir de blasphème ne se pose même pas en République

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