La Maison rouge, à Paris, expose les myriades d’objets réunis par l’artiste
«Dirosapocalypse», 1984, Hervé Di Rosa. Courtesy Pierre Schwartz
Il sonne comme la chanson d’une âme solitaire ou le nom d’un site de rencontre amoureuse. «Plus jamais seul», c’est le titre de l’exposition d’Hervé Di Rosa à la Maison rouge. Dans l’espace parisien, l’artiste né à Sète en 1959 est là, très bien entouré. Il a été invité à la Fondation Antoine de Galbert pour présenter son travail et ses objets de collection, comme Arnulf Rainer en 2005 ou Jean-Jacques Lebel en 2010. Et des objets, il y en a des centaines : étagères pleines de vaisselle, vitrines de jouets, escadrons de modèles réduits, portant avec série de tee-shirts, amoncellement de figurines, mur entier de canevas ringards, véritable taxi de Manille, ribambelle d’ex-voto, un gros aquarium et même des piles de boîtes en plastique pour ranger ce déluge…
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