Le 22/10/2023
Le dessinateur revient après son adaptation de Vernon Subutex avec un délirant récit post-apocalyptique où un virus fait chuter le taux de testostérone des hommes. Un album déjà couronné de succès dans les librairies.
Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.
Le 22/10/2023
Le dessinateur revient après son adaptation de Vernon Subutex avec un délirant récit post-apocalyptique où un virus fait chuter le taux de testostérone des hommes. Un album déjà couronné de succès dans les librairies.
Lecteur, si enfant tu as complété de nombreux albums "Panini" , avant que de lire Freud à l'adolescence et Lacan plus tard, cet écrit est pour toi ! Ainsi y parlera-t-on pêle-mêle de la VAR (Assistance vidéo de l'arbitrage) et de l'arbitrage vidéo, de la main d'Henry ou de Maradona, du pied et de la tête de Zidane, de la jouissance de Videla, de Trump ou de Bolsonaro, de l'épopée des bleus en coupe(s) du monde... mais aussi de la mémoire freudienne, d'éthique et d'esthétique, du Père, de sublimation, du Politique comme du trauma génocidaire de la Shoah...
PAR HUGO WINTREBERT 20 OCTOBRE 2023
Gaston Monnerville serait-il notre Obama français ? Né à Cayenne, il a été président du Sénat et donc deuxième personnage de l'État de 1958 à 1968.AFP
Pourquoi l'Histoire de France fait aussi peu de place à ses figures noires ? Interview avec les auteurs du livre «Visibles !» dans lequel ils présentent quarante personnages injustement méconnus, pionniers de la littérature, hommes politiques, chanteuse d'Opéra ou encore esclave affranchi devenu grand chef cuisiner.
Combien de personnages noirs de l’Histoire de France pouvez-vous citer ? Joséphine Baker ? Léopold Sédar Senghor ? Aimé Césaire ? Mais encore ? « L’imaginaire collectif des Français ne ménage quasiment aucune place aux figures noires qui ont pourtant marqué l’Histoire de notre pays », écrivent Binkady-Emmanuel Hié, fondateur de l’agence Norme et le professeur d’Histoire-géo Léo Kloeckner, dans leur ouvrage Visibles ! Un livre illustré (par Aurélia Durand) dans lequel ils présentent les parcours extraordinaires de quarante petits ou grands héros, injustement méconnus. De Toussaint Louverture à la speakerine Sylvette Cabrisseau en passant par l’avocat et homme politique Amadou Lamine-Guèye ou encore la chanteuse d’opéra Christiane Éda-Pierre. Passionnant !
Où sont les femmes ? Partout... et nulle part à la fois. Bien sûr, le Palais des Beaux-Arts de Lille conserve de merveilleux exemples du corps féminin que ce soit sous les traits d’une déesse chez Jean-Baptiste Greuze, d’une Médée furieuse chez Delacroix ou d’un Ange déchu chez Rodin ; mais qu’en est-il des femmes artistes ? Quelle place accordons-nous au deuxième sexe si celui-ci ne revêt pas le costume d’égérie, de modèle, de muse ou d’épouse ? Sur les 60 000 œuvres conservées par le musée, seules 135 sont attribuées à la gent féminine. À l’exception de quelques grandes figures de l’art moderne à l’image de Camille Claudel, Sonia Delaunay ou Marie Laurencin, cette exposition inédite entend bien réhabiliter les noms de ces femmes méconnues,
26/10/2023
Marion Bohec, infirmière en psychiatrie, a accompagné Marc sur les chemins du rétablissement. A l’automne dernier, c’est ensemble qu’ils ont sauté en parachute, concrétisation d’un projet mené de concert. Le courage et la détermination de Marc ont signé sa capacité à prendre de la hauteur pour vivre la liberté de la chute libre !
C’est en 2009 que j’ai rencontré Marc pour la première fois. Il souffrait d’hallucinations auditives de persécution et était hospitalisé en service de réhabilitation à l’EPSM Charcot (Sud Bretagne). J’y travaillais depuis un an. Lorsque les symptômes ont régressé, je lui ai proposé des séances d’éducation thérapeutique (ETP) sur la schizophrénie, d’abord en individuel, puis accompagné de sa mère. A cette époque, on ne parlait pas beaucoup d’ETP, on faisait, ponctuellement, de la simple « éducation à la maladie ». La mère de Marc était satisfaite car c’était la première fois qu’on lui expliquait la pathologie de son fils. Au fil des séances d’ETP, un lien de confiance s’est créé entre Marc et moi. Sorti de l’EPSM en 2010, il n’a plus jamais été réhospitalisé. Fin 2011, je postule sur la création de poste d’infirmière de Réhabilitation Psycho-sociale. Je partage mon temps entre l’Association Socio-Thérapeutique de Réhabilitation et d’Entraide (ASTRE) pour le suivi à domicile d’usagers en appartement associatif, et un centre social : l’Espace Bonnafé. En 2013, par suite d’une convention avec le GEM (Groupe d’Entraide Mutuelle) local, une fois par mois, j’anime des ateliers d’éducation à la santé sur des thèmes choisis par les les « gemmeurs ». Je recroise Marc. Fidèle adhérent, il vient au GEM quasiment tous les jours. Il vit maintenant seul en appartement dans la commune d’Hennebont. Marc est une personne agréable mais plutôt passive, un brin nonchalante.
Interview Carole Sauvage Publié le 26/10/2023
Depuis le 24 février 2022, le service psychiatrie de l’hôpital de Lviv, situé à l’ouest du pays, est sollicité de toutes parts pour soulager militaires et population civile. Ses soignants étaient accueillis début octobre à Paris par le Centre Primo-Levi, dédié à la réparation de ces maux invisibles.
Depuis les premiers mois de l’offensive russe en Ukraine, le Centre Primo-Levi à Paris, en partenariat avec l’université de Yale aux États-Unis, partage son expérience et soutient le service psychiatrie de l’hôpital de Lviv, dans l’ouest de l’Ukraine. La troisième session de formation avait lieu à Paris début octobre. L’occasion pour La Vie de rencontrer le chef du service psychiatrie ukrainien, le Dr Oleh Berezyuk, afin de revenir sur les enjeux de la prise en charge des traumatismes psychiques des civils et des militaires causés par la guerre.
La perte de sécurité, d’assurance dans le lendemain, affecte tout d’abord chacun sans distinction, qu’il vive au sud, à l’est, au nord ou à l’ouest du pays. Cela se traduit par de la fatigue, de l’anxiété, des troubles de l’humeur. Certains habitants, notamment ceux de Marioupol, Bakhmout, Kherson, la banlieue de Kiev et Melitopol, doivent aussi faire avec la perte de leurs proches, leur logement, leur travail, leurs voisins et parfois même leur terre natale. Les populations déplacées, y compris celles qui vivent en sécurité en Pologne ou en France, ressentent une profonde détresse. Les blessures physiques influent aussi sur la santé psychique. Le nombre de traumatismes crâniens est important, chez les civils comme chez les militaires. La prise en charge devrait être immédiate, mais la plupart du temps, le mal est invisible et donc non soigné. Or plus les traumatismes physiques sont importants, plus la probabilité de stress post-traumatique augmente.
Publié le
L’état mental du tireur de Lewiston, Robert Card, demeure un sujet d’interrogation, alors que les autorités ont rapporté jeudi qu’il disait entendre des voix.
La docteure en psychiatrie Cécile Rousseau avertit d’abord qu’on ne peut avoir à l’heure actuelle aucune certitude sur la santé mentale de M. Card, mais décline tout de même trois hypothèses.
«La première chose, c’est qu’il y a certaines personnes qui entendent des voix quand elles consomment des substances: la consommation de drogue peut amener le fait d’entendre des voix», explique-t-elle.
«L’autre possibilité, c’est que des personnes qui ont eu une vie particulièrement difficile et traumatique peuvent, par moment et par épisode, entendre des voix qui viennent exprimer leur rage intérieure», ajoute la psychiatre.
La dernière possibilité est que le tireur souffre d’un trouble sévère et persistant, soit «une psychose».
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Par Lénaëlle SIMON publié le
Les psychologues ont voulu alerter René Pilato. La demande est plus forte aujourd’hui, le mal-être accru.
Les psychologues de l’hôpital Camille-Claudel profitent des débats autour du projet de loi de financement de Sécurité sociale, à l’Assemblée, pour réclamer davantage de moyens.
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Repéré par Bénédicte Le Gall — 27 octobre 2023
Si les traumatismes ont des effets immédiats sur la santé des enfants, ils peuvent aussi les impacter à l'âge adulte.
Les traumatismes subis pendant l'enfance pourraient se transformer en des maux de tête douloureux et persistants à l'âge adulte. C'est ce que révèle une étude publiée le 25 octobre dans la revue Neurology, relate Gizmodo.
Aux États-Unis, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies estiment qu'au moins un enfant sur sept a été victime de maltraitance ou de négligence au cours de l'année écoulée. Une fois adultes, 64% de la population américaine déclarent avoir vécu au moins un événement traumatisant dans leur enfance, comme le fait d'avoir été témoins d'actes de violence, ou encore d'avoir perdu un membre de leur famille en raison d'un suicide.
Si les traumatismes ont des effets immédiats sur la santé des enfants, ils peuvent aussi les impacter à l'âge adulte, et favoriser la consommation de substances psychotropes, les retards d'apprentissage, ou encore les infections sexuellement transmissibles. Les scientifiques ont voulu savoir si cela pouvait également s'appliquer aux maux de tête.
«Étant donné que les maux de tête primaires sont l'une des principales causes d'invalidité dans le monde et que la prévalence mondiale des traumatismes infantiles est élevée, nous avons voulu vérifier s'il existait un lien», explique Catherine Kreatsoulas, coautrice de l'étude et chercheuse au département de santé publique à l'Université Harvard.
Mercredi, 25/10/2023
Dans la prévention du risque et des réitérations suicidaires, le dispositif VigilanS tend à démontrer son efficacité. C'est en tout cas ce que révèlent les résultats d'évaluation du dispositif réalisée par Santé publique France. Pour rappel, le dispositif VigilanS est apparu en 2015 et a pour mission de prévenir les tentatives de suicides ou les récidives, notamment via le maintien d’un lien par téléphone par des professionnels de santé avec les patients hospitalisés après une tentative de suicide. 32 centres VigilanS, dont un installé au sein du GHU de Paris, couvrent désormais le territoire français.
Mardi, 24/10/2023
Les femmes âgées à risque de maladie d'Alzheimer pourraient bien considérablement bénéficier du yoga pour réduire le risque de maladie d’Alzheimer et freiner le déclin cognitif lié à l’âge, conclut cette équipe de neurologues de l’Université de Californie – Los Angeles (UCLA). L’étude, publiée dans le Journal of Alzheimer's Disease montre que le yoga augmente précisément l'activité dans la région du cerveau affectée par le stress et associée à la déficience cognitive…Il s’agit ici du Kundalini yoga, une forme de yoga qui se concentre sur la respiration, la méditation et la visualisation mentale, et visant plus largement à renforcer la force psychique. La pratique est démontrée comme bénéfique pour les femmes âgées qui présentent des facteurs de risque d'Alzheimer et des épisodes de perte de mémoire.
PUBLIÉ LE 26/10/2023
L'AP-HP (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, hôpitaux publics parisiens) va octroyer des primes aux soignants qui renonceront à des vacances pour être présents pendant les Jeux Olympiques à Paris en juillet et août 2024.
Ces primes concerneront les soignants d'une soixantaine de services (sur 800 environ au total) qui auront des besoins d'effectifs supérieurs à la normale estivale du fait des JO, a expliqué une porte-parole de l'AP-HP.
L’infirmier qui transforme les soins palliatifs en bulles d’amour revient avec un troisième album où le héros, un rocker au succès naissant, voit son rêve briser par le cancer.
Xavier, alias L’homme étoilé, est sans aucun doute l’infirmier le plus suivi de France pour son regard singulier sur un des services de l’hôpital assurément les moins réjouissants. Il exerce en effet à Metz aux soins palliatifs, mais a décidé de donner de la vie à cet univers précédent la mort où l’on accompagne les patients vers un cap devenu très concrètement inexorable. Par sa plume et son coup de crayon, ce jeune soignant aux bras tatoués d’étoiles a surtout entrepris de rendre hommage à des patients qui l’on marqué par leur courage et leur humanité.
par Cécile Daumas publié le 26 octobre 2023
Avant #MeToo, il y eut Catharine MacKinnon. Juriste de formation, militante impitoyable contre les violences sexuelles, la féministe américaine a joué un rôle pionnier et déterminant pour faire évoluer les consciences et la société. L’élaboration du concept de harcèlement sexuel et sa reconnaissance, c’est elle. Dès la fin des années 70, alors toute jeune universitaire sortie de Yale, elle théorise le harcèlement comme une discrimination de sexe. Une façon inédite de faire reconnaître par le droit ce qui était considéré comme un classique de la vie d’entreprise. La notion entre dans la législation américaine en 1986, en 1992 pour la France.
L’autre grand engagement de Catharine MacKinnon est son irréductible combat contre la prostitution et la pornographie. Durant les sex wars qui déchirent le mouvement féministe américain dans les années 80, elle s’oppose vivement aux féministes pro-sexe et queer de son pays (Gayle Rubin, Pat Califia, Judith Butler…) et livre un combat judiciaire contre l’industrie du sexe. De ce côté de l’Atlantique, son nom symbolise ce féminisme américain, moral, anti-sexe qui ne comprend rien à la séduction à la française. Pour les féministes françaises engagées dans la lutte contre les violences sexuelles, elle est un soutien théorique important dès la fin des années 80.
Par Cédric Villani.
Embarquez dans un fascinant voyage à travers le temps, d'Isaac Newton aux ordinateurs, pour découvrir les secrets de l'invention des équations différentielles, outil fondamental de la prédiction scientifique.
L'art de la prédiction scientifique s'est infiltré dans tous les aspects de notre vie, influençant nos habitudes et nos perspectives. Météo, transports, conquête spatiale, architecture ou encore agriculture : notre quotidien est inextricablement lié aux prévisions. Dans cette première saison, Cédric Villani nous entraîne dans le récit palpitant de l'invention des équations différentielles, en convoquant Isaac Newton, Christian Huygens, Leonhard Euler, Henri Poincaré...
Un podcast raconté par Cédric Villani et réalisé par Véronique Samouiloff.
Mardi 24 octobre 2023
Publié le 28/10/2023
Une procédure judiciaire hors norme a été lancée cette semaine aux Etats-Unis. Quarante-et-un états Américains, dont New York et la Californie ont déposé une plainte contre la société Meta, qu’ils accusent d’être à l’origine de la dégradation sans précédent de la santé mentale des jeunes adolescents. L’établissement d’un lien strict entre l’utilisation des réseaux sociaux et les troubles de santé mentale est particulièrement difficile, tant ces pathologies peuvent être multifactorielles, tandis que la « consommation » de réseaux sociaux est également multiforme. Cependant, à la faveur de différentes observations, certains spécialistes invitent à la plus grande prudence vis-à-vis des plus jeunes, mettant en garde contre un risque élevé d’addiction. Spécialiste de santé publique et épidémiologiste, le docteur Martin Blachier est également convaincu du danger éminent des réseaux sociaux pour les adolescents et compare ce fléau à celui du tabac pour les précédentes générations. Il estime qu’il est temps de « lancer l’alerte ».
Par Martin Blachier, médecin spécialiste de santé publique et épidémiologiste
Publié le 11/10/2023
A la date de mai 2023, on comptabilisait aux Etats-Unis 1,1 million de morts par Covid-19. Il est alors apparu que les circonscriptions à majorité républicaine avaient connu un taux de décès supérieur à celui des comtés démocrates. Il en a été de même en prenant en compte l’affiliation des personnes à l’un ou à l’autre des 2 grands partis politiques. Toutefois, de multiples facteurs ont pu intervenir dans ces disparités, autres que la seule appartenance politique, comme le caractère rural ou urbain des électeurs, leur origine ethnique, leur niveau d’éducation, etc.
Publié le 27/10/2023
Jean-Jacques Coiplet a discuté avec le personnel et visité plusieurs services. © CH Pierre Lôo
26/10/2023
Marion Bohec, infirmière en psychiatrie, a accompagné Marc sur les chemins du rétablissement. A l’automne dernier, c’est ensemble qu’ils ont sauté en parachute, concrétisation d’un projet mené de concert. Le courage et la détermination de Marc ont signé sa capacité à prendre de la hauteur pour vivre la liberté de la chute libre !
C’est en 2009 que j’ai rencontré Marc pour la première fois. Il souffrait d’hallucinations auditives de persécution et était hospitalisé en service de réhabilitation à l’EPSM Charcot (Sud Bretagne). J’y travaillais depuis un an. Lorsque les symptômes ont régressé, je lui ai proposé des séances d’éducation thérapeutique (ETP) sur la schizophrénie, d’abord en individuel, puis accompagné de sa mère. A cette époque, on ne parlait pas beaucoup d’ETP, on faisait, ponctuellement, de la simple « éducation à la maladie ». La mère de Marc était satisfaite car c’était la première fois qu’on lui expliquait la pathologie de son fils. Au fil des séances d’ETP, un lien de confiance s’est créé entre Marc et moi. Sorti de l’EPSM en 2010, il n’a plus jamais été réhospitalisé. Fin 2011, je postule sur la création de poste d’infirmière de Réhabilitation Psycho-sociale. Je partage mon temps entre l’Association Socio-Thérapeutique de Réhabilitation et d’Entraide (ASTRE) pour le suivi à domicile d’usagers en appartement associatif, et un centre social : l’Espace Bonnafé. En 2013, par suite d’une convention avec le GEM (Groupe d’Entraide Mutuelle) local, une fois par mois, j’anime des ateliers d’éducation à la santé sur des thèmes choisis par les les « gemmeurs ». Je recroise Marc. Fidèle adhérent, il vient au GEM quasiment tous les jours. Il vit maintenant seul en appartement dans la commune d’Hennebont. Marc est une personne agréable mais plutôt passive, un brin nonchalante.
Par Pierre Wuidart 26 oct. 2023
BELGIQUE
27 octobre 2023
QUEBEC
Le projet de loi 15, qui vise à réformer le système de santé, offre une occasion unique de reconnaître l’apport de la pratique des psychiatres hors des hôpitaux, et ce, afin de mieux atteindre l’objectif souhaité : améliorer l’accessibilité des soins de santé pour ceux en ayant besoin. Or, dans sa mouture actuelle, il présente une tendance excessive à se concentrer sur ce qui se passe entre les murs des établissements de santé, au détriment des soins de proximité.