Nous le savons tous en cette rentrée de l’été 2018, la psychiatrie va très bien ! Et vous ? Des soignants obligés de conduire une grève de la faim, des Commissions Médicales d’Etablissements à la peine pour obtenir ne serait-ce que les moyens de survie, des Centres Médico Psychologiques qui annoncent leur fermeture, des secteurs de psychiatrie générale et de pédopsychiatrie qui cherchent désespérément...
S’il est une découverte freudienne qui a bouleversé l’histoire des idées, c’est celle du fantasme. Davantage que l’inconscient. Avec le fantasme, Freud montre que chacun se voit, voit le monde et y envisage ses actions à partir d’une construction singulière tissée dans son enfance à partir de « choses vues et entendues » colorées par les souhaits de son entourage, ce qui rend son rapport aux autres, voire à ses intentions, délicat.
Des algorithmes de plus en plus performants et des systèmes informatiques de plus en plus sophistiqués investissent notre quotidien. Un documentaire passionnant sur l'intelligence artificielle, ses progrès et ses limites.
Depuis la naissance de son concept au milieu des années 1950 sous l'impulsion de chercheurs de Stanford et du MIT (Massachusetts Institute of Technology), l'intelligence artificielle (I.A.) avance à pas de géant. Au quotidien, des systèmes informatiques de plus en plus sophistiqués, dotés de facultés d'apprentissage, d'adaptation et d'une forme de raisonnement s'invitent dans tous les pans de notre existence.
Après Une question de taille (Stock, 2014), où il interroge, dans le sillage d’Ivan Illich, l’ignorance de la juste mesure dans les sociétés contemporaines, et Quand le monde s’est fait nombre en 2016, une critique de la raison statistique, il revient aujourd’hui agacé par les promesses exorbitantes dont est investi le progrès.
A ses côtés Mark Hunyadi, professeur de philosophie morale et politique à l’Université de Louvain en Belgique, membre de Louvain Bionics, centre de recherche en robotique médicale de la même université.
Pour prendre rendez-vous chez l’ophtalmologue ou le dermatologue, il faut se montrer patient. La moitié des personnes qui appellent un de ces spécialistes obtient une consultation après plus de sept semaines (précisément cinquante-deux jours et cinquante jours). Pour une personne sur dix, ce délai peut encore s’étendre considérablement, jusqu’à six mois pour une consultation ophtalmologique, selon les résultats d’une étude publiée lundi 8 octobre par le ministère de la santé.
Les délais d’attente sont, après l’aspect financier, l’un des principaux freins à l’accès au soin. C’est pourquoi la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) a mené cette étude en interrogeant 21 700 personnes de la cohorte épidémiologique Constances, une base de volontaires français sollicités régulièrement pour des données de santé publique.
Délais de rendez-vous : la moitié des patients attendent deux jours pour un généraliste, un mois pour un gynéco et près de deux mois pour un ophtalmo
Durée entre la prise de contact et l'obtention d'une consultation, détaillés en quatre groupes : le premier quart des « chanceux », la médiane (50 % ont un rendez-vous plus vite, 50 % moins vite), le troisième quart et les 10 % les plus... « patients ».
Cardiologue ● 1er quart: 17 jours ● Médiane: 37 jours ● 3e quart: 66 jours ● derniers 10 %: 104 jours
Dominique Roodthooft livre une création inclassable, mouvante, émouvante et roborative. Un spectacle du Rideau de Bruxelles au Marni, puis au Théâtre de Liège. Critique.
Curieux télescopage. Un soir : du théâtre, indéniablement, un classique dont rien dans son traitement aujourd’hui ne dit la nécessité. Le lendemain, dans un théâtre, qui accueille la production d’un autre : un moment, un objet, une chose protéiforme et sensible et pensée et en mutation. "Est-ce que c’est du théâtre ? Je ne sais pas", dit Dominique Roodthooft, qui affirme utiliser "la scène comme un lieu de travail collectif autour d’un sujet fort que nous allons partager avec un public".
À l’origine de cette nouvelle création du Corridor, il y a l’histoire - vraie - de Judith Scott, trisomique, sourde, muette, placée enfant dans une institution tandis que sa jumelle entamait une scolarité "normale". Joyce retrouvera sa sœur 35 ans plus tard, et lui permettra de s’épanouir en créant. Judith Scott (1943-2005) enrobe de fils et autres cordes des objets divers, récupérés, qu’elle transforme en cocons. Et devient une figure importante de l’art brut.
#NousToutes est composée de femmes et d’hommes qui veulent en finir avec les violences sexistes et sexuelles.
Parmi nous, il y a des associations, des syndicats et des individu.e.s.
Parmi les associations et syndicats qui participent à #NousToutes, il y a (liste non-exhaustive !) Le Planning Familial, Solidaires, En Avant Toutes, le FIT, Stop Harcèlement de Rue, le Groupe F. Il y a aussi, engagé.e.s dans #NousToutes des militant.e.s d’Attac, des militantes afrofem, des militant.e.s de la CGT, d’Excision Parlons-en !, de Féministes contre le cyber-harcèlement ….