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vendredi 14 février 2020

Les médecins généralistes toujours moins volontaires pour effectuer des gardes

En 2019, moins de quatre médecins généralistes sur dix ont été inscrits à au moins une garde. Le taux de volontariat est en baisse par rapport à 2018.
Le Monde avec AFP Publié le 13 février 2020
Le taux de participation des généralistes aux gardes en soirée, la nuit et le week-end a encore reculé en 2019, selon un rapport publié jeudi 13 février par le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM).
En 2019, sur environ 63 000 médecins généralistes « susceptibles de participer à la permanence de soins », un peu plus de 24 000 ont été inscrits à au moins une garde l’an dernier, soit moins de 4 sur 10. Ce « taux de volontariat national », qui s’est élevé 38,1 %, est en « baisse de 0,5 point par rapport à 2018 ». L’âge moyen des médecins participants est de 47 ans.

«La cup est pleine» : les menstruations au cœur du débat public

Par Virginie Ballet — 



Photo Emilija Manevska. Getty Images

Sensibilisation, précarité, pub, TVA : les associations féministes ont réussi à faire des règles un vrai enjeu de société, en particulier depuis 2015.

Au commencement, il y avait un constat : oui, il pèse encore une forme de tabou autour de la question des règles. Mais surtout, «il y a encore très peu de réflexion en termes de politique publique autour de ce sujet. Alors qu’il concerne la moitié de l’humanité», observe Laëtitia Romeiro Dias, députée LREM de l’Essonne et corapporteure de la mission parlementaire sur les menstruations, qui vient de remettre ses conclusions à la délégation aux droits des femmes. «Rien que quand l’idée est évoquée à l’Assemblée, on voit des collègues rougir, être gênés, ou arborer des petits sourires», observe-t-elle. Pour autant, ces dernières années, les menstrues ont opéré une véritable percée dans le débat public. Au point que, pour la journaliste et auteure féministe Elise Thiébaut (1), «la révolution menstruelle est en train d’advenir».

Mutilations génitales féminines : la HAS précise l'accueil et la prise en charge des victimes

PAR 
COLINE GARRÉ -  
PUBLIÉ LE 07/02/2020


Crédit photo : S. Toubon
À l'occasion de la journée internationale contre les mutilations génitales féminines (MGF), le 6 février, la Haute Autorité de santé (HAS) publie des recommandations de bonne pratique sur l'accueil et la prise en charge des enfants, adolescentes, et femmes ayant subi des mutilations, ou étant à risque, par les professionnels de premier recours. 
En France, où ces mutilations sont interdites, quelque 125 000 femmes en seraient victimes, selon la dernière estimation de Santé publique France. Et 11 % des filles de ces femmes le seraient aussi. Est considérée comme mutilation, toute atteinte, ablation partielle ou totale, des organes sexuels externes à des fins autres que thérapeutiques. 
Si le gouvernement, dans le cadre de son plan national contre les mutilations, a déjà publié un guide en juin 2019 destiné à tout professionnel en contact avec des enfants possiblement concernés, le travail de la HAS s'adresse aux soignants de premier recours. 
Rechercher les signes évocateurs
La HAS rappelle les facteurs de risque qui doivent alerter le professionnel de santé, à commencer par la région d'origine et/ou le pays de naissance des parents, leur communauté, et les pratiques à l'œuvre dans la famille. « Naître d'une mère qui a subi une mutilation sexuelle féminine constitue un facteur de risque important » pour une mineure, lit-on. 
La HAS donne ensuite des conseils et des exemples de phrases pour aborder sereinement la question des MGF avec la patiente, qui doit être reçue seule, dans la mesure du possible. Sont aussi récapitulés les signes évocateurs d'une mutilation, que souvent, la femme tait : modification de l'humeur (abattement, dépression anxiété, tristesse, etc.), fugues, agressivité, difficultés à marcher ou uriner, douleur pendant les règles, refus de l'examen médical, carnet de santé lacunaire, absentéisme inattendu et prolongé de l'école, etc. 
Signalement pour les mineures
En cas de risque imminent pour une mineure, ou face à des mutilations constatées sur une moins de 18 ans, le professionnel doit faire un signalement auprès du Procureur de la République. Ce qui doit permettre, au passage, de protéger les sœurs de la fratrie. Lorsque le risque ne semble pas imminent, le médecin doit rédiger une information préoccupante à la cellule de recueil des informations préoccupantes du conseil départemental (CRIP). La levée du secret professionnel est prévue pour les cas de mutilation sexuelle, rappelle la HAS. 
En revanche, lorsque la victime est majeure, le professionnel ne peut émettre de signalement si elle ne donne pas son consentement. La loi prévoit néanmoins une exception : quand la patiente « n'est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son incapacité physique ou psychique », précise la HAS, dont certains membres ont publié récemment une tribune contre toute levée du secret médical et obligation de signaler.  
Enfin, le guide précise la conduite à avoir pour examiner une victime de mutilation sexuelle et la prendre en charge. Le soin ne saurait se résumer à une reconstruction chirurgicale : il doit être global, psychique, sexuel et psychocorporel, insiste la HAS. 

Maïa Mazaurette : entretien avec une sexperte

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TERRIENNES

Photo du profil Facebook de Maïa Mazaurette
Photo du profil Facebook de Maïa Mazaurette

Journaliste spécialisée dans les questions de sexualité, autrice, militante féministe, mais aussi peintre et illustratrice, Maïa Mazaurette publie Sortir du trou, lever la tête et Le sexe selon Maïa, une compilation de ses chroniques parues dans le quotidien français Le Monde.
Elle n'a pas beaucoup dormi, car elle est intervenue aux "Nuits de la philosophie et des idées" à Brooklyn, mais la fatigue ne transparaît pas une seule fois dans ses réponses. Elle promène gaiement son téléphone – et nous avec – dans son antre new-yorkais. Maïa Mazaurette sait se prêter au jeu de l’interview : celle que Marie-Claire a récemment baptisée "Madame Sexe" est sollicitée de toutes parts, notamment depuis la double parution, en janvier, de ses livres Le Sexe selon Maïa (recueil de ses chroniques pour Le Monde aux Editions La Martinière) et Sortir du trou, lever la tête (aux Editions Anne Carrière).

Eva Illouz : «En amour, nous sommes devenus des machines évaluatives»

Par Anastasia Vécrin — 

Photo Véronika Tumova . VOZ’Image

Dans son dernier essai, «la Fin de l’amour», la sociologue Eva Illouz décrypte la marchandisation de nos relations les plus intimes. Nous aurions échangé la liberté contre l’instabilité.

Comment le capitalisme agit-il sur les relations amoureuses ? Tel est le terrain de jeu d’Eva Illouz, directrice d’études à l’EHESS depuis près de vingt ans. Dans son dernier essai, la Fin de l’amour. Enquête sur un désarroi contemporain (Seuil, 2020), la chercheuse se penche sur ces moments où l’on cesse d’aimer. Une enquête sociologique sur ces fins de partie qui révèle qu’en matière d’amour la liberté s’exerce surtout par un non-choix, aux dépens de l’autre.
Votre livre s’intitule la Fin de l’amour, une thèse très définitive, non ?
L’amour est pour moi une façon de comprendre plus généralement la modernité. Il ne s’agit pas bien sûr de la fin de l’amour en tant qu’idée et que représentation. Le livre s’intéresse au décalage entre la croyance et la représentation romantique de l’amour d’une part et aux pratiques amoureuses dans lesquelles j’observe une certaine décomposition de l’amour en tant qu’émotion qui était perçue sur le mode religieux comme transcendantale. La forme stable de l’amour est devenue un problème sociologique, un problème à nous-mêmes, une question que nous traitons à l’infini. Il y a dans ce titre une sorte de diagnostic de civilisation : le concept de non-amour qualifie le mieux l’état des rapports intimes aujourd’hui. Durkheim parlait d’«anomie» pour qualifier la façon dont les liens sociaux se défont. La rupture des liens intimes, potentiels ou réels, est aujourd’hui productive, c’est-à-dire liée à l’usage des réseaux sociaux, de la technologie et de la consommation. Cette anomie génère une grande activité sociale et économique. Avec les réseaux sociaux, les sites de rencontres et les applications tels que Tinder, les moyens de chercher l’amour, sont démultipliés, mais deviennent vite le lieu d’expression de différences entre les sexes et les genres. Plus qu’un manque de désir, je vois dans cette non-sociabilité l’affirmation d’une position de pouvoir. Dans une relation, la personne la plus détachée est toujours celle qui détient le pouvoir. La confiance a été définie par un économiste comme la capacité de se rendre le premier vulnérable. Ce sont les mécanismes sociaux permettant que quelqu’un se rende vulnérable le premier qui font de plus en plus défaut.

Anne-Marie Moulin : « Les réactions irrationnelles sont le lot de toutes les épidémies »

Par Catherine Vincent Publié le 14 février 2020

Anne-Marie Moulin est médecin et philosophe. Spécialiste des maladies tropicales, directrice de recherche émérite au CNRS (laboratoire SPHère de philosophie et d’histoire des sciences), elle a notamment publié Le Médecin du prince. Voyage à travers les cultures (Odile Jacob, 2010).

L’épidémie provoquée par le coronavirus SARS-CoV-2 (appelé 2019-nCoV jusqu’au 12 février) déclenche en France, où très peu de cas ont été déclarés, des manifestations de racisme à l’encontre de la communauté asiatique. Comment comprendre ces réactions violentes et irrationnelles ?

Le coronavirus est entré dans la vie quotidienne des Français, qui suivent en temps réel les événements et leur interprétation par les experts. Faute de pouvoir s’attaquer directement au virus, ce sont leurs porteurs potentiels qui retiennent l’attention du public : les personnes aux traits asiatiques sont une cible toute trouvée, qui permet de concentrer les angoisses.
Les réactions irrationnelles de ce type sont le lot de toutes les épidémies. On les observait déjà lors de la « peste d’Athènes », la plus ancienne sur laquelle on ait véritablement des informations.

Stress post-traumatique : Nouvelles pistes pour comprendre la résilience au trauma

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COMMUNIQUÉ | 13 FÉVR. 2020


Une étude Science apporte de nouvelles pistes pour comprendre le trouble de stress post-traumatique Crédits : Inserm
Les attentats de Paris et Saint-Denis, le 13 novembre 2015, ont laissé des marques durables, non seulement sur les survivants et leurs proches, mais aussi sur la société française dans son ensemble. Vaste programme de recherche transdisciplinaire, le projet 13-Novembre est codirigé par le neuropsychologue Francis Eustache, directeur du laboratoire Inserm  Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine  (Inserm/Université de Caen Normandie/École pratique des hautes études/CHU Caen/GIP Cyceron), et l’historien Denis Peschanski, directeur de recherche au CNRS[1].  L’objectif : étudier la construction et l’évolution de la mémoire, individuelle et collective, de ces événements traumatiques, mais également mieux comprendre les facteurs protégeant les individus du stress post-traumatique.

Dans ce cadre, une étude d’imagerie cérébrale intitulée Remember, dont l’Inserm est promoteur, s’intéresse aux réseaux cérébraux impliqués dans le trouble de stress post-traumatique (TSPT). Des travaux qui donnent lieu à une publication dans la revue Science, le 14 février 2020. Dirigée par le chercheur Inserm Pierre Gagnepain, cette étude montre que la résurgence intempestive des images et pensées intrusives chez les patients atteints de stress post-traumatique, longtemps attribuée à une défaillance de la mémoire, serait également liée à un dysfonctionnement des réseaux cérébraux qui la contrôlent. Ces résultats permettent d’identifier de nouvelles pistes de traitement.

La pollution de l'air dans l'enfance liée à la schizophrénie

RTFLASH    11/02/2020 

Des chercheurs affirment que les enfants qui grandissent pendant au moins dix ans dans des zones avec un air fortement pollué ont un risque plus élevé de développer une schizophrénie plus tard dans leur vie. Le rôle de la génétique, facteur de risque connu, serait à écarter.
Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'Université d'Aarhus (Danemark), et publiée dans la revue scientifique JAMA Network Open, montre une nouvelle fois que la pollution de l'air affecte la santé physique mais aussi la santé mentale. Cette dernière, qui combine des données génétiques avec des données relatives à la pollution de l'air, montre que les enfants qui sont exposés à un niveau élevé de pollution de l'air pendant leur croissance ont un risque accru de développer la schizophrénie. Comme l'explique l'Inserm, il s'agit d'une maladie psychiatrique caractérisée par un ensemble de symptômes très variables dont les plus impressionnants sont les délires et les hallucinations.

Google crée un réseau de neurones capable de prédire s'il va pleuvoir à la minute près

RTFLASH   13/02/2020

Google a annoncé avoir mis au point un réseau de neurones capable de prédire les précipitations de manière plus précise et sur des zones géographiques affinées par rapport aux prévisions "dans l'heure" actuelles de l'agence météorologique nationale des Etats-Unis.
Aujourd'hui, ces prévisions sont établies par le biais de simulations, basées sur des relevés au sol et des observations satellite, et sont réalisées par des supercalculateurs. Les mêmes modèles qui servent à prédire la météo au cours des 10 prochains jours sont utilisés pour prévoir la pluie dans l'heure qui vient. Si leur précision a augmenté à mesure que les supercalculateurs devenaient plus puissants, le temps nécessaire au calcul limite le nombre de "rafraîchissements" journaliers du modèle à trois ou quatre, et les données utilisées sont toujours vieilles de plusieurs heures. La précision géographique est par ailleurs limitée à des zones de 5 kilomètres pour des raisons de lourdeur de traitement.

B. Brun, Jean Dubuffet et la besogne de l'Art Brut - Critique du primitivisme

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Information publiée le 14 février 2020 par Université de Lausanne

B. Brun, Jean Dubuffet et la besogne de l'Art Brut - Critique du primitivisme

Baptiste Brun
Préface de Thierry Dufrêne
Les Presses du Réel
Date de parution 19/04/2019
EAN: 9782840667544
Nb. de pages : 551 p.

Tordre le cou au primitivisme : voilà l'un des enjeux du travail de Jean Dubuffet (1901-1985). Le lecteur pourra trouver l'affirmation paradoxale tant l'artiste semble être le parangon du primitivisme artistique dans la seconde moitié du XXe siècle. Tout pourtant dans son travail concourt à récuser l'existence d'un art supposé "primitif", pierre de touche d'une conception européenne et raciste de l'art, repliée sur elle-même et ébranlée au sortir de la Seconde Guerre mondiale.
En poussant à l'excès les codes du primitivisme de son temps, le peintre en dévoile lucidement les ressorts et les présupposés. Considérant ensemble les trois activités de Dubuffet — la peinture, l'écriture et les prospections qu'il mène pour son entreprise de l'Art Brut — ce livre cherche à mieux comprendre cet activisme critique initié au début de la reconnaissance professionnelle de l'artiste. Mois après mois, année après année, l'auteur retrace le cheminement intellectuel et la pratique maniaque de celui qui défendra et promouvra l'invention artistique dans tous ses états.

Des manifestants devant l’ARS

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Par Geneviève DAUNE le 14 février 2020

Une cinquantaine de personnels de santé ont manifesté ce matin devant les locaux de l’ARS (Agence régionale de santé) Grand Est à Strasbourg, à l’appel des syndicats FO, CGT et CFTC. Elles ont réclamé plus de moyens, de temps et de personnels pour l’hôpital public.
Parmi elles, des infirmiers psychiatriques, comme Fabrice Durain, un entonnoir sur la tête, qui travaille au Centre médico-psychologique et hôpital de jour à Illkirch qui dépend du Centre hospitalier d’Erstein. « Cela fait 20 ans que je travaille et j’ai vu les conditions de travail se dégrader à toute vitesse.

Santé mentale : le rôle primordial des pairs-aidants

Par Fabien Cassar13/02/2020


Le pair-aidant est une personne ayant vécu des problèmes de santé mentale. En étant aidant d'un patient, il devient un modèle d’identification pour celui-ci

Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. L'implication dans le parcours de soins de personnes ayant vécu la même expérience qu’un patient est une expérimentation qui n’a plus à prouver son efficacité. "Lorsqu’on est concerné par une pathologie mentale, on se sent souvent seul avec ses problèmes. Le partage d’expérience avec un pair permet de leur donner l’espoir d’une vie meilleure où ils pourraient s’intégrer pleinement à la société. Le pair aidant est là pour aiguiller le patient dans tous ses choix du quotidien", détaille Yves Bancelin, coordinateur de la plateforme expérimentale de travailleurs pairs.

Deux-Sèvres : une infirmière en psychiatrie meurt poignardée par un patient

Publié le 
Un patient de l’unité psychiatrique de Thouars a agressé une infirmière de 30 ans, décédée de ses blessures. Il cherchait à s’enfuir

Une infirmière, âgée de 30 ans, a été tuée jeudi à l’arme blanche par un patient d’une unité psychiatrique à Thouars (Deux-Sèvres), qui a été placé en garde à vue, selon une source judiciaire.
« Une enquête de flagrance a été ouverte pour meurtre et tentative de meurtre sur des personnes chargées d’une mission de service public », a indiqué le parquet.

Santé mentale : une feuille de route ministérielle pour promouvoir le droit des patients et améliorer leur parcours de santé

Par Fabien Cassar
13/02/2020 


Le délégué ministériel à la santé mentale et à la psychiatrie, le professeur Frank Bellivier a présenté sa feuille de route aux acteurs locaux en charge des personnes concernées par des problèmes psychiques

Frank Bellivier a présenté la feuille de route de santé mentale du gouvernement aux acteurs locaux.Frank Bellivier a présenté la feuille de route de santé mentale 
du gouvernement aux acteurs locaux. DR
Médecins, infirmières, directeurs d’établissement, associations et patients attendaient de pied ferme le délégué ministériel à la santé mentale et à la psychiatrie, le professeur Frank Bellivier. "On espère que son plan est réaliste. On en a marre de perdre du temps", soufflait ce soignant à l’entrée de l’IFSI Blancarde, théâtre d’une journée de réflexion et de présentation des actions régionales et nationales mises en œuvre pour les personnes atteintes de troubles psychiatriques.
En chef d’orchestre de cette réunion, l’Agence Régionale de Santé (ARS) Paca avait prévu des plages horaires suffisamment larges pour exprimer les besoins de tous. Et ce n’est peu dire que de nombreuses mains se sont levées après la présentation de la feuille de route du délégué ministériel, qui a accepté de répondre à toutes les sollicitations.
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